Partager l'article ! le club 55: qui s'écroula sur le sol. Anne-Marie, le dos en miettes d'avoir reçu autant de coups de fouet, réussit à s'allonger sur le li ...
qui s'écroula sur le sol. Anne-Marie, le dos en miettes d'avoir reçu
autant de coups de fouet, réussit à s'allonger sur le lit. D'un signe de la tête, il ordonna aux deux soubrettes de sortir de la chambre, elles obéirent sans un mot. Il les imita quelques
secondes plus tard en posant le gode ceinture sur le sol. La porte se referma derrière lui laissant les deux femmes seule dans la semi-pénombre.
Anne-Marie tentait de reprendre son souffle après l'horreur qu'elle
venait de vivre. Puis soudainement, elle sentit une ombre peser sur elle. Au prix d'un grand effort, elle réussit à tourner la tête.
Jennifer se trouvait juste au dessus du lit. Elle avait enfilé le
gode ceinture et son regard trahissait toute la rage qu'elle éprouvait.
- Salope! Pétasse! Eructait-elle. Tu m'as enculée et tu y as pris
plaisir. Tu vas le regretter.
Elle aurait voulu se défendre, lui dire qu'elle n'avait pas le choix
et qu'elles devaient faire front ensemble contre ce monstre mais elle n'en avait pas le force. Elle ne put rien faire quand Jennifer lui écarta les fesses de force et introduisit le gode dans son
anus, vierge lui aussi ; rien faire d'autre que hurler à son tour.
Allongé sur le dos, Amandine assise à califourchon sur son pénis,
Angel assistait avec délectation au spectacle de la vengeance de Jennifer aux dépends de la pauvre Anne-Marie. La caméra de la chambre 2 fonctionnait à merveille et rediffusait en cinémascope le
viol anal de l'assistante sociale par son ancienne protégée. Un viol qui dépassait les espérances du maniaque. Il avait volontairement laissé le gode en capitalisant sur la rage qui habitait en
permanence la jeune fille et elle ne l'avait pas déçu. Il se dit cependant que cette violence était peut être un peu trop incontrôlée et qu'elle risquait de détruire une Anne-Marie qu'il venait à
peine d'acquérir. C'aurait été dommage. Il fallait associer cet animal farouche avec une compagne plus rompue aux joutes perverses de cette maison.
- Laura! lança-t-il en direction de la plus jeune résidente de la
maison qui en ce moment même s'empalait sur un gode anal. Demain tu vas changer de chambre.
- Bien maître.
Toujours docile, la jeune fille ne contesta pas sa décision même si
cela signifiait qu'il l'envoyait partager la cage d'une bête indomptée. A ce moment, Anne-Marie poussa un nouveau hurlement alors que Jennifer enfonçait à nouveau le gode au plus profond de ses
intestins. Cela provoqua une poussée d'excitation en Angel qui jouit dans le ventre d'Amandine, la renversa pour s'assurer que le sperme reste en elle et ne vienne pas maculer son pénis. Il
écarta ensuite l'ancienne maîtresse des lieux et constata que Jennifer ne semblait pas décidée à mettre fin au supplice d'Anne-Marie. La nuit promettait d'être longue pour la désormais ancienne
assistante sociale.
La voiture de Thierry Diomandé roulait tranquillement en direction du
quartier sud quand il arriva devant un barrage de police qui filtrait les voitures. Il ralentit et commença à préparer ses papiers quand quelque chose l'inquiéta. Il se rendit compte que ce
barrage de police n'avait rien de classique. Il ne vit aucun flic en uniforme et en regardant les numéros des voitures, il comprit qu'elles appartenaient à des services totalement différents. Il
se crispa alors que le policier le plus proche s'approchait de lui. Il était bien trop souriant à son goût. Un flic ne souriait jamais sauf quand il voulait rassurer un suspect. Pris par la
certitude qu'il venait de tomber dans un traquenard, il accéléra, manquant renverser le policier le plus proche.
Son impression fut renforcée quand une voiture qui n'appartenait pas
au barrage se lança à sa poursuite. Il se retrouvait traqué par plusieurs voitures dans les rues de Lilleland, se croyant revenu 10 ans en arrière et ce n'étaient pas bons souvenirs. La voiture
la plus proche était plus puissante que la sienne et se rapprocha dangereusement. L'homme côté passager sortit la tête à la fenêtre et tira sur lui. A cette