Partager l'article ! Emilie et la lampe magique3: Résumé des épisodes précédents : Voici l’histoire d’une belle et jeune fille au doux nom d’É ...
Résumé des épisodes précédents
:
Voici l’histoire d’une belle et jeune fille
au doux nom d’Émilie.
Par le plus grand des hasards, elle tombe sur
une lampe magique à la forme particulière : celle d’un sexe masculin.
Sexus, le génie de la lampe, (ou plus
intimement Liou), lui propose alors d’exaucer trois vœux sexuels.
La jeune fille, naïve et peu expérimentée
sexuellement, tente de détourner les vœux à son avantage.
Le premier vœu tourne rapidement à la
catastrophe.
Sortie indemne de cette aventure, Émilie doit
maintenant se prononcer sur son deuxième vœu, pour enfin se débarrasser de ce pervers de génie et de sa lampe. Mais que lui réserve donc l’avenir ?
Episode 3
Le soleil était magnifique en ce dimanche
matin. La nuit avait été réparatrice pour Émilie. Après sa dernière aventure désastreuse et son vœu totalement raté, elle devait, à nouveau, affronter le génie Liou.
Habillée d’un simple shorty et d’un tee-shirt
plus que moulant, Émilie sortit de sa chambre pour se rendre dans la cuisine. Elle chercha dans la maison le génie. Mais le lieu semblait plongé dans un calme absolu. Avait-elle rêvé ou imaginé
toute cette histoire ?
Sa joie fut de courte durée quand elle
découvrit, par la fenêtre, le génie. Il était dans le jardin, nu, semblant méditer, flottant dans l’air, dans la position du lotus. Elle poussa un soupir.
Plus rien ne pouvait étonner
Émilie.
Elle prenait son petit déjeuner lorsque Liou
fit son apparition.
— Bonjour jeune fille ! Bien dormit
?
Elle fusilla le génie du
regard.
— A première vue, Émilie, tu m’en veux encore
! Mais je suis sûr que je vais pouvoir me rattraper aujourd’hui !
— J’en doute fort. Mais gardons quand même
espoir…
— J’adore ton ironie mordante
!
— Et c’est mon ironie qui te fait bander de
bon matin ? On n’avait pas, vaguement, évoqué la possibilité que tu enfiles un pantalon, hier soir ? »
— Si tu savais le nombre de jeux de mots qui
me viennent à l’esprit, en t’entendant évoquer le verbe enfiler !
— Ben voilà, tu m’as coupé
l’appétit…
Émilie repoussa son bol, soupirant de plus
belle.
— Allons, jeune fille, un peu d’humour ! Je
suis sûr que la journée va être merveilleuse !
— Je demande à voir… Et si on en finissait
une fois pour toute avec cette histoire de vœux. Et, Liou, si tu pouvais te palucher ailleurs que devant moi, je te jure que je ne le prendrais pas mal…
— Ok, ok ! Ecoute, Émilie, j’ai conscience
que ton premier vœu n’était pas à la hauteur de tes attentes.
— C’était même sacrément merdique, tu veux
dire !!!
— Pour me faire pardonner, ma chère Émilie,
je te propose de réaliser un vœu exceptionnel ! Que dirais-tu d’être riche, d’avoir une magnifique villa, une piscine et d’être une véritable star dans le monde entier ?
— Tu es sérieux ?
— Mais bien sûr ! Je suis toujours sérieux
quand on parle de vœux ! Alors, prête ?
— Heu... ouais ok, ça m’a l’air pas mal
mais….
Le génie ne lui laissa pas finir sa phrase et
claqua des doigts pour la faire disparaître dans un nuage rose. Le deuxième vœu d’Émilie était en marche….
***
À nouveau ce tourbillon de lumière
étincelant. Et comme par magie, Émilie se retrouva au centre d’un immense salon. Elle mit quelque secondes pour reprendre ses esprits. Elle balaya la pièce du regard.
La pièce était grandiose. Vaste, luxueuse.
Des colonnes se dressaient au milieu de ce salon, lui donnant un aspect encore plus démesuré. Elle traversa la pièce. Sur un meuble trônaient des photos. Elle fut stupéfaite de découvrir des
clichés d’elle, avec sa famille ou ses amis. Elle visita le reste de la maison. Toutes les pièces plus spacieuses les unes que les autres. Une cuisine dernier cri, des chambres immenses, un
gigantesque hall d’entrée tout en marbre. Et le clou du spectacle, une immense terrasse bordée d’un jardin tropical, avec, au centre, une piscine à l’allure de bassin olympique. Le tout avec une
vue imprenable sur la mer.
Émilie nageait en plein rêve
!
Pourtant, elle ne pouvait s’ôter de la tête
que derrière ce vœu se cachait une énorme arnaque.
En fouillant la maison, elle découvrit une
nouvelle pièce. Une petite de salle de cinéma. Sur les murs couraient d’énormes affiches de films dont elle était l’héroïne. Elle était bel et bien une star du cinéma.
Oui mais…. Une star du cinéma porno. Aucun
doute ! Et les titres de films étaient sans équivoque : « Émilie lycéenne soumise », « Émilie très chaude et frangins pervers », « L'anniversaire de ma fille dégénère », « « Jeux de gamines », «
Cobaye pour ma sœur Émilie et ses copines »….
Les affiches la représentaient dans des
tenues très légères, dans des positions plus qu'équivoques, entourées d’énormes sexes prêts à l’action.
Le génie l’avait, encore une fois, piégée.
Elle n’eut pas le temps de se morfondre sur son sort. La sonnette de la porte d’entrée carillonna dans toute la villa.
Elle s’approcha de la porte d’entrée vitrée,
discrètement, sans attirer l’attention. Derrière la porte, un homme, la cinquantaine, une petite mallette à la main, attendait patiemment l’ouverture de la porte. Émilie se décida à ouvrir,
persuadée que c’était aussi aux ennuis qu’elle allait ouvrir.
— Bonjour. Heu… que puis-je pour vous
?
L’homme la regarda d’un air
interloqué.
— Émilie, tu as bu, tu t’es droguée ?? Ah non
pas aujourd’hui, dis-moi que tu n’as pas fait ça ! »
— On se connait ??
L’homme poussa la porte et entra dans le
hall, légèrement agacé.
— Émilie, arrête de faire l’enfant s’il te
plait !
— Mais vous êtes qui ?
— C’est moi, Yug0lit0, ton agent ! Enfin
Emilie, mais qu’est-ce qui t’arrive ? On signe un gros contrat aujourd’hui ! Le chauffeur nous attend dans l’allée. Dépêche-toi ! J’ai d’autres clientes, moi ! Dans deux heures, j’ai rendez-vous
avec Lisa, une vraie petite ambitieuse celle-là !
***
Émilie avait suivi sans broncher son agent.
Ils avaient fait route à bord d’une somptueuse limousine vers les locaux de l’entreprise « X-Story Production ».
Arrivés devant le bâtiment, ils furent
conduits par une hôtesse jusqu’à un bureau. Une femme, une magnifique rousse, la trentaine, dans un tailleur très chic, les y attendaient. Ses yeux étaient cachés derrière des lunettes de soleil,
trop grande pour son visage.
— Ah, voilà enfin notre petite star !
Bonjour, je m’appelle Erika et je suis la présidente.
Émilie tendit une main timide pour la
saluer.
Yug0lit0 prit alors la parole
:
— Ravi de vous revoir, Erika ! Émilie est
enthousiasmée à l’idée de travailler avec vous, pas vrai Émilie ?
L’agent donna un coup de coude à la jeune
fille pour la faire réagir :
— Oui, tout à fait, dit-elle sans réelle
conviction.
— Ne perdons pas une minute, alors ! Émilie,
ma secrétaire va vous conduire vers les studios de tournage. Nous finaliserons les contrats avec votre agent pendant ce temps.
— Les studios… ?
***
Le cauchemar commençait pour Émilie. Elle fut
rapidement conduite sur l’un des tournages.
Des maquilleuses et habilleuses la prirent en
charge à son arrivée. Elle fut déshabillée, maquillée de la tête aux pieds et relookée d’une chemisette blanche et d’une jupe très courte à carreaux. La coiffeuse se chargea de lui faire deux
longues couettes sur la tête.
— Elle est parfaite !
Émilie se tourna au son de cette voix grave.
Un jeune homme de 25 ans se tenait devant elle, les cheveux en bataille portant une pochette dans les mains.
— Je suis N’Kari, le réalisateur et
scénariste ! Vous êtes parfaite !
— J’ai surtout l’air d’une pute
!
— C’est un peu le but, non ?
— Je pourrais quand même mettre un string
!
— Quel intérêt ? C’est une perte de temps !
On ne fait pas une pub pour de la lingerie !
Il se mit à rire, puis enchaina
:
— Je suis venu voir le texte avec vous.
»
— Le texte ?
— Mais oui, l’épisode 4 de votre histoire : «
des études et du sexe ».
— Euh… On ne devrait pas s’emballer trop
vite, on pourrait attendre un peu avant que je tourne, vous avez sûrement plein d’autres scènes à tourner !
— Tu es drôle et charmante, toi
!
Il jeta un œil sur ses papiers
:
— Alors, ah oui voilà ton texte : « alors les
mecs, on baise ? » et puis des petits « oh, ah, hi » devraient faire l’affaire.
— Très recherché….
— C’est la magie du X ! Bon, on y va,
direction le plateau !
N'Kari entraîna alors Émilie sur le
tournage.
Elle se retrouva installée sur un lit. Elle
regarda autour d’elle. Les techniciens s’affairaient dans cette fausse chambre d’étudiant, crée pour le tournage, installant les projecteurs à quelques mètres d’Émilie.
Le réalisateur s’installa derrière la
caméra.
— Attention, silence sur le plateau. Les
acteurs, vous écoutez mes consignes. Je rappelle l’idée de base : La soirée étudiante bat son plein et Émilie vient de s’éclipser dans une des chambres, après avoir bien chauffé tous les garçons
de la soirée. Faites entrer les acteurs.
4 garçons apparurent sur le plateau, nus
comme des vers et déjà leurs sexes au garde-à-vous.
Émilie commença à se sentir très mal. Elle
allait devoir jouer le jeu, pour pouvoir quitter ce cauchemar au plus vite. Mais 4 mecs d’un coup ! C’était déjà beaucoup pour cette pauvre Émilie. Même s'ils étaient particulièrement mignons !
Même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait jamais imaginé participer à une telle orgie.
— Attention, les gars, on se lâche, hein ! Je
veux de la sincérité, de l’émotion, mais je veux du cliché aussi ! Attention, Émilie, caméra 2 sur toi, tu te touches en la regardant. Je veux de la sensualité dans tes yeux, rappelle-toi que tu
es une salope ! Moteur et action !
Toutes les paires d’yeux étaient braquées sur
Émilie. Elle vit le voyant rouge de la caméra s’allumer. Elle fit glisser ses mains sur son corps, caressant timidement sa généreuse poitrine.
— Émilie, c’est la caméra que tu dois
regarder, pas les techniciens ! Ecarte les cuisses, arrache-moi les boutons de cette chemise, fais l’amour à la caméra !
Émilie fit sauter les premiers boutons de sa
chemise, puis écarta les jambes en caressant l’intérieur de ses cuisses, regardant fixement la caméra, passant sa langue sur ses lèvres.
— Oui, oui, oui !! C’est ça, continue, fais
bander les téléspectateurs ! Allez, les garçons, on s’avance dans le cadre !
Les 4 garçons aux corps d’apollon entourèrent
Émilie, la regardant se caresser tout en branlant leurs montagnes de chair.
— Émilie, c’est à toi pour la réplique
!
— Vous venez me rejoindre, les garçons
?
— Non, Émilie ! On est dans un film de cul,
je veux du trash ! Reste sur le texte !
Émilie tenta de sourire pour se donner du
courage, essayant de rester concentrée sur son rôle. Mais ces quatre énormes sexes qui l’entouraient ne faisaient que la perturber. Elle prit une bonne inspiration avant de dire
:
— Alors, les mecs, on baise
?
Ni une, ni deux, les quatre garçons se
jetèrent littéralement sur elle. Une pluie de mains s’abattit sur la jeune fille. Malgré elle, Émilie soupira de plaisir en sentant les mains se promener sur son corps et ces bites la
frôler.
L’un des garçons avait déjà commencé à
caresser en profondeur la petite chatte d’Émilie :
— Mais tu es toute mouillée ma petite
cochonne !
Le réalisateur cria :
— Oui, c’est bien, Arthur, c’est ça que je
veux ! On passe à la fellation !
Émilie se résigna à prendre une bite dans
chacune de ses mains laissant courir sa langue dessus. Les deux autres garçons continuaient à la caresser, des caresses de plus en plus sauvages et appuyées.
— Les quatre en même temps, Émilie ! N’oublie
pas que tu es une gourmande !
Émilie se retrouvait le visage face à quatre
gros membres. Elle tentait, tant bien que mal, de les sucer le plus adroitement possible en alternant les bites dans sa bouche. Mais les garçons n’en restaient pas là, essayant de lui faire sucer
deux sexes en même temps, l’attrapant par les cheveux pour enfoncer leurs queues encore plus loin dans sa bouche.
— Oui, salope vas-y, tu nous as bien chauffés
tout à l’heure dans le salon. Tu vas prendre cher.
Et N'Kari, le réalisateur semblait
s’enthousiasmer :
— Oui, c’est ça, vous êtes géniaux ! C’est du
grand art ! Émilie, continue, tu es superbe ! Caméra 3 zoome sur sa chatte ! Les mecs, on ne débande pas !
Les garçons frottaient leurs bites sur le
visage et les lèvres d’Émilie, chacun à leur tour insérant leurs sexes dans la bouche de la jeune fille, l’attrapant par les couettes pour l’attirer encore plus sur leurs bites.
— Bouffe-nous la bite, fais-nous bien durcir,
petite chienne !
Emilie branlait et suçait à s’en faire mal
aux mains et à la mâchoire. Son maquillage avait coulé. Elle imprégnait les quatre sexes de sa salive et les garçons s’amusaient à souiller le visage d’Émilie de sa propre
salive.
— Coupez ! Allez, c’est bon, la prise est
bonne ! On fait une pose de dix minutes ! Maquilleuses !
Les quatre garçons s’éloignèrent d’Émilie, la
laissant là, la mine effarée devant ce changement soudain de situation. Une maquilleuse était déjà à l’œuvre, nettoyant le visage d’Émilie.
La jeune fille aperçut alors son agent. Elle
laissa finir l’employée du studio avant de le rejoindre.
— Yug0lit0, tu devrais me ramener, je me sens
un peu fatiguée !
— Mais non, ne t’inquiète pas, c’est normal.
Je sais ce qui te tracasse, fais-moi confiance, tu peux bosser en toute tranquillité, j’ai signé un contrat en Or avec Erika ! Tu n’as pas à t’en faire ! Tu devrais plutôt te préparer pour la
scène suivante.
— Me préparer ?
— Oui, le lubrifiant ! Je sais bien que les
acteurs que tu côtoies d’habitude son largement mieux membrés, mais il fallait un minimum de réalisme. Ils jouent des étudiants ! Il faut quand même préserver tes attributs du travail
!
Inquiète par les propos de son agent, Émilie
se dirigea vers N'Kari :
— Excuse-moi, j’ai….j’ai oublié le script
chez moi, c’est quoi la suite ?
— Du classique ! Pénétration et double. Rien
de bien sorcier pour toi !
Émilie se sentit blanchir en posant la
question :
— Pénétration, double ? Tu veux dire Anal
??
— Évidemment !
— Et on ne commence pas par un petit cunni,
histoire de bien faire passer, disons, les choses ?
— Un quoi ?
— Un cunnilingus !
— Jamais entendu parler de ça sur un tournage
! C’est quoi ? Une position ?
Émilie s’éloigna, laissant le réalisateur à
son ignorance. Elle commençait sérieusement à flipper, elle qui n’avait jamais fait d’anal, elle allait devoir se préparer à recevoir plusieurs sexes à la suite, entre ses fesses
!