Lundi 13 octobre 1 13 /10 /Oct 13:18
Doucement, l’aube pointait, mettant un terme à la nuit. Toni entra dans le temple. Avant d’aller à l’école, il aimait venir se recueillir dans cet endroit sacré. Et maintenant que les vacances commençaient, il avait encore plus le temps, et il aimait rester des heures dans ces ruines. Il y croyait, lui, aux merveilleuses histoires que racontait son grand-père, aux dieux, aux demi-dieux et au héros. N’était-il pas lui aussi un héros à sa façon ? Oser être amoureux de Sylla ! Il l’avait toujours aimée. Depuis la première fois qu’il l’avait vue. Lui, adolescent banal, pas très beau, boutonneux, rêveur, gauche et timide, était amoureux de la plus belle femme de la terre ! Sylla… Il déposait discrètement des bouquets de fleur devant sa porte, il l’observait à chaque fois qu’il pouvait, et lui était fidèle, à l’école, et même jusque dans ses fantasmes… il n’y avait qu’elle ! Et hier, hier, il l’avait vu nue ! Quel spectacle, quelle beauté ! Il ne pensait qu’à ça ! D’ailleurs, en ce moment-même, il la voyait, là, nue, allongée sur l’autel !…

Mais, il ne rêvait pas ! C’était bien elle ! Sylla était là, nue, allongée sur l’ancien autel du temple ! Elle semblait évanouie. Toni se précipita près d’elle, et lui pris la main, qu’il tapota doucement…

- Sylla ! Réveillez-vous ! Mademoiselle Sylla ! C’est moi, Toni !

Mais elle ne se réveillait pas. Toni ne savait pas trop quoi faire. Ses yeux se posèrent sur le corps nu de Sylla. Qu’elle était belle ! Ses seins généreux, à l’auréole sombre et aux tétons encore pointés, ses jambes, sa peau couleur de miel et son entre-jambe… Toni ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps admirable… timidement, sa main effleura un sein de Sylla. Puis le caressa… Toni avait le feu aux joues, le cerveau tourneboulé, et une solide érection dans le pantalon. D’un côté il voulait réveiller Sylla, car il avait peur qu’il lui soit arrivé quelque chose de grave, mais d’un autre côté, il ne le voulait pas, pour faire durer encore et encore ce moment intime avec Sylla. « Elle est si belle ! » Toni n’en pouvait plus. L’ardeur adolescente l’emporta ! Sa main caressa plus hardiment le sein, toucha timidement le téton, tandis qu’il sortit son sexe en érection de son short et se l’astiqua lentement.… Aaaah, sa peau était si tiède et si douce… sa main descendit le long du ventre tiède de Sylla, et effleura doucement son sexe… il avait envie d’approcher son visage, pour sentir l’odeur de Sylla… un de ces nombreux phantasmes… il approcha doucement son visage de l’intimité de Sylla, et ce faisant il ne vit pas qu’elle ouvrit lentement les yeux… des yeux sans pupille, d’un bleu translucide… des yeux qui virent l’adolescent, le pénis tout raide à la main, le visage à quelque centimètre de son vagin… 

Toni approcha doucement son nez du sexe de Sylla. Il allait le renifler, lorsqu’elle fit un mouvement très brusque, et que sa main serra fortement la nuque de Toni.

- Et alors garnement, qu’est ce que tu fais !

Toni se saisit et sursauta. La main avait une emprise ferme sur sa nuque, et il ne savait plus du tout bouger… son visage devint rouge pivoine, et il bredouilla

- Made… Mademoiselle Sylla… je… je ne voulais pas… enfin… vous sembliez mal.. je voulais… je voulais juste vous aider… je le jure… rien de mal… juste vous aider…
- En me reniflant le sexe ? C’est comme ça que tu veux m’aider ?

L’adolescent était tout penaud. « Oui… euh non… enfin… » La « nouvelle » Sylla réfléchissait. Elle connaissait sa mission, mais elle n’y arriverait jamais seule, ce monde était trop nouveau pour elle. Elle regarda l’adolescent. Ses yeux translucides sondèrent son cœur. Il n’y avait aucune méchanceté en lui. C’était un cœur pur. « Tout compte fait, peut être pourra-t-il m’aider… et je sais comment m’attacher sa fidélité… »

- Ah Toni, mon petit Toni… comme ça tu veux m’aider…
- Oui, je vous le promet ! Je ferais tout pour vous…
- Tout ? Quelle fidélité ! 

Tout en maintenant la pression sur la nuque de l’adolescent, Sylla rapprocha la tête de Tony de son intimité… Toni devenait de plus en plus rouge pivoine. Mais maintenant il sentait les effluves intimes de Sylla, et cela eut tôt fait de redonner vigueur à sa verge, jusque là assez penaude…

- Mais dis-moi Toni, il sent bon au moins ?
- Pardon ? Euh… oui… oh oui… je n’ai jamais rien senti d’aussi bon dans ma vie Mademoiselle Sylla !

Toujours en maintenant pression sur la nuque de Toni, Sylla amena la tête de l’adolescent contre son sexe. Le nez de Toni était contre son clitoris, en bougeant la tête du jeune homme, elle le titilla 

- Maintenant que tu l’as sentie, tu peux la goûter, si tu veux… 

Toni devint encore plus rouge, mais enivré par les effluves de Sylla, il donna de timide coup de langue sur son sexe… Il lui léchait le sexe comme un petit chien lape son eau. La main de Sylla quitta la nuque de l’adolescent, lui caressa les cheveux, puis elle mis les mains à son sexe, et écarta ses lèvres intimes, découvrant tout son sexe rose et profond à Toni…

- Vas-y plonge-y la langue… oh oui… toute ta langue, va profond, plus profond…

Toni plongea sa langue dans le trou béant, léchant les parois intimes de la grotte d’amour de Sylla, y faisant tournoyer sa langue… 

- Bien Toni, oui… mmhmm… c’est bon… Passe tes jambes au-dessus de ma tête que je puisse te rendre la pareille…

Toni s’exécuta. Il enjamba le visage de Sylla, son sexe pendant au niveau du visage de la jolie femme, puis repris le butinage du vagin de la belle. Il adorait le goût de sa mouille. Il replongea sa langue au plus profond de son sexe. Sylla attrapa la verge du garçon. Elle la lèche sur tout le long, avant de titiller le bout du gland avec sa langue… Puis elle recommença à le lécher sur toute sa longueur… puis elle lui lécha les couilles, et les massas tandis que sa langue courut le long du sexe du garçon, jusqu’à son gland, qu’elle happa petit à petit. Elle avala ensuite toute la verge du garçon, qui, dans un râle de plaisir, explosa dans la bouche de Sylla. 

- Oh pardon, je suis désolé, je…
- Chut mon garçon, ce n’est rien, c’est la première fois. Rends-moi la pareille…

Toni continua à lécher Sylla, son nez se perdant près de l’anus de la femme. Cet anus avait une petite odeur musquée qui excita d’avantage Toni. Sa langue quitta le sexe de Sylla pour aller jusqu’à son anus… il lui titilla l’anus de sa langue… puis le lui lécha, lui pénétrant l’anus de sa langue, le mouillant abondamment de sa bave… puis, il introduisit un doigt dans le sexe mouillé de la belle, puis deux, et la branla tout en continuant de lui lécher l’anus… Sylla jouit, mouillant les doigts du garçon, qui tomba assis, hors d’haleine…

* *
*

Odin marchait dans la forêt… La nuit s’achevait et l’aube pointait entre la cime des conifères. Le professeur, toujours nu, marchait derrière lui comme un automate. Odin repérait les lieux. Il devait trouver un autre point de chute. Ces deux humains serviles lui avaient fourni l’énergie pour se réveiller, mais il n’était pas encore assez puissant. Et la caverne était trop pleine d’énergie des créatures de la lumière, néfaste pour lui. Cette énergie positive l’empêchait de régénérer sa puissance. Au loin, il aperçut un château fort, assez sinistre, qui dominait la forêt du haut d’une colline. Odin concentra son regard vers le château, et en « huma » les ondes.
- Mmm parfait. Trahison, meurtre, massacre… ce château est rempli d’ondes négatives. Ce sera notre point de chute. Bien, nous…
Il s’arrêta net. Il avait senti quelque chose… il s’accroupi, ses doigts rentrant légèrement en terre… « La créature de la lumière se régénère plus vite que moi ! Je sens sa force jusqu’ici… Il faut l’empêcher… »… Il ferma les yeux… une énergie néfaste s’échappait de lui, la terre trembla légèrement… « crétaure de l’ombre… empêcher cette créature de continuer sa route… »
Puis il se releva… « Nous n’avons pas de temps à perdre, il faut se dépêcher ! Mais, qu’entends-je ? Un bruit… quelqu’un viens ! »

* *
*

Sylla regarda Toni, qui se réajustait. 
- Dis-moi mon garçon, tu es toujours prêt à m’aider ?
- Bien sûr ! Je ferais tous pour toi !
- Même si cela pourrait être dangereux ?
- Et bien… - Toni regarda ses maigres muscles – je ne suis peut être pas un héro, mais par amour pour toi, je ferais les 12 travaux d’Hercule s’il le fallait !
- J’aurai plus besoin de ton cœur, que de tes muscles… c’est là que réside la vraie force… le cœur ! 

Ils sortirent du temple. 
- Toni, il faut que je voyage, vers l’Est. J’ai une mission essentielle à conclure…
- Une mission ? Comme quoi ?
- Comme sauver l’humanité ! Et tu as promis de m’y aider !
- Sauver l’hu… c’est une blague ? Je sais que j’ai pas l’air très futé, mais c’est pas gentil de te moquer de moi… enfin je croyais que tu… mais pourquoi tu te retourne tous le temps ?
- Chuuut… je ne sais pas… je sens quelque chose… de néfaste…

Toni regardait à droite et à gauche. Il n’y avait que les ruines, quelques oliviers rabougris. Personne en vue, pas âme qui vive. Mais il avait aussi un certain… malaise. Comme si il se sentait en danger… Les branches de l’olivier à sa gauche, qui bougeaient doucement avec le vent… mais… il n’y avait pas de vent !

Avant que Toni ai pu faire un geste, l’olivier l’attrapa ! Ses branches étaient comme des mains, sèches et rabougries… Deux branches maintenaient ses poignets, il ne savait plus bouger… deux autres branches venaient vers sa gorge, et commençaient à l’étrangler… Il se débattait, mais n’arrivait pas à se libérer… sa vue commença à se brouiller, et lui à suffoquer… Sylla se retourna d’un coups, et poussa une exclamation en voyant l’olivier attraper Toni et l’étrangler. Sylla récita les paroles magiques, ses yeux brillèrent d’une luminosité bleutée, et une autre lueur bleue, pareille à une épée, brilla dans sa main droite. Elle fit un bon prodigieux, sauta au-dessus de l’arbre, et en retombant, elle le coupa en deux dans toute sa longueur… L’arbre relâcha Toni, qui tomba au sol, à moitié évanoui. D’autres arbres commencèrent à bouger… Sylla fit face et se battit vaillamment. Toni, qui avait recouvré ses esprits, priait pour elle. L’amour qu’il avait pour Sylla la rendait plus forte, et en l’espace de quelques instants, il n’y eut plus « d’arbres-vivants » devant le temple… 

- Qu’est ce qui c’est passé… qu’est-ce que c’était ?
- La preuve que je ne te racontais pas de connerie ! Il faut vraiment que j’aille vers l’Est, retrouver la créature à l’origine de cela et l’empêcher de nuire… et j’ai besoin de toi !

Les yeux implorant de Sylla firent fondre le cœur de Toni.

- D’accord, je vais t’aider. J’avais des places d’avions pour Berlin, et des tickets pour aller voir des matchs de l’Italie en Coupe du Monde en Allemagne. On peut garder les billets, et je vais essayer de vendre les tickets à des copains, pour qu’on ait de l’argent de poche…
- Bien Toni ! – Sylla ramassa un des « bras » d’un olivier – moi je vais essayer de voir exactement d’où provenait cette force maléfique. Retrouvons-nous ce soir chez moi !

* *
*

- Evelyne, tu es sûr que c’est le bon chemin ?
- Mais enfin, Sophie, je te l’ai déjà dit, regarde c’est sur la carte… on est plus ou moins… ici !

Sophie fit la moue. Elle avait suivi sa cousine Evelyne dans cette randonnée champêtre pour lui faire plaisir, et puisque les hommes ne passaient leur temps qu’à regarder le foot ! Mais là elles étaient perdues, Sophie en était certaine ! Cela faisait des heures qu’elles marchaient. Sophie et Evelyne se ressemblaient assez fort, elles auraient pu passer pour des sœurs. Elles n’étaient pas très grandes, de très jolis visages en ovales, avec de yeux bleus. Quelques kilos en trop, mais pas trop, juste de quoi avoir des formes appétissantes qui faisaient craquer les grands allemands ! La seule différence était leurs cheveux : Sophie était châtain blonds, avec des cheveux assez long, tandis qu’Evelyne avait des cheveux couleurs cuivrés, qu’elle avait fait couper « à la garçonne ». La journée promettant d’être chaude, elles avaient toutes deux revêtus des robes d’été aux couleurs chatoyantes.

Sophie releva le regard et vit le château. 
- Regarde Evelyne, le château est là ! A droite ! Alors qu’il devait être à gauche !
- Ah ben ça !
- Mais… tu tiens la carte à l’envers! On est complètement perdu !

Un bruit sur leur gauche, les fit tressaillir… Peu à l’aise, elles essayèrent de voir ce que c’était. En un coups, la forêt leur semblèrent plus sinistre. Elles essayèrent de discerner ce qu’il y avait dans les taillis… Un autre bruit, une brindille qui casse.

- Il… Il y a quelqu’un ?

C’est bien un bruit de pas qu’elles entendirent… Quelqu’un arrivait dans les taillis. D’ailleurs, les taillis commencèrent à bouger… et un homme en sortit. Il est complètement nu, sale, son sexe dressé, et marche vers elle, les bras tendus, comme un somnambule… ou un fou !

- Au secours ! Sauve qui peut !

Et en criant, les deux filles courent droit devant elle. L’homme, qui n’était autre que le professeur Müller, les poursuit, marchant comme un automate… « Non, pas par là… il vous tend un piège, je ne suis qu’un rabatteur… ». Il voulait prévenir ces pauvres filles… mais son corps ne lui obéissait plus. Sa bouche ne voulait pas s’ouvrir, et ses jambes marchaient contre sa volonté, rabattant les filles… vers Odin !

Lâchant le plan, les deux filles coururent à perdre haleine, droit devant elles, à travers la forêt. Après une course effrénée, elles s’arrêtèrent, à court de souffle. 

- … Il… il n’a plus l’air d’être … d’être derrière nous. Mais… je… je ne sais pas du tout où on est, fit Evelyne, reprenant son souffle.
- Là, regarde, il y a plus de lumière… fit Sophie…

Elles marchèrent vers l’endroit, qui était une petite clairière circulaire, sans conifères, c’est pour ça qu’il y faisait plus clair. Elle était inondée de soleil… Elles s’y assirent pour reprendre leur souffle. Mais elles se relevèrent bien vite… 
- Quelque chose a bougé dans l’herbe !
Par peur, elles reculèrent. Quelque chose, dans l’herbe, semblait venir vers elles. Elles reculèrent, puis s’arrêtèrent, car elles étaient contre un gros arbre…
- Viens, il vaut mieux ne pas rester ici…

Elles voulurent s’encourir… mais leurs corps refusèrent de bouger… Affolée, elles constatèrent que les racines des arbres avaient bougé, entravant leurs pieds, et qu’elles les maintenaient prisonnières…
- Non ! Mais c’est quoi ce cauchemar ?

Elles essayèrent de se débattre, d’arracher les racines avec leurs mains, mais en vain. Alors qu’elles s’appuyaient sur le tronc de l’arbre pour faire levier et se dégager, du lierre s’enroula autour de leurs poignets… Elles étaient tout à fait attachées à l’arbre ! Et la chose dans l’herbe venait vers elles… la chose arriva à leurs pieds… c’était un serpent ! Non pas un serpent, une sorte de… tentacule ! La tentacule avança vers Sophie… Elle atteint les racines de l’arbre, et Sophie put mieux la voir : c’était une tentacule gris-verte, qui se finissait en forme de phallus (de belle dimension !) La tentacule commença à monter le long de sa jambe…

- Noooon ! Mais qu’est ce que cette chose ?

Sophie se tortilla, mais en vain… Sous sa robe, elle voyait la bosse que formait la tentacule, qui remontait le long de sa jambe, puis de son ventre… contrairement à ce qu’elle avait d’abord pensé, la tentacule était tiède. Elle la sentait le long de son ventre, puis elle passa entre ses seins… pour sortir par son décolleté. D’une pression, la tentacule déchira la robe de Sophie, qui glissa à terre. Puis le bout de la tentacule, en forme de verge, vint se mettre face à la bouche de la jeune fille terrorisée. Sophie comprit et voulu fermer la bouche, mais trop tard ! La tentacule s’y engouffra. De sa vie, Sophie n’avait jamais eu de verges si grosse dans la bouche ! 

- Sophie, Noooooon ! Fit Evelyne, qui vit avec horreur une deuxième tentacule venir vers elle. 

Elle se tortilla pour se détacher de l’arbre, mais rien n’y fit. Le même schéma se produisit : La tentacule monta le long de sa jambe, passa sur son ventre, entre ses seins, déchira sa robe et vint se mettre devant sa bouche… Evelyne ferma la bouche et serra les dents. Le gland de la tentacule se positionna contre ses lèvres, mais Evelyne ne desserrait pas les dents. D’une ondulation, la tentacule lui donna un coup au niveau du ventre, et le souffle coupé, Evelyne entre-ouvrit la bouche… ce qui permit à la tentacule de s’y engouffrer ! 

Lorsque le professeur arriva dans la clairière, il vit Sophie et Evelyne attachées à un arbre, occupées à se faire ramoner la bouche par les tentacules d’Odin. 

Sophie sentit la grosse verge de la tentacule battre dans sa bouche, raclant son palais. « Oh non, pensa-t-elle », puis la tentacule éjacula dans sa bouche. Le foutre de la créature était chaud et sucré. Evelyne y goûta au même moment, un peu de sperme couleur vert foncé, coulant du coin de sa bouche et inondant son menton…

L’arbre relâchât les deux filles qui tombèrent à terre… D’autres tentacules arrivèrent. Sophie et Evelyne voulurent s’enfuir, mais leur corps ne leur obéissait plus. Elles voulaient partir au loin, mais au lieu de ça, elles se mirent à quatre pattes et marchèrent vers les tentacules, comme des bébés après leur biberon. Elles prirent les tentacules dans leurs mains, les léchèrent, et commencèrent à les sucer et à les branler en même temps. Mais quelle folie s’emparait de leurs corps ? Les tentacules les poussèrent doucement et elles tombèrent sur leur dos, l’une à côté de l’autre. Elles continuaient à sucer passionnément les tentacules, tandis que d’autres arrivèrent. Elles écartèrent en même temps les jambes… leurs culottes étaient trempées… Elles enlevèrent les morceaux d’étoffes pour offrir leurs vagins humides et ouverts aux tentacules, qui s’y engouffrèrent sans se faire prier, et commencèrent à baiser rapidement les deux jeunes filles, qui criaient leurs plaisirs entre deux sucions de tentacule... Chaque fille avaient deux tentacules qui les ramonaient à tour de rôle… Puis une des deux tentacules vint éjaculer sur leurs seins et leurs ventres, tandis que leurs vagins étaient eux aussi remplis du foutre vert des deuxièmes tentacules. Les tentacules se retirèrent, et le professeur vit les deux filles s’approcher l’une de l’autre, puis, comme des affamées, se lécher les seins et le ventre, pour ramasser tout le foutre d’Odin. 

Pendant que tout cela arrivait, le professeur ne put s’empêcher de porter sa main à son sexe, et de se masturber. En voyant ces deux jolies filles se lécher et se caresser l’une l’autre son plaisir augmenta, il était proche de l’explosion… C’est alors qu’une nouvelle tentacule arriva. Le gros phallus la terminant s’ouvrit, et enroba le gland du pénis du professeur, suçant tout son sperme.
- A moi vos semence de vie, dit Odin ! Bien, suivez-moi tous les trois, nous rentrons à la caverne. Demain nous investirons le château.

Et Odin prit la direction de la caverne, suivi du professeur, de Sophie et d’Evelyne, qui marchaient tous trois derrière lui, comme des automates.

* *
*

Emma se réveilla lentement. Elle vit les deux créatures à qui elle s’était « donnée » qui avaient fait un feu et avait posé un chaudron par-dessus. Emma ne se sentait pas bien du tout. Elle était nauséeuse et avait très mal au ventre. Elle posa ses mains sur son ventre, et poussa un cri ! Son ventre avait quadruplé de volume ! Elle se retourna vers les monstres avec effrois.

- Et oui ma jolie, ça fait toujours cet effet là au début !
- Les œufs sont presque prêts, hi hi hi, fit le deuxième monstre en riant.

Une douleur violente au ventre fit encore crier Emma. Les monstres s’approchèrent d’elle, et sans ménagement, la mirent debout, puis la firent s’accroupir. 

- Ce sera plus facile comme cela !

Emma sentit la douleur descendre vers son vagin… Quelque chose de très dur descendait de sa matrice. C’était son premier accouchement, et la douleur était insoutenable. Un peu de liquide jaune-vert et de sang suintait de son vagin. Son vagin s’ouvrit alors très très fort, Emma cria… et expulsa un œuf ! Un œuf un peu plus petit qu’un bébé humain (heureusement pour elle, sinon elle n’y aurait pas survécu !), verdâtre, en écaille toute rugueuse et striée de sortes de veines bordeaux. Mais Emma n’eut pas le temps de s’en inquiéter, car elle sentait un deuxième qui arrivait… Un des monstres lui ouvrit la bouche sans ménagement, et y versa le contenu d’une vieille outre. C’était un liquide de la même couleur et consistance que du vin, mais avec un goût amer et rance. 

- C’est un fortifiant, pour que tu tiennes le coup ! Sang de chauve-souris macéré avec quelques herbes des cavernes… - le monstre en bu une longue rasade – mmmhmm… in-com-pa-ra-ble ! fit il en faisant claquer sa langue de contentement.

Emma cria encore et expulsa le deuxième œuf. Elle en « accoucha » de quatre en tout, avec entre chacun une goulée du fortifiant du monstre. Le quatrième œuf expulsé, son ventre ayant repris une forme plus ou moins normale, elle tomba évanouie. Le deuxième monstre, l’air abasourdi, regarda le vagin sanguinolent d’Emma.

- C’est tout ? Nos femelles avaient des portées de 8 à 10 petits ! Pffff, c’est autre chose que ces feignasses d’humaine !
- Ohé oui, on n aurait pas dû les manger, nos femelles ! Fit l’autre avec un air désolé…

Une voix retentit derrière eux

- Bien, vous avez bien travaillé, soldat !

Odin était de retour.

- Tenez, voici encore de quoi vous amuser !

Odin fit alors un geste de la tête, et Sophie et Evelyne avancèrent vers les monstres, puis se retournèrent, se mirent à quatre pattes, offrant aux deux monstres leurs jolies croupes rebondies. Les deux ne se firent pas prier. Leurs deux sexes ondulés reprirent vigueur, et ils prirent Sophie et Evelyne en levrette sans aucun ménagement.

Pendant que les deux monstres lutinaient Evelyne et Sophie, Odin ramassa délicatement les quatre œufs et les mit dans le sarcophage. Puis, ses tentacules recouvrirent les œufs, et y ondulèrent tandis qu’Odin récitait une ancienne formule. Le professeur ne comprenait pas.

- Pourquoi des œufs ? Ces monstres ont des… enfin… des organes génitaux de mammifère !
- En effet professeur, ils ne sont pas ovipares. C’est ma magie qui fait cela. Pour deux raisons : Pour ne pas tuer les mères-pondeuses, car un quadruple accouchement de bébé Gobelin aurait tué Emma. Et j’ai encore besoin d’elle. Et pour gagner du temps aussi. Avec ma magie, aussitôt la mère ensemencée, les œufs se forment en une nuit, et en une autre nuit, je les transforme en petit monstre. Ils ne seront pas aussi costauds et solides que ces deux spécimens, mais j’ai besoin rapidement d’une garde rapprochée. Maintenant va dormir !

Le professeur obéit, il passa devant les monstres qui couinaient en jouissant dans les vagins d’Evelyne et de Sophie, à qui cela ne semblait pas déplaire. Lorsqu’ils se retirèrent, le professeur vit leurs queues ondulées de belle dimension… et le foutre épais et vert qui coulait des sexes des filles. Il marcha jusqu’à Emma, endormie à la place où elle avait expulsé les œufs. Il trouva un morceau de vêtement déchiré par terre. Avec celui-ci il essuya doucement le vagin d’Emma, puis il se coucha près d’elle et s’endormit.


* *
*


Comme prévu, Toni retrouva Sylla chez elle. Il la trouva en pleine méditation, assise en tailleur, le « bras » d’olivier dans les mains. Il attendit sans faire de bruit, mais Sylla sentit sa présence. Elle ouvrit les yeux. Puis ils s’assirent côte à côte à table, où attendait un plat d’olives et des rafraîchissements.

- Tu es là, c’est bien. Tu as les billets ?
- Oui, ils sont ici. Regarde : deux places pour Berlin, départ demain à 8 heures. Mon frère devait m’accompagner… mais j’ai réussi à l’en dissuader… Pour les tickets, ce fut plus dur. Mais j’ai eu de la chance, alors que je marchandais avec mes copains, un couple de touriste allemand a tout entendu, et le type m’a acheté les tickets, en payant cash !
- Parfait. Moi je ne suis pas arrivé à localiser notre ennemi. Il devient de plus en plus puissant, et il brouille les pistes. Mais nous aviserons en Allemagne. Par contre, j’ai trouvé une carte routière d’Allemagne, ça peut servir… Tu as ton permis de conduire ?
- Euh non…je suis encore un peu jeune, mais dès l’année prochaine je peux m’y mettre!
- Je ferai chauffeur en Allemagne, et tu t’occuperas de la carte… tu sais lire une carte routière ?
- Oh ça oui, je suis un spécialiste ! – Ils prirent des verres et trinquèrent -
- Ok Co-pilote ! Prêt pour l’aventure?
- Si !

Toni regardait Sylla. Elle était si belle. Elle ne portait qu’une chemise blanche, qui lui descendait jusqu’au début des cuisses, mais laissait entre-voir sa petite culotte en dentelle blanche… et puis ses jolies jambes, couleur miel… Il se rappelle le temple, le corps et le goût de Sylla. Une bosse commença à se former dans son jeans. Toni se serra plus contre elle, et essaya maladroitement de lui faire du pied. Sylla lui souri tendrement, mais le repoussa fermement. 

- Il faut aller se reposer co-pilote, car demain il faudra se lever tôt pour ne pas rater l’avion.

Penaud, l’adolescent rougit légèrement, tandis que Sylla se leva et alla fouiller dans un coffre.. 

- D’ac. Je dors où ?

Sylla lui lança un oreiller, qu’il attrapa maladroitement

- Mais dans le canapé, évidemment !
- Evidemment ! fit-il, encore plus penaud.
Par lina
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