Le blog de lina


- Assez de discussion. Tu as vu mes preuves et avec elles je peux détruire ce foyer ridicule pour inutiles qui occupe un emplacement si rentable en centre-ville. Maintenant, je n'ai pas de temps à perdre, sois tu acceptes mes conditions soit tu te lèves et tu quittes cet endroit.

Instant décisif. Elle hésita une seconde, consciente qu'elle n'aurait plus les moyens de reculer ensuite mais elle resta assise et le Angel sourit.

- Parfait, tu vas me remettre toutes tes clés. Ta voiture sera donnée et ton appartement reloué dès demain. 

- Mais mes affaires, ...

- Tu n'en auras plus besoin. Cette villa sera désormais ton seul univers pour le restant de ta vie et cet uniforme sera le seul vêtement que tu seras autorisée à porter. 

Il lui aurait porté un coup de massue qu'il ne lui aurait pas fait plus mal. Elle resta assise sans réaction sous l'effet du choc. 

- Déshabille-toi, ordonna-t-il. 

Elle resta sans réaction. 

- Tout de suite!!!

Elle sursauta devant son ton impérieux et presque contre sa volonté, elle commença à enlever ses habits. Elle finit par se retrouver droite et nue devant lui, tentant de dissimuler son sexe et sa poitrine avec ses bras et ses mains. 

- Pas de pudeur mal placée ma chère, ricana-t-il. Les bras le long du corps.

Comme une automate, elle lui obéit et il put la détailler avec gourmandise. Il se leva et s'approcha d'elle. Il joua avec les mamelons de ses seins puis descendit jusqu'à son clitoris. Elle détourna son regarda pour ne pas lui donner le plaisir du spectacle de sa honte. Cependant, il ne poussa pas plus loin son petit jeu. Il lui attrapa le poignet et l'entraîna dans la maison, la faisant grimper un étage. Ils arrivèrent dans un large couloir. Il la fit passer devant une lourde porte blanche fermée à clé puis s'arrêta devant une seconde en tout point identique à la précédente. 

- Voici ta chambre, lui dit-il et elle pensa qu'il aurait mieux fait de parler de cellule. Je vais te présenter ta colocataire. Tu vas voir, tu vas l'aimer. 

Il sortit une télécommande et appuya sur le bouton marqué deux. Le verrou de la porte se déclencha dans un grand bruit de mécanique et elle s'ouvrit. En entrant dans la chambre, Anne-Marie remarqua immédiatement qu'il n'y avait qu'un seul lit mais ne put s'attarder sur ce détail car Angel attira son regard sur la jeune femme qui se trouvait dans le fond. Le cœur de l'assistante sociale s'arrêta de battre : il s'agissait de Jennifer. 

La jeune fille était vêtue de la même tenue que les deux autres femmes qu'elle avait croisées au rez-de-chaussée. Elle avait les deux mains liées à une barre à danser de telle façon qu'elle ne pouvait que se tenir totalement cambrée en avant, les jambes écartées. 

Jeu 28 mai 2015 Aucun commentaire