Partager l'article ! le club 36: Antonin Marius admirait les toiles de maîtres disposées un peu partout dans la maison de David Angel. Il fallait le reconnaîtr ...
Antonin Marius admirait les toiles de maîtres disposées un peu partout dans la maison de David Angel. Il fallait le
reconnaître, cet homme avait du goût que ce soit en matière d'art ou de femmes. La servante à moitié nue qui lui avait ouvert la porte l'avait tellement excité qu'il en bandait encore et quand
elle repassa devant lui, il se demanda s'il pourrait y goûter avant de partir.
- Elles sont la propriété du club, lança Angel dans son dos, et pour l'instant vous n'en faîtes pas encore
partie.
Voilà qui avait le mérite d'être clair. Même acculé par ses menaces, cet Angel gardait son indéfectible confiance en
lui-même.
- Je pourrais très bien lancer une enquête sur les conditions qui ont conduit ces femmes à entrer à votre service,
répondit Marius pour le tester.
- Et quand vos hommes tenteraient d'entrer ici, la moitié y perdrait la vie. Et j'ai vu que vous aimiez mes tableaux,
cela ne m'étonne pas de la part d'un amateur de Degas.
Marius encaissa le coup. La première menace était presque la rebuffade d'un enfant têtu mais la seconde. Il n'avait
montré le Degas qu'il conservait dans le coffre de son appartement à personne. Cela voulait dire que les hommes d'Angel étaient entrés chez lui alors qu'il pensait sa maison parfaitement
protégée.
- J'aurais pensé que vous vous serviriez de la protection du juge comme l'ont fait Uron et Diaz.
- Je mène mes batailles moi -- même.
- Je vois cela.
Cet Angel était redoutable et Marius commençait à l'apprécier autant qu'à le craindre.
- Vous vouliez me rencontrer, fit Angel.
- Oui puisque j'ai vocation à devenir l'un d'entre vous je tenais à tous vous connaître mieux.
- Parfait, j'aime moi aussi connaître mes alliés. Et puis j'avais besoin de vos services.
- Ah bon?
- Oui, je suis actuellement sur une petite « affaire » un peu chaude. Une jeune fille est actuellement l'invitée d'un
de vos services et j'aurais besoin de la mansuétude de vos hommes pour la rencontrer afin de faire avancer mon « affaire ».
- Quel service?
- Le poste 125.
- Cela pourrait se faire, le commissaire est un de mes hommes. C'est tout?
- Non. Il y aurait actuellement un étrange personnage qui pose des questions embarrassantes au sujet d'une certaine
jeune fille morte ; vous devinez laquelle. Il est passé voir une de mes esclaves qui n'a pas su tenir sa langue et paiera le prix pour ça. Il y a de fortes chances pour qu'il importune une « amie
» du juge désormais. Je la fais protéger par mes hommes mais ils n'ont pas la capacité d'identifier cet homme comme l'auraient des policiers.
- Vous voudriez que mes gars prennent le relais.
- Le temps d'identifier cet importun seulement, pas d'initiative malvenue.
- Tout ça est bien beau mais vous l'avez dit vous-même, je ne suis pas encore un membre du club. Qu'est -- ce que j'y
gagne?
Angel se tourna vers la servante qui leur apportait un plateau de boisson.
- Prenez -- la donc comme acompte.
Un sourire carnassier se dessina sur le visage de Marius alors qu'il s'approchait de la femme.
- Au fait, fit Angel, elle s'appelle Amandine.
- Je n'en ai que faire. Pour moi ce n'est rien d'autre qu'une chienne de plus.
- Je sens que nous allons nous entendre à merveille tous les deux.
Mais déjà Marius ne l'écoutait plus, il avait agrippé Amandine par le bras lui faisant renverser les boissons qu'elle
portait et la fit se tourner. Il passa longuement sa main sur la marque qu'elle portait sur sa fesse droite.
- Alors c'est ça, dit -- il. Elle me fascine depuis que j'en ai vu la photo.
Il obligea Amandine à se cambrer au maximum et à écarter les jambes. Il enfonça un, deux puis trois doigts dans sa
fente distendue par les multiples pénétrations qu'elle avait subies depuis des mois. Il continua jusqu'à lui enfoncer la totalité de sa main. Quand il commença à avancer sa paume, la jeune femme
commença à crier.
- Ta gueule, salope, lui ordonna -- t --il. Si tu ne te tais pas tout de suite, c'est dans ton cul que je les
enfoncerais.
Amandine serra les dents alors que finalement toute la main du commissaire commençait à coulisser dans son vagin. Elle
ne put cependant pas s'empêcher de pleurer.
Finalement, Marius sembla en avoir assez de ce petit jeu et il retira une main humidifiée des sécrétions odorantes de
sa victime. Avec le temps, le corps de l'ancienne maîtresse des lieux avait appris à réagir aux sollicitations de ses tourmenteurs. Marius la fit se retourner et l'obligea à sucer cette main
imprégnée de sa propre cyprine puis il sortit son pénis et l'enfonça jusqu'au fond de la gorge de la suppliciée. Il commença à pistonner la bouche d'Amandine avec puissance. Comme un réflexe
conditionné, la jeune femme pompait le membre raide avec ardeur mais son dégoût restait le même qu'au premier jour. Marius finit par jouir au fond de sa gorge et elle dut avaler ses giclées de
sperme ; encore un acte auquel son maître l'avait trop souvent entraînée.
Le visage empourpré, Marius se tourna vers Angel.
- Vous aurez tout ce que vous voulez et même plus.