lina

Alexe Chamade, 15 ans sortait de son lycée, la plus jeune des sœurs Chamade avait beaucoup de succès avec les garçons. Mais la jeune fille n'avait pas l'air de s'intéressé aux garçons de son age! Alexe avait une préférence pour les hommes plus âgée, elle s'était déjà taper le fiancé de Tam sa sœur et de temps en temps ce dernier remettait le couvert. Depuis, un an, Alexe avait pris l'habitude, chaque jeudi d'aguiché des hommes dans le métro ! Le plus entreprenant l'a suivait et en échange de quinze mille yens, elle leur taillait une pipe! " Pourquoi le jeudi, me direz vous? C'est généralement le jour où Monsieur Durieux vient leur proposer les plans pour un nouveau casse ! Alexe, Tam et Cylia, forme le gang de voleuse de charme appelé Cat's Eyes ! Les trois sœurs n'on trouvée que ce moyen là pour rassembler la collection de Michael Heinz, qui est autre que leur père disparut mystérieusement. Les Trois filles et le meilleur ami de Michael Heinz ont trouvé que ce moyen là pour résoudre sa disparition si  mystérieuse ! Mais, Revenons à Alexe". Il est dix-sept heures trente elle rentre dans une rame de métro plutôt bonder. Il y a pleins de Salariman et quelques Lycéennes et collégiennes qui rentrent chez eux.

Le commissaire Bruno, chef de la B.R.B. et Odile Assaya, avait rendez-vous a la Tokyo-banque, le directeur avait reçut une lettre de menace de Cat'sEyes ! A Dix-sept heurs trente, les rue de Tokyo était embouteiller sa voiture n'avançait pas d'un pouce, le commissaire Bruno s'impatientait. Quand il vut la station de métro, il eux une l'idée. 

_ON VA DESCENDRE-LA ! ET PRENDRE LE METRO LUI AU MOINS CIRCULE NORMALEMENT!

        _MAIS CHEF ! DANS LE METRO SES AUSSI L'HEURE DE POINTE!

_TARATA ! ODILE ! MOI J'EN EST MARRE D'ATTENDRE! JE DESCENDS-LA! QUI M'AIME SUIVRE!

Sur ses mots le commissaire Bruno, descendit de la voiture et se précipita dans la première rame qui se présenta ! Odile le suivait de près ! Mais elle ne put monter dans la même voiture que le commissaire. Alexe, avec son uniforme de lycéenne n'avait aucun mal à plaire à un Salariman. Elle sentit une main lui peloter les fesses, surprise que sont pièges fonctionnent aussi vite elle poussa un petit crie. Sans se retourné, elle se laissa caressé les fesses ! Le pervers, lui souleva sa  jupe et glissa une main sou sa culotte, Alexe senti un doigt lui rentré dans son anus. Elle n'appréciait pas trop qu'on la prenne par-là et l'homme passa son autre main pardessus l'épaule d'Alexe. La main de l'homme souleva sa jupe et passa ses doigts sur la vulve de la lycéenne, puis il introduit un doigt dans le vagin d'Alexe. Après avoir fait mouiller la jeune fille il retira son doigt et le fit goûter à Alexe. Alexe voulu voir le visage du pervers qui pelotai, elle se retourna et reconnue le supérieur de Quentin Chapuis le fiancé de sa sœur !

_COMMISSAIRE BRUNO ! SES VOUS! VOUS JOUER LES PERVERS DANS LE METRO MAINTENANT ET BINS  ÇA ! SES DU PROPRE !

_BONJOUR PETITE ALEXE ! HEU…DU NE VOUDRAIT PAS JOUER AU DOCTEUR AVEC MOI!

_D'ACCORD MAIS SA SERA PAS GRATUIT!

_TU ES FUTÉ TOI! TRÈS BIEN DISONS DIX MILLE YENS!

_NON J'EN VŒUX QUINZE MILLE!

_MA FEMME VA UN PEUT M'ENGUEULER SI J'EN PRENDS AUTANT MAIS J'AI UN BESOIN PRESSENT!

_BON ! ON DESCEND A LA PROCHAINE STATION! ET ON TROUVE UN ENDROIT TRANQUILLE !

_TU VA D'ABORD ME CALMER UN PEU ! ASSIT TOI SUR CE STRAPONTIN ! TU SERAS PLUS ALLESE POUR ME POMPER !

Alexe, s'assit sur le strapontin et posa sa sacoche sur ses genoux, le commissaire Bruno tira sur la fermeture éclaire de son pantalon. L'adolescente l'aida à sortir son sexe, qui était déjà en érection! Alexe fut surprise par sa taille, elle le branla légèrement avant de l'engloutir, mais le commissaire était presser. Le commissaire pinça le nez de la jeune fille, qui ouvrit en grand la bouche pour pouvoir respiré. Mais a la place d'une bouffé d'aire elle eut droit au calibre du commissaire, il saisit sa tête a deux mains pour enfoncé son sexe au fond de sa gorge. En donnant de petit coup de reins pour faire rentrer et sortie son calibre de la gorge de la lycéenne. Alexe, avait du mal a respiré et la va vient plutôt violent de Bruno, commençait à lui faisait mal a la mâchoire. Heureusement pour Alexe, le commissaire Bruno éjacula rapidement dans sa gorge, une très grosse quantité  de sperme. La jeune lycéenne du tout avalé, car le commissaire laissa son calibre dans sa bouche jusque ce qu'il sentis qu'il s'était vidé. Quand la rame s'arrêta !  A la station suivante, le commissaire en profita pour rangé sa queue rapidement dans son pantalon et donna un mouchoir a Alexe. La lycéenne, pris le mouchoir et sans servit pour essuyer le sperme qui s'échappait d'entre ses lèvres. Le commissaire attrapa la main droite de la jeune fille et l'entraîna hors de la rame. Le métro redémarra au moment où ils descendirent,

Assaya qui était coller à une des vitres de la voiture suivante vut le commissaire et Alexe. Assaya très étonné nue pas le temps de descendre, mais elle se posait des questions sur l'attitude de son supérieur ! Odile Assaya, sentis une main qui se glissait sou sa jupe et qui lui pelotait les fesses, elle se retourna pour donnée une gifle au pervers. Au moment où elle allait frapper l'homme esquiva et la saisie par sa poitrine et la plaqua contre la vitre. Elle sentit une queue en érection sou son entre chatte le pervers avait réussi à lui baissé sa culotte et s'apprêtait à la violé. L'homme, lui déchira son chemisier et fit sauter le bouton de son soutien-gorge. Assaya voulu crié mais l'homme lui procurait un plaisir qu'elle désirait, il la pelotait en l'insultant.

_ALORS! SA TE PLAIS DE TE FAIRE TRIPOTER DANS LE METRO ? UNE SALOPE DE BOURGEOISE ! TU VA VOIR SI TU NE CRIE PAS ! TU VA SENTIR MA GROSSE QUEUE ! PUTAIN ! TA UNE SACREE PAIRE DE LOLOS MA BELLE ! MUMM! TIEN PREND SA DANS TA CHATTE ! SALOPE!

Odile, voulus crié quand l'homme comment ça a la besogné! Mais, elle se contenta de poussé un léger gémissement, puis à chacun de ses va et vient, elle en poussait un autre!

Le commissaire Bruno conduisit Alexe dans les toilettes réservé aux fonctionnaires, les toilettes étaient propre mais sentait l'urine! Il referma la porte a clef et plaqua la jeune adolescente sur la porte.

_AVANT D'ALLER PLUS LION PETITE ALEXE JE VŒUX VERIFIER QUELQUES CHOSE!

Le policier de carrière qu'était Bruno, ne s'était jamais taper de fille aussi jeune. Il repensa à la première fois ou il avait baiser son assistante, Miss Assaya et a toutes les fois ou il avait été de garde avec elle. Le commissaire Bruno, enleva la veste d'Alexe et dégrafa un a un les boutons du chemisier de la lycéenne. Devant le soutien-gorge de l'adolescente, ce qu'il vut lui paraissait prometteur, il hotta la fine protection de la poitrine d'Alexe.

_PUTAIN ! J' EN ETAIS SUR ! TA POITRINE EST UNE FABULEUSE PROMESSE ! ILS ONT DEJA EN FORME DE POIRE ET BIEN FERME ! EXACTEMENT COMME JE LES AIME! JE SUI SUR QUE BIENTOT TU POURRAS RIVALISER AVEC CEUX DE TES SŒURS !

_BON! ALORS QU'EST-CE QUE VOUS VOULEZ FAIRE AU JUSTE! ME PELOTER? OU M'ENFILEZ

_HUMM…LES DEUX! MA PETITE ALEXE! LES DEUX!

Le commissaire, se jeta sur les seins d'Alexe, il les embrassa, lécha les mamelons et suça les tétons, la jeune fille poussa de petits gémissements. Alexe ne se contentait pas de gémire, elle enleva la ceinture du commissaire et déboutonna son pantalon. Bruno, avait toujours la trique et son caleçon étais déformé par l'érection. Tout en suçant le sein gauche le commissaire, fit glisser son caleçon sur ses genoux et enleva la culotte trempée d'Alexe qui lui prêta son concours. Alexe, guida le sexe de Bruno, dans son petit minou et le commissaire donna un coup de rein pour faire pénétrer queue. Le commissaire saisi les deus cuisses de l'adolescente et comment ça a la besogné copieusement.

            _AH! AHFF! OH ! ALEXE! TU ES SI ETROITE! AHF! MUMM! TES BONNE! ALEXE!

        _AH ! OH ! COMMISSAIRE VOUS…DECHIRE MON MINOU! AHAAA!

Le commissaire défonça le jeune minou, pendant dix bonne minute, avant de jouir à l'intérieur. Puis, il ressortit rapidement, du minou et demanda à Alexe de s'accoudé sur le lavabo, ce qu'elle fit. Il retroussa sa jupe et s'accroupi devant le superbe petit croupion de la lycéenne. Il embrassa le cul d'Alexe, avant de commencé à le léché, le commissaire s'appliquait à léché le petit trou du cul de la jeune fille. Il introduit la langue dans le petit trou de service de l'adolescente, qui poussa des crie de jouissance !

            _AAHAAAAA ! VOUS ME FAITE MOURIR ! AAHAAAA !!!

Après avoir fait jouire la jeune adolescente par l’anus, le policier déposa sa verge en érection entre les douces fesses humide. Très lentement il fit pénétrer son calibre entre les fesses de la demoiselle, qui poussait des petits cris ! Le commissaire avait tellement lubrifié l’orifice, qui entra dans son œillet jusqu'à la garde ! Le commissaire poussa un longs cris de jouissance, quand ses couilles heurtèrent avec force les fesses d’Alexe ! Doucement, il repartit en arrière jusqu'à ce que  seul son gland demeure au chaud dans le petit orifice. Rapidement il fit rentrer de nouveau la totalité de son calibre dans le cul de la lycéenne. Il fit plusieurs va et vient plutôt lent, puis il comment ça a accéléré ! A chaque retour du calibre dans son cul Alexe poussait un cris, qui ne faisait qu’attiser le désir pervers du commissaire Bruno. Il la besogna pendant quinze minute avant d’éjaculer en elle ! Puis, il se retira, et attrapa par les cheveux la jeune fille et la tira ver sa queue suintante de sperme ! Il l’obligea à Alexe à lui sucé son calibre, en la maintenant  plaqué contre son service trois pièce ! Pendant dix minutes, Alexe du supporté la colonne de chaire entre ses lèvres, avant qu’il ne relâche sa pression. Le commissaire laissa Alexe utiliser les toilette et se nettoyer. Puis, il la remercia pour ces menus service et lui remis sont argents. Il lui demanda si, il pouvait la raccompagner chez elle, Alexe accepta

Quentin, descendit les escaliers, pour se joindre à la table dressée par sa fiancer.

Il s’assit efface de d’Alexe, Tam, était assise sur sa droite et Quentin, lui dit que Cylia,

N’était pas prête ! Et qu’elle rejoindrait dans quelques minutes ! « CYLIA EST TOUJOURS

EN RETARD ! POUR LE DÎNER, C’EST A CE DEMANDE SI ELLE NE LE FAIT PAS

Exprès ! HO ! TU SES TAM ELLE MA DIT QU’ELLE… » à ce moment là Cylia descendit

Des escaliers, elle avait réussi à mettre, son déshabiller ! Quentin dégluti devant la sensualité

de la sœur de Tam, se déshabiller mettait en valeur ses longue jambe et bien entendue

Sa magnifique poitrine ! Quentin re-bandait de plus belle heureusement pour lui il était

Assis, car il ne pouvait plus bouger devant la l’excitantes de beauté de Cylia ! IL ne pouvait

Que balbutiait des mots dans sa barbe puis il réussit à reprendre son contrôle ! Tam s’adressa

A sa sœur aînée « VRAIMENT CYLIA TU ESSAIS OBLIGER DE T’HABILLIEZ AINSI ! MAIS

BIEN SUR MA CHÉRIE ! IL FALLAIT FAIRE HONNEUR A NOTRE INVITER ! TU VŒUX

DIRE QUE MOI JE NE LUI FAIS HONNEUR ! MAIS SI TAM ! SA A L’AIRENT TRÈS

APPENDISSENT CE QUE TU A PRÉPARER POUR LE DÎNER ! » dit Quentin pour calmer

Le jeu entre les deux les femmes. Les deux sœurs se calmèrent et s’assaillaient ! Tam,

A droite de Quentin et Cylia, a sa gauche «EN TOUS CAS MOI J’AI FAIM ! » dit Alexe,

En mangent une boulette de riz ! « TU A RAISON, ALEXE ! SA S’ALLÈRENT FAMEUX ! TAM,

TU ES UN VÉRITABLE CORDON BLEU ! MERCI QUENTIN ! NE SOIT PAS MODESTE TAM !

SES VRAIS QUE TU ES UN CORDON BLEU ! » Dit Cylia ! Tam, toute rouge devant ses Compliments faillit s’étouffer à la premier boucher. Tam, après qu’il est fini l’entrer se leva pour aller chercher

La suite du repas. Alexe, en profita pour allongé ses jambes, et tenta de masturbé avec ses pieds,

Les testicules de Quentin ! Ce dernier apprécia l’initiative de la jeune fille. Chapuis, n’était pas insensible au charme de l’adolescente ! Cylia, remarqua le manège entre sa jeune sœur et le fiancer de Tam,

Elle mis une main sur une cuisse de Quentin et lui dit à l’oreille «s ‘A TE FAIT QUOI ? D’ÊTRE ENTOURER DE TROIS FILLES, AUSSI BELLE QUE NOUS ! ET BIEN JE…JE SUI TRÈS TROUBLER ! » Elle repoussa les pieds de sa petite sœur et tira sur la fermeture éclaire de sa braguette ! Sa queue émergea tout de suite et la tête d’Alexe sorti de sou La table ! « ALEXE QU’EST-CE QUE TU FAIS-LA ? »Dirent en cœur Quentin et Cylia ! « LAISSE MOI FAIRE PETITE PESTE ! » Dit Cylia, furieuse Quentin, ne voulant mécontenter personnes dit « MES MESDEMOISELLES Y EN A ASSEZ POUR TOUTES LES DEUX ! » Les deux sœurs s’arrangèrent ensemble ! Alexe ouvrit la bouche et Cylia le branla !

Tout en lui présentant ses seins ! Il les suça goulûment ses nichons ! Les pinça et les Pelotant et il jouit très vite ! Grâce au mains expertes de Cylia, et a la petite langue fourchue d’Alexe, cette dernière avala tout et lui lécha la tige et les couilles ! Tandis que sa sœur aîné continuait Son massage ! Tam Revenait

De la cuisine avec un plat de nouilles farcie sa spécialité. Quentin ce leva en remontant très vite sa braguette mais il bandait tellement, qu’il n’y Arrivait pas ! Alexe elle se rassit très vite ! « EXCUSEZ-MOI IL FAUT QUE J’AILLE AU TOILETTE ! » Dit Quentin penaud ! Tam, s’aperçut que sa braguette ne fermait pas ! Et qu’il bandait ! Il montât à l’étage, Tam le suivi en disant »attend ! QUENTIN ! HEU…  ! JE VAIS AVEC TOI ! J’AI QUELQUE CHOSE APPRENDRE EN HAUT ! » Elle Monta avec lui. Tam, pensai que Quentin, avait besoin de se soulager après avoir vu sa Sœur en déshabiller ! Il entra dans

Les cabinets et voulut refermer la porte mes Tam, l’en n’empêcha ! Et elle dit «je VAIS T’AIDER A TE SOULAGER MON AMOUR ! » Elle s’assit Sur les toilettes, mais avant elle enleva sa culotte et remonta sa jupe ! Quentin tira le Verrou, et baissa son pantalon ! Tam tira sur son caleçon et sa queue se mis au garde-vous ! « HO ! MES IL Y A URGENCE A CE QUE JE VOIS ! » Et elle avala sa queue !

Elle s’était beaucoup entraîner avec le godmichait que Cylia, lui avait donner ! Et Quentin mis une mains dans ses cheveux et les caressa ! « HO ! OUI TAM ! TU T Y PRENDS BIEN SES BON SUCE ! OUI !

SES SA SUCE ! » Il mis sa mains gauche derrière la nuque de Tam et sa mains droite sur sa tête et appuya pour faire entrer sa queue entièrement dans la bouche de Tam ! Voir la tête de Tam, monter et de descendre le long de sa verge. L’excitait énormément, il avait en rêver pendant les six derrières année qu’elle lui suce la queue ! Sa bouche était le plus doux des fourreaux ! Sa langue exquise ! Quentin,

Ne teindrait plus très longtemps ! Mais pour l’instant il lui maintenait, la tête fermement, il avait bien l’intention d’éjaculer au fond de sa gorge ! Qu’elle soit consentante ! Ou non !

Au Bout de quatre minutes, il éjacula, au plus profond de la gorge de Tam ! il la retenait encore,

Le temps, pour quelques saccades de sperme jaillissent dans sa bouche ! puis retira, sa mains

De derrière la tête de Tam, se retira aussitôt ! Et poussa un meuglement de soulagement ! reprenant

Son souffle ! Un filet de sperme la reliait toujours a la queue de Quentin ! Et dit « BON ! JE CROIS QUE TU ES CALMER ! JUSQU'A TOUT A L’HEURES ’ » Quentin, embrassa sur le front Tam, elle se

Leva sans remettre sa culotte ! Et alla se laver les dents ! Quentin ramassa sa culotte, la renifla !

Puis la mis dans sa poche. Ensemble, ils redescendirent les escaliers et allèrent finirent le dîné !

Après le dîné, Cylia, Alexe, allèrent se coucher, Tam, fit la vaisselle. Quentin, lui buvait une tasse

De café, et admirais les longues jambes de Tam ! Et il repensa à ce qu’il avait dans la poche. Il sortit

La culotte, de sa poche et la renifla ! Puis il regarda le cul Tam, qui s’agitait à astiquer les assiettes !

Quentin discrètement enleva son pantalon et baissa son caleçon ! et se dirigea vers l’évier pour y

Déposer sa tasse. Il mis ses deux mains sur les seins de Tam, elle poussa son bassin vers l ‘arrière

Pour accentuer la pression, de la queue en érection sur la raie de ses fesses ! « MES TU BANDE

COMME UN COCHON ! OUI JE BANDE ! POUR TOI MON AMOUR ! TU MA MIS EN APPÉTIT ? TOUT

A L’HEURE ! » Quentin embrasse Tam, dans le cou et Tam, lâcha l’assiette qu’elle tenait et s’agrippe

A l’évier puis elle recule son bassin et se penche au maximum ! Quentin, retroussa sa jupe ! Lui mis le bout devant la bouche et lui demanda de mordre dedans pour que la jupe ne retombe pas. Quentin, sorti

Son tube de Vaseline. Il appliqua la crème sur sa l’entrer de son trou du cul et dans le rectum de Tam,

Puis, il y mit un de ses doigt pour bien la lubrifier ! Il tenait à ce que Tam, apprécia sa première sodomie ! « ATTENTION ! TAM, AGRIPPE-TOI BIEN A L’EVIER J’Y VAIS ! » Quentin, mis sa bitte sur la raie des fesses de Tam, puis il rentra doucement sa bitte dans le cul de Tam ! « AHA ! OH ! HA ! SA FAIT UN PEUT MAL ! QUENTIN ! OUI ! MES TU VA VOIR SA VAS ÊTRE BON ! TAM ! » Quentin mis des violents coups de reins, qui fit rentrer sa queue très profondément au fond du cul de Tam, puis inspecteur Chapuis, fit de petit va et vient ! En là Tenant par les Hanches, et doucement, il remonta son chemisier,  pour pouvoir la peloter à deux mains ! Maintenant ses Tam, qui Poussait son bassin et faisait des va et vient ! Quentin jouit rapidement et en se Retirent-il lui aspergea les fesses, avec une grande satisfaction ! Et il s’affala sur elle ! « OHO…  ! C’ÉTAIT TROP BON ! TAM ? CHÉRIE ! » Tam

Abandonna sa vaisselle, et grimpe-les escaliers, quatre à quatre ! Tirée par la main très vigoureuse de Quentin ! Arrivé dans la chambre de Tam, ils enlevèrent leurs vêtements ! Et se jetèrent dans les bras l’un de l’autre et Firent l’amour toute la nuit ! Les gémissements de Tam, et les cris de plaisirs de Quentin, résonnèrent dans toute la maison Cylia, attrapa son godmichait et se masturba pour ce calmer ! Au même ritme que des deux amoureux ! Alexe, elle retira son drap et glissa ses doigts sou sa nuisette ! Pour se Masturber ! Elle essaya de se souvenir du plaisir que Quentin, lui avait fait éprouver quelques heures plutôt ! Elle gémissait et ses petits cris excitaient sa grande sœur, qui se leva en prenant sa ceinture Godmichait ! elle ne frappa pas alla porte de la chambre de Alexia, et la vit se cambré dans

Tous les sens avec deux doigts dans la chatte et deux dans le cul ! En scandant le non de Quentin ! Cylia, ce dit que Tam n’était pas la seul a qui Quentin, avait rendu visite ce soir ! Alexe en sueurs et allaitant vit sa grande sœur, avec la ceinture godmichait ! Autour de la taille ! « TU VA VOIR MA CHÉRIE ! SES PAS LA QUEUE DE QUENTIN ! MES ELLE LA REMPLACERA TRÈS BIEN ! DE TOUTE FACON SA QUEUE ALLÈRENT D’ÊTRE TRÈS OCCUPER AVEC TAM ! » Répondit Alexe a là proposition de Cylia ! Alexe présenta son postérieure a sa sœur ! Qui le lui lécha et Cylia, présenta sa chatte bien raser à Alexe et dit  « JE TE PRÉPARE EN TE SUÇANT TES ORIFICES TOI TU ME FAIS UNE MINETTE ! MAIS CYLIA, JE NE SES PAS FAIRE CA ! TU N’A QU’A FAIRE COMME POUR TOI ! TU T' Y PRENDS TRÈS BIEN MA CHÉRIE ! » Alors, Alexia mis deux doigts dans le cul de Cylia ! Et lui susurra le vagin ! Pendant que Cylia, introduisit doucement un petit god dans le vagin d’Alexia ! Qui poussa de nouveau gémissement ! Cylia, apprécia les coups de langues d’Alexe ! Puis Cylia, pris Alexe en levrette, par le cul en laissant le petit god dans le vagin d’Alexe ! Elles jouirent toutes les deux au bout de vingt bonnes minutes ! Cylia, laissa Alexe, toutes tremper allonger sur le ventre la nuisette a moitié enlever ! et

A la se coucher ! Il n’y avait plus de bruit dans la maison, apparemment les deux tourtereaux avaient cesser De faire l’amour pour dormirent !

LA SUITE DANS LE PROCHAIN, ÉPISODE !

Qui ne connait pas Nabilla? Star de la téléréalité d'origine maghrébine, elle s'est rendue célèbre à moitié par ses répliques dignes d'une bimbo décérébrée et à moitié par son physique aguicheur. A propos de ce dernier, ce qu'on remarquait en premier en regardant cette starlette, avant même son épaisse chevelure noire, ses traits plutôt flatteurs ou sa peau mate et lisse, ce sont ses deux seins aussi énormes (95E!) que factices. Tellement gros que la plupart des gens ne remarquent qu'eux en rencontrant cette jeune femme. Ils déséquilibrent même sa silhouette au point de faire oublier qu'elle possède aussi une jolie paire de fesses bien fermes et rebondies. 

Cette fameuse paire de seins, Nabilla en a fait sa marque de fabrique et son ticket d'entrée pour bien des castings et des émissions. Elle la met toujours « en valeur » avec des tenues décolletées frisant souvent le vulgaire : tops moulants et échancrés, soutien-gorges push-up, minijupes au ras des fesses, etc. Les magazines peoples adorent étaler sa silhouette sur leur couverture et publier ses interviews toutes plus vides d'intérêts les unes que les autres. 

Voilà l'image que renvoie Nabilla au monde et aux gens qui suivent ses « aventures » à la télévision : l'image d'une poufiasse pas très fine et carrément vulgaire. Cependant, les gens qui ne s'arrêtent pas à son image simplette se rendent rapidement compte d'une chose : aussi superficielle et stupide qu'elle peut sembler, Nabilla est loin d'être une idiote complète. En effet, une idiote aurait tôt fait de tomber dans l'oubli alors que Nabilla prend soin de toujours faire en sorte qu'on parle d'elle en bien ou en mal. La jeune femme suit pour cela un plan longuement réfléchi qui doit lui assurer une célébrité longue et surtout rentable. Malheureusement pour elle, ce plan n'a pas pris en compte la détermination et les fantasmes de certains de ses fans...

Perchée sur des talons de 10cm de haut, Nabilla traversait d'un air hautain les rues de Genève, la ville où résidait une partie de sa famille. C'était son après-midi shopping et shooting pour les paparazzis et elle comptait bien en profiter pour faire encore parler d'elle! Pour cela, la jeune femme portait une robe-bustier noire ridiculement courte, ne couvrant que l'essentiel, et mettant encore plus en valeur ses seins énormes. Elle avait aussi choisi des talons aiguilles d'une douzaine de centimètres complétant son look de salope savamment étudié. 

Elle savourait les regards envieux et admiratifs que pouvaient lui lancer des gamines de 15ans, décochait des sourires coquins aux jeunes adolescents qui devaient se branler tous les soirs en pensant à elle et ne daignait même pas regarder les vieux qui la regardaient passer avec mépris. En fait, la jeune femme se fichait de ce qu'ils pouvaient tous penser d'elle, du moment qu'ils pensaient à elle et lui permettait de rester célèbre.

Soudain, Nabilla entendit un moteur qui rugissait et des gens qui criaient derrière elle. Tournant la tête pour voir ce qui se passait, elle aperçut un van noir qui montait sur le trottoir à toute vitesse et des passants qui se jetaient hors de sa trajectoire. Poussant un cri de surprise, elle voulut se jeter hors de portée du véhicule mais elle trébucha à cause de ses talons. S'attendant à être écrasée par le van, la jeune femme leva les bras pour se protéger. Mais elle fut soulagée d'entendre les freins du van hurler et de voir le véhicule s'arrêter juste à côté d'elle.

Tout aussi brutalement que le van était arrivé, sa portière latérale coulissa dans un grand bruit et deux hommes cagoulés en sortirent. Pétrifiée, Nabilla réagit à peine quand ils l'attrapèrent chacun par un bras et la soulevèrent sans ménagement. Le cri qu'elle voulut pousser s'étrangla dans sa gorge au moment où ils la jetèrent vers l'intérieur du van. Un troisième homme la réceptionna rudement et se chargea de l'immobiliser d'une main experte. Les deux autres grimpèrent aussi vite qu'ils avaient déboulé sur le trottoir et refermèrent la porte derrière eux. Démarrant en trombe, le van disparut aussi vite qu'il était apparu, laissant derrière lui une vingtaine de passants choqués et abasourdis par ce qu'ils venaient de voir.

Dans le van, après s'être débattue comme elle pouvait, Nabilla sentit qu'on lui appliquait un chiffon sur le visage et elle perdit rapidement connaissance...

La jeune femme émergea difficilement de sa perte de connaissance, tout autour d'elle était sombre et cotonneux. Il lui semblait entendre des gens murmurer mais elle ne comprenait pas ce qu'ils disaient. Elle déglutit péniblement et tenta de rassembler ses esprits afin de se débarrasser des dernières vapeurs de la drogue qu'on lui avait administrée. Ses ravisseurs l'avaient installé sur une chaise et, lorsqu'elle tenta de bouger, elle se rendit rapidement compte qu'on lui avait soigneusement attaché les bras et les jambes à cette chaise. Nabilla tenta de se débattre, d'abord faiblement puis, au fur et à mesure qu'elle terminait de reprendre connaissance, de plus en plus énergétiquement. 

Quelques rires retentirent autours d'elle et elle redressa la tête. Ce qu'elle vit la fit déglutir tandis qu'une boule d'angoisse se formait dans son ventre. Il y avait beaucoup de gens autour d'elle, Nabilla ne prit pas le temps de les compter mais il devait y en avoir au moins une bonne vingtaine. Ils portaient tous des cagoules pour masquer leurs visages et la jeune femme pouvait distinguer plusieurs caméras. Certains prenaient même des photos avec une excitation palpable. 

« On dirait que Madame la salope se réveille enfin! » Annonça d'une voix forte un grand homme un peu ventru tout en la saisissant par les cheveux. 

Les autres rigolèrent un bon coup, parfois un peu nerveusement, et Nabilla se débattit pour échapper à la poigne de l'homme. Elle cria :

« Putain mais lâche-moi connard! Détachez-moi bande de fils de pute sans couilles ou je vous jure que...

- Ta gueule sale pute! » Lâcha le premier homme. 

Sans réfléchir, la jeune femme lui cracha au visage, atteignant sans difficulté l'un des yeux non protégé par la cagoule. L'autre recula, un peu surpris et s'essuya en grognant. Ses yeux étincelaient, remplis d'une colère haineuse et la jeune starlette se dit rapidement qu'elle n'aurait peut-être pas dû faire ça. Le coup de poing l'atteignit juste sous la pommette et les envoya s'écraser au sol elle et sa chaise. Nabilla laissa échapper un glapissement de surprise et de douleur. Dans le public certains semblèrent un peu mal à l'aise.

« Depuis le temps que j'en rêvais, rigola l'homme qui l'avait frappé. Mais ne t'inquiète pas, ça ne fais que commencer... »

Encore sous le choc du coup, Nabilla ne réagit pas quand il remit la chaise sur ses pieds. Elle ne bougea pas non plus avant qu'il ne l'attrape à nouveau par les cheveux et qu'il ne la force à ouvrir la bouche. Il sortit un truc de sa poche et entreprit de le faire rentrer dans la bouche de la starlette qui tenta de refermer sa mâchoire. Mais malgré ses efforts, elle ne put l'empêcher de glisser un écarteur de mâchoires entre ses dents. Puis il rigola tout en reculant pour dévoiler le résultat à ses comparses. 

L'accessoire dans sa bouche forçait Nabilla à garder sa bouche grande ouverte et elle ne parvenait plus qu'à pousser des gémissements plaintifs. Elle tenta de secouer la tête pour faire tomber l'appareil mais celui-ci avait été soigneusement sanglé autour de sa tête. 

« Et voilà messieurs! Remarquez que pour ce qu'elle dit d'habitude nous n'avons pas perdu grand-chose au change! »

La remarque de l'homme fut accueillie par une nouvelle vague de rires gras, plus détendus que quelques instants plus tôt. La starlette vit que certains des hommes masqués s'approchaient avec les caméras l'épaule, ne perdant pas une miette de la scène. Sur sa chaise la jeune s'agitait de plus en plus, sentant bien que les choses n'allaient vraiment pas évoluer dans le bon sens...

L'homme vint se placer juste derrière elle, regroupant l'épaisse tignasse noire de la jeune femme d'une seule main tandis qu'il plaçait ses lèvres juste à côté de l'oreille gauche de Nabilla. Celle-ci continuait de gémir en tentant vainement de demander à ses agresseurs de la laisser repartir. L'homme la prit par les épaules, presque délicatement, puis il lui susurra :

« Ca fait si longtemps que je vois ces deux beautés s'agiter sous mes yeux... Aujourd'hui c'est le plus beau jour de ma vie... »

Il empoigna alors les seins de Nabilla à pleines mains. La jeune femme poussa un cri de surprise qui fut déformé par l'écarteur entre ses dents. L'homme commença par les soupeser doucement, appréciant leur poids et leur taille à travers le tissu fin de sa robe moulante. Puis il entreprit de les malaxer et de les pétrir avec rudesse, les écrasant alternativement de ses grosses mains, et ensuite les pressant l'un contre l'autre, faisant encore plus ressortir son incroyable décolleté. Pour finir, il jongla avec eux, les faisant sauter l'un après l'autre avec ses mains jusqu'à ce qu'ils échappent au tissu de la robe-bustier sensé les retenir. 

Le public siffla et rigola comme une bande d'adolescents en rut en voyant apparaitre les mamelons légèrement foncés. A force de de gémir en tentant de protester et à cause de l'écarteur qui lui maintenait la bouche ouverte, Nabilla commençait à baver, sa salive dégoulinant sur son menton, sa robe et sur ses deux grosses mamelles généreuses. L'autre arrêta de jongler avec ses seins et reporta son attention sur ses mamelons. Il les tritura entre ses doigts, les pinça durement en faisant couiner Nabilla et les étira vers le haut, le bas, la gauche, la droite... Un des spectateurs voulut s'approcher pour se joindre au jeu mais il fut retenu par les autres : leur tour n'était pas encore venu.

Au bout d'une poignée de minutes, l'homme délaissa finalement ses seins pour passer devant elle. Il se plaça à peine à une vingtaine de centimètres du visage de la starlette et ouvrit lentement sa braguette. 

« Il est temps pour toi de prendre ta dose de bonne bite 100% pur porc! » Annonça-t-il fièrement en exhibant son sexe.

Sa queue devait approcher les 20 cm de long, était bien épaisse et soigneusement rasée et deux grosses couilles bien rondes complétaient le tableau. Nabilla avait beau n'être qu'une bimbo, elle n'était pas assez stupide pour ne pas comprendre ce qu'il allait faire. Elle tenta de détourner la tête et redoubla de gémissements. L'autre se marra encore une fois et saisit sa chevelure d'une main pour maintenir la tête de la jeune femme en place. De l'autre il attrapa sa queue et la présenta devant la bouche grande ouverte de Nabilla. 

« 3... 2... 1... Bouffe ça salope!!! »

Il lui enfonça sa bite toute entière dans la gorge, d'un seul coup. Aussitôt la captive commença à tousser, sa gorge se contractant autour du sexe qu'on lui imposait. Poussant un râle de plaisir d'avoir enfin sa queue plongée dans la bouche de cette beurette, l'homme ferma les yeux pour mieux apprécier le moment. Puis, lentement, il tira sur les cheveux de Nabilla pour faire ressortir son sexe de sa bouche. Arrivé à la moitié de la longueur, il renfonça à nouveau la tête de la jeune femme sur sa queue. Puis il recommença, se servant de la tête de la starlette comme d'un sextoy.

Nabilla était dégoutée par cette queue sentant la sueur qu'on venait de lui fourrer dans la bouche mais elle était trop bien entravée pour parvenir à résister. Résignée, elle se concentrait sur l'idée de rendre cette fellation la moins désagréable possible... Soumise, elle n'émettait plus de gémissements que pour la forme.

« Regardes-moi dans les yeux sale pute! » lui cracha alors son tortionnaire.

La jeune femme leva les yeux vers le visage cagoulé de son agresseur. Ils brillaient de haine et de dégout pour cet homme et il le remarqua rapidement.

« Oh oh... C'est qu'on dirait bien que Madame n'est pas contente! Ricana-t-il. En même temps, en tant que ton plus grand fan, j'aurais été déçu qu'une simple fellation suffise à te mater... Par contre ce qui va suivre... »

La menace dans sa voix suffit à elle seule à faire tiquer Nabilla qui tenta brusquement de résister à nouveau. Mais elle ne fut pas assez rapide, et de toute façon trop bien attachée, pour empêcher son « plus grand fan » de saisir sa tête entre ses deux mains, de l'avancer brutalement sur sa queue, puis de se mettre à baiser sa gueule de toutes ses forces.

Il fallut à peine une seconde pour que la jeune femme se mette à pousser des hurlements de douleur étranglés sous les coups de boutoirs sadiques qu'il lui infligeait. La gorge de la starlette laissait échapper d'écœurants bruits humides à chaque fois que la bite du bourreau entrait et ressortait de celle-ci. Celui-ci n'arrêtait pas de l'insulter :

« Ah putain salope, t'aimes ça hein???!!!! Grosse pute, comme c'est bon de t'baiser ta putain d'gueule d'arabe de merde!!! »

Nabilla était prise de haut-le-cœurs, des spasmes lui saisirent les tripes mais elle parvint à se retenir de vomir. Par contre, elle bavait de plus en plus abondamment, ça coulait sur ses seins jusqu'à les rendre brillants de salive et ça détrempait sa robe. Son violeur utilisa ses pouces pour la forcer à garder les yeux ouverts et lui cracha trois fois sur le visage pour faire bonne mesure. Autour d'eux, les autres hommes criaient des encouragements à leur camarade et des insultes à la star de la téléréalité. Mais leurs propres cris étaient couverts par le hurlement strident de douleur qui s'échappait presque en continu de la gorge de Nabilla. L'homme qui avait entrepris de lui baiser la gueule semblait d'ailleurs s'énerver de plus en plus...

Après moins de 5 minutes de baise intensive, alors que les cris de la jeune femme avaient atteints un niveau sonore insupportable. L'homme laissa alors éclater sa colère :

« Mais tu vas la fermer ta putain de gueule de bougnoule???!!! »

En un instant, il vint caler sa queue au fond de la gorge de Nabilla et, bloquant sa tête d'une main, il vint lui pincer le nez pour l'empêcher d'inspirer de l'air par cette voix. La jeune femme se trouva encore plus paniquée qu'elle ne l'était l'instant d'avant. Incapable de respirer normalement par le nez ou par la bouche, elle commença à suffoquer. De nouveaux spasmes traversèrent sa cage thoracique alors que ses poumons luttaient pour faire passer un peu d'air par sa gorge. Bien trop peu pour que cela soit suffisant. La starlette devint rapidement bleue et ses yeux commencèrent à se révulser en arrière tandis qu'elle perdait progressivement connaissance...

Alors qu'une part d'elle-même s'apprêtait à accueillir la mort avec soulagement, Nabilla crut entendre des cris de protestations lointains. Brusquement, elle parvint enfin à respirer normalement et elle sentit sa chaise s'effondrer par terre. 

« Faites chier bordel!!!

- On était d'accord merde! Faut en laisser pour les autres, tu pourras en faire ce que tu veux quand tout le monde aura passé son tour... »

Sur le sol, Nabilla sanglotait abondamment, la gorge douloureuse et la voix brisée... Le pire était encore à venir...