Mardi 14 juillet 2 14 /07 /Juil 19:47

pour s'approcher d'elle. 

- Bien sûr, reprit-il, vous serez jugée dans la région nord et il faudra vous extrader mais je ne pense pas que cela soit vraiment difficile compte tenu de l'ampleur que prendra le scandale une fois qu'il sera révélé. Cette région ne pratique pas la peine de mort mais compte tenu de votre jeune âge vous pourrez espérer sortir à l'âge de 60 ans.

- 60 ans? fit-elle en levant un regard affolé vers lui.

- Une autre vie perdue en quelque sorte. C'est affreux, n'est-ce pas? Mais vous devez avoir compris maintenant que je n'ai pas très envie de vous envoyer en enfer. J'ai bien réalisé que vous n'étiez pas la première responsable de tout cela même si la vraie responsable n'est pas aussi facilement accessible que vous.

- Vous voulez piéger Serena?

- Chaque chose en son temps. Nous parlons de vous et de la façon dont vous allez éviter de passer vos plus belles années au fond d'une cellule... dans le meilleur des cas. 

- Que proposez-vous?

- Je suis le seul à avoir fait le rapprochement entre Purdue et Dorset, aussi étrange que cela peut paraître. La preuve génétique est apparue tellement accablante que personne n'a remis en doute la culpabilité de Dorset et Purdue a fait preuve de suffisamment de volonté pour résister à ses penchants pendant tout le procès de son frère et d'intelligence pour changer de secteur « d'activité » ce qui a brouillé les pistes. En résumé, si je me tais, vous ne risquez plus rien mais pour que je me taise, il faudra être gentille.

Marius glissa sa main dans sa courte chevelure brune. Elle recula le visage quand elle sentit le contact des doigts de cet homme qui devait avoir 20 ans de plus qu'elle contre sa joue gauche. Il lui agrippa alors la nuque l'obligeant à s'approcher de lui. 

- Qu'est-ce que tu crois? grogna-t-il. Les flics sont particulièrement appréciés en prison et tu deviendras rapidement une star dans l'établissement pénitentiaire où tu seras retenue. Et les femmes sont bien pires que les hommes à ce petit jeu. 

Il la relâcha et elle retomba sur sa chaise. Il reposa sa main sur sa joue et elle n'eut pas la force de s'opposer à sa volonté. Encouragé par cette première reddition, le commissaire s'enhardit encore et s'accroupit pour poser les mains sur sa poitrine. Elle portait encore sa blouse de laboratoire et il entreprit d'en défaire les boutons avant d'en écarter les pans pour dévoiler une chemise bleue légère. Elle voulut se relever mais, autoritaire, il plaqua ses mains sur ses épaules pour l'obliger à se rassoir. Il devait peser plus de 35 kg de plus qu'elle, elle ne faisait pas le poids. D'un seul geste, il lui écarta les pans de la chemise en lui faisant sauter tous les boutons. Sa petite poitrine apparut à peine protégée par son soutien-gorge. Par réflexe, elle voulut crier mais il la gifla et la souleva à bout de bras comme un vulgaire paquet pour la projeter sur un canapé qui se trouvait dans un coin du bureau. Avant qu'elle n'ait eu le temps de reprendre son souffle, il était sur elle, pesant de tout son poids sur sa poitrine. Elle pouvait à peine respirer et elle sentait sa main qui se glissait entre leurs deux corps en direction de son pantalon et dézippa sa fermeture éclair. Puis avec une aisance incroyable, il réussit à lui retirer son jeans en dépit de sa résistance. Sa culotte ne fut pas rempart bien plus efficace. Elle tenta bien de serrer les jambes mais ce fut cause perdue et elle se retrouva perforée par cet homme qu'elle ne connaissait pas encore une heure auparavant. Marius entama alors de la violer sans se soucier de la douleur que le mouvement de

Par lina
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