Non catégorisé

Mercredi 29 octobre 3 29 /10 /Oct 15:08

Personnages choisis cette aventure sont : Sam 16 ans (rousse, yeux vert), Clover 16 ans (blonde yeux bleu), Alex 16 ans (cheveux très cour, brune yeux bleu), Jerry 50 ans, Mandy 16 ans (cheveux très long, noir, yeux bleu),

TOTALLY SPIES

LE SHOPING EST UN MISSION TRÈS SPORTIVE I

Sam, Alex et Clover, dallaient dans leur centre commercial favori a  Beverly Hills. A peine entré les trois adolescentes se séparaient, Sam, qui voulait un maillot de bain, fila ver la boutique où on en vendait. Alex à qui il fallait une nouvelle tenue de foot Ball, allât dans un magasin spécialiser. Clover, a son habitude chercha un jeune garçon, pour le dragué. Elle jeta son dévolu sur un grand, assez baraqué, qui portaient, des lunettes de soleil. Il entra dans une boutique ou on vendait des vêtements de sport. Clover le suivit comme un petit chien.

L’jeune homme devait avoir un peu moi de trente ans, il mesurait dans les un mètre quatre vingt. Les cheveux châtain, les yeux bleus, allure sportif. Il entra dans un magasin qui vendait des articles, pour le best jumping et pour toutes les activités des mêmes genres. Il alla, dans un rayon consacré au saut a l’élastique. Clover, le dévorait des yeux, il se retourna ver elle. La blonde, prit ça pour un appelle et s’approcha de lui. « Vous amer les sports, extrême ?_ Heu… oui ! !_Moi, aussi  j’adore cela ! » comme a son habitude elle se mit a en faire des tonnes, pour voir ce qui branchait le jeune homme. Clover, se collait a lui, et frottait sa poitrine sur son torse. Le jeune homme, rougissait, qu’une aussi si jolie jeune fille, s’intéresse à lui.

La main, de la blonde, heurta involontairement, ses partis génitales, ce qui amorça, une petite érection. Bien entendu Clover, avait fait exprès de lui peloter les couilles, Le jeune homme, n’en pouvait plus, il prit la main de là petite blonde et l’entraîna avec lui dans une cabine d’essayage ! Clover, a peine les rideau de la cabine refermer, lui sauta au coup du jeune homme, il y avait une différente d’âge et de taille entre les deux. Mais, sans l’empêcha pas, de  et l’embrassé de façon très langoureuse. Leurs langues, s’entre mêlèrent, le baiser dura plus d’une minutes. Les mains du jeune homme, se posèrent sur les fesse de Clover il là pelota quelques secondes. Puis, il essaya de remonté sa petite jupe, au-dessus de son fessier. De manière à pouvoir, lui baiser sa culotte, pour lui caresser les fesses.

Clover, n’était pas en reste ses mains, habiles, lui défirent son pantalon. Elle le baissa juste assez, pour plonger ses petites mains dans son caleçon. Là petite blonde, lui caressa son membre, pendant de longue minutes, elle sentit des doigts, qui tentait de là sodomiser, se qu’ils firent bien sûr ! Clover, passa une main derrière son bustier, pour tentez de retiré les doigts, de son amant de son petit trou du cul. Il saisit, çà main et de l’autre il là fit s’agenouiller entre ses jambes. Clover, savait se qu’elle devait faire, espionne de charme, elle savait comme personne faire, avoué aux hommes leurs secret, rien quand leurre léchant leurs queue ! Là blondinette, aider des sa main libre, libéra complètement la verge du caleçon et ses mit a la branler.

Là blonde, se lécha les lèvres, elle en avait jamais vus une comme ça. Il mesurait devait, faire au moins, cinq centimètre de diamètre, elle aurait du mal a le tenir entre ses lèvres ! L’adolescente s’agenouilla, et commença par lécher les testicules, avant de s’attaquer au colosse ! Clover, était un experte de la pipe, tous les mecs avec qui elle est sorti, y on eu droit ! « Au faite ! Lapps ! Lapps ! Je…M’appelle…Lapps ! Clover ! Et vous ? _Ohooo ! Je… Je m’appel David ! Je … sui un vi…Ohooo ! Oui ! Lèche bien la ! Ohooo ! Comme ça ! Lapps ! Slruppp ! »

Elle commença, par faire des cercles, en collant sa langue sur le bout du gland comme si elle roulait un patin. Elle écarta les lèvres et la mâchoire comme jamais elle avait du faire ! L’adolescente, étouffa en engloutissant le gland, ses meuglements, excitait beaucoup, David !

Clover, lui, pompait la queue, mieux que l’aurait fait, un aspirateur a bitte, si, il en excitait ! « Ohooo ! Ses bons ! T’es une vraie petite "salope" ! Mummmm ! Ahaaa ! oui ! tu ses y faire, aves ma bitte ! _ Muuurrrr ! Argggg ! Ohmurrrrr… » David, avait passe sa main droite sur la tet de Clover et donnait de petits coups de reins. David, s’amusait a retiré complètement sa verge de la bouche de là jeune fille, ensuite il lui ré-enfonçait d’un seul et tout entier, son membre entre ses lèvres jusqu’a la garde. Il l’obligea a lui limer juste le gland, en faisaient de petite aller retour dans sa bouche. Là bonde, avait l’impression, de servir de piston a la queue de David. Ils, poussait de grand râle, tandis que là pauvre adolescent meuglait, qu’elle avait du mal a respirée. David, lui enfonça tous la longueur de son colosse dans la bouches et commença de petit mouvement de va et Vien très rapide. Tous le corps fût, de David pris de crispation et il, lâcha, une grosse giclé de sperme dans la bouche de l’adolescente. Clover, qui était en apnée, avala, tous le sperme comme si elle avait bus la tasse. Il là libéra des on emprise quand il sentit qu’elle pourrait plus respirer.

Clover essaya de vomir le sperme, qu’elle avait dû avaler, pencher sur le coter, Davide lui s’accroupit se lui caressa les mollet puis remonta jusqu’au haut de ses cuisses.  S sa main rentra dans la petite culotte de l’adolescente et ses doigts lui pénétrèrent le vagin ! elle sentait, un index et un pouce qui écartait sa vulve, un majeur la pénétrait et faisait des va et viens rapide. David, avait un regard lubrique dans les yeux, Clover, sentait que ses caresse, sur son clitoris, essayait de là faire mouiller rapidement, là jeune fille, comprenait que si un homme, faisait ça s’était pour là préparé. Là préparé, pour un bonne pénétration, elle réfléchit. Là blondinette, ne tenait pas a se faire sauté au premier rendez-vous ! Clover, releva elle voulait sortir, elles remontent sa petite culotte et empêchait les mains de David de remonter sa jupe. Là adolescente, entrouvrit le rideau de la cabine, d’essayage, mais une main la rattrapa et lui fit faire demi-tour. David, ne se contenterait d’une fellation ses yeux, et son souffle saccadé, le faisait ressembler à une bête en rut !

Il là bâillonnât avec une seule main, la deuxième lui arracha sa petite culote et lui retroussa sa jupe, au-dessus de ses petites hanches fines. En se débattant, là jeune fille, se retourna, facilitant le travail de homme, qui désirait ardamment là prendre comme une chienne. David, empoigna sa bitte et enfonça dans le vagin de Clover. Elle se débattit un peu, Mais la force de son agresseur, était plus grande, il là prit debout en levrette. Contre le miroir de la cabine, Trois bon coups de boutoirs, firent pénétrer sa verge jusqu’a la garde. Clover, meuglait, dans la main de David, celui respirait en haletant très fort. Il se calma enfin, l’adolescente, semblait vaincu, il enleva la main qui là bâillonnait. Il pouvait, a loisir déchiré son bustier, pour pouvoir lui peloter ses seins. Elle gémissait un peu, il faisait des va et viens était plus lent, un peu de sang avait giclé. Il avait déchiré, l’entré du vagin a cause du diamètre démesuré de sa queue. Il sentait que l’adolescente, n’était pas vierge. Mais, elle était encor très étroite, David souriait, il faisait son trou dans le vagin de Clover.

David, tout doucement commença a accéléré la cadence de ses coups de reins, dans l’échine de Clover, Là jeune ne fille, était secoué, en tous sens ! Il malaxait sa poitrine comme si s’était de la pate, sans aucunes délicatesses. Clover, était pas contente, elle se promettait, qu’elle lui donnerait un bon coup de pied dans les couilles après qu’il en eu fini ! David, avait réussir a introduire, toute la longueur de sa verge en elle. Ses coup de reins, ne tarderait pas a le faire jouir, il se promit qu’il lui pincerait violement ses téton en même temps.

Ses va et vient devenait de plus en plus fort, ses testicules frappaient les fesses, de Clover. Il se remit à lui malaxer les seins, elle ne sentait plus sa vulve, tellement elle avait mal et sentait le plaisir monté en elle ! David, prenait son pied en défoncé, la petite chatte de cette jeune fille qui devait avoir, facilement, dix de moins que lui ! Tout à coup, il donna trois coups de boutoirs plus fort, que les autres et sorti rapidement du sexe de l’adolescente. Il empoigna, sa verge et éjacula sur le fesses, rebondie de là blondinette. Peu après, Clover, s’écroula sur le sol, juste après, Le couple, semblait avoir du mal a respirées, ils haletaient tous les deux comme si il venait de courir un marathon !

Clover, plongea la main droite dans son sexe, il n’était plus qu’un trou béant. David lui avait élargi le conduit, se doigt farfouillait sa vulve. Plus jamais elle ne serait étroite de se coter la, il lui restait plus que son trou du cul, elle espérait qui allait pas exiger d’elle qui lui présente. Elle amena, a sa bouche ses doigts plein le sperme, qu’elle avait prit dans sa chatte. David, rangeait son sexe dans son caleçon et remonta son pantalon. Il affichait, un souri de vainqueur, là jeune fille, était plus qu’une loque, elle pensait sentirez avec une simple pipe. Mais, David l’avait baisé comme une chienne, en lui défouraillant la cage a miel. Le jeune homme, remonta sa fermeture éclair, il se pencha et embrassa le front de Clover. « A samedi, prochain ! Même heure ! Même boutique ! »

 Puis il sorti, fier de se qu’il avait fini de faire, Clover, resta Béa, pendant dix autre minutes, elle secoua sa tête blonde, « Mais pas vrais ! Je ne crois pas ! Qu’elle porc ! Me baiser, au premier rendez-vous ! L’enfoiré, de merde ! »

 D’habitude c’est elle, qui fixait les rendez-vous, elle fit une grimace, en pensant que sa réputation en prenait un coup…

A suivre dans prochain épisode

Par lina
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Lundi 27 octobre 1 27 /10 /Oct 21:48

Cela se passa lors de la troisième année d’Hermione à Poudlard. Comme Ron et Harry étaient allés seul dans la forêt sans elle l’année précédente (elle était paralysée) elle décida d’y aller seule pour voir comment c’était !

Elle s’enfonça dans la forêt sa baguette à la main et marcha pendant quelques dizaines de minutes jusqu'à ce qu’elle arrive dans une petite clairière où un arbre était abattu !

 

Soudain elle entendit un bruit de cavale derrière elle et se fit plaquer contre l’arbre abattu avant D’avoir pu lancer un sort.

« Tiens, tiens qu’avons-nous là » dit une voix grave à son oreille. Hermione, plaquée face contre l’arbre, se

Contorsionna et aperçu ce qui l’entoura : quatre centaures adolescents dont un l’écrasant contre le tronc. «

Une petite sorcière qui se promène, j’ignore ce que tu es venue faire ici mais tu ne seras pas déplacée pour Rien » ajouta t il en lui arrachant sa baguette magique. Il lui arracha sa robe de sorcière et elle apparut en sous-Vêtement.

« Alors femelle tu es prête femelle» ajouta le premier centaure

« Non» hurla Hermione immobilisée « pitié pas ça je suis vierge»

« Tant mieux c’est meilleur» dirent les centaures en arrachant ce qui lui protégeait encore sa pudeur de petite vierge.

Le premier se mit en positon au-dessus d’Hermione qui avait ses maigres fesses d’adolescente à environ un Mètre du sol car elle était toujours couchée sur son tronc abattu. Le centaure mis ces pattes antérieures de chaque côté d’Hermione et l’écrasa avec la partie cheval de son corps tout en préparant à la pénétrer, il rentra sa bite de cheval d’un coup brusque dans le sexe d’Hermione qui se cabra en hurlant de douleur: la bite faisait 30cm de longueur et environ 5cm de largeur. Le centaure donnait de grands coups de boutoir le con de Hermione qui hurlait et pleurait de douleur en subissant le viol Chevalin. Le centaure augmenta ses mouvements dans le sexe étroit qu’il besognait avec plaisir : Ce sexe l’enserrait plus que le sexe de centaure femelle qui baisait habituellement. Après 10 minutes de va et viens, il s’enfonça complètement puis ne bougea plus pendant qu’il se déversait à long jet de sperme dans le con d’Hermione

« Ah ! Elle est bonne cette salope d’humaine dit le centaure en retirant sa bite du sexe d’Hermione; à vous les gars

« Ok à moi » dit un deuxième centaure qui présentait une énorme érection « En piste petite pouliche» dit-il a

Hermione en pénétrant son sexe dégoulinant de sperme

Hermione ressentait une douleur déchirante dans son sexe écartelé par les bites des centaures qui la prenait

Par derrière en la plaquant contre le tronc couché. Les coups de boutoirs du centaure la faisaient souffrir : elle

avait le sentiment qu’on lui introduisait une colonne de pierre dans sa chatte de plus en plus poisseuse et Dégoulinante de sperme.

Quand le quatrième centaure se retira après s’être soulagé dans la chatte d’Hermione le premier rebandant déjà !

« Tu vas sucer mes potes pendant que se dépucellerais le dernier trou.

« Non pas ça je vous en supplie » gémit Hermione, en pure perte, devant les trois centaures amateurs de fellations qui lui pressentaient leurs énormes queues, le centaure qui avait dépucelé Hermione présent sa pine chevaline devant le petit trou d’Hermione qui surplombait un véritable ruisseau de sperme qui s’écoulait de son vagin. La jeune femme sentit le gland du centaure forcer son intimité et la pénétrer; elle poussa un hurlement de douleur vite étouffé quand un autre centaure lui enfourna sa pine qu’elle commença à sucer comme une glace géante. Son sodomise ure lui agrandissait le cul a grand coup pendant ce qui sembla des heures à Hermione avec une douleur lancinante ininterrompue

Après ce qui lui sembla des heures le dernier centaure retira sa pine de sa bouche meurtrie et remplie de sperme, Hermione le corps brisé et secoué de sanglot les cuisses écartées l’abricot béant et des ruisseaux de sperme lui dégoulinant du sexe du cul et de la bouche, le chef des quatre centaures lui dit «Alors petite pouliche tu as aimé ça si oui revient quand tu veux.

 

Et ils repartirent vers la forêt en galopant...

Par lina
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Jeudi 16 octobre 4 16 /10 /Oct 16:44

Après plusieurs heures de route, la voiture de location s’arrêta sur la place principale de Francfort-sur-l’Oder. Sylla s’adressa à Toni.
- Toni, trouve-nous un petit hôtel pas trop cher, je vais au syndicat d’initiative, j’ai une petite idée…
- Si. On se retrouve ici dans une heure ?

Sylla marcha quelques mètres, puis croisant un agent de police, lui demanda en anglais où se trouvait le syndicat d’initiative de la ville. Dans un anglais hésitant, l’homme lui indiqua le chemin. Sur place, le fonctionnaire présent parlait un anglais impeccable. N’ayant jamais beaucoup de touriste, il était content de voir sa monotonie brisée… et surtout par une aussi jolie femme.

- Ainsi donc vous voulez organiser un événement dans notre région ? fit-il en abaissant ses lunettes.
- Exactement ! Mais j’ai besoin de vous, car je ne connais pas la région, et il me faut un endroit… un peu particulier…
- Rien d’illégal au moins ? fit l’homme d’un air soupçonneux, enlevant, puis remettant ses lunettes sur son nez.
- Non, non, rassurez-vous ! Il s’agit… d’un concert ! Oui voilà, un concert de jeunes groupes de rock, mais des groupes gothiques. Vous savez, ces jeunes qui s’habillent tout en noir… enfin, voilà, et ils aimeraient un endroit sinistre.
- Un endroit… sinistre ??? Comme une cave ou une grange abandonnée ???
- Je ne sais pas… plutôt un endroit historique chargé d’ondes négatives, où il y a eu des massacres par exemple, ou quelque chose comme ça… 
- Ah oui, comme le château ! La réponse fusa très vite. Mais l’homme se reprit. Hélas c’est impossible. Le vieux comte est complètement gaga, il ne laisse personne approcher de son château.
- Et c’est vraiment un endroit…
- Sinistre ? Oui alors ! Les ancêtres du comte – enfin comte, ils ne le sont plus depuis longtemps – étaient des gens violents et cruels. Ils ont tenu la région par la peur pendant plusieurs siècles. Et même avant eux, la région, et surtout les collines autour du château étaient des hauts lieux de chamanisme, et beaucoup de légendes courent encore sur cet endroit. Mais le comte ne veut pas faire visiter son château, il est gaga le vieux. Il fait même garder son château alors qu’il tombe en ruine ! C’est pas là qu’il y aura quelque chose à voler ! Les paysans superstitieux évitent l’endroit, et comme le vieux n’ouvre pas son château aux visites, il n’y a pas beaucoup de touristes…
- C’est l’endroit qu’il me faut ! fit Sylla.
- Abandonnez cette idée, il ne voudra jamais ! Par contre j’ai ici une vieille grange, soit-disant hantée… bon c’est un peu kitsch, mais je pense que cela pourra faire l’affaire, attendez, je dois avoir un dépliant par ici.

L’homme se retourna pour chercher le-dit dépliant sur un présentoir surchargé. Lorsqu’il se retourna, la chaise de Sylla était vide, et la porte de son office se refermait sur le corps gracieux de la jeune femme…

* *
*

Une bonne douche bien chaude faisait du bien à Sylla. L’eau ruisselait sur son corps. Cela la détendait. L’affrontement final approchait, elle le sentait. Elle sortit de la douche, et s’essuya en regardant distraitement autour d’elle. L’hôtel était un peu vieillot, mais charmant. Toni avait bien choisi. Il avait été très bien jusqu’ici. Elle repensait encore à son regard dépité quant elle entra seule dans la salle de bain… il espérait se doucher avec elle ! Mais, elle devait se préparer mentalement à la lutte finale. Maintenant, elle devait préparer Toni aussi.

Toni était sur le lit de la petite chambre, en caleçon, lisant distraitement un magazine. Il entendit la porte de la salle de bain s’ouvrir, puis Sylla en sortit, entièrement nue. « Ce qu’elle est belle ! » pensait Toni. Il était complètement fou d’elle, ce qui se décelait assez aisément à la bosse qui grossissait à vue d’œil dans son caleçon. Elle s’approcha, s’assit sur le lit à côté de lui. Elle caressa doucement la bosse de son caleçon, tout en le regardant droit dans les yeux. 

- Toni, tu as été très bien jusqu’ici, mais le plus dur nous attends. Il faut que je te prépare à ce qui nous attend, d’accord ?
- Bien sûr, je comprends… que faut il que je fasse ?
- Laisse-toi faire…

Doucement, Sylla caressa le caleçon de Toni, puis son ventre. Elle fit redescendre ses mains, il souleva son bassin, et elle fit glisser le caleçon de Toni le long de ses jambes. La verge de Toni était dressée… Sylla baissa la tête vers le gland de Toni et le huma doucement. Puis elle lui donna quelques coups de langues, avant de l’enfourner complètement dans sa bouche. Elle fit quelques vas et vient le long de la verge, ce qui arracha quelques soupirs de plaisir à Toni. Il voulut se redresser pour caresser ou embrasser Sylla, mais celle-ci le plaque d’une main sur le lit, avec une force qu’il ne lui connaissait pas.

- Laisse-toi faire Toni… ce n’est que le début de la préparation. Il faut que tu viennes, que tu te décharges de tout stress, de toute mauvaise pensée… surtout ne retiens rien en toi, laisse-toi faire et ne pense qu’à des choses agréables…

Toni se coucha, ferma les yeux et se laissa faire… il ne pensait qu’à des choses agréables, à Sylla, à toutes les fois qu’ils avaient fait l’amour. Sylla caressa son ventre, et recommença à lécher sa verge. Puis elle lécha le gland avant d’enfourner la verge entière dans sa bouche. Elle repris ses vas et viens, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Au fur et à mesure de la fellation, sa salive coulait de plus en plus le long de la verge de Toni, et celle-ci glissait de mieux en mieux dans la bouche de Sylla. Elle sentit la verge se cabrer, la gland taper sur son palais, puis un jet de sperme tiède fut envoyé dans sa gorge, puis un autre, puis un autre… elle avalait tout, tandis que Toni gémissait de plaisir. Il était tout détendu, et même un peu euphorique. Il était prêt pour la suite.

- S’il te plaît, Toni, mets-toi à quatre pattes sur le lit… oui comme cela…

Toni se mit à quatre pattes sur le lit. Sylla vint derrière lui, frotta son bas ventre contre les fesses de Toni, lui caressa le dos… puis elle lui caressa les fesses… Toni sursauta lorsque la langue de Sylla passa le long de la raie de ses fesses…

- Mais… qu’est-ce que tu…
- Chuuuut, laisse-toi faire et ne pense qu’à des choses agréables…

Toni ferma les yeux. Il sentit la langue de Sylla encore passer le long de la raie de ses fesses, puis la langue se fit plus insistante, cherchant l’anus de Toni. Elle le trouva, et s’y insinua, tournoyant, salivant, mouillant abondamment l’anus de Toni. Celui-ci recommença à gémir de plaisir. Puis, Sylla introduisit doucement un doigt dans l’anus de Toni. Celui-ci sursauta, mais ne trouva pas cela désagréable. L’anus mouillé fit que le doigt rentra assez facilement. Toni ne pouvait voir que les yeux de Sylla étaient devenus entièrement bleus. « Bien, il est prêt » pensa Sylla. Tout en doigtant légèrement l’anus de Toni, Sylla caressait son clitoris de son autre main. Le clitoris commença à grandir. Étrangement, il devint bleu, le même bleu que les yeux de Sylla. Le clitoris continua à grandir… jusqu’à devenir un pénis de belle taille ! Sylla retira alors son doigt de l’anus de Toni, et approcha sa bouche de son oreille…

- Cela fera un peu mal au début, mais c’est nécessaire… et ce sera bon après, je te le promets.

Toni faisait entièrement confiance à Sylla. Il ne comprenait pas ce qui venait butter contre son anus. Il ne vit pas que c’était le gland bleu de la verge bleue de Sylla ! Celle-ci poussa et le gland rentra doucement dans l’anus de Toni. Il se crispa, mais se laissa faire. Sylla poussa plus fort, et son gland passa le muscle réticent. Toni cria, mais Sylla commença son vas et vient dans l’anus de Toni. La verge bleue s’engouffrait dans son cul, de plus en plus vite, et la douleur devint un plaisir qui submergea Toni. Il criait son plaisir de plus en fort. Puis il sentit cette verge battre dans son cul, puis un liquide tiède se répandre en lui… C’était froid et chaud en même temps, tout le corps de Toni frémit… et ce fut tellement fort qu’il cria de plaisir, éjacula, puis s’évanouit.

Sylla se releva. Le pénis bleu avait disparu, et ses yeux étaient redevenus normaux. Elle vit Toni, sur le lit, sans connaissance. Elle posa un baiser sur son front, le réveilla, et ils allèrent se préparer pour la bataille finale. 

* *
*

Toni et Sylla s’approchèrent doucement du château. La nuit venait de tomber. Ils étaient à l’orée du bois, à quelque pas de la route qui menait à la porte du château. Tout semblait désert et tranquille. 

- Qu’est ce qu’on fait ?
- Il faudrait faire le tour du château pour voir si il n’y a pas un moyen d’y pénétrer discrètement.
- Mais tu es sûr qu’ils sont là ?
Sylla mit sa main sur la bouche de Toni.
- Chut ! J’ai entendu un bruit.

Ils se cachèrent dans les fourrés. Des gobelins passèrent devant eux.

- Qu’ils sont laids, fit Toni !
- Ils sont six, si j’ai bien compté. Détourne leur attention, je m’occupe du reste.

* *
*

Les quatre petits gobelins marchaient derrière les deux grands. 
- Faire une ronde, tu parles ! Grouiiiiik ! fit le dernier
- Ouais, c’est toujours les mêmes qui se bouge les miches pendant que les bosses s’amusent avec les jolies femmes ! C’est pas juste ! En plus y’en a une qui me plaît bien à moi !
- La ferme les p’tits ! Il m’a semblé entendre un bruit !

Le groupe s’arrêta. A ce moment Toni sortit d’un buisson, à quelque mètre d’eux.

- Bonjour les sales trognes ! Je vends des savons et du shampoing… et vu l’odeur, vous êtes surement intéressés ?

Les gobelins le regardaient, bêtement. Après plusieurs minutes d’intense réflexion, les deux adultes se regardèrent.

- Mais y’ nous insulte ce mec ! On l’éclate ?

A ce moment, deux têtes roulèrent à leurs pieds : celle des deux gobelins qui fermaient la marche. Sylla, les yeux envahis de cette étrange lueur bleue et l’épée bleue à la main, qui était apparue sans bruit derrière eux, les avait décapités de deux rapides coups d’épée. Elle tua tout aussi rapidement les deux derniers petits, mais les deux adultes fonçaient maintenant vers elle. 

Courageusement, Toni s’élança et sauta sur le dos de celui qui était le plus près de lui. Il espérait le faire tomber, ou l’étrangler, mais à sa grande surprise, le gobelin était terriblement fort. Il tourna sur lui-même, et d’une main envoya Toni balader à plusieurs mètres ! Lorsque Toni reprit ses esprits, le monstre était devant lui, prêt à éclater sa tête avec sa massue. « Dit adieu à ta triste vie, gamin ! » dit-il. Toni ferma les yeux, mais alors que la massue s’abattait, une épée bleue traversa le monstre de part en part, au niveau du cœur. Toni ouvrit les yeux et se releva. Les six monstres gisaient par terre, dans leur sang.

- Et bé ça alors ! fit Toni. Toi toute seule, tu les as…
- Oui, mais ça c’était la partie facile, ils sont si bêtes ces gobelins… Maintenant allons au château.

* *
*

Le garde marchait de long en large, devant la porte, la crosse de son révolver dépassant de son pantalon. Mais entendant un bruit, il se tendit. « Au secours ! » 

Prudemment, il alla vers l’endroit d’où venait le bruit. Il vit Sylla, évanouie, à terre. « Une nouvelle femme pour le maître ! Le maître sera content ! » Pensa-t-il. Mais au moment où il allait se baisser pour ramasser Sylla, il entendit un bruit, pourtant très très étouffé, derrière lui. Il se retourna d’un bloc, revolver au poing.

Toni, le gros bâton qu’il avait ramassé pour assommer le garde par derrière déjà levé, se retrouvait maintenant face au canon froid du revolver. Au moment où le garde allait tirer, le doigt crispé sur la détente, une grimace déforma son visage. Il baissa les yeux et vit la lame bleue de l’épée qui traversait son ventre de part en part. Sa bouche émit un son inaudible, puis il tomba au sol, mort.

Sylla et Toni entrèrent silencieusement dans le château. Tout était noir et silencieux. Sylla s’approcha de Toni. 

- Il va se passer des choses étranges, que tu ne peux comprendre et que je ne peux t’expliquer. Surtout, fais-moi confiance, et n’interfère pas avec ce que je vais faire. Lorsque tout deviendra trop intense, sers cela très fort dans ta main. 

Elle dégrafa la chaîne de son cou, et la lui passa. Une petite chaîne en or, avec une petite pierre bleue en forme de goutte. Toni voulut dire quelque chose, mais elle décida de clore ses lèvres par un baiser, un baiser passionné et amoureux. Puis elle continua son chemin et il suivit.

Ils pénétrèrent par une porte entrebâillée dans le corps-de-logis du château. A l’intérieur, les pièces étaient éclairées par quelques bougies éparses, donnant un halo lugubre à tout le château. Après les cuisines, vides, ils montèrent un escalier et longèrent un couloir. Ils débouchèrent dans une grande salle de banquet. Les plafonds peints et le sol marbré devaient être magnifiques en pleine lumière, mais avec la lueur des bougies et les meubles réduits en charpie la pièce était lugubre. Dans le fonds de la pièce, totalement sombre, quelque chose bougeait. Quelque chose de grand. Quelque chose qui venait vers eux.

Précédé d’un bruit de sabot résonnant dans la grande salle lugubre, un cheval apparut. Très grand, très puissants, Toni vit tout de suite ce qui clochait : il avait un torse d’homme et un visage de vieillard. Un centaure ! L’air menaçant, il venait vers eux.

- Que faites-vous ici ? Vous avez profané mon château et je vais vous tuer pour ça !

Les yeux de Sylla devinrent bleus. 
- Vas-y, un coup d’épée et plus de tête ! 
- Ce ne sera pas si simple, il est devenu immortel. Je n’ai qu’un moyen de le détruire. Rappelle-toi ce que je t’ai dit. N’interviens pas, laisse-moi faire.

Arrivé près d’eux, le centaure chargea. Ses poings et sa tête fendirent l’air, cherchant à atteindre Sylla ou Toni. Mais ils sautèrent sur le côté et évitèrent le centaure furieux.

Sylla lui fit face.

- Tu es en rage ! Je te comprends, il t’a bien eu.
- Que dis-tu femelle inférieure ?
- Tu as parlé de ton château. Donc tu dois être le vieux châtelain. Or je te vois transformé… mais pas en démon supérieur, en centaure… les créatures les plus faible parmi les démons ! Il t’a vraiment bien roulé !

Furieux, le centaure chargea une nouvelle fois. Mais de nouveau il ne trouva que le vide sous ses coups.

- En plus il ne t’a même pas donné d’arme ! Il n’a donc pas confiance en toi… Moi je peux te donner une arme, contre lui.

Le silence du centaure fut éloquent de son trouble intérieur.

- Tue-le pour moi. Si tu le fais, tu deviendras alors la créature la plus puissante. 
- Je pensais que tu voulais défendre le bien !
- Seule je ne peux rien contre lui. Seul tu ne peux que lui obéir. Si je te donne ma puissance, en plus de la force que lui t’a donnée, tu pourras le tuer. Et moi je t’obéirai, car alors tu auras plus de puissance que moi. Et la puissance…

Tout en disant ces mots, Sylla se rapprochait du centaure, qui s’était calmé et réfléchissait. Et tout en s’approchant de lui, elle se déshabillait. Elle fut nue en même temps qu’elle arriva contre lui.

- … et la puissance, ça m’excite !

Elle frotta son corps nu contre le pelage tiède du cheval. Le centaure réfléchissait. « Bonne idée, je n’ai de toute façon rien à perdre. Elle est naïve, je la tuerai lorsque je n’aurai plus besoin d’elle… je prends la puissance qu’elle m’offre, et je serai alors le maître. A moi les esclaves, à moi la soumission, à moi le monde ! »

- D’accord femelle, faisons comme tu proposes. Comment vas-tu me donner ta puissance ?
- Pour que je te donne ma puissance, il faut que nos secrétions intimes se mélangent, il faut que tu me pénètres, il faut que tu me prennes !

En disant cela, la main de Sylla passa sous le ventre du cheval, et rencontra son pénis, qui sortait de plus en plus. Elle le caressa avec douceur, de ses deux mains, pour qu’il soit tendu au maximum. Le pré-sperme du centaure coulait déjà sur ses mains. Elle avait réussi à l’exciter. La première partie de son plan se passait à merveille.

- Non Sylla, ne fait pas ça !

Toni voulut intervenir, mais le centaure l’attrapa et le poussa rudement au sol.

- Ne te mêle pas de ça, nabot ! Toi, viens ma belle… goûte à ma puissance d’étalon !

Voyant une large colonne de marbre gisant au sol, Sylla se coucha dessus, son dos contre le marbre froid, et écarta ses jambes, offrant ainsi impudiquement son sexe au centaure. Celui-ci approcha et enjamba la colonne et Sylla. Elle vit le ventre de l’animal au-dessus d’elle, ses pattes à sa gauche et à sa droite. Et son pénis de cheval, tout tendu, battait contre son ventre. Elle le prit doucement et l’amena vers son sexe. Elle le frotta contre son bas-ventre, son clitoris, ses lèvres intimes, que le pré-sperme du centaure mouilla abondement. Puis, d’une main elle écarta ses petites lèvres, et de l’autre elle mit le bout du pénis du cheval à l’entrée de son sexe béant. « Avance ! » Le centaure avança, son pénis immense entrant pouce par pouce dans le sexe de la jeune femme. Lorsqu’elle fut remplie par le pieu de l’étalon, elle fit des mouvements de bassin d’avant en arrière, glissant sur le marbre mouillé par le pré-sperme qui avait coulé sur elle, allant et venant sur ce pieux chevalin, dur, tendu, massant de ces deux mains la partie qui n’entrait pas en elle, ou s’en aidant pour se faire coulisser. La chaleur de sa grotte intime, ses mouvements de plus en plus rapides, firent s’accélérer sa respiration, et celle du centaure. Elle atteint l’orgasme la première, et son sexe se contractant autour du sexe chevalin, il le happa plus fort, ce qui fit éjaculer l’animal en elle. Le sperme remplit le vagin de Sylla et déborda, coulant sur la colonne de marbre et le long de celle-ci, faisant deux petites flaques laiteuses, à gauche et à droite de la colonne.

Au moment de l’orgasme les yeux de Sylla devinrent bleus. Une lueur bleue parcourut de l’intérieur le pénis du centaure, et monta vers son cœur. Son pénis se rétractant, il se dégagea de Sylla et de la colonne. Ses yeux devinrent bleus, son pénis ressortit, encore plus gros et tendu qu’avant, et il galopa en rond, au milieu de la grande pièce.

- Ah oui, je sens cette puissance en moi ! Je me sens puissant, tellement puissant… argh…

Ses mots s’étouffèrent dans sa gorge. De grosses pustules apparurent partout sur son corps, puis éclatèrent, toutes sanglantes. Du sang coulait de son nez, de ses oreilles de sa bouche, de son pénis. Bien vite ses jambes ne le portèrent plus, il s’affala au sol, perdant tout son sang.

Sylla et Toni s’approchèrent de lui. Elle le regardait mourir, sans aucune trace de pitié dans ses yeux.

- Tu étais tellement avide et ambitieux que tu ne t’es posé aucune question. Pourtant il est évident que le bien et le mal ne peuvent cohabiter ensemble sans s’affronter. La puissance maléfique que t’a donné Odin et ma puissance bénéfique, lorsqu’ils se sont retrouvés en toi, se sont combattus, dégageant une force incroyable, au point de dissoudre ton corps, cellule par cellule, tissu par tissu. C’est la seule façon de détruire un démon. 

Ce qui fut le centaure n’était plus qu’une bouille informe et sanglante, qui devenait de plus en plus petite, puis finit par disparaître.

- Et les énergies, positive et maléfique, qui étaient retenues dans ce corps qui n’est plus, retournent se fondre dans l’immensité du cosmos…

- Et moi, tu comptes me détruire de la même façon ? Car je connais ton unique arme… 

A ces mots, cette voix glaciale, Sylla et Toni se retournèrent d’un bloc. Odin était face à eux, l’air plus maléfique que jamais.

- Je me suis servi de lui comme appât. Je sentais que tu venais, et maintenant que tu lui as donné ton énergie, tu es sans défense… C’est, ou plutôt c’était, votre seule arme pour me détruire. Je suis et reste le maître ! Ah ah ah ! Maintenant, il faut que je vous détruise avant que tu ne reprennes des forces.

Toni se tourna vers Sylla, qui semblait effectivement épuisée. Se yeux ne devenaient plus bleus, elle était exténuée. Elle soutint le regard de Toni.

- Fais-moi… confiance…

Et elle tomba sur ses genoux, exténuée. Odin partit d’un rire glacial, qui mit Toni hors de lui. Puis une de ses tentacules claqua comme un fouet, atteignant Sylla et la faisant rouler sur le sol, inconsciente. En rage, Toni courut vers Odin, pour le frapper. Mais il n’eut pas fait deux pas que les tentacules l’attrapèrent. Ses bras et ses jambes furent immobilisés en X. Les tentacules d’Odin s’insinuaient partout, sous ses vêtements. Puis, exerçant une pression, elles lacérèrent et déchirèrent tous les vêtements de Toni, qui se retrouva nu face à Odin. Deux tentacules plus grosses que les autres arrivèrent vers lui. La première monta le long de sa jambe gauche, et monta vers sa bouche, tandis que l’autre montait le long de sa jambe droite vers ses fesses. 
- Tu va devenir mon esclave petit homme, comme les autres. Et c’est toi qui tueras ton amie ! Ah ah ah ! Ce sera merveilleux !

Toni sentit ces tentacules qui parcourait son corps, il sentit le gland tiède vert-gris qu’il avait aperçu frotter la raie de ses fesses, allant de bas en haut, jusqu’au moment ou elle s’enfonça, buttant sur son anus. Il sera les fesses, serrant son muscle anal pour ne pas qu’elle rentre. Mais la tentacule fut plus forte, et Toni sentit ce gland qui s’insinuait en lui, puis en un coup le gland fut en lui, forçant le passage anal. La douleur le fit crier, et l’autre tentacule en profita pour entrer dans sa bouche. Il ne s’appartenait plus, il ne sentait que ces tentacules tièdes qui allaient et venaient, dans son cul et dans sa bouche. Le pire, c’est que tout humilié et violé qu’il fut, des sensations plaisantes ce mélangeaient à la douleur, et son sexe finit par se dresser, tout bandé. 

- Tu vas être à moi, prépares-toi à boire mon nectar ! Ah ah ah ! J’ai gagné, je suis le plus fort !

Toni sentit la première tentacule se cabrer dans son derrière. Au moment où il allait s’abandonner, vaincu, il entendit la voix de Sylla, dans sa tête. Elle gisait toujours au sol, inanimée, mais Toni entendait sa voix dans sa tête.

- Libère ton énergie Toni. Je t’ai donné une part de ma puissance hier soir. Je t’ai pénétré pour te donner la moitié de mon fluide de lumière. Projette-le en lui, comme j’ai fait pour le centaure ! Vas-y, libère ton énergie !

Aidé en pensée par Sylla, il libéra son énergie. Au moment où la tentacule éjacula au plus profond de lui son foutre démoniaque, les yeux du jeune homme devinrent bleus lumineux. Le foutre chaud le remplissait, débordait, et coulait le long de ses fesses, ce qui le fit venir aussi. Il sentit son propre sperme projeté sur son ventre, et sur les tentacules qui le maintenaient immobilisé. Puis l’autre tentacule éjacula dans sa bouche… mais il ne sentit pas le sperme couler dans sa gorge. Une force qui venait de lui repoussait le sperme dans la tentacule, en même temps qu’autre chose, un fluide qui venait de lui… Il sentit la même chose dans son derrière, un fluide qui venait de lui et qui entrait dans la tentacule d’Odin.

- Ah, ah, ah ! J’ai vaincu, je suis le meilleur, j’ai… je suis…

Les mots se figèrent dans la bouche d’Odin. Il voyait la lueur bleue, à l’intérieur de ses deux grosses tentacules, qui venait à toute allure vers son corps.

- Mais ce n’est pas possible… ce n’est pas lui la créature de lumière, c’est l’autre… je l’ai vu, c’est l’autre !

Ses tentacules semblèrent comme folles, puis s’amincirent et disparurent… En même temps, des pustules commencèrent à recouvrir son corps. Il cria toute sa rage et sa colère, puis mis genou à terre. Tout son corps le brulait, il ne pouvait plus respirer. Ces deux humains avaient réussi ce que les créatures de lumière n’avaient pu faire il y avait trois ou quatre millénaires : lui faire ingérer la puissance bénéfique, le fluide de vie, qui le détruisait à jamais. Il avait pourtant été si près du but…

Toni, qui était tombé au sol, se releva. Ses jambes flageolaient et il avait un peu mal à ses fesses, qui restaient poisseuse. Mais il entendit distinctivement la voix de Sylla, dans sa tête, qui lui disait « Bravo Toni ! Maintenant sors du château vite. Je dois terminer mon œuvre, je te rejoindrai après ! » Docile, il obéit.

Sylla dut s’y reprendre à plusieurs fois avant de se lever. Elle s’approcha d’Odin, l’épée bleue étant réapparue dans sa main, mais plus petite, plus faible qu’avant. Odin était sur ses genoux, du sang coulant de sa bouche, de son nez. Il avait de plus en plus de mal à respirer. Son cours était couvert de pustules et commençait à fumer. Mais pour qu’il soit définitivement détruit, sans qu’aucun chamane ne puisse le rappeler à la vie, elle devait faire encore une chose. Odin la vit, et éructa, entre deux gargouillis :

- Va le rejoindre, il t’aime ! Tu as gagné, tu m’as vaincu ! Prends du bon temps, ne te sacrifie pas, ça n’en vaut pas la peine !
- Non Odin, je sais ma mission. Tu ne dois plus jamais revenir. Plus jamais.

Les yeux d’Odin s’agrandirent d’effroi, mais sans hésiter Sylla leva l’épée bleue, qui n’était plus qu’une dague, sa force déclinant, et frappa en un coup, transperçant le cœur démoniaque d’Odin. Des lueurs bleues apparurent au travers de son corps, tandis que Sylla s’écroula au sol. Odin cria d’effroi, un cri terrible qui fit s’envoler tous les oiseaux de la forêt aux alentours, la chaleur tout autour devint terrible, intenable… la matière commença à se distendre, à se dissoudre et tout le château et la colline explosa dans un déluge de feu, de terre et de pierres projetées.



* *
*


Epilogue


Toni reprit conscience à l’hôpital. Il venait de sortir du château, à l’endroit où le garde avait été tué par Sylla, lorsque l’explosion l’avait soufflé, projeté, puis le noir total. 

Heureusement ses blessures étaient superficielles. Il apprit qu’il était le seul survivant de l’étrange catastrophe qui avait frappée le château. L’enquête de police ne répondait à aucune question que les gens se posaient, le mystère resta entier. Toni joua le touriste perdu près du château, surpris par l’explosion. Personne ne semblait se souvenir de Sylla. Après les devoirs d’enquête, il fut renvoyé en Italie, où sa famille prit soin de lui.

Après sa convalescence, en fait dés qu’il put marcher, il allait tous les jours se promener dans le vieux temple, où il pensait à Sylla et la pleurait amèrement. Elle lui manquait tant ! Alors qu’il approcha de l’autel où il l’avait vu nue pour la première fois, il entendit un bruit indistinct. Il posa sa main contre l’autel, et la voix de Sylla résonna en lui, emplissant sa tête… « Reviens cette nuit… »

Et il retourna au milieu de la nuit au temple, se faufila à l’intérieur à l’insu du vieux gardien, et marcha jusqu'à l’autel, où elle l’attendait. Elle était là, pareille à la dernière fois qu’il l’avait vue. Elle était nue, et n’avait plus un corps de chaire, mais ce corps bleu lumineux. Il s’approcha d’elle, la toucha. C’était la même sensation qu’avant, lorsqu’elle avait son corps de chaire. Ils s’enlacèrent, puis s’embrassèrent. Sylla luis souffla à l’oreille « Et à l’intérieur de moi c’est toujours la même sensation aussi. Je suis ta récompense pour nous avoir aidés à vaincre Odin et ses sbires. Toutes les nuits où la lune sera pleine, je serai à toi… »

* *
*

Toni fit de brillantes études d’archéologie, et alors que toutes les meilleures universités d’Europe le voulaient comme professeur, il préféra devenir le responsable du site du vieux temple de sa ville natale. Il en devint aussi le gardien. Il ne se maria jamais, au plus grand désespoir de sa mère, et passa sa vie à défendre la cause et la restauration du temple et des nombreuses autres ruines se trouvant dans son pays. 

Il n’est pas rare que le voisinage ou les touristes parlent d’étranges lueurs bleues venant du temple les nuits de pleine lune. Ce phénomène continua même après la mort de Toni. Mais peut être n’est-ce que du folklore local ???

Par lina
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Mardi 14 octobre 2 14 /10 /Oct 15:38
Ils arrivèrent à temps à l’aéroport et le vol se passa sans encombre. Leurs (maigres) bagages récupérés à Berlin, ils se retrouvèrent un peu perdu dans le hall du grand aéroport.

- Alors, où on va maintenant ? demanda Toni
- Je ne sais pas encore… 
- Et bien moi je sais ! J’ai faim, donc on va au resto de l’aéroport. C’est vrai quoi, ces trucs emballés dans du plastique qu’on a reçu dans l’avion, c’est dégeu !
Sylla semblait hésiter…
- Et puis, on ne va pas sauver le monde le ventre vide. Allez, suis-moi !

Un sourire aux lèvres, Sylla suivit Toni vers le restaurant. Elle était touchée par son enthousiasme. Il ne savait même pas pourquoi il était là, il ne savait pas qui ils allaient affronter… il ne l’avait même pas demandé ! Mais il la suivait. Sans se plaindre, toujours joyeux… c’est même lui qui avait fourni l’argent et les billets d’avion ! Par amour ? Elle l’imaginait. Et elle se dit que finalement, la présence de Toni la rassurait beaucoup. Elle faisait la fière, mais elle ne savait même pas où ils devaient aller !

Ils s’assirent à une table. Elle fit parler Toni, de lui, de sa vie, et l’écoutait, touché par sa gentillesse, son humour… un physique pas des plus beau mais qui cachait un vrai diamant ! Pendant qu’ils mangeaient, Sylla regarda les alentours. Un restaurant d’aéroport, assez banal, avec sur le mur des photos variées de paysage d’Allemagne. Alors qu’elle allait porter sa fourchette à sa bouche, elle ressentit quelque chose. Sa fourchette tomba à terre.

- Sylla, ça va ? fit Toni, inquiet.

Alors que son regard passait sur les photographies, quelque chose lui avait parlé. Le regard de Sylla se posa sur la photographie en question. Des collines remplis d’une grande forêt de conifères. Alors qu’elle regardait cette photographie, le ventre de Sylla se nouait, et elle ressentait de fort picotement dans ses mains, à l’endroit précis où elle avait tenu le « bras » d’olivier. Elle semblait hypnotisée par la photo, des larmes lui montaient aux yeux et elle commença à ressentir des frissons partout. Elle fut ramené à la réalité par Toni, qui lui secouait doucement le bras.

- Sylla, tu es sûr que ça va ?
- C’est là, fit-elle dans un souffle.

Ils quittèrent le restaurant sous le regard intrigué du personnel. Sylla ne se sentait pas bien, et avait besoin de prendre une douche. Toni loua alors une chambre dans un hôtel tous proche, et ils y montèrent. Sylla fit les cent pas dans la chambre.

- C’est là. Je suis sûre qu’il est là !
Toni la regarda l’air un peu coquin…
- Et moi je sais ou c’est… en payant j’ai demandé au chef de salle de quelle région était prise cette photo ! Le monsieur m’a dit : Francfort. Il pensait que c’est près de Francfort que cette photo a été prise. Et regarde, il m’a vendu une carte postale avec la même photographie.

Sylla le regardait émerveillée… puis lui saut au cou !

- Tu es génial ! Bravo ! Je vais prendre une douche, j’en ai besoin, et puis on loue une voiture pour aller à Francfort.

Et Sylla alla à la salle de bain. Toni se mit en caleçon, il avait aussi besoin de changer de vêtement, les autres étant froissés par le voyage. En entendant l’eau couler, il tourna amoureusement son regard vers la salle de bain… et vit que Sylla avait laissé la porte entre-ouverte ! « Non, je suis pas un voyeur… je vais pas aller admirer… admirer… son corps de rêve… ses jambes de déesse… ses seins… ses… »… et il alla doucement se mettre contre la porte et passer doucement la tête par l’entre-baillement. Il vit la cabine de douche, Sylla nue, l’eau qui coulait le long de son corps,… ses seins, pointés, ses jambes, toujours aussi superbes… Son érection fut immédiate et telle que son sexe sortait à moitié de son caleçon !

- Et si tu me rejoignais au lieu de rester là, à mâter !

La voix de Sylla fit sursauter Toni. Mais il ne se le fit pas dire deux fois ! Il enleva son caleçon, et rejoint Sylla dans la douche. Elle était de dos. 
- Masse-moi les épaules, s’il te plaît, dit-elle.
Toni massa doucement les épaules de Sylla. C’était la première fois qu’il faisait un massage, mais il était naturellement doué. Ses mains savaient comment masser, trouver les « nœuds » et les défaire. Son massage finit de détendre Sylla. Tout en massant, il se rapprocha d’elle. Elle sentit la verge pointée de l’adolescent contre ses fesses. Elle mit une main sur chacune de ses fesses, tira un petit peu, et se tortillant, massa la verge de Toni avec la raie de ses fesses. Le massage de Toni devenait moins bon, sa concentration était ailleurs ! Elle se pencha légèrement en avant, d’une main attrapa la verge de Toni, puis commença doucement à le masturber. En même temps, le jeune homme caressait le dos, et les fesses de Sylla, offerte à lui. Puis il dégagea son sexe de la main de Sylla pour ne pas jouir trop vite. Il s’accroupit et commença à lécher Sylla. Les cuisses d’abord, puis il remonta sur les fesses, du bout de la langue titilla l’anus, puis redescendit vers son joli vagin… il mit sa tête entre ses jambes et lui lécha les petites lèvres, lui suça le clitoris, et puis la pénétra de sa langue. L’intimité de Sylla était chaud et humide. Sa langue fouillait le sexe de Sylla, qui se caressait les seins en même temps. « oh oui… c’est bon… je vais arriver… je vais arriver… oh ouiiiiii… bois-moi Toni, bois-moi… ». Puis Toni se releva, se colla à Sylla, et l’embrassa sur la nuque, dans le dos. Elle attrapa à nouveau sa verge, toute gonflée d’excitation, et l’attira doucement contre elle, mettant son gland contre son sexe. D’un coup de rein il fut en elle. C’est sa verge maintenant qui ressentait cette douce et moite chaleur… Il s’agrippa fermement à la taille de Sylla, et s’enfonçait de plus en plus profond en elle, donnant des coups de rein de plus en plus fort. Elle criait son plaisir, de plus en plus fort… c’est que dans cette position, le sexe de Toni frappait son point sensible. La mouille de Sylla commençait à couler le long de l’intérieur de ses cuisses. Lorsqu’elle sentit le sexe de Toni battre, elle se retira prestement « Non, s’il te plait, pas en moi, pas là… Viens plutôt sur moi… » Elle se retourna et s’accroupit face à Toni, et le termina à la main… Toni éjacula sur son visage, ses cheveux et ses seins dans un cris rauque. Puis, Toni refit couler l’eau de la douche, et avec des gestes tendres, il lava, et caressa Sylla, encore de longues minutes…


* *
*



Le professeur fut réveillé par des cris atroces. Il sursauta, et se levant d’un coups, vit alors Evelyne et Sophie, les ventres ayant quadruplés, occupées à accoucher des œufs, comme Emma l’avait fait la veille. Les monstres leurs faisaient boire leurs « fortifiant » tout en comptant les œufs. Evelyne en expulsa quatre, Sophie, cinq. Comme la veille, Odin ramassa les œufs, alla les porter aux sarcophages, et recommença à réciter ses étranges litanies.

Les deux gobelins, riant aux éclats, allèrent vers Emma.

- Tout ça, ça m’excite fort, grogna le premier. J’ai encore envie !

Et, le sexe tendu, il retourna Emma, qui était encore faible. Odin étant occupé avec les œufs, sa magie était moins tournée vers ses « esclaves ». Le professeur, ayant plus de volonté sur son corps, couru vers le monstre.

- Non ! Vous allez la tuer, arrêtez ! Elle est trop faible, elle risque d’en mourir !

Le monstre se retourna, l’air abruti, vers le professeur. 

- De quoi tu te mêles, esclave ? Dégage ! J’ai envie !

Et comme le monstre allait se baisser pour relever Emma, le professeur couru et se jeta contre le Gobelin, qui roula à terre.

- Ne la touche pas ! dit le professeur l’air menaçant.

Le professeur sentit une présence dans son dos, mais avant qu’il puisse faire quoi que ce soit, il fut ceinturé par le deuxième monstre. Il voulut se dégager, mais le monstre était plus fort que lui. L’autre se releva, s’ébroua, puis vint se placer devant le professeur. Il donna un coup de poing violent dans le ventre du professeur, qui sous la douleur, se plia en deux. « Et bien, puisque tu joues les chevaliers-servants, c’est avec toi qu’on va jouer ! » Et le monstre donna un coup de pied dans les chevilles du professeur, qui tomba à genou. Il se retrouva juste en face de la grosse verge ondulée du Gobelin. Le monstre montra Emma.

- Suce ! Suce ou je la tue !

Le professeur eut un haut-le-cœur de dégoût ! Mais il ne pouvait aller en arrière, sinon Emma mourrait. Il ferma les yeux, et ouvrit la bouche. Il sentit le gland du gobelin contre ses lèvres, puis il sentit cette verge énorme entrer dans sa bouche, le gland raclant son palais. Puis le monstre commença ses vas-et-viens dans la bouche du professeur. Puis il sortit son sexe de la bouche du professeur.

- Maintenant tu te mets à quatre pattes, et tu vas sucer mon frère.

Le professeur obéit. Il se retourna, se mit à quatre pattes et alla vers le deuxième monstre. Il attrapa sa verge de sa main, et l’attira vers sa bouche. Il commença à sucer la queue du Gobelin. Il sentait de nouveau ce gland qui raclait son palais, les ondulations de cette queue énorme dans sa bouche… Puis il sentit qu’on lui écartait les fesses. Le premier monstre était venu derrière lui, sa queue toute mouillée de la salive du professeur, et il lui écartait les fesses. Puis le professeur sentit le gland mouillé contre son anus. Il voulut se dégager, mais les deux monstres le tenaient fermement. Le premier monstre força un peu et il sentit le gland rentrer dans son anus… puis une ondulation, puis deux… au fur et à mesure que le sexe du monstre s’enfonçait dans son cul, il sentit toutes les ondulations glisser dans son anus. Le deuxième monstre le tenait par les cheveux, et lui baisait la bouche. Si la sodomisation de la tentacule lui avait apporter beaucoup de plaisirs, celle-ci lui procurait autant de douleur que de plaisirs. Il sentit la queue qu’il avait dans la bouche battre et exploser. Il faillit étouffer dans le flot de foutre âcre qui coulait dans sa gorge. Il ne sentit presque pas l’autre monstre exploser dans son cul. Lorsque le Gobelin retira sa queue, il sentit de nouveau chaque ondulation franchir l’étroit passage de son anus, et lorsque le gland sortit, il sentit le foutre épais couler sur ses jambes.

- On fait moins le malin maintenant hein !

Et les deux monstres partirent en riant, tandis que le professeur s’évanouissait.

* *
*

Toni avait ouvert la carte routière d’Allemagne sur une table, dans le salon-réception de l’hôtel. Il avait fait doucement, pour ne pas déranger le vieux monsieur qui lisait en face de lui. Il se servait de la carte postale achetée au restaurant pour suivre les routes et autoroutes jusqu’à Francfort. Sylla le rejoignit.
- La dame à la réception m’a confirmé qu’on peut louer des voitures à l’aéroport.
- Perfecto ! Regarde si je vois bien, le plus simple, c’est de prendre l’autoroute vers Leipzig, puis là, à l’échangeur vers Erfurt, et on arrive à Francfort, où on trouvera certainement un hôtel, c’est une grande ville. Et là bingo, on fouille ta forêt !

Content de lui, Toni disait cela en faisant de grand geste… au point que la carte postale lui échappa des mains, et glissa au pied du vieux monsieur qui lisait son journal. Celui-ci replia le journal et ramassa la carte. Il voulut la redonner à Toni, mais en voyant le paysage qui y était représenté, il regarda la carte postale fixement, puis avec mélancolie, puis tendit enfin la carte à l’adolescent, qui était rouge comme une pivoine.
- Scuzi…

Le vieil homme leur dit quelque chose en allemand, mais ni Sylla, ni Toni ne le comprirent. L’homme baragouina alors en un anglais approximatif.

- Bel endroit, attention, grand, pas se perdre !
- Merci monsieur, fit Sylla.
- Moi ancien fonctionnaire… pour eaux et forêt dans Est Allemagne… connaît bien les forêts allemandes.
- C’est gentil, mais nous avons une boussole, nous ne nous perdrons pas, fit Sylla.

Le vieil homme éclata de rire, en montrant Toni, qui ne parlant et ne comprenant pas si bien l’anglais, était retourné à sa carte routière et traçait au bic l’itinéraire sur la carte.

- Ah ah ah… pas se perdre ? Vous trompez déjà de route !
- Pardon ? Sylla montra la carte postale au vieil homme. Pourtant on nous a assuré que cette photo a été prise près de Francfort ?
- Ach, Ja… mais Francfort-sur-l’Oder ! Pas Francfort-sur-le-Main…
Et l’homme montra une autre ville sur la carte, près de la frontière avec la Pologne.
Toni regarda le nom de la ville.
- Sylla, il a raison ! Il y a deux Francfort ! Un à l’ouest et un à l’est !
- Monsieur, vous êtes sûr pour cette image qu’il s’agit bien de Francfort-sur-l’Oder ?
- Ja ! Je suis catégorique. Est-Ouest… ce ne sont pas mêmes arbres ! Ce sont essences de pin différentes. Mais faites attention ! Cette forêt sinistre ! Et on raconte beaucoup de légendes mauvaises sur cet endroit ! Pas endroit touristique.
- Alors c’est bien l’endroit que nous cherchons ! Fit Sylla en serrant la main du vieux monsieur. Vous nous avez beaucoup aidé… merci, merci beaucoup !


* *
*

Le professeur sortit lentement de sa torpeur. Il se releva. Son derrière le faisait souffrir. « Sale monstres, pensa-t-il ». Emma vint lui apporter un peu d’eau, elle avait l’air d’aller mieux. Et elle s’occupait de Sophie et d’Evelyne, comme il s’était occupé d’elle. En entendant du bruit, il se retourna et vit les deux gobelins qui entraînaient quatre petits monstres. Les petits ressemblaient aux grands, mais en moins costaud, et un peu moins poilu. Ils avaient tous les mêmes pagnes, et s’entraînaient à utiliser une sorte de grosse massue, incrustée d’éclats métalliques qui semblaient fort tranchants. Soudain le professeur se raidit. Il sentit une présence derrière lui. Odin. 

- Mon armée est en marche professeur. Bientôt nous serons prêts. 
- Belle armée en vérité, fit le professeur, ironique.
- Je suis le plus puissant professeur. J’ai la magie avec moi. Personne sur cette terre ne peut me résister. Je n’ai aucun rival. Joignez-vous à moi ! Je suis prêt à faire alliance avec vous.
- P… Pardon ??? Et que ferez-vous face aux armées ? Les avions, les chars, les soldats ?
- Si je veux, je peux détruire toute l’humanité. Mais cela ne m’intéresse pas. Ce que je veux c’est l’asservir. Tous les humains seront mes esclaves. Je les asservirai de force, en prenant le contrôle de leurs corps. Avant que les militaires croient en mon existence, j’aurais asservis assez de femmes pour que mes gobelins me fassent une grande armée. Et il me suffit de prendre le contrôle de quelques militaires haut-placés pour semer la zizanie dans les armées, donner des ordres contradictoires, et faire que vos militaires se détruisent les uns les autres. Je suis le Maître. Mais si je vais asservir les humains, j’ai aussi besoin de gens intelligents, avec qui partager mon triomphe, des gens reconnaissant ma puissance. Les gobelins sont trop bêtes, ils ne savent que tuer et se reproduire. Ce sont des animaux. J’ai besoin de gens qui librement me servent.
- En fait vous vous sentez seul, et votre ego demande une cours pour vanter vos exploits, et des gens pour… pour vous aimer !
- Lorsque l’humanité sera asservie, je vous donnerai ce que vous voulez. Autant de femmes ou d’hommes pour combler vos plaisirs. La richesse que vous voulez… Tout… vous pourrez avoir tout ! Rejoignez-moi !
- Vous… vous êtes… monstrueux ! Monstrueux et pathétique !
- Comment oses-tu, misérable humain ! Je n’ai pas besoin de toi alors… je trouverai assez d’humain pour me servir et me lécher les bottes librement ! Quant à toi, tu mérite punition pour ton irrespect envers ma personne.

Odin dit une incantation à voix basse. Le professeur n’était de nouveau plus le maître de son corps. Il se vit marcher vers les quatre petits gobelins. Face à eux, il se vit dandiner des fesses, et aguicher les monstres. « Mais qu’est ce que je fais ! C’est ce monstre qui me contrôle ! Oh non, ça va recommencer ! ». D’un air entendu avec Odin, les petits gobelins enlevèrent leurs pagnes. Ils avaient de grosses testicules et des verges ondulées, comme les deux grands, mais de tailles un peu plus petites. Ils entourèrent le professeur. Comme une vraie putte, celui-ci aguicha les monstres, puis se mit à quatre pattes devant le plus grand des petits monstres. Il caressa doucement ses grosses testicules, tout en lui léchant le membre. Puis il lui lécha le gland, et goba sa queue. Deux autres petits gobelins s’approchèrent du professeur, un à sa gauche, un à sa droite. Il pris la verge de celui de gauche dans sa main gauche, et celui de droite dans sa main droite et commença à les masturber. Le monstre qu’il suçait se dégagea, et contourna le professeur, il en voulait plus ! Il écarta les fesses du professeur, et voyant son anus (encore ouvert de sa précédente sodomisation) il plaça son gland contre l’anus du professeur, et s’y enfonça sans aucun problème. Tandis qu’il lui ramonait l’anus, le dernier monstre plaça sa queue dans la bouche du professeur. Ce dernier suçait un gobelin, en masturbait deux autres,, et était sodomisé par un quatrième… Les deux monstres qu’il branlait éjaculèrent sur son visage et son épaule, tandis que celui qu’il suçait vint dans sa bouche, puis sur son visage. Le dernier déversa son foutre dans l’anus tout mouillé et tout ouvert du professeur. Excité par ce spectacle, les deux grands monstres se faisaient sucer par Evelyne et Sophie.

- Bien, fit Odin en parlant à Emma. Laissons-les à leurs jeux, nous avons du travail ! Suis-moi, nous avons un château à prendre !


* *
*

Bert s’ennuyait. Il joua un peu avec le faisceau de sa lampe torche sur le mur de la guérite du château. Ancien militaire, il ne savait pas, en signant pour cette société de gardiennage, qu’il se retrouverait vigile dans ce château perdu au milieu de cette forêt ! Enfin, contrairement à certain de ses anciens camarades, au moins il avait de la chance d’avoir trouvé du travail. Et un travail bien payé. Mais la solitude lui pesait énormément. Seul deux autres personnes occupaient le château. Le vieux comte, à moitié débile (d’ailleurs il se faisait appeler Comte, mais Bert n’était même pas sûr qu’il l’était vraiment) et son assistante, une vieille fille revêche et laide. Bref, il n’aimait pas trop les fréquenter. Il voyait juste l’assistante lors des repas, qu’ils prenaient en tête-à-tête dans une ambiance aussi froide que la banquise. Le vieux comte vivait, mangeait, dormait dans son bureau. Bert ne l’avait vu qu’une seule fois, lors de son arrivée au château. C’était un homme petit, sec, et absolument antipathique. Le comte avait voulu un gardien professionnel pour veiller sur ses trésors… pffff… « trésor » ! Il n’y avait jamais eu ici de trésor que dans l’imagination du vieillard sénile. Ils étaient deux gardiens à se relayer, chacun vivant un mois entier au château, 24 heures sur 24. Un mois. C’était long un mois, quand on a rien à faire. Personne ne passait par ici, et le comte ne voulait surtout pas ouvrir son château aux touristes. Et bien sûr, pas de TV ! Pas de câble ! Juste une vieille radio, et son gsm. Mais là, il avait déjà fait trois fois le tour des jeux à télécharger ! 

Boum… Boum… Boum…

Bert faillit tomber de sa chaise. Le bruit du gros anneau sur la porte, il ne l’entendait que lorsque son collègue venait prendre la relève. Quelqu’un était à la porte ! A cette heure ?

Bert sortit précipitamment de sa guérite, et alla ouvrir la porte. Elle était grande et lourde. Il y mit ses deux mains et toute sa force. Une fois la porte ouverte, Bert ne vit d’abord personne. Il sortit sur la route, devant le château, et là, il faillit en perdre sa casquette. Il y avait une femme, nue, couchée sur le sol. D’une main elle titillait et pinçait un de ses tétons, et de l’autre elle se masturbait… Elle ouvrit les yeux, vit le garde, et lui envoya une œillade coquine… « Et si tu venais me satisfaire, beau blond ? Tu vois pas que j’ai le feu ? »

« Finit l’ennui ! » se dit Bert… Il balança sa casquette, défit sa ceinture et descendit son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Son membre dressé avait des proportions normales. Il se coucha sur la fille, qui écarta ses petites lèvres, dévoilant au garde son sexe ouvert et luisant de mouille…
- Je me suis déjà fait venir une fois ? Sauras-tu faire de même ? Dit-elle l’air coquin.
- Oh putain, quelle chaudasse !

Et il enfonça sa verge en un coup dans le trou béant de la femme. Il la baisait en ahanant comme un âne. La femme lui mouilla l’oreille avec sa langue, puis lui murmura
- Il n’y a personne d’autre au château, pour se joindre à nous ? J’ai vraiment le feu partout, je voudrais que tous mes orifices soient comblés !
- Han… non, y’a que moi ma jolie ! Han… Le vieux compte ne peut à mon avis plus se servir de son engin… Han… Et la vielle elle en a pas ! Han… 
- Ah bel étalon, avant de m’arroser de ta sève, je voudrais sentir ta langue en moi, viens me lécher, oh oui, j’en ai terriblement envie… Et tu pourras me faire subir tout ce que tu veux après…
- Suffit de demander ma jolie !
Et Bert arrêta ses coups de boutoir, sorti son engin du sexe de la femme, et glissa pour pouvoir lui lécher le sexe. Il était tout ouvert et trempé. Il avança sa bouche, langue sortie, lorsqu’il vit que la femme était couchée sur quelque chose qui bougeait. Quelque chose qui bougeait entre les cuisses de la femme, que Bert n’avait pas remarqué à cause de son excitation. Et avant qu’il ait eu le temps de fermer la bouche, cette chose lui sauta au visage, et s’enfonça dans sa bouche. C’était une tentacule d’Odin. Une autre arriva, lui entoura le cou, puis descendit vers ses fesses. Avant que le garde n’ai compris ce qu’il se passait, la première tentacule explosa dans sa bouche, et il fut sous le contrôle d’Odin. Son anus s’ouvrit pour recevoir la deuxième tentacule, qui commença à le ramoner, tandis qu’une troisième arriva, s’ouvrit et commença à lui sucer la verge.

- Mais que se passe-t-il ici ? fit une voix nasillarde.
L’assistante du comte, passant par la cours du château, fut attirée par le bruit. Au début furieuse de voire la porte ouverte et le garde pas à son poste, elle fut prise d’horreur en voyant Bert, à quatre pattes, enculé par une tentacule gris-vert, tandis qu’une autre lui suçait le sexe et qu’il suçait une troisième, un filet de bave et de foutre vert coulant sur son menton. Une femme nue était au sol, riant et se masturbant en même temps. La vieille cria, porta sa main à la poitrine, et tomba, raide-morte ! Personne n’aurait imaginé qu’elle avait le cœur fragile.


* *
*


Le vieux comte relisait pour la millième fois le vieux manuscrit. C’était son trésor, sa vie. Oh, il savait bien qu’il n’avait plus le titre de comte, mais il était le dernier descendant de la lignée qui régnait au Moyen-Âge sur ces terres. Sa famille n’était connue que pour ses massacres, tortures, guerres sanglantes, mais qu’importe ? N’était-il pas normal qu’ils abreuvent de sang la terre qui a vu naître, vivre et mourir le Shaman Odin ! En effet, il connaissait cette légende par cœur. Un de ses ancêtres, adeptes de chamanisme et de druidisme, avait prédit qu’un des descendants de sa lignée verrait de ses yeux Odin. Or il était le dernier. Il caressa l’enluminure de la page, lorsque la porte de son bureau s’ouvrit violemment.

- Comment ? Mais qui ose ?

Il vit le garde de sécurité marcher vers lui comme un somnambule

- Vous connaissez les consignes, non ? Cette pièce vous est interdite. Vous m’entendez ?

En guise de réponse, le garde sorti son pistolet de son étui et mit le vieux comte en joue.

- Mais enfin que se passe-t-il ? Que vous arrive-t-il ?
- Ne bougez pas. Le maître arrive. Il va tous vous expliquer. Recevez sa semence, et vous comprendrez.
- Comment… ?

Il n’alla pas plus loin. Odin, entra dans la pièce, suivi d’une femme nue, Emma. Odin avança vers lui, ses doigts devinrent des tentacules… « Un esclave de plus… mais il est si vieux, je pourrais tout simplement le tuer » pensa Odin. Mais quelque chose arrêta le geste d’Odin. Un détail qui ne lui allait pas et éveillait sa curiosité : Au lieu de lire la frayeur sur le visage du vieux, comme d’habitude, il le vit s’illuminer de joie.
- Vous, enfin ! Je vous attendais ! Oh oui, je vous ai attendu toute ma vie !

Les tentacules redevinrent des doigts. Odin ne comprenait pas, lorsque son regard se posa sur la table et sur le vieux manuscrit. Il s’en approcha, le parcouru, y lut la légende de sa vie, pas vraiment véridique, mais cela le mettait en valeur, il aimait bien… puis l’histoire de la famille du vieux comte. Puis Odin ferma le livre, réfléchit un instant, et se tourna vers Emma et le garde.

- Esclaves, allez me chercher tous les autres, dans la caverne. Nous établirons notre base d’opération ici.

Puis il se tourna vers le vieux comte.
- Quant à nous, il faut que nous parlions. J’ai une alliance à vous proposer…
- Oui Seigneur Odin, je suis prêt à tout accepter… en échange de l’immortalité !
- Bien… Même si je suis très puissant, je ne puis attaquer seul tous les humains. Ma puissance s’étiolerait, et je croulerais face au nombre. J’ai besoin d’une armée. Mais les gobelins ne seront pas suffisants. Ils sont bêtes, indisciplinés, et finalement se feront tuer trop facilement. J’ai besoin de plus d’humain à mon service, avec des armes de notre temps. 
- Je comprends, et je peux vous aider. Si vous allez avec vos monstres en ville, cela va attirer l’attention. Vous aurez bien vite l’armée à dos. Et malgré votre puissance, je pense que vous ne pourrez pas grand chose contre des avions et des tanks… Nous devons agir autrement…
- Avez-vous une idée ?
- Oui, le château ! J’ai déjà reçu de nombreux courriers du ministère des monuments et sites : si j’ouvre le château au public, les gens viendront pour le visiter. Les gens viendront ici, vous pourrez en faire des esclaves par petits groupes. Nous logerons ces esclaves dans une petite ferme que je possède et qui jouxte le château, en la transformant en « retraite spirituelle ». Avec cela, des officiels et des enquêteurs viendront voir ce qu’il se passe ici, vous en ferez aussi des esclaves. J’essayerai d’inviter des personnalités importantes, ou d’organiser des réceptions, des expositions, etc. pour recevoir des maires, des gradés de l’armée, et pourquoi pas des ministres ? Lorsque vous contrôlerez tous ces gens, vous contrôlerez bien vite le pays… et après le pays, petit à petit nous trouverons des idées pour contrôler le monde !!!
- Mmmm oui ! Excellent ! 
- En échange de mon aide, et de mon château, je ne veux qu’une chose : l’immortalité !
- Si tu deviens une créature de l’ombre, comme moi, tu seras immortel. Je ne peux te donner la même puissance que moi, mais je peux te donner une certaine force et l’immortalité.
Les yeux du vieillard s’illuminèrent…
- Oh oui, je le veux, je le veux…
- Bien, je vais alors préparer l’incantation et le breuvage…

* *
*

Lorsque le professeur, le garde, Emma, Evelyne et Sophie, encadrés par les six gobelins, arrivèrent au château, ils trouvèrent Odin et le vieux comte dans la grande salle d’apparat du château. Odin tenait entre ces mains une coupe contenant un breuvage, et il tournait dans ce breuvage avec une de ses tentacules, tout en psalmodiant des incantations. Le vieil homme était debout derrière lui, nu, et répétait les indications d’Odin. Puis Odin tendit la coupe au vieil homme, et dit « Bois ! Et scelle ainsi le pacte qui nous unira à jamais ! ».
Le vieil homme prit la coupe et bu avidement le breuvage d’une traite. Il reposa la coupe, voulut dire quelque chose, mais à ce moment, il cria, portant sa main à son ventre. Il tomba à terre, fut pris de convulsion, et hurla de douleur. Odin se recula. « La transformation commence. Je me demande en quoi il va se changer. Heureusement, j’ai pris mes précautions… je lui ai fait réciter les incantations faibles… il sera donc moins puissant que moi… et j’ai utilisé ma tentacule pour mélanger le breuvage, y ajoutant à son insu de ma semence, ainsi il m’obéira… ah ah ah… pauvre fou… on est toujours perdant quand on fait alliance avec plus fort que soi ! » Odin fut arraché à ses pensées par une lumière qui irradia du vieil homme. Tous les assistants durent détourner le regard, tellement la lueur était aveuglante. Puis, la lueur disparut peu à peu, en même temps que s’arrêtèrent les cris du vieil homme. Ils regardèrent dans sa direction… et… le vieil homme s’était transformé… en centaure ! Il avait quatre pattes et un corps comme un cheval, avec un tronc, deux bras d’humain, et son visage n’avait pas changé, sauf ses yeux, qui avaient la même couleur que ceux d’Odin.

Le vieil homme se regarda, galopa jusqu’à un vieux grand miroir, et se vit en entier…
- Mais… mais… Odin, que m’as-tu fait ? Je ne suis pas comme toi ?
- Erreur, tu es une créature de l’ombre, comme moi ! Un peu moins puissante, mais plus fort qu’un humain, et immortel, comme moi !
- Non, tu m’as trompé, tu…

En colère, le centaure s’approcha menaçant d’Odin, mais celui-ci le regarde fixement, et le corps du centaure s’arrêta net. Il voulait avancer, mais son corps ne lui obéissait plus, il n’avait plus aucune prise sur sa volonté. Ses pattes étaient comme figée dans du béton.
- Tant que tu m’obéiras, tu seras le plus puissant, après moi ! Contente-toi de cette place, et profite de ta puissance nouvelle.
- Mais tu n’as pas respecté notre pacte…
- Si je l’ai respecté : tu voulais l’immortalité ? Tu l’as ! 
- Et la force ?
Odin lui montra une colonne décorative, en marbre plein. Elle était là depuis des générations, et n’avait pas sa place dans le décor du château, mais était si lourde que personne ne l’avait jamais fait enlever.
- Brise-la…
Le centaure obéit à Odin. Il trottina jusqu’à la colonne, et frappa de son poing avec toute sa rage sur le marbre. Il s’attendait à avoir le poignet cassé… mais au lieu de cela, le marbre explosa, comme du plâtre !
- Tu voulais la force ? Tu l’as… et pour la puissance… Emma ! 

Emma aurait préféré s’enfuir, mais Odin contrôlait sa volonté. Elle s’approcha du centaure, lui caressa les flancs, lui murmura des paroles rassurantes à l’oreille, comme on fait avec un cheval… puis elle s’agenouilla, caressant toujours les flancs de « l’animal »… Elle passa en dessous du corps du centaure, lui caressa la croupe, puis alla chercher son membre… qui sortit bien vite sous les caresses d’Emma : C’était un sexe d’étalon ! Emma n’en avait jamais vu en vrai… Elle n’avait jamais vu un sexe si long de sa vie ! Au moins quatre fois plus long qu’un sexe d’homme ! Elle lécha le bout de ce sexe, et sentant que le centaure se cabra, flatta sa croupe pour le calmer. Elle n’arrivait pas à le mettre en bouche, et avait besoin de ses deux mains pour le branler… tout en léchant le pourtour. Le centaure se cabrant de plus en plus, elle se mit à quatre patte, et avec sa main guida l’énorme sexe vers son intimité. Elle écarta ses jambes un maximum, et pressa le sexe de cheval contre son vagin, puis, doucement, le poussa à l’intérieur. Elle ne put le faire rentrer qu’au tiers dans son vagin, puis fit de lent mouvement de va et viens, glissant sur cette énorme queue et criant son plaisir, mouillant beaucoup, et le cheval aussi, faisant une petite flaque au sol… le centaure sa cabrant, Evelyne et Sophie vinrent lui caresser la croupe et les flancs, pour l’empêcher de prendre la direction des opérations et culbuter Emma, se qui s’avérerait dangereux pour elle, vu la longueur de son membre. Les mouvements de bassin d’Emma s’accélérèrent, le centaure hennit comme un cheval, son énorme queue battit et il déversa un flot de sperme impressionnant et très liquide dans le vagin d’Emma, qui déborda de ce sperme chevalin. Evelyne et Sophie s’accroupirent à leur tour, une à gauche et l’autre à droite d’Emma (toujours accroupie) et lui léchèrent les jambes, ramassant avec leurs langues le sperme de cheval et sa mouille. Evelyne lécha la jambe gauche, remonta sur les fesses, léchant les fesses d’Emma, sa fente, son anus, et introduisant avec gourmandise sa langue dans son anus, tandis que Sophie lui léchait goulûment la chatte, avalant le plus de sperme et de mouille qu’elle pouvait. 

- Il suffit ! fit Odin. Nous avons d’autres choses à faire ! Alors centaure, que penses-tu de ta nouvelle « puissance » ? Ah ah ah ah !
Par lina
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Lundi 13 octobre 1 13 /10 /Oct 13:18
Doucement, l’aube pointait, mettant un terme à la nuit. Toni entra dans le temple. Avant d’aller à l’école, il aimait venir se recueillir dans cet endroit sacré. Et maintenant que les vacances commençaient, il avait encore plus le temps, et il aimait rester des heures dans ces ruines. Il y croyait, lui, aux merveilleuses histoires que racontait son grand-père, aux dieux, aux demi-dieux et au héros. N’était-il pas lui aussi un héros à sa façon ? Oser être amoureux de Sylla ! Il l’avait toujours aimée. Depuis la première fois qu’il l’avait vue. Lui, adolescent banal, pas très beau, boutonneux, rêveur, gauche et timide, était amoureux de la plus belle femme de la terre ! Sylla… Il déposait discrètement des bouquets de fleur devant sa porte, il l’observait à chaque fois qu’il pouvait, et lui était fidèle, à l’école, et même jusque dans ses fantasmes… il n’y avait qu’elle ! Et hier, hier, il l’avait vu nue ! Quel spectacle, quelle beauté ! Il ne pensait qu’à ça ! D’ailleurs, en ce moment-même, il la voyait, là, nue, allongée sur l’autel !…

Mais, il ne rêvait pas ! C’était bien elle ! Sylla était là, nue, allongée sur l’ancien autel du temple ! Elle semblait évanouie. Toni se précipita près d’elle, et lui pris la main, qu’il tapota doucement…

- Sylla ! Réveillez-vous ! Mademoiselle Sylla ! C’est moi, Toni !

Mais elle ne se réveillait pas. Toni ne savait pas trop quoi faire. Ses yeux se posèrent sur le corps nu de Sylla. Qu’elle était belle ! Ses seins généreux, à l’auréole sombre et aux tétons encore pointés, ses jambes, sa peau couleur de miel et son entre-jambe… Toni ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps admirable… timidement, sa main effleura un sein de Sylla. Puis le caressa… Toni avait le feu aux joues, le cerveau tourneboulé, et une solide érection dans le pantalon. D’un côté il voulait réveiller Sylla, car il avait peur qu’il lui soit arrivé quelque chose de grave, mais d’un autre côté, il ne le voulait pas, pour faire durer encore et encore ce moment intime avec Sylla. « Elle est si belle ! » Toni n’en pouvait plus. L’ardeur adolescente l’emporta ! Sa main caressa plus hardiment le sein, toucha timidement le téton, tandis qu’il sortit son sexe en érection de son short et se l’astiqua lentement.… Aaaah, sa peau était si tiède et si douce… sa main descendit le long du ventre tiède de Sylla, et effleura doucement son sexe… il avait envie d’approcher son visage, pour sentir l’odeur de Sylla… un de ces nombreux phantasmes… il approcha doucement son visage de l’intimité de Sylla, et ce faisant il ne vit pas qu’elle ouvrit lentement les yeux… des yeux sans pupille, d’un bleu translucide… des yeux qui virent l’adolescent, le pénis tout raide à la main, le visage à quelque centimètre de son vagin… 

Toni approcha doucement son nez du sexe de Sylla. Il allait le renifler, lorsqu’elle fit un mouvement très brusque, et que sa main serra fortement la nuque de Toni.

- Et alors garnement, qu’est ce que tu fais !

Toni se saisit et sursauta. La main avait une emprise ferme sur sa nuque, et il ne savait plus du tout bouger… son visage devint rouge pivoine, et il bredouilla

- Made… Mademoiselle Sylla… je… je ne voulais pas… enfin… vous sembliez mal.. je voulais… je voulais juste vous aider… je le jure… rien de mal… juste vous aider…
- En me reniflant le sexe ? C’est comme ça que tu veux m’aider ?

L’adolescent était tout penaud. « Oui… euh non… enfin… » La « nouvelle » Sylla réfléchissait. Elle connaissait sa mission, mais elle n’y arriverait jamais seule, ce monde était trop nouveau pour elle. Elle regarda l’adolescent. Ses yeux translucides sondèrent son cœur. Il n’y avait aucune méchanceté en lui. C’était un cœur pur. « Tout compte fait, peut être pourra-t-il m’aider… et je sais comment m’attacher sa fidélité… »

- Ah Toni, mon petit Toni… comme ça tu veux m’aider…
- Oui, je vous le promet ! Je ferais tout pour vous…
- Tout ? Quelle fidélité ! 

Tout en maintenant la pression sur la nuque de l’adolescent, Sylla rapprocha la tête de Tony de son intimité… Toni devenait de plus en plus rouge pivoine. Mais maintenant il sentait les effluves intimes de Sylla, et cela eut tôt fait de redonner vigueur à sa verge, jusque là assez penaude…

- Mais dis-moi Toni, il sent bon au moins ?
- Pardon ? Euh… oui… oh oui… je n’ai jamais rien senti d’aussi bon dans ma vie Mademoiselle Sylla !

Toujours en maintenant pression sur la nuque de Toni, Sylla amena la tête de l’adolescent contre son sexe. Le nez de Toni était contre son clitoris, en bougeant la tête du jeune homme, elle le titilla 

- Maintenant que tu l’as sentie, tu peux la goûter, si tu veux… 

Toni devint encore plus rouge, mais enivré par les effluves de Sylla, il donna de timide coup de langue sur son sexe… Il lui léchait le sexe comme un petit chien lape son eau. La main de Sylla quitta la nuque de l’adolescent, lui caressa les cheveux, puis elle mis les mains à son sexe, et écarta ses lèvres intimes, découvrant tout son sexe rose et profond à Toni…

- Vas-y plonge-y la langue… oh oui… toute ta langue, va profond, plus profond…

Toni plongea sa langue dans le trou béant, léchant les parois intimes de la grotte d’amour de Sylla, y faisant tournoyer sa langue… 

- Bien Toni, oui… mmhmm… c’est bon… Passe tes jambes au-dessus de ma tête que je puisse te rendre la pareille…

Toni s’exécuta. Il enjamba le visage de Sylla, son sexe pendant au niveau du visage de la jolie femme, puis repris le butinage du vagin de la belle. Il adorait le goût de sa mouille. Il replongea sa langue au plus profond de son sexe. Sylla attrapa la verge du garçon. Elle la lèche sur tout le long, avant de titiller le bout du gland avec sa langue… Puis elle recommença à le lécher sur toute sa longueur… puis elle lui lécha les couilles, et les massas tandis que sa langue courut le long du sexe du garçon, jusqu’à son gland, qu’elle happa petit à petit. Elle avala ensuite toute la verge du garçon, qui, dans un râle de plaisir, explosa dans la bouche de Sylla. 

- Oh pardon, je suis désolé, je…
- Chut mon garçon, ce n’est rien, c’est la première fois. Rends-moi la pareille…

Toni continua à lécher Sylla, son nez se perdant près de l’anus de la femme. Cet anus avait une petite odeur musquée qui excita d’avantage Toni. Sa langue quitta le sexe de Sylla pour aller jusqu’à son anus… il lui titilla l’anus de sa langue… puis le lui lécha, lui pénétrant l’anus de sa langue, le mouillant abondamment de sa bave… puis, il introduisit un doigt dans le sexe mouillé de la belle, puis deux, et la branla tout en continuant de lui lécher l’anus… Sylla jouit, mouillant les doigts du garçon, qui tomba assis, hors d’haleine…

* *
*

Odin marchait dans la forêt… La nuit s’achevait et l’aube pointait entre la cime des conifères. Le professeur, toujours nu, marchait derrière lui comme un automate. Odin repérait les lieux. Il devait trouver un autre point de chute. Ces deux humains serviles lui avaient fourni l’énergie pour se réveiller, mais il n’était pas encore assez puissant. Et la caverne était trop pleine d’énergie des créatures de la lumière, néfaste pour lui. Cette énergie positive l’empêchait de régénérer sa puissance. Au loin, il aperçut un château fort, assez sinistre, qui dominait la forêt du haut d’une colline. Odin concentra son regard vers le château, et en « huma » les ondes.
- Mmm parfait. Trahison, meurtre, massacre… ce château est rempli d’ondes négatives. Ce sera notre point de chute. Bien, nous…
Il s’arrêta net. Il avait senti quelque chose… il s’accroupi, ses doigts rentrant légèrement en terre… « La créature de la lumière se régénère plus vite que moi ! Je sens sa force jusqu’ici… Il faut l’empêcher… »… Il ferma les yeux… une énergie néfaste s’échappait de lui, la terre trembla légèrement… « crétaure de l’ombre… empêcher cette créature de continuer sa route… »
Puis il se releva… « Nous n’avons pas de temps à perdre, il faut se dépêcher ! Mais, qu’entends-je ? Un bruit… quelqu’un viens ! »

* *
*

Sylla regarda Toni, qui se réajustait. 
- Dis-moi mon garçon, tu es toujours prêt à m’aider ?
- Bien sûr ! Je ferais tous pour toi !
- Même si cela pourrait être dangereux ?
- Et bien… - Toni regarda ses maigres muscles – je ne suis peut être pas un héro, mais par amour pour toi, je ferais les 12 travaux d’Hercule s’il le fallait !
- J’aurai plus besoin de ton cœur, que de tes muscles… c’est là que réside la vraie force… le cœur ! 

Ils sortirent du temple. 
- Toni, il faut que je voyage, vers l’Est. J’ai une mission essentielle à conclure…
- Une mission ? Comme quoi ?
- Comme sauver l’humanité ! Et tu as promis de m’y aider !
- Sauver l’hu… c’est une blague ? Je sais que j’ai pas l’air très futé, mais c’est pas gentil de te moquer de moi… enfin je croyais que tu… mais pourquoi tu te retourne tous le temps ?
- Chuuut… je ne sais pas… je sens quelque chose… de néfaste…

Toni regardait à droite et à gauche. Il n’y avait que les ruines, quelques oliviers rabougris. Personne en vue, pas âme qui vive. Mais il avait aussi un certain… malaise. Comme si il se sentait en danger… Les branches de l’olivier à sa gauche, qui bougeaient doucement avec le vent… mais… il n’y avait pas de vent !

Avant que Toni ai pu faire un geste, l’olivier l’attrapa ! Ses branches étaient comme des mains, sèches et rabougries… Deux branches maintenaient ses poignets, il ne savait plus bouger… deux autres branches venaient vers sa gorge, et commençaient à l’étrangler… Il se débattait, mais n’arrivait pas à se libérer… sa vue commença à se brouiller, et lui à suffoquer… Sylla se retourna d’un coups, et poussa une exclamation en voyant l’olivier attraper Toni et l’étrangler. Sylla récita les paroles magiques, ses yeux brillèrent d’une luminosité bleutée, et une autre lueur bleue, pareille à une épée, brilla dans sa main droite. Elle fit un bon prodigieux, sauta au-dessus de l’arbre, et en retombant, elle le coupa en deux dans toute sa longueur… L’arbre relâcha Toni, qui tomba au sol, à moitié évanoui. D’autres arbres commencèrent à bouger… Sylla fit face et se battit vaillamment. Toni, qui avait recouvré ses esprits, priait pour elle. L’amour qu’il avait pour Sylla la rendait plus forte, et en l’espace de quelques instants, il n’y eut plus « d’arbres-vivants » devant le temple… 

- Qu’est ce qui c’est passé… qu’est-ce que c’était ?
- La preuve que je ne te racontais pas de connerie ! Il faut vraiment que j’aille vers l’Est, retrouver la créature à l’origine de cela et l’empêcher de nuire… et j’ai besoin de toi !

Les yeux implorant de Sylla firent fondre le cœur de Toni.

- D’accord, je vais t’aider. J’avais des places d’avions pour Berlin, et des tickets pour aller voir des matchs de l’Italie en Coupe du Monde en Allemagne. On peut garder les billets, et je vais essayer de vendre les tickets à des copains, pour qu’on ait de l’argent de poche…
- Bien Toni ! – Sylla ramassa un des « bras » d’un olivier – moi je vais essayer de voir exactement d’où provenait cette force maléfique. Retrouvons-nous ce soir chez moi !

* *
*

- Evelyne, tu es sûr que c’est le bon chemin ?
- Mais enfin, Sophie, je te l’ai déjà dit, regarde c’est sur la carte… on est plus ou moins… ici !

Sophie fit la moue. Elle avait suivi sa cousine Evelyne dans cette randonnée champêtre pour lui faire plaisir, et puisque les hommes ne passaient leur temps qu’à regarder le foot ! Mais là elles étaient perdues, Sophie en était certaine ! Cela faisait des heures qu’elles marchaient. Sophie et Evelyne se ressemblaient assez fort, elles auraient pu passer pour des sœurs. Elles n’étaient pas très grandes, de très jolis visages en ovales, avec de yeux bleus. Quelques kilos en trop, mais pas trop, juste de quoi avoir des formes appétissantes qui faisaient craquer les grands allemands ! La seule différence était leurs cheveux : Sophie était châtain blonds, avec des cheveux assez long, tandis qu’Evelyne avait des cheveux couleurs cuivrés, qu’elle avait fait couper « à la garçonne ». La journée promettant d’être chaude, elles avaient toutes deux revêtus des robes d’été aux couleurs chatoyantes.

Sophie releva le regard et vit le château. 
- Regarde Evelyne, le château est là ! A droite ! Alors qu’il devait être à gauche !
- Ah ben ça !
- Mais… tu tiens la carte à l’envers! On est complètement perdu !

Un bruit sur leur gauche, les fit tressaillir… Peu à l’aise, elles essayèrent de voir ce que c’était. En un coups, la forêt leur semblèrent plus sinistre. Elles essayèrent de discerner ce qu’il y avait dans les taillis… Un autre bruit, une brindille qui casse.

- Il… Il y a quelqu’un ?

C’est bien un bruit de pas qu’elles entendirent… Quelqu’un arrivait dans les taillis. D’ailleurs, les taillis commencèrent à bouger… et un homme en sortit. Il est complètement nu, sale, son sexe dressé, et marche vers elle, les bras tendus, comme un somnambule… ou un fou !

- Au secours ! Sauve qui peut !

Et en criant, les deux filles courent droit devant elle. L’homme, qui n’était autre que le professeur Müller, les poursuit, marchant comme un automate… « Non, pas par là… il vous tend un piège, je ne suis qu’un rabatteur… ». Il voulait prévenir ces pauvres filles… mais son corps ne lui obéissait plus. Sa bouche ne voulait pas s’ouvrir, et ses jambes marchaient contre sa volonté, rabattant les filles… vers Odin !

Lâchant le plan, les deux filles coururent à perdre haleine, droit devant elles, à travers la forêt. Après une course effrénée, elles s’arrêtèrent, à court de souffle. 

- … Il… il n’a plus l’air d’être … d’être derrière nous. Mais… je… je ne sais pas du tout où on est, fit Evelyne, reprenant son souffle.
- Là, regarde, il y a plus de lumière… fit Sophie…

Elles marchèrent vers l’endroit, qui était une petite clairière circulaire, sans conifères, c’est pour ça qu’il y faisait plus clair. Elle était inondée de soleil… Elles s’y assirent pour reprendre leur souffle. Mais elles se relevèrent bien vite… 
- Quelque chose a bougé dans l’herbe !
Par peur, elles reculèrent. Quelque chose, dans l’herbe, semblait venir vers elles. Elles reculèrent, puis s’arrêtèrent, car elles étaient contre un gros arbre…
- Viens, il vaut mieux ne pas rester ici…

Elles voulurent s’encourir… mais leurs corps refusèrent de bouger… Affolée, elles constatèrent que les racines des arbres avaient bougé, entravant leurs pieds, et qu’elles les maintenaient prisonnières…
- Non ! Mais c’est quoi ce cauchemar ?

Elles essayèrent de se débattre, d’arracher les racines avec leurs mains, mais en vain. Alors qu’elles s’appuyaient sur le tronc de l’arbre pour faire levier et se dégager, du lierre s’enroula autour de leurs poignets… Elles étaient tout à fait attachées à l’arbre ! Et la chose dans l’herbe venait vers elles… la chose arriva à leurs pieds… c’était un serpent ! Non pas un serpent, une sorte de… tentacule ! La tentacule avança vers Sophie… Elle atteint les racines de l’arbre, et Sophie put mieux la voir : c’était une tentacule gris-verte, qui se finissait en forme de phallus (de belle dimension !) La tentacule commença à monter le long de sa jambe…

- Noooon ! Mais qu’est ce que cette chose ?

Sophie se tortilla, mais en vain… Sous sa robe, elle voyait la bosse que formait la tentacule, qui remontait le long de sa jambe, puis de son ventre… contrairement à ce qu’elle avait d’abord pensé, la tentacule était tiède. Elle la sentait le long de son ventre, puis elle passa entre ses seins… pour sortir par son décolleté. D’une pression, la tentacule déchira la robe de Sophie, qui glissa à terre. Puis le bout de la tentacule, en forme de verge, vint se mettre face à la bouche de la jeune fille terrorisée. Sophie comprit et voulu fermer la bouche, mais trop tard ! La tentacule s’y engouffra. De sa vie, Sophie n’avait jamais eu de verges si grosse dans la bouche ! 

- Sophie, Noooooon ! Fit Evelyne, qui vit avec horreur une deuxième tentacule venir vers elle. 

Elle se tortilla pour se détacher de l’arbre, mais rien n’y fit. Le même schéma se produisit : La tentacule monta le long de sa jambe, passa sur son ventre, entre ses seins, déchira sa robe et vint se mettre devant sa bouche… Evelyne ferma la bouche et serra les dents. Le gland de la tentacule se positionna contre ses lèvres, mais Evelyne ne desserrait pas les dents. D’une ondulation, la tentacule lui donna un coup au niveau du ventre, et le souffle coupé, Evelyne entre-ouvrit la bouche… ce qui permit à la tentacule de s’y engouffrer ! 

Lorsque le professeur arriva dans la clairière, il vit Sophie et Evelyne attachées à un arbre, occupées à se faire ramoner la bouche par les tentacules d’Odin. 

Sophie sentit la grosse verge de la tentacule battre dans sa bouche, raclant son palais. « Oh non, pensa-t-elle », puis la tentacule éjacula dans sa bouche. Le foutre de la créature était chaud et sucré. Evelyne y goûta au même moment, un peu de sperme couleur vert foncé, coulant du coin de sa bouche et inondant son menton…

L’arbre relâchât les deux filles qui tombèrent à terre… D’autres tentacules arrivèrent. Sophie et Evelyne voulurent s’enfuir, mais leur corps ne leur obéissait plus. Elles voulaient partir au loin, mais au lieu de ça, elles se mirent à quatre pattes et marchèrent vers les tentacules, comme des bébés après leur biberon. Elles prirent les tentacules dans leurs mains, les léchèrent, et commencèrent à les sucer et à les branler en même temps. Mais quelle folie s’emparait de leurs corps ? Les tentacules les poussèrent doucement et elles tombèrent sur leur dos, l’une à côté de l’autre. Elles continuaient à sucer passionnément les tentacules, tandis que d’autres arrivèrent. Elles écartèrent en même temps les jambes… leurs culottes étaient trempées… Elles enlevèrent les morceaux d’étoffes pour offrir leurs vagins humides et ouverts aux tentacules, qui s’y engouffrèrent sans se faire prier, et commencèrent à baiser rapidement les deux jeunes filles, qui criaient leurs plaisirs entre deux sucions de tentacule... Chaque fille avaient deux tentacules qui les ramonaient à tour de rôle… Puis une des deux tentacules vint éjaculer sur leurs seins et leurs ventres, tandis que leurs vagins étaient eux aussi remplis du foutre vert des deuxièmes tentacules. Les tentacules se retirèrent, et le professeur vit les deux filles s’approcher l’une de l’autre, puis, comme des affamées, se lécher les seins et le ventre, pour ramasser tout le foutre d’Odin. 

Pendant que tout cela arrivait, le professeur ne put s’empêcher de porter sa main à son sexe, et de se masturber. En voyant ces deux jolies filles se lécher et se caresser l’une l’autre son plaisir augmenta, il était proche de l’explosion… C’est alors qu’une nouvelle tentacule arriva. Le gros phallus la terminant s’ouvrit, et enroba le gland du pénis du professeur, suçant tout son sperme.
- A moi vos semence de vie, dit Odin ! Bien, suivez-moi tous les trois, nous rentrons à la caverne. Demain nous investirons le château.

Et Odin prit la direction de la caverne, suivi du professeur, de Sophie et d’Evelyne, qui marchaient tous trois derrière lui, comme des automates.

* *
*

Emma se réveilla lentement. Elle vit les deux créatures à qui elle s’était « donnée » qui avaient fait un feu et avait posé un chaudron par-dessus. Emma ne se sentait pas bien du tout. Elle était nauséeuse et avait très mal au ventre. Elle posa ses mains sur son ventre, et poussa un cri ! Son ventre avait quadruplé de volume ! Elle se retourna vers les monstres avec effrois.

- Et oui ma jolie, ça fait toujours cet effet là au début !
- Les œufs sont presque prêts, hi hi hi, fit le deuxième monstre en riant.

Une douleur violente au ventre fit encore crier Emma. Les monstres s’approchèrent d’elle, et sans ménagement, la mirent debout, puis la firent s’accroupir. 

- Ce sera plus facile comme cela !

Emma sentit la douleur descendre vers son vagin… Quelque chose de très dur descendait de sa matrice. C’était son premier accouchement, et la douleur était insoutenable. Un peu de liquide jaune-vert et de sang suintait de son vagin. Son vagin s’ouvrit alors très très fort, Emma cria… et expulsa un œuf ! Un œuf un peu plus petit qu’un bébé humain (heureusement pour elle, sinon elle n’y aurait pas survécu !), verdâtre, en écaille toute rugueuse et striée de sortes de veines bordeaux. Mais Emma n’eut pas le temps de s’en inquiéter, car elle sentait un deuxième qui arrivait… Un des monstres lui ouvrit la bouche sans ménagement, et y versa le contenu d’une vieille outre. C’était un liquide de la même couleur et consistance que du vin, mais avec un goût amer et rance. 

- C’est un fortifiant, pour que tu tiennes le coup ! Sang de chauve-souris macéré avec quelques herbes des cavernes… - le monstre en bu une longue rasade – mmmhmm… in-com-pa-ra-ble ! fit il en faisant claquer sa langue de contentement.

Emma cria encore et expulsa le deuxième œuf. Elle en « accoucha » de quatre en tout, avec entre chacun une goulée du fortifiant du monstre. Le quatrième œuf expulsé, son ventre ayant repris une forme plus ou moins normale, elle tomba évanouie. Le deuxième monstre, l’air abasourdi, regarda le vagin sanguinolent d’Emma.

- C’est tout ? Nos femelles avaient des portées de 8 à 10 petits ! Pffff, c’est autre chose que ces feignasses d’humaine !
- Ohé oui, on n aurait pas dû les manger, nos femelles ! Fit l’autre avec un air désolé…

Une voix retentit derrière eux

- Bien, vous avez bien travaillé, soldat !

Odin était de retour.

- Tenez, voici encore de quoi vous amuser !

Odin fit alors un geste de la tête, et Sophie et Evelyne avancèrent vers les monstres, puis se retournèrent, se mirent à quatre pattes, offrant aux deux monstres leurs jolies croupes rebondies. Les deux ne se firent pas prier. Leurs deux sexes ondulés reprirent vigueur, et ils prirent Sophie et Evelyne en levrette sans aucun ménagement.

Pendant que les deux monstres lutinaient Evelyne et Sophie, Odin ramassa délicatement les quatre œufs et les mit dans le sarcophage. Puis, ses tentacules recouvrirent les œufs, et y ondulèrent tandis qu’Odin récitait une ancienne formule. Le professeur ne comprenait pas.

- Pourquoi des œufs ? Ces monstres ont des… enfin… des organes génitaux de mammifère !
- En effet professeur, ils ne sont pas ovipares. C’est ma magie qui fait cela. Pour deux raisons : Pour ne pas tuer les mères-pondeuses, car un quadruple accouchement de bébé Gobelin aurait tué Emma. Et j’ai encore besoin d’elle. Et pour gagner du temps aussi. Avec ma magie, aussitôt la mère ensemencée, les œufs se forment en une nuit, et en une autre nuit, je les transforme en petit monstre. Ils ne seront pas aussi costauds et solides que ces deux spécimens, mais j’ai besoin rapidement d’une garde rapprochée. Maintenant va dormir !

Le professeur obéit, il passa devant les monstres qui couinaient en jouissant dans les vagins d’Evelyne et de Sophie, à qui cela ne semblait pas déplaire. Lorsqu’ils se retirèrent, le professeur vit leurs queues ondulées de belle dimension… et le foutre épais et vert qui coulait des sexes des filles. Il marcha jusqu’à Emma, endormie à la place où elle avait expulsé les œufs. Il trouva un morceau de vêtement déchiré par terre. Avec celui-ci il essuya doucement le vagin d’Emma, puis il se coucha près d’elle et s’endormit.


* *
*


Comme prévu, Toni retrouva Sylla chez elle. Il la trouva en pleine méditation, assise en tailleur, le « bras » d’olivier dans les mains. Il attendit sans faire de bruit, mais Sylla sentit sa présence. Elle ouvrit les yeux. Puis ils s’assirent côte à côte à table, où attendait un plat d’olives et des rafraîchissements.

- Tu es là, c’est bien. Tu as les billets ?
- Oui, ils sont ici. Regarde : deux places pour Berlin, départ demain à 8 heures. Mon frère devait m’accompagner… mais j’ai réussi à l’en dissuader… Pour les tickets, ce fut plus dur. Mais j’ai eu de la chance, alors que je marchandais avec mes copains, un couple de touriste allemand a tout entendu, et le type m’a acheté les tickets, en payant cash !
- Parfait. Moi je ne suis pas arrivé à localiser notre ennemi. Il devient de plus en plus puissant, et il brouille les pistes. Mais nous aviserons en Allemagne. Par contre, j’ai trouvé une carte routière d’Allemagne, ça peut servir… Tu as ton permis de conduire ?
- Euh non…je suis encore un peu jeune, mais dès l’année prochaine je peux m’y mettre!
- Je ferai chauffeur en Allemagne, et tu t’occuperas de la carte… tu sais lire une carte routière ?
- Oh ça oui, je suis un spécialiste ! – Ils prirent des verres et trinquèrent -
- Ok Co-pilote ! Prêt pour l’aventure?
- Si !

Toni regardait Sylla. Elle était si belle. Elle ne portait qu’une chemise blanche, qui lui descendait jusqu’au début des cuisses, mais laissait entre-voir sa petite culotte en dentelle blanche… et puis ses jolies jambes, couleur miel… Il se rappelle le temple, le corps et le goût de Sylla. Une bosse commença à se former dans son jeans. Toni se serra plus contre elle, et essaya maladroitement de lui faire du pied. Sylla lui souri tendrement, mais le repoussa fermement. 

- Il faut aller se reposer co-pilote, car demain il faudra se lever tôt pour ne pas rater l’avion.

Penaud, l’adolescent rougit légèrement, tandis que Sylla se leva et alla fouiller dans un coffre.. 

- D’ac. Je dors où ?

Sylla lui lança un oreiller, qu’il attrapa maladroitement

- Mais dans le canapé, évidemment !
- Evidemment ! fit-il, encore plus penaud.
Par lina
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