Partager l'article ! le club 44: - Je sais Hugo, répondit Mario. Et je crois que cette petite salope a adoré ça. Elle a dit merci à la fin. Je me trompe, pét ...
- Je sais Hugo, répondit Mario. Et je crois que cette petite salope a
adoré ça. Elle a dit merci à la fin. Je me trompe, pétasse?
Elle ne dit rien, se contentant de jeter un regard assassin à
destination de celui qui l'avait apostrophé.
- Qui ne dit rien, consent, philosopha
Hugo.
- Tu sais, reprit Mario, ce serait bête d'avoir sous la main une si
belle marchandise et de ne pas en profiter.
Mario tourna la tête vers son acolyte et
sourit.
- Tu as raison, le chef nous a bien dit de profiter au max de toutes
les occasions.
- Ouais.
Il donna un coup de volant et la voiture quitta la route classique
pour s'engager sur une route de campagne bien moins fréquentée. Ils roulèrent encore quelques minutes avant de s'arrêter dans un petit terrain à l'écart de la route. Les deux flics descendirent
et Mario ouvrit la porte arrière gauche pour attraper Jennifer par le bras.
- Viens par là, lui lança-t-il alors.
La jeune femme réalisa alors où les deux types voulaient en venir.
Elle se mit à se débattre et il fallut toute la force de ces deux gaillards entraînés pour la sortir du véhicule. Hugo l'attrapa par les bras pour la maîtriser pendant que Mario approcha les
mains dans l'intention de lui descendre la fermeture éclair de veste. A ce moment, elle lui envoya un coup de pied entre les jambes qui le plia en deux sous l'effet de la douleur. Galvanisée par
cette victoire, elle redoubla d'effort pour échapper à l'emprise d'Hugo et il s'en fallut de quelques secondes pour qu'elle n'y réussisse. Malheureusement, Mario reprit ses esprits bien trop
vite. Les yeux exorbités par la colère, il sortit son arme et la frappa en plein ventre avec la crosse. La force du coup conjuguée avec sa précision lui coupa le souffle. Elle s'écroula et il
fallut la poigne d'Hugo pour l'empêcher de toucher le sol.
- Espèce de petite salope, cracha -- t -- il. Tu vas regretter
ça.
Il la frappa une seconde fois au ventre et cette fois, Hugo la lâcha.
Quand elle toucha terre, elle reçut plusieurs coups de pieds dans le dos et les jambes. Les deux firent visiblement l'effort de ne pas la cogner au niveau du
visage.
Ils finirent par se lasser de ce tabassage contrôlé et Hugo la fit se
relever puis l'étendit sur le capot de la voiture. Mario se plaça alors dans son dos pendant qu'Hugo lui maintenait les bras parfaitement tendu de l'autre côté du capot. Il lui releva sa jupe, la
déchirant en partie, puis lui arracha son string. Quelques instants plus tard, il la violait sans vergogne profitant de sa faiblesse. Elle sentait le contact froid d'un préservatif contre la
paroi de son vagin mais cela ne la rassura pas une seconde. Après de longues minutes d'un coït ravageur, son membre se raidit en elle et elle comprit qu'il venait de jouir. Ils échangèrent alors
leurs places et ce fut au tour d'Hugo d'abuser d'elle. Cependant, elle avait retrouvé une partie de ses esprits et elle recommença à se débattre et il fallut toute la force de Mario pour la
retenir. Hugo ne connut pas un coït aussi plaisant que son collègue mais il finit quand même par atteindre la jouissance. Il ressortit d'elle alors qu'elle les maudissait tous les deux, retira
son préservatif et redescendit la jupe qu'elle portait. En même temps, Mario lui remit les menottes afin de mieux contrôler