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Les tendances exhibitionnistes de Brigitte, presque oubliées depuis tant d'années refleurirent lorsqu'elle se retrouva
sucée et léchée par ses deux soumises Virginia et Marie Laure. C'était tellement agréable d'être aussi agréablement traitée devant tant de spectateurs males : cinq si ses sens surexcités ne la
trompaient pas. Cela lui rappelait presque le temps où elle était l'esclave de Jean. Ils avaient peu à peu cessé leurs petits jeux de domination et Marie Laure avait été le dopant dont ils
avaient eu tant besoin pour maintenir la mémoire des plaisirs passés. Avec l'arrivée de Dan et Kyrhan, un barrage avait cédé et des feux qu'ils croyaient éteints brulaient de nouveau. Elle se
sentait parfaitement capable, à elle toute seule, de traire les cinq hommes jusqu'à la dernière goutte de sperme.
Elle était très bruyante pour l'instant, criant son plaisir à tue tête, à la face de son mari et de leurs invités.
Kyrhan et Dan l'observaient avec un sourire en coin. Après quelques minutes, Kyrhan se tourna vers Dan avec une question muette. Dan acquiesça immédiatement, une nouvelle preuve de la symbiose
totale de leurs esprits. Kyrhan se tourna vers Jean :
- Pouvons-nous nous occuper d'elle, Jean?
- Bien sur, mes amis! Faites comme chez vous!
Kyrhan et son ami s'approchèrent des trois filles. Au grand dam de Marie laure et de Virginia, ils les écartèrent
délicatement. Aucune d'entre elles n'osa protester mais Brigitte le fit. Elle était sur le point de jouir une nouvelle fois et leur intervention l'avait privée d'un orgasme foudroyant. Elle se
rendait bien compte que des mains très habiles la manoeuvraient. Elle ouvrit les yeux pour découvrir ceux de Kyrhan rivés aux siens. Il était debout devant elle, en train d'ajuster sa position
avec soin. Elle sentit quelque chose de très dur exercer une pression sur son anus. Elle tourna la tête et regarda d'o— venait ce contact. Elle vit la bite fort appétissante de Dan qui se
glissait entre ses fesses. Il était vraiment trop gros pour elle. Elle ne voulait pas qu'il la déchire. Il était déjà trop tard : elle sentit la tête de son mandrin la pénétrer, séparant ses
fesses comme le soc d'une charrue. Elle hurla lorsqu'il s'enfonça en elle beaucoup plus facilement qu'elle ne l'avait escompté. Virginia avait fait vraiment un bon travail en lubrifiant si
parfaitement son petit cul. A la place de la douleur intolérable à laquelle elle s'attendait, elle ne ressentait que l'impression étrange d'être dilatée bien au delà de ce dont elle avait
l'habitude, rien de plus. Elle se retourna vers Kyrhan.
Maintenant que Dan était profondément enfoncé dans son petit cul, Brigitte comprit pourquoi ils s'étaient répartis les
rôles sans aucune parole : Kyrhan avait un sexe nettement plus gros que celui de Dan! Pour une première fois, il valait certainement mieux que Kyrhan se serve de sa chatte qui était certainement
nettement plus élastique. Il était déjà en train de l'élargir pour la préparer à recevoir ce visiteur impressionnant. Lorsqu'il la pénétra, elle hoqueta mais le laissa continuer librement. Elle
se promit de lui demander sous peu d'élargir son petit trou du cul jusqu'à ce qu'elle puisse le recevoir pour leur plaisir à tous les deux. Dieu du ciel, elle n'aurait jamais pensé qu'elle puisse
recevoir deux bites aussi grosses en même temps!!!
Laure s'occupait de Marc, son compagnon et de Jean. Ils l'avaient embrochée de belle façon en imitant Dan et Kyrhan et
elle semblait beaucoup apprécier le traitement. A un moment, Dan se rendit compte que Marc avait pénétré la chatte de Marie Laure en même temps que Jean : la jeune femme avait deux bites dans sa
petite chatte d'apparence si fragile! On n'avait vraiment pas l'impression qu'elle souffrait de cette pénétration inhabituelle! Parfait! Cette fille serait sa prochaine conquête et elle danserait
très certainement sur la pointe du chibre de Kyrhan avant la tombée de la nuit. Leurs hôtes étaient vraiment très accueillants!
Lorsque tout le monde se fut dégagé de l'amoncellement de corps sur le plancher, sur la canapé, partout où ils avaient
terminé leurs ébats, ils se rhabillèrent tranquillement. Les hommes reboutonnèrent leurs vêtements et prirent place sur des chaises ou fauteuils, comme si de rien n'était. Brigitte remarqua avec
plaisir que Marie Laure et Virginia s'étaient contentées de se repeigner et de réparer leur maquillage. Elles étaient restées nues, leurs poignets croisés dans le dos, la tête incline dans une
posture de totale soumission. Elles étaient à genoux, de chaque coté de leur maitresse, les cuisses grandes ouvertes, prêtes à être baisées à nouveau ou à obéir à n'importe quel ordre de
Brigitte. Elle était très fière d'elles, pour avoir suivi à la lettre ce qu'elle leur avait appris lors de leur entrainement : Elles rentraient le ventre, projetant en avant leurs seins
orgueilleux et elles n'étaient pas assises sur leurs pieds mais restaient accroupies, prêtes à bondir en avant. Brigitte était parfaitement sure de ce que leur disponibilité totale leur vaudrait
de se faire baiser par l'un ou l'autre des hommes présents sous peu.
Brigitte voulait absolument voir la jolie petite Marie Laure empalée jusqu'à la garde en même temps sur les bites de
Kyrhan et de Dan. Marc ne pourrait pas éviter ce spectacle. Il était réellement amoureux de sa petite amie mais il adorerait la voir remplie de sperme par d'autres hommes devant ses
yeux!
Brigitte voulait fêter dignement ce qu'elle appelait l'honneur qui était fait à sa maison avec des hôtes si
importants. Bien entendu, ce ne serait pas elle qui ferait la cuisine, qui servirait à table ou ferait la vaisselle mais la pauvre Virginie obligée de préparer un repas improvisé pour huit
personnes sans compter les deux soumises, elle et Marie Laure. Enfin parmi les convives prévus, il y avait bien la mère de Marie Laure qui se prénommait elle aussi Brigitte. Virginie s'amusa par
avance des quiproquos qui risquaient de se produire avec une dominatrice et une soumise qui portent le même nom. Mais Brigitte s'en moquait!
Virginie s'installa aux fourneaux comme c'était son habitude depuis son retour chez Brigitte et Jean. Sa mère l'avait
habituée à faire la cuisine et elle y avait pris goût immédiatement : transformer une viande sanguinolente ou un poisson flasque en un mets délicat était une forme d'art qui lui avait plu. Autant
Brigitte était empruntée et inefficace dans une cuisine, autant Virginie était un cordon bleu de tout premier plan. Elle avait même réussi à se faire embaucher pendant l'été dans la brigade de
quelques grands cuisiniers de la région.
Ces chefs auraient été bien surpris de revoir Virginie faire la cuisine, nue sous son tablier que Brigitte avait
remodelé à son goût : le dos se limitait à une ceinture et un anneau centré sur son nombril tenir l'avant, le col avec le foulard usuel du chef avait été remplacé par un décolleté profond et fort
affriolant. La sécurité du cuisinier y avait sans doute perdu mais l'esthétique y avait beaucoup gagné. Sa tenue était destinée à mettre en valeur les beautés de son corps, pas à les protéger!
Jean adorait pouvoir caresser librement les fesses de sa cuisinière lorsqu'elle s'activait aux fourneaux et plonger l'index dans son cul alors qu'elle goutait une sauce était un plaisir
inégalable surtout qu'elle devrait lui nettoyer son doigt souillé avec sa langue immédiatement après la sauce divine qu'elle avait préparée mais à laquelle elle ne toucherait plus. Elle n'était
qu'une soumise, une fille de rang inférieur dont les désirs pouvaient être négligés voire tournés en ridicule. De toutes façons, elle ne voudrait pas être traitée différemment!
Bien entendu, pour toutes ses préparations, elle n'utilisait que du lait de femme, du beurre, de la crème de même
origine et elle ne servirait que des fromages provenant des meilleures laitières de Saint Azul. Elle savait pertinemment que dès qu'elle commencerait à donner du lait, elle devrait l'utiliser en
priorité dans ses recettes. Elle serait fière de contribuer ainsi directement au plaisirs gastronomiques de son maitre et de sa maitresse. Ce serait pour elle la touche finale à sa
domestication!
- Marc, comment va-t-on s'organiser pour le service avec Virginie et Marie Laure'
- Il serait peut être préférable de laisser Virginie en cuisine. Elle viendrait servir le dessert dont elle fera
partie!
- Oui mais j'ai un peu peur que Marie Laure soit débordée avec huit personnes à servir!
- Huit' Mais je n'en ai compté que sept : Dan, Kyrhan et vous, Jean et moi-même et Kira lorsqu'elle
arrivera.
- Vous avez oublié la mère de Marie Laure, mon cher Marc.
- Je ne l'ai pas oubliée, bien sur, Je vous ai dit qu'elle était très soumise. J'ai veillé à son entrainement avec le
plus grand soin. Ne vous inquiétez pas pour elle : elle aura bien assez à boire et son repas sera très riche en protéines, cette nuit!
- Nous avons quand même un problème de disposition de table : je verrais bien d'un coté de la table vous même, avec
Jean. De l'autre coté, nous mettrons Kira entourée par son mari et le prince Kyrhan.
- Parfait, ils semblent très bien se connaitre mais il reste vous même, mon cher Marc et seul!
- Pas de problème pour moi, la mère de Marie Laure s'occupera de moi.... mais sous la table et non comme convive. Mais
ce sera une première pour elle : elle m'a plusieurs fois taillé une pipe mais seulement lorsque nous étions seuls ou en présence de l'une ou l'autre de ses filles, jamais en
public.
- Dans ce cas, il faut immortaliser l'évènement! Je la prendrai en photo de trois quart pour qu'elle soit parfaitement
identifiable en train de vous pomper. Son mari est au courant? - Bien sur. Je lui ai donné des tirages de mes meilleures images et il en raffole!
- Dans ce cas, vous pourrez lui offrir un agrandissement et vous lui suggèrerez de l'accrocher bien en vue dans leur
chambre à coucher. Comme cela, elle pensera à vous chaque soir surtout si son mari préfère la position du missionnaire!
- Bravo, voilà une idée plus vicieuse que toutes celles que j'ai pu avoir : un gars qui accroche lui même dans sa
chambre à coucher une photo de sa femme en train de le cocufier : vous êtes une vraie perverse, ma chère Brigitte!! Vous me plaisez de plus en plus!
- Mais cela ne le gênera pas d'accrocher une photo porno dans sa chambre?
- Non : au fil du temps, j'en ai fait un vrai vicieux! J'ai fait acheter à sa femme toute une nouvelle garde robe avec
des mini robes en cuir ultra moulantes à ras du cul, des talons de douze centimètres et des bas résille. Je lui ai même fait mettre à l'opéra avec son mari sous sa micro robe un body en résille
qui couvrait tout le corps sauf ses seins, sa chatte et son cul. Je les ai ensuite amenés dans une boite et j'ai dansé avec elle en mettant mes mains sous sa jupe. Les autres danseurs ont pu voir
son cul tout nu. Son mari était juste à coté de nous et il la regardait avec les yeux exorbités lorsque je lui ai enfoncé deux doigts dans le cul toujours sur la piste de danse. Elle a joui
devant tout le monde, juste devant son mari. Je l'ai fait tourner très vite devant lui et il a pu voir qu'elle était presque nue sous sa robe très suggestive. Elle a crié très fort lorsqu'elle a
joui et il a éjaculé dans son pantalon!
- Impressionnant!
- Pour tout vous dire, Brigitte, j'ai présenté Florence, la soeur de Marie Laure, à des amis allemands dont elle est
devenue tout de suite la soumise. Pour elle, cela a été le grand jeu: rasée, tatouée, marquée au fer rouge, prostituée, partouzée, fouettée et humiliée même pas un mois après avoir eu ses dix
huit ans. Ils ont envoyé une cassette à son père. Nous l'avons visualisée ensemble pendant que Marie Laure et sa mère nous faisaient des gâteries. Il a été très excité de voir sa fille avilie
comme ça. Elle vit toujours en Allemagne avec ses maitres! Alors, sa femme, ce serait encore mieux! Il en redemandera!
- Vous n'avez jamais pensé à organiser une séance de baise avec des immigrés pour Marie Laure et sa mère en les
faisant tenir en laisse par le cher homme. Lorsque tous les clients auraient tiré leur coup, il pourrait se soulager dans le cul de Marie Laure avant de se faire sucer par sa mère ou vice
versa!
- Pas mal, encore une fois! Nous verrons ce que nous pourrons faire un de ces jours! Vous avez une sacrée imagination,
Brigitte!
- C'est gentil de me le dire! Au fait, comment avez vous connu Dan'
- Nous nous sommes rencontrés dans une exposition au Grand Palais sur des estampes japonaises érotiques. Nous avons
tout de suite sympathisé. Il a des amis très haut placés. C'est un peu bizarre pour un chercheur scientifique! J'ai cru comprendre que Kyrhan a un poste important dans le gouvernement indien mais
Dan est très discret à ce sujet.
- Tiens une voiture vient de se garer devant la maison c'est peut être Kira et la mère de Marie Laure? Des troupes
fraiches sont toujours les bienvenues!
Ils sortirent pour accueillir les nouvelles arrivées. Au volant de la grosse Citroën, il y avait une femme, la
quarantaine avec un port royal, des pommettes relevées qui lui donnaient un air encore plus majestueux, les cheveux bruns longs. Sa silhouette assez élancée mettait en valeur ses hanches et sa
poitrine opulente et haut perchée et sa taille fine. Elle portait une jupe d'été courte et un chemisier à décolleté assez profond. Bref le genre de femme qui attire les regards des hommes dans
une foule. Ce devait être Kira, la femme de Dan!
- Bonsoir! Je me présente : je m'appelle Brigitte. Voici mon mari Jean et notre ami Marc. Les deux filles qui sont
restées à la maison sont nos deux soumises : Virginie et Marie Laure. Mais je croyais que vous deviez venir avec la mère de Marie Laure'
Kira répondit par un sourire radieux.
- Elle est là mais d'après ce qu'elle m'a expliqué lorsque nous nous sommes rencontrées, elle est du genre très
soumise. Jusqu'à présent, c'est resté limité à Marc, l'amant de sa fille et à quelques exhibitions dans des sex shops parisiens, à l'opéra ou dans la rue. Aujourd'hui, je lui ai dit qu'elle
allait découvrir quelque chose de plus sérieux!
- Certainement, Kira!
- Alors je l'ai emmenée au parking souterrain où ma voiture était garée et je l'ai fait mettre à poil devant une
caméra de surveillance. Elle n'a apparemment pas remarqué le point lumineux qui signalait que la caméra fonctionnait. Je lui ai fait me sucer la chatte puis me lécher l'anus toujours en pleine
vue du surveillant. Il n'a pas du en perdre une miette. J'ai fait rentrer Brigitte toute nue dans le coffre de la voiture. Lorsqu'on est passée à la caisse, le gardien était pivoine. Pour
soulager le malheureux, je lui ai proposé d'aller ouvrir le coffre. Brigitte lui a taillé une pipe sans sortir du coffre de la voiture. J'ai pris quelques photos. J'ai pensé que cette pipe la
mettrait dans l'ambiance!
- Bonne idée. Mais il serait peut être temps de la faire sortir du coffre. Elle doit être toute courbaturée! J'amène
une couverture, Kira!
- Pourquoi faire? La rue n'est pas très passante. Elle pourra aller de la voiture à la maison toute nue en plein jour.
S'il y a quelqu'un qui la voit, il n'en perdra pas la vue! Il faut être un peu dure avec ces soumises, ma chère! Elle a apporté un collier clouté et une laisse. Allez les lui mettre et ne vous
pressez pas pour lui faire traverser la rue!
Brigitte s'exécuta. Kira la surprenait : elle était une dominatrice peut-être encore plus expérimentée qu'elle même.
Pourtant, elle sentait instinctivement que Kira était attirée aussi bien par l'exhibitionnisme que par la soumission. Ce genre de femme était toujours un cocktail détonnant. Il n'y avait donc
rien d'étonnant à ce qu'elle eût attiré des hommes aussi intéressants que Dan et Kyrhan qui n'avaient pas tari d'éloges sur elle au cours de leurs conversations.
Dès que tout le monde fût rentré à la maison, à l'abri des regards indiscrets, Kira reprit la laisse en main et fit
s'accroupir à ses pieds la mère de Marie Laure. Celle-ci obéit sans rechigner tellement le charisme de Kira paraissait l'avoir subjuguée.
- Avant tout, nous devons régler un petit problème : vous vous appelez Brigitte et notre nouvelle soumise a le même
prénom. Etant une dominatrice, vous garderez votre prénom, bien sur, mais elle devra en changer ou recevoir un diminutif qui marquera son statut inférieur : Que penseriez vous de
Gigi'
- Pas mal mais je crois avoir une idée encore meilleure : j'ai eu jadis une chienne que j'avais appelée
Gitane.
- Va pour Gitane! Bien, mes amis, je vous présente notre nouvelle chienne, Gitane. Je vois qu'elle a une poitrine
aussi imposante que celle de cette autre fille. Je suppose qu'il s'agit de Marie Laure'
- Gagné! Marie Laure! Viens embrasser Gitane! Non, pas comme cela, espèce de gourde! A pleine bouche et utilise ta
langue! Vous vous frottez aussi les seins et la chatte l'une l'autre. Sans les mains, bien sur!
Gitane dut ensuite saluer Brigitte puis Kira en se mettant à genoux successivement devant les deux femmes, en
soulevant délicatement l'avant de leurs jupes et en jouant de la langue sur leurs chattes et leurs clitoris qu'aucun sous vêtement ne protégeait.
- C'est bien : maintenant, tu vas t'occuper de Jean, Marc, Dan pour finir avec Kyrhan. Tu te mets à genoux devant eux,
tu leur nettoies les chaussures avec ta langue, tu les suces avant de leur proposer ta chatte ou tes reins, à leur convenance.
Gitane s'exécuta bravement, venant à genoux devant chacun des hommes présents, nettoyer leurs chaussures avec sa
langue avant de leur tailler une pipe. Jean choisit ses reins. Depuis qu'il usait de cet orifice tous les jours avec Virginie, c'était devenu pour lui une habitude. Il en usait même avec son
épouse Brigitte depuis peu et elle ne s'en plaignait pas du tout. Marc choisit aussi le chemin de ses reins qui commençait à être bien lubrifié. Dan, peu soucieux de se vautrer dans le sperme de
ses deux prédécesseurs, préféra explorer sa chatte et la trouva très accueillante, humide et chaude à souhait. Visiblement, devoir servie au plaisir de cinq hommes n'était pas une corvée
détestable pour la mère de Marie Laure.
Pourtant, lorsqu'elle arriva devant Kyrhan, celle qui répondait depuis peu au nom de Gitane se figea, interdite,
devant la bite de taille assez inhabituelle qu'il avait sorti de son vêtement hindou avec lequel elle n'était guère familière.
- Marc, je ne peux pas, elle est beaucoup trop grosse!
- Mais, non, rassure toi! Ta fille et la petite Virginie ont eu la même réaction affolée que toi. Dan leur a expliqué
que Kyrhan est un homme très calme et posé et qu'il n'a jamais fait de mal sérieusement à une femme. Comme elles n'étaient pas convaincues, Brigitte a décidé que Kyrhan sodomiserait Virginie la
première. Cela s'est très bien passé et si elle a hurlé vers la fin, c'était de plaisir lorsqu'il s'est enfilé à fond dans son petit cul.
- Elle n'a pas eu mal'
- Tu vois bien que non. Virginie, si je te propose de laisser Kyrhan s'occuper de ton petit cul à nouveau, qu'est ce
que tu en diras'
- Tout de suite, Maitre! Et plutôt deux fois qu'une! Le prince sait vraiment y faire même avec une pauvre petite fille
blanche comme moi, aussi étroite que je l'étais. Il m'a promis que la prochaine fois, ce serait encore meilleur!
- Tu vois! Ta fille y est passée aussi dans la foulée et elle n'a pas eu l'air de s'en plaindre! Pas vrai, Marie
Laure'
- Oh non, Marc, mon maitre chéri! Maman, tu devrais essayer avec le prince, c'est un vrai magicien. Je n'ai pas eu mal
du tout lorsqu'il m'a enfilée, juste une gêne étrange de se sentir si complètement remplie. J'ai bien eu un peu mal lorsqu'il est sorti de mon cul tout doucement avant de m'embrocher à nouveau de
toutes ses forces. Je ne m'y attendais pas, il faut dire! C'était la surprise totale!