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Angel arracha Anne-Marie de son membre en érection et s'approcha de Sandrine qui recula d'effroi. Jennifer qui s'était placée derrière la bourgeoise, la bloqua dans sa vaine tentative de fuite. L'homme d'affaire afficha un sourire cruel. -Madame Forci, je suis ravi de vous voir en ce lieu, déclara-t-il. Comme vous le voyez, on ne s'ennuie jamais ici. Sandrine ouvrit la bouche mais fut incapable de prononcer la moindre parole. A moins d'un mètre d'eux, Amandine Blenon continuait d'ahaner sous les coups de boutoirs de sa propre fille. Anne-Marie s'était effondrée par terre pour reprendre son souffle, consciente qu'on ne lui accorderait qu'un maigre répit. Avec une poigne de fer, Jennifer obligea Sandrine à s'agenouiller. Sandrine tenta bien de résister mais la jeune fille montrait une force incroyable quand il s'agissait d'imposer sa volonté aux autres femmes, Angel s'en était déjà rendu compte. Il pointa son sexe contre le visage de Sandrine qui se détourna en signe de refus. Angel se pencha alors. -N'oublie pas les règles, lui glissa-t-il à l'oreille. Tu m'appartiens et ta famille retrouve sa petite vie bien tranquille, tu me désobéis et je les détruis tous. Le message sembla cheminer dans l'esprit de la jeune femme car Angel la vit déglutir avant de se tourner vers lui. Il se redressa alors et lui présenta à nouveau son membre en érection. Elle l'avala sans résister et l'homme d'affaire commença à lui pistonner la bouche en lui agrippant les oreilles avec ses mains. Sandrine ferma les yeux autant pour tenter d'oublier l'humiliation qu'elle était en train de vivre que pour tenter de retenir ses larmes. Elle n'était pas une novice dans le domaine de la fellation mais Angel faisait preuve d'une telle brutalité et d'un tel dirigisme, qu'elle avait l'impression de n'être qu'un conduit dans lequel il avait introduit son engin. Pour mettre fin à ce moment abominable, elle fit se balader le long de son membre et réussit à échapper à sa poigne pour lui titiller les testicules. Elle réussit ainsi à la faire jouir le plus vite possible mais elle n'évita pas l'humiliation d'être aspergée de sa semence. Son visage et le haut du pull qu'elle portait furent trempés par ce liquide immonde. Alors qu'elle détournait le visage sous l'effet du dégoût, Jennifer se pencha et commença à lécher les gouttes de sperme qui recouvraient ses joues. Sandrine fut prise d'un haut le cœur en sentant le contact de la peau de cette jeune fille à peine plus âgée que l'aînée de ses filles sur son visage et voulut s'en écarter mais Jennifer la retint d'un geste brutal qui lui fit horriblement mal au cou. -Voyons Jennifer, la tança Angel sur un ton qui contredisait ses paroles. Ce serait bête de casser mon nouveau jouet. Jennifer afficha un air penaud devant la réprimande d'Angel qui ne cessait de s'émerveiller devant l'ascendant qu'il avait sur cette sauvageonne pourtant capable des pires violences. Tout était une question de rapport de force avec elle. Jennifer avait totalement nettoyé la joue gauche de Sandrine et d'un geste sans douceur, elle l'obligea à tourner la tête pour en faire de même avec la joue droite. Quand ce petit jeu lassa le maître des lieux, il imposa à Sandrine de se lever. Comme en état de choc, la bourgeoise se laissa manipuler comme une poupée de chiffon. Il fit passer son pull par-dessus sa tête puis fit suivre le même chemin au tee-shirt qu'elle portait en dessous. Elle se retrouva en soutien-gorge qu'il fit glisser vers le bas pour libérer ses seins qu'il tripota sans ménagement. La douleur qui vrilla dans sa poitrine la tira de sa léthargie et, de nouveau, elle eut un geste de recul. Il la saisit par les hanches pour la ramener à lui. Leurs regards se croisèrent et elle ne lut que de le mal dans ces yeux bleus qui la fixaient. D'un geste rapide, il la fit se retourner en se cambrant en avant. Elle dut prendre appui sur le dossier du canapé qui se trouvait en face d'elle pour ne pas se cogner la tête alors qu'il lui relevait la robe et qu'il lui arrachait la culotte. Elle se retrouvait les fesses et l'intimité totalement exposés aux yeux de toutes les personnes présentes. Angel lui saisit à nouveaux les hanches, la bloquant dans cette position puis se tourna vers Jennifer qui était restée agenouillée, profitant du spectacle. -Ton amie Anne-Marie s'ennuie, précisa-t-il. Vas donc t'occuper d'elle. Un sourire mauvais se dessina sur le visage de la jeune fille qui, dans sa hâte, ne prit même pas le temps de se redresser pour se ruer sur l'ancienne assistante sociale, toujours allongées sur le sol. Jennifer la saisit par la crête des cheveux et, lui arrachant un cri, la fit se relever en même temps qu'elle. La jeune fille s'installa confortablement en écartant les cuisses. -Suce-moi! Ordonna-t-elle. Anne-Marie hésita à peine une seconde avant de plonger sa bouche dans l'intimité de celle qui avait été son élève et qui désormais la terrorisait presque autant que le démon qui dominait cette maison. Satisfait, Angel posa un doigt sur l'intimité de Sandrine, après trois accouchements, il savait que cet orifice devait être aussi large qu'une autoroute mais il aimait bien prendre son temps pour goûter à tous les plaisirs. Il la pénétra alors violement. Elle se mit à crier immédiatement et il sentit la sécheresse de son conduit, elle ne prenait aucun plaisir... pour l'instant. Son vagin finirait par se lubrifier au moins en réaction à la souffrance ; la nature était faite de façon à s'adapter aux pires douleurs, c'était ainsi. Il pistonna Sandrine pendant un long moment avant de se déverser en elle dans un cri de jouissance et de victoire. Elle s'effondra dès qu'il la relâcha. Il se tourna alors vers ses soubrettes toutes en pleine action lesbienne et tapa dans ses mains. Laura et Anne-Marie cessèrent immédiatement leur besogne. Si Amandine accueillit cette décision comme une délivrance, Jennifer grogna sa désapprobation et il fallut un regard prolongé d'Angel pour la rappeler à sa place. Le maître des lieux se dit qu'il devait prévoir une punition pour ce manque d'éducation. Il en prit note dans sa mémoire et se retourna vers Sandrine qui pleurnichait, allongée sur le canapé. -Pour une première fois, ce n'est pas mal, estima-t-il. Tu vas m'enlever tous ces vêtements, ils te seront inutiles ici. Ensuite, tu suivras Laura ; elle va te conduire à ta chambre. -Ma famille, articula Sandrine avec le peu de force qu'il lui restait. -Si tu deviens aussi docile que le sont les chiennes que tu vois ici alors je tiendrais ma promesse. Dès demain, un homme se présentera aux autorités fiscales de la région centre -- ouest, il reconnaîtra être un homonyme de ton père et avoir usurpé son identité ce qui mettra fin à cette ridicule affaire de blanchiment d'argent. Le projet de grand magasin dans le quartier de ton beau-père va se retrouver noyé sous une montagne de paperasses administratives. Quant au mollusque qui sert de père à tes enfants, il retrouvera ses clients... pour l'instant. Sandrine comprit le message, elle puisa en elle la force de se relever et ôta le peu de vêtement qu'elle portait encore.