Jeudi 27 août 4 27 /08 /Août 14:47

Thomas entra finalement dans le bureau du juge et fut surpris par l'ostentation de la décoration. Ce de Saint Servier aimait le luxe. Il remarqua la bibliothèque richement décorée mais aussi la baie vitrée qui donnait sur le Golot. Il se dit qu'il allait avoir beaucoup de boulot pour fouiller cet endroit sans laisser de traces. Il commença par s'intéresser aux endroits évidents comme le bureau en chêne qui faisait dos à la baie vitrée ou la bibliothèque puis commença à chercher des compartiments secrets dans les murs. Il perdait un temps fou et commençait à se dire que c'était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. L'idée de fouiller le sol lui vint juste après avoir inspecter chaque recoin du plafond et ce fut à ce moment qu'il fit jackpot. En tâtonnant comme un idiot, il finit par entendre le son caractéristique du métal sous un tapis. Il le retira et découvrit un petit coffre fort noir. Forcer un tel monstre allait lui demander un sacré travail et de l'aide. -Thierry! déclara-t-il dans le micro de son kit intercom. J'ai... Avant qu'il n'ait pu finir sa phrase, il sentit la pression du canon d'une arme contre son cou. -Police, fit une voix. Relevez-vous et retournez-vous les mains bien en évidence! Le cœur battant, Thomas leva les mains en l'air et se redressa. En se retournant, il constata avec surprise que personne n'avait encore allumé la lumière et que le soit-disant policier avait murmuré ses ordres. Le policier qui était en fait une policière. Brune, visiblement la trentaine, aux yeux bruns déterminées qui braquait sur lui son arme et il continuait à se dire que tout clochait dans cette histoire. -Que faîtes-vous ici? demanda cette femme. -Pas la bonne question, pensa Thierry à haute voix. La femme le dévisagea, un peu surprise par son aplomb alors qu'elle tenait sa vie entre ses mains. Elle voulut lancer une nouvelle menace mais soudainement la lumière s'alluma et deux hommes pénétrèrent dans la pièce. La police, la vraie, venait d'arriver et Thierry se dit que ce n'était vraiment pas une bonne nouvelle. A l'école Oscar Bono, l'audition des candidats pour la section préparatoire se prolongeait et le jury d'admission prenait une petite pause pour réfléchir. Ce jury était officiellement composé de trois personnes le directeur Laroquette, la juge de Saint Servier et le professeur Anita Fuentes. En réalité, la pauvre hondurienne n'était là que pour amuser la galerie et, en ce moment précis, pour donner du plaisir aux deux vieillards. Pendant qu'ils discutaient tranquillement, elle était passée sous la table et suçait alternativement le pénis de l'un et de l'autre. -Alors qu'en pensez-vous? demanda le directeur. -Je ne sais pas, hésitait encore le juge, nous sommes censé choisir ceux qui vont devenir l'élite politique de notre pays. -Personnellement quatre dossiers ont attiré mon attention. Il fit glisser un petit papier sur lequel il avait griffonné quatre noms. -Elles sont jeunes toutes les quatre, expliqua le directeur, toutes filles de très bonnes familles. -Et toutes superbement bandantes, constata le juge. -Ce qui ne gâche rien. J'ai déjà averti les parents de tous les candidats du programme de prérentrée obligatoire à l'admission dans cette nouvelle structure et tous y ont souscrits sans sourciller. -Les élèves doivent passer les trois mois d'été à l'école alors que personne n'y est présent pour se préparer. Et votre logiciel de conditionnement fonctionne vraiment? -Vous avez vu le résultat sur Morgane. Elle me prend pour son hidalgo. Impensable, non? -Dommage qu'il ne fonctionne pas sur les garçons. Sexuellement, il n'aurait aucun intérêt mais j'aurais bien aimé pouvoir me servir d'eux aussi contre leurs parents. -Nous nous contenterons des filles ; heureusement que les notables sont attachés aux traditions qui empêchent à l'école Oscar Bono de devenir mixte. Je ne voudrais pas qu'un de ces idiots dominés par ses hormones ne gâche tout en s'introduisant dans le dortoir des filles dans l'idée d'y tremper son biscuit. -Parfait, disons que nous limitons donc la première promotion à ces quatre élèves. -Cinq puisque je compte bien y intégrer ma petite chérie de Morgane puisque elle aura son bac avec mention. -C'est décidé, faisons entrer les admises. Et toi, bouge-toi un peu! Anita reçut l'ordre comme un coup de fouet, elle accéléra son le rythme de sa fellation. Alternant de plus en plus tout en masturbant avec sa main le membre de celui qu'elle n'avait pas en bouche elle finit par faire jouir les deux hommes en un temps très rapide et elle se retrouva aspergée de sperme. -Nettoie, ordonna Laroquette. Sans piper mot, la professeure se mit à lécher toutes les gouttes de spermes qui avaient coulé sur les pénis des deux vieillards jusqu'à les absorber toutes. Quand elle eut finit, elle se releva, s'essuya le visage avec un mouchoir et recouvrit le sweat-shirt qu'elle portait avec une veste pour cacher les tâche de sperme qui le maculait. Laroquette estima qu'elle était présentable et l'autorisa à se rassoir puis décida de commencer le défilé de ses futurs esclaves. La première se nommait Barbara Bava, c'était la plus âgée des quatre candidates. Ayant redoublé sa terminale, elle ne présentait pas à priori le dossier idéal pour intégrer une section d'élite mais son père était un riche armateur qui avait payé de vraies fortunes à l'école et qui pensait qu'on ne pouvait rien lui refuser. Barbara était une grande liane de presque 1M80. Sa silhouette filiforme était renforcée par ses longs cheveux bruns ondulés qu'elle laissait descendre en cascade sur son dos. Le juge se dit que si elle était belle, elle l'était beaucoup moins que ce qu'elle le croyait et il rêvait déjà à l'idée de la faire descendre de son piédestal. La seconde s'appelait Emeline Forgue. C'était une jeune brune de 18 ans tout juste aux formes bien développées. Ses notes étaient très bonnes mais ce qui intéressait tout particulièrement le juge était qu'elle était rien de moins que la belle-fille du maire de Lilleland que le Club avait décidé d'abattre afin de le remplacer par un homme de paille. La troisième était une brune aux cheveux long retenu par une queue cheval et haute d'1M70 nommée Coralie Coso. Encore une jeunette aux notes assez moyennes qui comptait sur l'argent de papa, le propriétaire d'une chaîne de grande surface présente sur toute la région, pour rattraper ses lacunes. La dernière était la plus jeune puisqu'elle avait eu son bac avec un an d'avance. Elle s'appelait Marlène Lac. Ses parents dirigeaient une grande chaîne d'hôtellerie ; pas le grand luxe comme l'Excelsior mais ils avaient fondé un empire sur lequel lorgnait désormais Uron. Marlène en plus était une petite bombe châtain d'1M68 aux yeux bleus dont la poitrine fière et les fesses bien fermes excitaient déjà le duo de pervers qui venaient de lui signifier son admission. Les quatre jeunes filles sautèrent de joie en apprenant la nouvelle de leur entrée dans cette section sélective que Laroquette avait arraché de haute lutte à l'université de Fortlud. Elles ne se doutaient pas une seconde qu'elles se jetaient dans la gueule du loup. Le juge se délectait de la joie naïve de ces futures esclaves quand son téléphone sonna. -Monsieur le juge, fit la voix de son contact dans l'unité la sécurité du palais de justice. Je viens d'apprendre une chose bien troublante. Il semblerait qu'un cambrioleur ait déjoué toutes les sécurités du palais et se soit introduit dans votre bureau. « Un cambrioleur? » pensa le juge, à peine surpris de la coïncidence entre cet évènement et sa confrontation avec le commissaire Marius. « Et bien, il va en avoir pour son argent ».

Par lina
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