Le blog de lina
vitesse, il fallait un tireur d'élite pour atteindre sa cible et ce
n'était pas le cas du gaillard. Sa balle se perdit dans les rues. Thierry savait qu'en restant en ville, ses poursuivants finiraient par rameuter la moitié des flics de la ville. Il décida de
tenter sa chance dans les quartiers périphériques que la police ne contrôlait. Il prit Aubey Road puis remonta l'avenue Donovan mais une des voitures qui se trouvaient sur le barrage lui coupa la
route alors et il dut bifurquer sur Ulysse Street. Il connaissait cependant trop bien la ville pour se faire avoir et il évita l'impasse où ils voulaient l'enfermer mais se retrouva obligé
d'emprunter la voie rapide qui longeait le front de mer. Sur cette zone les voitures plus puissantes de ses poursuivants finirent par le rattraper. La plus grosse se mit à sa hauteur mais le
conducteur fit une mauvaise manœuvre et les deux voitures se percutèrent. Thierry perdit le contrôle de son véhicule qui quitta la route pour plonger par-dessus une falaise qui tombait en à --
pic dans la mer. Sa voiture coula dans l'eau noire et froide. - Je ne suis pas sûr que c'était ça que le patron entendait quand il disait « pas de vagues », estima Hugo
dubitatif.
Il portait les stigmates de sa rencontre mouvementée avec Angel et
n'avait plus le cœur à faire des écarts avec la discipline.
- En tout cas il est bien mort, assura Hassan en regardant en bas de
la falaise.
- Pour sûr, confirma Hugo. Pour survivre à ça, il faudrait être
robocop.
- Je préviens le patron. On n'a pas trop réussi dans le domaine de la
discrétion mais au moins il ne posera plus de questions gênantes.
Allongé sur le lit de Sonia, Laroquette assistait un spectacle qui la
comblait de plaisir. Avec art et style et efficacité, la jeune étudiante était en train d'effeuiller Anita Fuentes. Totalement soumise, l'enseignante s'était laissée maquillée et apprêtée selon
les désirs du vieux directeur. Ce dernier avait été surpris par la vitesse à laquelle la sud-américaine s'était soumise à son autorité comme si ces quelques mois passés dans les geôles de la
dictature hondurienne l'avaient conditionnée.
Sonia baissa la culotte d'Anita révélant une toison taillée à
merveille. Et Laroquette se redressa pour mieux admirer la scène. Le clou du spectacle fut quand le cou de l'enseignante fut ceint du même collier de cuir que celui que la jeune fille portait en
permanence quand elle n'était pas en présence d'étrangers.
Laroquette se leva alors et se dirigea vers les deux femmes, il les
conduisit à s'enlacer l'une l'autre et à s'embrasser puis glissa ses doigts dans les anus de chacune ; elles poussèrent un cri à l'unisson. Leurs cris redoublèrent quand il augmenta le nombre de
doigts qui envahissaient cette cavité encore inexplorée. Il décida cependant de ne pas la visiter encore : il la gardait pour une grande occasion. Il attrapa Anita par ses cheveux désormais
libérés de leur chignons et la mis à genoux, elle fut conduite à une fellation profonde pendant qu'il échangeait des baisers baveux avec Sonia. Il savait à quel point ces échanges intimes
dégoûtaient la jeune fille et il les prolongeait à plaisir. Anita quand à elle ne semblait pas dégoutée par le parfum de son pénis car il sentait sa langue danser agilement sur son membre. Il
abandonna Sonia pour son concentrer sur sa nouvelle petite amie et prit sa tête entre ses mains. Le plaisir ne tarda pas à venir. Il jouit au fond de sa gorge, la tenant fermement par les
oreilles pour s'assurer qu'elle ne recrache pas semence. Quand il la relâcha, Anita détourna ostensiblement le visage pour cracher et respirer. Il l'attrapa alors et la projeta sur le lit et en
fit de même avec Sonia.
- Un homme, deux putes, se dit-il, des milliers de
possibilités. - Mais à quoi vous jouez,
Marius? s'emporta le juge. Vous transformez les rues de Lilleland en un nouveau far west et tout cela sans nous prévenir.
- Mes hommes ont un peu perdu le sens de la mesure, reconnut le
commissaire, mais les circonstances l'exigeaient.