Partager l'article ! le club 72: - Etape suivante, annonça Marius. Laquelle va sucer des bites? Il dégrafa son pantalon pour lui mettra son pénis ...
- Etape suivante, annonça Marius. Laquelle va sucer des
bites?
Il dégrafa son pantalon pour lui mettra son pénis sous le nez et elle
comprit que si elle n'acceptait pas de le prendre dans sa bouche, Olivia serait contrainte de subir des assauts bien plus nombreux. Elle ouvrit alors la bouche en fermant les
yeux.
Marius ne se contenta pas d'une fellation. Ensuite, il voulut la
violer et il la prit à même le sol de son bureau après lui avoir arraché sa culotte et l'avoir enfoncée au fond de sa gorge. Elle dut accepter cette affreuse relation sans
sourciller.
Le commissaire, sur le point de jouir, se retira alors et éjacula sur
son ventre et sa poitrine toujours protégée par son soutien-gorge. Repu, il réajusta son pantalon avant de retourner s'assoir. Amanda -Jean se releva difficilement en tentant de réfléchir à ce
qu'elle allait faire maintenant. Marius ne lui laissa pas le temps de se retourner.
Il sortit une feuille de papier et la posa sur son
bureau.
- Signe-ça! Ordonna-t-il.
Pas encore rhabillée, elle se pencha en avant pour lire et son sang
se glaça dans ses veines. Il s'agissait ni plus ni moins que d'une lettre de démission.
- Vous êtes fou!
- Sans doute, répondit Marius, mais ce n'est pas ça qui changera le
fait que tu vas signer ce document. Tu vas quitter la police interrégionale au prétexte que tu as retrouvé ta sœur et que tu veux avoir le temps de t'en occuper. Si tu refuses de le faire, je
fais exécuter Olivia. Elle n'a d'utilité que si je peux faire pression sur toi et les choses inutiles je les élimine.
- Si je signe vous la libèrerez,
tenta-t-elle.
- Pas du tout mais au moins elle vivra un jour de plus. Cela devra te
suffire.
Amanda-Jean comprenait parfaitement dans quel horrible piège elle
était tombée. Si elle acceptait les conditions de ce salauds, elle se condamnait ainsi qu'Olivia à devenir ses esclaves mais elle les refusait, elle signait l'arrêt de mort de celle qu'elle
tentait de sauver depuis des années. Il s'assit alors et signa des larmes au coin des yeux.
Marius sourit alors et prit le document. Il le
rangea.
- Ton supérieur le recevra demain.
- Jamais ils ne le croiront, assura-t-elle.
- Tu serais surprise de voir combien de couleuvres les bureaucrates
de la police interrégionale peuvent avaler.
Il ricana à sa remarque qui visiblement provenait d'une expérience
personnelle.
- Je ne peux pas te garder auprès de moi, ajouta-t-il. Un ami plus
discret va s'occuper de toi, un de mes hommes va te conduire chez lui. Moi, je garde ta sœur... en garantie.