Le blog de lina
Amandine Blenon comprenait désormais la signification du mot solitude. En quelques jours, elle s'était appliquée à
faire le vide autour d'elle. Elle avait d'abord dû mettre la famille de sa sœur à la porte sans ménagement, suivant les ordres d'Angel. La rupture avec Laurine, sa cadette, avait été terrible.
Elle les chassait alors qu'ils lui avaient accordé un soutien sans faille dans les épreuves qu'elle avait dû subir à cause de l'avidité et de la lâcheté de son époux. Bien entendu, elle n'avait
pas pu leur révéler qu'elle faisait tout cela pour les préserver ; Angel avait même menacé de soumettre Laurine au chantage si jamais elle rompait le silence. Elle avait donc dû se résoudre à les
voir partir en sachant qu'ils ne lui pardonneraient jamais. Malheureusement, le pire était venu avec le départ de Maria. La plus jeune de ses filles avait pleuré puis hurlé, refusant totalement
de se voir séparée de sa mère et de sa sœur si tôt après avoir perdu son père. Le cœur de mère d'Amandine s'était définitivement brisé quand elle avait abandonné sa fille dans la maison de ses
parents. Ces derniers ne lui avaient fait aucun reproche mais elle avait senti le poids de leurs regards accusateurs alors qu'elle regagnait vers sa voiture, rassemblant toutes ses forces pour
résister à l'envie de revenir serrer sa fille contre elle.
Durant ces jours affreux, le seul soutien sur lequel elle aurait pu s'appuyer était Laura mais elle ne s'était jamais
sentie aussi éloigné de sa fille aînée depuis la soirée dépravante qu'Angel leur avaient fait connaître. Amandine ne pouvait pas accepter la totale soumission de sa fille à leur
tourmenteur.
Deux jours avant l'aménagement officiel d'Angel dans leur demeure, un homme étrange arriva en son nom. Efféminé et
tiré à quatre épingle, il dit s'appeler Jasper et être chargé de diriger les changements voulus dans la maison qui n'était déjà plus la leur. Ainsi le premier étage de la villa fut totalement
réaménagé en un temps record par plusieurs équipes d'ouvriers. Amandine et Laura durent dormir dans le salon et découvrirent avec horreur comment avaient été changé trois des quatre chambres du
haut. Chacune se voyait dotée d'une porte de sécurité qui ne pouvait plus se verrouiller de l'intérieur mais qui possédait un système de fermeture à commande centralisée comme dans les prisons.
Et c'était bien ce que cet endroit allait devenir pour elles. Elles entrèrent dans l'une de ces chambres. Contrairement au reste de la maison, on avait retiré toutes les tapisseries pour ne
laisser que les murs peint d'une couleur gris terne. On y avait installé un grand lit deux places, des toilettes et, pire encore, une caméra dans le coin haut droit. L'impression d'emprisonnement
se renforça encore.
- Bien sûr toutes les installations ne sont pas terminée, fit Jasper avec sa voix de fausset. Le réseau vidéo
demandera des semaines pour être opérationnel mais monsieur Angel est très exigeant et il voulait que ces premiers travaux soient terminés avant ce soir.
Amandine aurait voulu lui arracher le sourire qu'il affichait en prononçant ces paroles mais elle se contenta de
serrer les poings en se dirigeant vers la dernière chambre, celle qui avait été la sienne et celle de son époux. Le contraste était flagrant. Leur grand lit avait été remplacé par un autre tout
aussi grand mais bien plus somptueux à baldaquin orné de dorures. Sur le mur, on avait placé des tableaux signés de grands maîtres et en face du lit se trouvait une console regroupant plusieurs
petits écrans et il ne fallait pas être un génie pour comprendre que c'était vers elle que les images des caméras de la maison convergeraient. Amandine saisit immédiatement qu'elle se trouvait
dans la chambre d'Angel.
Jasper semblait satisfait du travail des ouvriers et leur affirma qu'il reviendrait dans quelques jours pour
superviser les travaux complémentaires. Avant de repartir en milieu d'après midi, il leur remit une grande boîte en carton avec pour consigne d'attendre l'arrivée d'Angel pour
l'ouvrir.
Angel arriva alors que le soleil se couchait. Il n'eut pas besoin de sonner et elles comprirent qu'il avait déjà fait
tout ce qu'il fallait pour que tout le monde sache qu'il était le nouveau propriétaire des lieux. Leur déchéance allait rapidement être connue. Il possédait la clé de la porte d'entrée également
et ce fut le bruit de la porte qui claqua qui les avertit de son arrivée. En arrivant dans le grand salon en provenance de la cuisine pour l'une et de l'étage pour l'autre, elles le trouvèrent
dans le salon prés de la cheminée. Il avait allumé un feu et les attendait, affichant cette arrogance qui le définissait aux yeux d'Amandine. Il s'assit sur l'un des divans une place de la pièce,
indiquant, s'il était besoin de le préciser son nouveau statut. De la tête, il leur ordonna de se placer en face de lui. Amandine voulut s'assoir mais le regard noir d'Angel le lui
interdit.
- Je vois que vous avez apporté mon petit cadeau, dit -- il en indiquant la boîte laissée par Jasper que Laura avait
déposé sur la table basse. Amandine, ouvre -- le!
Après un instant d'hésitation, elle se baissa pour déchirer le carton et l'ouvrir. Elle découvrit alors deux housses
transparentes qui protégeaient des vêtements bien peu communs. Amandine discerna facilement un tablier léger, des chaussures cirées et un petit bonnet ; une tenue de servante on ne peut plus
réduite.
- Voilà vos nouvelles tenues de travail, expliqua Angel. Puisque vous êtes devenues mes esclaves, il est normal que
vous en portiez les atours. Allez mettez -- les!
La gorge nouée, Amandine regarda sa fille, toujours aussi soumise à ce monstre, commencer à se déshabiller. Elle finit
par en faire de même, elle enleva ses vêtements pour ne conserver que ses dessous mais la voix de son tourmenteur retentit alors.
- Qu'avais -- je dis? Je ne voulais plus de sous -- vêtements.
Elle se sentit étrangement comme une enfant prise en faute en constatant que Laura était, elle, totalement nue mais
elle refusait d'accepter l'idée qu'elle allait devoir revêtir cette tenue indécente sans le moindre vêtement pour protéger ses parties intimes. Elle sentait le regard d'Angel peser sur elle et
elle se souvenait de la violence dont il était capable quand on lui résistait. Il esquissa le mouvement pour se relever et elle se hâta alors d'enlever son soutien -- gorge. Il se rassit,
visiblement satisfait de la peur qu'il avait instillée en elle. Quand elles se retrouvèrent nues toutes les deux, il tourna la tête vers les housses. Laura saisit celle qui portait son nom et en
déchira le plastique pour sortir les vêtements. Comme toujours, Amandine marqua un temps d'hésitation mais finit par imiter sa fille.
Ainsi vêtue, elle se sentit horriblement exposée. L'arrière de son tablier se réduisait à la ceinture nécessaire pour
le faire tenir en place, elle se retrouvait donc avec le dos et surtout le cul nus. Sur l'avant ce n'était guère mieux. Très court, il protégeait à peine son entrecuisse et sa poitrine pourtant
peu développée était à peine dissimulée. Celle de Laura, par contre, se retrouvait oppressée et ressortait sur les côtés. Angel semblait apprécier ce spectacle. Il se leva alors et ramassa leurs
vêtements puis il se dirigea vers la cheminée. Sous leurs regards médusés, il les jeta dans le feu. Il ajouta petit accélérateur afin de s'assurer qu'ils brûlent bien.
- Vous n'en aurez plus besoin désormais. Ces tenues seront vos seuls vêtements. Comme vous avez dû vous en rendre
compte, les ouvriers se sont débarrassés de tous les habits qui se trouvaient dans vos armoires.
Voilà la réponse à la question que se posait Amandine qui avait passé la moitié de l'après midi à fouiller les
armoires de l'étage à rechercher ses vêtements. Désormais, ses robes de marques allaient être portées par les épouses des ouvriers qui avaient pillé les penderies de sa
maison.
Angel retourna à sa place, se rassit et tourna la tête en direction de Laura.
- Viens ici!
Toujours aussi obéissante, la jeune fille s'avança et s'agenouilla devant lui. Comme une semaine auparavant, il tâta
son opulente poitrine avec délectation au travers de la dérisoire protection du tablier.
- Amandine, il y a autre chose dans la boîte, c'est un autre cadeau pour toi. Prends -- le!
Anxieuse, elle fouilla dans la boîte et en sortit un petit gourdin en plastique noire qu'elle reconnut immédiatement.
C'était un godemichet. Elle se rassura en constatant que son diamètre n'était pas immense mais elle réalisa également qu'il n'était pas classique car il était agrémenté de lanière. Elle comprit
qu'il était destiné à être porté en permanence.
- Lors de notre première soirée, je suis resté frustré, rappela Angel. Je n'ai pas pu mener à bien une opération qui
me tenait à cœur... à cause de toi.
Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre de quoi il parlait : sa sodomie. Elle se crispa alors et lâcha le gode
sous l'effet de la terreur.
- Je pense que tu as compris. Ce gode est prévu pour agrandir ton petit anneau afin que je n'ai aucune problème à
t'enculer la prochaine fois. Son fond est plat, tu n'auras qu'à le poser sur la table et t'empaler dessus.
- JAMAIS! Hurla -- t -- elle. PAS CA.
Angel se tourna alors vers Laura. Il lui sourit et, la seconde d'après, lui expédia un coup de poing dans le ventre
qui lui coupa le souffle. La jeune fille se plia en deux, les yeux emplis de larmes. Angel se retourna vers Amandine, son sourire traître toujours sur le visage.
- A toi de choisir...
Et sans finir sa phrase, il asséna un second coup à la jeune fille qui venait tout juste de se redresser. Elle
s'affala sur le sol. Sans pitié, Angel la força à se relever en la tirant par la queue de cheval. Elle haletait sous l'effet de la douleur et son regard encore adolescent n'affichait plus que de
la terreur. Il referma le poing.
- STOP! cria sa mère. Arrêtez, je vais le faire... je vais le faire.
Angel desserra le poing mais ne lâcha pas la queue de cheval de Laura. Lentement, à regret, Amandine se baissa pour
ramasser le gode et le posa sur la table basse comme il le lui avait ordonné. En le touchant, elle constata qu'il glissait. Il avait été lubrifié et cela la rassura, un peu. Consciente que ce
monstre qui prenait autant de plaisir à les violer qu'à les faire souffrir voudrait assister pleinement à son tourment, elle se tourna vers lui et commença à descendre sur le vit de plastique
tendu. Le contact froid du plastique provoqua une réaction réflexe et les muscles de son sphincter anal se contactèrent pour résister à cette pénétration contre nature. Elle était incapable de se
détendre mais elle se força à continuer son acte en dépit de tout et les premiers centimètres marquèrent le début de sa souffrance. Elle serra les dents pour ne pas donner à cet homme qu'elle
haïssait le plaisir de l'entendre crier mais elle sentit des larmes de sueur perler sur ses tempes au fur et à mesure qu'elle enfonçait ce membre artificiel dans ses
entrailles.
En face d'elle, Angel avait déboutonné son pantalon et conduit la tête de sa fille vers son membre. En dépit des
sévices qu'il lui avait subir, Laura continuait à obéir servilement à ce monstre ; elle engloutit son membre dans sa bouche sans sourciller.
Cependant Amandine était loin de ces considérations tant la douleur que lui procurait l'objet rigide qu'elle était
contrainte d'insinuer dans sa cavité anale lui faisait vivre un martyre. Il lui fallait toute sa volonté pour ne pas crier mais elle dut se rendre à l'évidence, elle n'aurait jamais la force de
mener l'opération à bout et alors qu'elle l'avait enfoncé presque à moitié, elle ne trouva plus les ressources nécessaire pour aller plus loin.
A ce moment, elle vit se dessiner sur le visage d'Angel ce sourire sadique qu'elle ne connaissait que trop bien. Il
repoussa la tête de Laura sans ménagement et se leva pour s'approcher d'elle. Il passa délicatement sa main dans ses cheveux en gardant ce sourire qui pour d'autres aurait pu paraître rassurant.
Puis soudainement, il posa ses mains à plat sur les épaules d'Amandine et appuya violemment de telle façon que le gode s'enfonça totalement en elle d'un coup sec. Le froid contact de la table sur
ses fesses fut la moindre des sensations par rapport à la vague de douleur qui l'envahit comme une marée et, en dépit de toutes ses résolutions, elle ne put s'empêcher de
hurler.
Sans sembler se soucier de ses hurlements, Angel serra les lanières du gode autour de son ventre afin de s'assurer
qu'il reste parfaitement figé dans son anus même si elle devait bouger. Totalement sous le choc, Amandine se laissait faire comme une poupée.
A ce moment, une sonnerie retentit et il fallut de longues secondes à l'esprit dominé par la douleur d'Amandine pour
reconnaître l'appel de l'interphone.
- L'un de nos invités vient d'arriver, expliqua simplement Angel. Laura va donc leur ouvrir!
Des invités? Une véritable panique s'empara d'Amandine. Ce monstre n'avait pas seulement prévu de les humilier et de
les faire souffrir, il avait fait venir des gens pour assister au pathétique spectacle de sa déchéance. Rien ne lui serait épargné.
Elle oublia rapidement ses appréhensions car Angel l'attrapa par les cheveux, l'entraînant à sa suite. Une nouvelle
vague de douleur émana de ses entrailles et elle abandonna totalement toute dignité pour laisser parler sa souffrance : elle cria à chaque pas. Il se rassit dans le divan qu'il occupait juste
avant et l'obligea à s'agenouiller, fesses bien dressées, pour reprendre le rôle abandonné par sa fille.
L'invité était en fait une invitée. Christine s'était rendue au chantage de son violeur et c'était la gorge nouée
qu'elle faisait remonter sa voiture le long de l'allée qui conduisait à la villa des Blenon. Elle eut alors une pensée incongrue : elle songea à son père. Elle s'était souvenu qui avait longtemps
été en affaire avec Jérôme Blenon et qu'il avait dû se rendre en ce lieu à de nombreuses reprises. Pourtant elle n'avait jamais rencontré cet homme ni sa famille. Tout cela s'expliquait par le
fait que l'association entre les deux hommes datait d'une dizaine d'année alors qu'elle n'était qu'une jeune femme. Son père en patriarche autoritaire l'avait éloignée de la région en lui
interdisant de suivre ses études à l'université de Fortlud, pourtant voisine. Elle n'avait jamais compris les raisons qui avaient motivée cette décision paternelle si ce n'est qu'il estimait
qu'il considérait que Lileland et sa région étaient devenues dangereuses pour elle. Quand finalement, il lui permit de revenir, il s'était contenté de lui dire que « le frère avait enfin fait son
devoir » sans jamais entrer dans les détails. Elle avait donc retrouvé sa place dans le petit microcosme régional mais Blenon ne faisait déjà plus partie des relations de son père. Dorénavant son
père était mort et elle n'avait plus entendu parler de Blenon avant la sombre affaire dans laquelle il avait englouti toute sa fortune et celle de plusieurs autres notables...avant ce
soir.
Elle gara sa voiture dans le petit parking qui se trouvait devant la villa et constata qu'une seule voiture s'y
trouvait. Elle descendit et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle tendit une main tremblante vers la sonnette mais au dernier moment, ses forces l'abandonnèrent. Elle voulut rebrousser chemin
mais la porte s'ouvrit alors devant elle et elle se retrouva devant une jeune fille d'une vingtaine d'année dont la tenue mit fin à toutes ses illusions. Elle ne portait qu'un simple tablier
blanc très serré au niveau de la taille qui faisait ressortir son imposante poitrine et laissait ses jambes totalement nues.
- Le maître vous attend, déclara cette jeune fille qui devait être tout juste majeure et elle se retourna pour bien
lui signifier d'entrer à sa suite.
Christine constata presque sans surprise que cette tenue indécente lui laissait le cul totalement nu et elle avala sa
salive avant de trouver la force d'entrer dans cette maison où elle savait déjà qu'elle allait subir un martyre.
Elle traversa un petit hall d'entrée pour déboucher dans un grand salon très bien décoré et elle fut de nouveau le
témoin d'une scène qui la terrifia. L'homme qui l'avait violée était assis sur un divan et entre ses jambes se trouvait une autre femme en train de lui prodiguer une fellation. Dans cette
position, Christine ne pouvait pas voir sa tenue mais elle devinait aisément qu'elle était vêtu de la même façon que la jeune qui l'avait accueillie mais ce n'était pas ça qui la choqua le plus.
Dans cette position, les fesses de la fellatrice étaient proéminentes et Christine discerna sans problème le cercle noir qui se dessinait au milieu des deux globes ronds : on l'avait sodomisée
avec un gode. Une porte dans l'esprit de Christine s'ouvrit et elle voulut s'enfuir très loin de cet endroit infernal ; elle n'avait rien à faire ici.
- Bienvenue ma chère, fit l'homme et Christine se souvint enfin qu'il s'appelait Angel. Je suis satisfait que tu sois
venue. Voyons Laura, débarrasse notre invitée!
La jeune fille sursauta comme si on l'avait giflée et elle s'approcha d'elle.
- Votre veste, s'il vous plait madame...
- Sa veste?!? grogna Angel, mais quelle conne. Tu crois qu'elle est venue pour prendre le thé? Elle est ici pour se
faire baiser tout comme toi alors fous -- là à poil!
La jeune fille, Laura, s'était crispée et elle se hâta d'obéir comme si elle voulait se rattraper auprès de cet homme.
Christine ne voulait pas s'en laisser compter et elle la repoussa sans violence pour dégrafer son chemisier.
- Je parle tchèque ou quoi, s'énerva alors Angel. J'ai ordonné à Laura de le faire, pas à toi alors laisse la
faire!
Sans attendre sa réaction, Laura glissa ses mains sous ses aisselles et commença à défaire les boutons de son
chemisier à tâtons. Prise de court, Christine resta sans réaction. Elle sentait la poitrine imposante de la jeune fille se presser contre son dos et son souffle contre son cou alors qu'elle
écartait les pans de son chemisier. Leurs deux peaux nues entrèrent alors en contact et, contre sa volonté, sa respiration s'accéléra. Comme à dessein, Laura laissa glisser ses mains sur son
corps avant de déclipser les agrafes de son soutien gorge et Christine comprit alors que ce petit jeu était voulu par Angel. Il se jouait d'elle en faisant en la laissant entre les mains de cette
enfant à peine plus jeune que Natacha en espérant reproduire le même émoi honteux qui l'avait faite tombée entre ses griffes. Le plus horrible était que cela fonctionnait. Elle se sentait partir
alors que les mains de la jeune adulte défaisaient le ceinturon de son pantalon. Elle n'était déjà plus qu'un pantin désarticulé et elle se maudissait pour sa faiblesse en sachant qu'ainsi elle
s'enfonçait encore plus profondément. En se plaquant volontairement contre elle, Laura descendit pour lui retirer son pantalon. Presque impatiente, elle souleva une jambe et puis l'autre pour lui
faciliter la tâche. Ses mains remontèrent en glissant sur ses jambes provoquant des frissons d'excitations. Les mains de Laura se posèrent les côtés de sa petite culotte mais elles ne la firent
pas descendre. Elles plongèrent dans son intimité. Ce fut le coup de grâce, Christine poussa un râle de plaisir comme par anticipation et des souvenirs de ses étreintes avec Natacha remontèrent à
sa mémoire. Elle trouva la force de s'écarter de cette maudite enfant et pour mettre fin à ce piège et elle retira elle -- même sa culotte le plus vite qu'elle le put. En se redressant, elle
capta le regard d'Angel et son sourire carnassier indiquait qu'il avait eut exactement ce qu'il désirait.
- Tu as amené ce que je voulais? demanda -- t -- il en posant la main sur la femme qui s'occupait son sexe pour régler
son rythme à sa convenance.
Honteuse, elle tourna la tête vers la mallette qu'elle avait amenée avec elle et qui se trouvait posée à côté de ses
vêtements. Laura la lui apporta sans qu'elle n'ait besoin de rien lui dire. Elle la prit et, le cœur serré, l'ouvrit pour en poser le contenu sur la petite table basse en verre qui se trouvait
juste devant elle.