Partager l'article ! le club 6: - Je ferais ce que vous voulez, renonça -- t -- elle entre deux sanglots. - Magnifique, tonna le juge. Il app ...
- Je ferais ce que vous voulez, renonça -- t -- elle entre deux sanglots.
- Magnifique, tonna le juge.
Il approcha son visage du sien et elle crut qu'il allait l'embrasser comme la dernière fois mais il
renifla.
- Tu pues, dit -- il. Tu vas prendre une douche et te changer. Ensuite, nous parlerons de ta vie future. Derrière
cette porte se trouve une chambre et attenante, il y a une salle de bain avec douche. Utilise -- la!
Elle se leva comme un zombie et se dirigea vers la porte qu'il lui avait indiquée et se retrouva dans une chambre de
grande taille avec deux lits. Sur le mur d'en face, une ouverture sans porte donnait sur une autre pièce et elle discerna très distinctement la douche. Elle fit couler l'eau et enleva ses
vêtements tous très sales puis se glissa sous le jet d'eau chaude. Dans d'autres circonstances, le flot puissant aurait été un réconfort mais elle n'arrivait vraiment à trouver quelque chose de
positif dans son malheur. Elle saisit le gel douche pour se nettoyer quand elle sentit une présence derrière elle. Elle voulut se retourner mais il était trop tard, le juge lui saisit le bras et
la plaque violement contre le mur. De son autre main, il la força à soulever la jambe gauche le plus haut possible, libérant ainsi l'accès de son entrejambe. Il s'insinua en elle sans précaution
et commença à la limer. Collée contre la paroi froide et sous le coup de la surprise, elle ne pouvait qu'haleter sous les coups de boutoirs du vieillard qui s'acharnait dans son dos. Plein de
fougue pour un homme de son âge, il la besogna ainsi sous le jet d'eau pendant de longues minutes puis soudainement se retira sans avoir joui et elle comprit immédiatement ce que cela signifiait.
Il la fit s'écarter de la paroi et la força à se pencher en avant.
- Lève le cul, petite pute, ordonna -- t -- il.
Soumise par la brutalité de cet homme qui tenait désormais sa vie entre ses mains, elle se cambra au maximum, l'eau
chaude tombait sur ses reins coulant dans son dos jusque dans son cou. Le juge lui insinua les mains entre les fesses pour s'assurer du bon écartement et elle serra les dents dans l'attente de la
douleur qui ne tarderait pas à venir. Elle ne put cependant pas retenir ses cris quand la colonne de chair lui perfora les entrailles pour la seconde fois. N'ayant cure de ses cris, le juge
ressortit immédiatement pour replonger immédiatement lui arrachant de nouveaux hurlements. Il reproduit cet acte à quatre reprises puis entreprit ensuite de la limer à un rythme de plus en plus
rapide et elle hurla d'une intensité dont elle ne se crut jamais capable. Les yeux emplis de larmes, elle n'attendait plus qu'une chose, l'humiliante sensation produite par l'épanchement du
liquide séminal du juge qui signifierait la fin de son calvaire. Mais le juge, cette fois n'avait pas décidé de jouir entre ses fesses, il ressortit alors et la tira par les cheveux pour amener
sa bouche au niveau de sa queue. Elle renifla mais elle ouvrit la bouche pour l'avaler ; elle avait bien trop peur que le juge ne décide de recommencer sa sodomie. Elle accéléra sa fellation afin
de le mener au plus vite à l'orgasme- voilà bien un acte qu'elle maîtrisait avant de connaître ce monstre. Il lui juta alors sur tout le visage, maculant ses cheveux et le haut de son buste. Il
lui lâcha alors la chevelure.
- Termine ta douche, fit -- il essoufflé.
Vaincue, détruite, elle obéit docilement.
Quand elle sortit enfin de la douche, elle ne trouva plus aucune trace de ses vêtements.
- Je les ai fais jeter, déclara le juge depuis la chambre. Viens!
Nue, elle traversa la chambre et à son ordre, vint s'assoir sur un des deux lit à côté de lui.
- Ce sera ton lit. L'autre est réservé pour une future résidente qui nous rejoindra très
bientôt.
Il lui indiqua alors l'armoire qui se trouvait aux pieds de son lit. Elle vit qu'elle était
cadenassée.
- Tes nouveaux vêtements se trouvent là. Je suis le seul à posséder la clé de cette armoire car tu n'auras besoin de
vêtements que lorsque nous sortirons. Ici, tu resteras nue en permanence. N'essaies jamais de sortir sans mon autorisation ni de joindre une autre personne que moi ou alors je m'arrangerais pour
que ton petit ami paye sa dette avec son sang, est -- ce clair?
- Oui.
- Très bien, tu vas voir nous allons être très heureux ensemble. Maintenant couche -- toi. Je te veux reposée quand je
reviendrais du tribunal demain.
Le juge sortit de la chambre de Madeleine qu'il ferma à clé. Il ne voulait qu'elle puisse entendre la conversation
qu'il allait avoir. Il prit son téléphone et composa un numéro.
- Allô? Jérôme?
- Monsieur le juge, fit la voix du jeune homme. Comment cela s'est -- il passé?
- Idéalement. Tu recevras l'acompte prévu demain dans la journée. Comme ça tu pourras te payer cette voiture qui te
fait tant rêver. Tu n'auras qu'à l'appeler Madeleine.
Le jeune homme éclata de rire.
- Mais n'oublie pas, le coupa le juge. Si tu veux la totalité de la somme, tu dois me fournir l'autre
paquet.
- Ce sera fait.
Le juge raccrocha et reporta son attention sur la porte close. Enfin, il tenait le rêve qui l'avait poursuivi toute sa
vie sans jamais avoir le courage de l'assouvir : une jeune esclave qui assouvirait tous ses fantasmes dès qu'il rentrerait chez lui. Il enrageait de n'avoir rencontré les autres membres du club
qu'au soir de sa vie et d'avoir laisser les carcans de la morale chrétienne brider sa vie pendant tellement de temps mais heureusement c'était désormais fini, il comptait bien rattraper le temps
perdu. Il avala alors une petite pilule bleue et se dirigea vers la chambre de Madeleine. Elle aurait toute la journée de demain pour se reposer, ce soir elle allait avoir encore du
boulot...