Mercredi 8 octobre 3 08 /10 /Oct 12:29
A bord du FPU-Atlas, la tension montait. Le lieutenant Jones ne savait trop que faire. Le capitaine Douglas aurait dû appeler depuis plusieurs heures maintenant. Mais toujours pas de nouvelle. Selon les scanners, lui et Neil étaient toujours vivant. C’était déjà rassurant. Et les vaisseaux extraterrestres n’avaient ni bougé, ni relevé leurs boucliers, ni rien fait qui eut pu paraître agressif.

Un « bip bip » sonore retenti sur la passerelle. 
- Lieutenant Jones, fit l’Enseigne Lhatta, un appel du vaisseau extraterrestre.
- Sur haut-parleur.
- Bonjour ! J’ai un message pour le lieutenant Jones.
- Bonjour, vous pouvez parler, je suis le lieutenant Jones.
- Je suis le Zourk Menesis, Commandeur des Akraniens. J’ai un message du capitaine Douglas. Il dit de ne point vous inquiéter, il devait vous donner de ses nouvelles, mais il ne peut le faire pour le moment. Il se repose. Vous savez notre bière est assez forte, et nous avons beaucoup parlé lors du banquet, et porté de nombreux toast. Mais, dans quelques heures il vous contactera lui-même…
- Bien merci pour ce message, Zourk Menesis…
- Pas de problème… Si certains d’entre vous veulent monter à bord, ils sont les bienvenues… histoire de faire mieux connaissance… ou vérifier que je dis vrai au sujet du capitaine…
- Merci Zourk Menesis, veuillez me laisser le temps de la réflexion.
- Bien sûr. Terminé

Jones réfléchit. Son intuition lui criait que quelque chose n’était pas normal. Elle flairait un piège. D’abord, elle connaissait assez le capitaine pour savoir qu’il tenait formidablement bien l’alcool pour un humain. C’était d’ailleurs pour cela qu’il était souvent envoyé en délégation, certains fonctionnaires tombant dans les pommes après deux toasts de certaines boissons intersidérales, frelatées ou pas ! De plus, cette façon de les attirer par petit groupe dans leur vaisseau ne lui disait rien qui vaille… Mais s’ils étaient agressifs, pourquoi ne pas avoir simplement détruit le FPU-Atlas ? Pourquoi toutes ces manœuvres ?

La seule façon d’y voir clair était d’enquêter à l’intérieur du vaisseau extraterrestre. Mais comment le faire le plus discrètement possible ? Une idée vint au lieutenant Jones. C’était dangereux, mais faisable.
- Enseigne Lhatta, envoyez un message au akraniens, et dites leurs que le lieutenant Jones et quatre membres d’équipage veulent monter à leur bord, en réponse à leur invitation.
- Bien lieutenant.

Lhatta fit comme le lieutenant lui avait ordonné, puis vint la rejoindre.
- Mon lieutenant, je voudrais vous signaler que ce que vous faites est périlleux. Si vous tombez entre leurs mains, nous n’avons plus d’officier pour nous commander.
- Oui, et c’est peut-être ce qu’ils souhaitent. Mais je ne compte pas y aller avec le groupe. 
- Pardon ?
- Les akraniens ne m’ont pas vu, ils ne savent pas à quoi je ressemble. Une volontaire va se faire passer pour moi, et aller avec quatre autres volontaires sur le navire akranien, par téléportation. Pendant cette opération, qui attirera l’attention des akraniens, j’essayerai, en scaphandre autonome, de me glisser à leur insu dans leur vaisseau.
- Mais c’est dangereux ! Et s’ils vous repèrent ? Ou s’ils sont vraiment pacifiques ?
- Il faudra être très synchro. Lors de la téléportation, toutes les machines et l’attention est prise par l’opération de téléportation, pour éviter qu’elle ne se passe mal, ce qui serait désastreux. Je n’aurai donc que quelque minute pour me glisser à bord du vaisseau. Leur radar ne pourra me détecter, ma masse étant vraiment trop petite. S’ils me prennent, je ferai la maladroite, prétextant des réparations sur la coque de notre navire, et une défection de mon scaphandre qui m’a propulsé vers leur vaisseau, ma seule chance de survie… enfin, je me débrouillerai bien à leur servir une histoire de ce style. Mais si je réussis à passer inaperçue, je pourrai enquêter en toute liberté, et enfin savoir de quoi il en retourne.
- Lieutenant, c’est risqué, mais je pense que nous n’avons pas le choix. Je me propose volontaire pour me faire passer pour vous.
- D’accord enseigne Lhatta. Trouvez quatre autres volontaires pour vous accompagner. Et mettons nos montres synchro... voilà. Bien, commencez la téléportation à 23h05, heure terrienne. Pas avant ! Cela me laissera le temps de trouver une ouverture sur ce vaisseau… enfin j’espère !

*
*

Ayant enfilé une combinaison, Jones sortit par un sas discret, sous le vaisseau. Avec ses propulseurs, elle couvrit rapidement la distance qui séparait les deux vaisseaux. Le vaisseau akranien était vraiment très grand, fait dans un alliage inconnu de la Fédération. Elle longeait l’immense coque du vaisseau. Où trouver une ouverture ? Sur un vaisseau spatial, ce n’était pas évident à trouver. Il n’y avait pas tellement d’entrée possible : elle ne pouvait pénétrer par un sas, car ils se verrouillent de l’intérieur. Ce vaisseau ne semblait à première vue par avoir de ponton de largage d’engin plus petit, elle ne pouvait donc pénétrer par-là non plus. Ce qu’elle cherchait était la seule ouverture de base commune à tous les bâtiments de toute les civilisations, terrestre ou extraterrestre : l’évacuation d’ordure. Elle regarda sa montre : 22h59. Plus beaucoup de temps ! « Mais où est cette… » 

A ce moment, elle vit un nuage de petite particule voleter devant elle, qui semblait venir du vaisseau. « Les déchets, pourvu que ce soit les déchets ! » Elle remonta le nuage jusqu’à sa base : une petite ouverture, avec un sas qui s’ouvrait et se refermait automatiquement à intervalles réguliers, lâchant de petits nuages de particules dans l’espace. Elle regarda sa montre : 23h03. L’ouverture était juste assez grande pour qu’elle y passe en se contorsionnant un petit peu. Elle compta le temps entre l’ouverture et la fermeture du sas. C’était juste, mais elle n’avait pas le temps de trouver autre chose.

*
*

Lhatta et les quatre volontaires arrivèrent dans la salle de téléportation. Jenny et Belinda étaient deux sœurs, qui avaient servi un temps dans les para-commandos spatiaux avant d’avoir fait une mission avec le lieutenant Jones. Elles avaient ensuite demandé à être muté sous ces ordres de façon définitive, car elles n’avaient jamais connu meilleur officier. Elles étaient de bons soldats et des éléments de valeur. Jenny était une mignonne petite brune très énergique, tandis que Belinda était une blonde pulpeuse. Ben, aussi un ancien para, à qui le capitaine Douglas avait sauvé la vie lors d’un raid victorieux, mais épique, lors de la guerre des trois systèmes suivait Douglas en espérant lui remettre la pareille un jour… Les cheveux grisonnant coupé à la brosse, il était grand, musclé… le para type ! Le dernier élément de l’équipe était moins talentueux militairement. Mike, beau brun ténébreux, enfin à ce qu’il dit, était courageux et arrogant. Fils de bonne famille, pistonné, il suivait l’équipe du Capitaine Douglas dans l’espoir de se couvrir de gloire. 

Ils se placèrent tous les cinq sur le socle adéquat. L’opérateur tritura son panneau de commande. Il laissa l’accès au rayon du vaisseau extraterrestre. Un halo blanc les entoura, devint éclatant, puis disparu avec les cinq humains. « Pourvu que Jones ait pu pénétrer dans le vaisseau » pensa Lhatta. 

*
*

23h05. Jones prit une grande respiration et se lança sans hésiter, bascula tête la première juste au moment ou le sas s’ouvrit, et se rétablit juste pour faire passer ses jambes au moment où le sas se refermait. C’était tout juste. Mais elle était passée. Elle était dans une sorte de grande cuve, une cuve à déchet, remplie d’un nuage brun plus compact. « Que de manière organique ! » pensa-t-elle en consultant son scanner. « Même si le vaisseau est grand, ça fait quand même beaucoup ! » Grâce au propulseur elle trouva sur un des murs métalliques la porte qui permettait sans doute aux techniciens d’entretenir la cuve. En l’observant, elle comprit qu’elle pouvait l’ouvrir manuellement. Elle tourna les molettes adéquates, ouvrit la porte et entra dans un petit sas de décompression. Après avoir refermé la porte, la lumière devint rouge, puis après encore quelques minutes, tout redevint normal, et une porte à l’autre extrémité de la pièce s’ouvrit. La gravitation était normale et l’air respirable. Jones enleva son scaphandre autonome, devenu très sale après le passage par la cuve, et sortit du sas de décompression, s’attendant à tout moment à ce qu’une horde d’akraniens mauves à longues oreilles se saisissent d’elle. Mais rien. Elle entra dans ce qui devait être un vestiaire, vide de toute présence. Apparemment elle était passée inaperçue. Elle cacha sa combinaison spatiale et son scaphandre dans ce vestiaire, dans une sorte de caisse contenant des outils bizarres et du matériel d’entretien des cuves. 

*
*

Lhatta et ses compagnons furent bien reçu à bord du vaisseau akranien. Ils furent accueillis par un akranien s’appelant Mannè. Il était courtois, et demanda aux humains de le suivre, il allait les mener au capitaine Douglas. Ils suivirent donc leur guide. Les akraniens ne purent s’empêcher d’arrêter leur travail pour regarder Lhatta ou Belinda. Pour eux, qui n’avaient jamais vu de femmes terriennes, voir Lhatta, Jenny ou Belinda était extraordinaire ! Même dans le centre de commande du vaisseau, les hommes avaient les yeux rivés sur l’écran de vidéo, suivant les cheveux noirs de Lhatta qui ondulait au grès de sa marche… heureusement, car ainsi ils ne virent pas le petit voyant rouge qui clignota au niveau du sas de décompression de la cuve à déchet !

Finalement, Mannè s’arrêta. 
- Veuillez m’attendre quelques minutes lieutenant Jones, j’arrive.

Après avoir acquiescer de la tête, Lhatta observa la pièce où ils se trouvaient. C’était une sorte de vestibule, rond, avec sept portes sur le pourtour des murs. Entre ces portes, des tables basses, avec des pots de fleurs. La même sorte de fleur en fait : une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres ou mauves, en trompette. Ce vestibule était assez haut, avec une sorte de terrasse en mezzanine au second niveau, terminé par un dôme. Le tout était assez élégant. Lhatta attendait Manné avec ses compagnons au milieu de la pièce. Elle trouvait la fleur assez jolie, et le parfum dégagé par elle était très bon, mais la rigueur militaire faisait que les cinq personnages restaient sans bouger, au milieu de la pièce.

Après quelques minutes, le Zourk Menesis apparu sur la terrasse, suivi de Manné. Il les regarda avec un grand sourire. 
- Soyez les bienvenus amis humains !
Puis il se retourna vers Manné et lui glissa doucement
- Pourquoi ça ne marche pas encore ?
- Ils sont trop loin des plantes, chuchota Mannè, pour un effet rapide ou immédiat, il faut en être plus près !

Le Zourk Menesis se tourna de nouveau vers les humains.
- Mannè me dit que vos amis sont dans le quartier des habitations, derrière une de ces portes. Ils déjeunent. Avant de vous laisser les rejoindre, j’aimerais que vous vous conformiez à une vieille coutume d’hospitalité akraniene. Pour nous les fleurs sont très importantes. Avant d’aller manger avec un hôte, on respire le parfum des fleurs posées dans le vestibule, et on complimente l’hôte pour son habitat. C’est devenu une politesse élémentaire chez nous.
- Bien sûr, Zourk Menesis, fit Lhatta. Nous ne voulons vous froisser, vous nous accueillez si chaleureusement.

Et faisant un geste pour que les autres fassent comme elle, et alla vers la plante. Elle huma le parfum d’une des fleurs, et fit un compliment d’usage. Mais elle trouvait que cette plante sentait vraiment bon ! Au risque de paraître impolie, elle huma une seconde fois la fleur. Quel parfum sublime ! En plus, elle se sentait toute bien. Elle flottait, l’angoisse de la mission avait disparu. Elle replongea le nez dans la fleur, vit avec amusement les pistils en forme de pénis, et, comme Neil et Douglas, suça les pistils, absorbant les neurotoxiques. Elle ne vit pas que ses compagnons faisaient de même, tous sous l’influence de la plante. Puis la sensation de chaleur commença, l’envie de sexe…

Elle se débarrassa de sa combinaison pour être plus à l’aise, et nue, se retourna. Les autres avaient fait comme elle. Ben, très grand et musclé, avait un sexe énorme. Il était tout bandé, et Jenny et Bélinda le léchaient avec gourmandise. Un peu à l’écart, Mike se masturbait en regardant le spectacle. Mike avait une verge beaucoup plus petite que celle de Ben, mais Ben étant déjà occupé… Lhatta marcha donc vers Mike et s’agenouilla devant lui. Il lui présenta sa queue, qu’elle commença à lécher. Elle lécha le gland, le manche, puis enfourna toute la verge dans sa bouche. Mike mis sa main sur l’arrière de la tête de Lhatta, et commença à lui imprégner de furieux vas-et-viens le long de sa queue, Lhatta se dégagea, renversa Mike sur le sol, et se coucha sur lui, de façon à pouvoir lui sucer le gland tandis que son sexe était à hauteur de la bouche de Mike. Il lui lécha alors la vulve, la pénétra de sa langue tandis qu’elle lui fit une pipe gourmande. 

Belinda était couchée sur le sol, Jenny à quatre pattes lui léchait et lui mangeait la chatte, tandis que Ben prenait Jenny en levrette. Il ahanait à chaque coup de son énorme boutoir, qui faisait gémir de plaisir Jenny, qui en donnait un coup de langue plus profond à Belinda, qui gémissait à son tour… Lhatta laissa Mike, et alla passionnément embrasser Bélinda. Puis elle s’accroupit sur le visage de Bélinda, qui lui mangea à son tour la chatte (mieux que Mike !), faisant face à Ben et Jenny pour profiter du spectacle… Mike s’approcha du groupe, il ne lui restait que deux orifices disponibles : l’anus de Ben ou celui de Lhatta. Il choisit celui de Lhatta. Tandis qu’elle se faisait lécher par Bélinda, elle sentit le gland de Mike contre son anus. Elle s’accroupit mieux pour détendre son muscle anal, et ainsi Mike put la sodomiser à son aise… Belinda, sa tête juste en dessous de l’action, léchait tantôt la chatte de Lhatta, tantôt les couilles de Mike…

Tout à leur orgie, ils n’avaient pas vu que deux ou trois autres akraniens avaient rejoint le Zourk Menesis et Mannè sur la terrasse. Ils prenaient des notes, et commentaient les plaisirs humains, discutant en scientifique. Ils virent les humains se calmer doucement… Mike éjacula en premier dans le cul de Lhatta. Belinda avait le bas du visage trempé par la mouille de Lhatta, Jenny le bas du visage trempé par la mouille de Belinda, et Ben donna un dernier coup de boutoir et éjacula abondamment dans la chatte de Jenny. Puis ils se couchèrent les uns sur les autres, pour reprendre leur souffle. Les scientifiques akraniens discutèrent encore, prirent quelques notes, réglèrent les derniers détails de l’opération avec Menesis, puis quittèrent la terrasse, tandis que les humains recommençaient, Ben prenant violemment Lhatta, qui léchait Belinda tandis que Mike sodomisait Jenny…

*
*

Jones visitait le vaisseau. Le niveau où elle se trouvait était celui des machines, turbines, enfin, toutes des choses étranges d’une technologie qui dépassait celle des humains. Ce n’était pas ici qu’elle trouverait le professeur Neil et le Capitaine Douglas. Dès qu’elle entendait un bruit, elle se cachait, et put passer inaperçu. Mais le niveau supérieur étant assez fréquenté, et certainement surveillé, ce serait beaucoup plus difficile. C’est en se cachant précipitamment derrière de gros tuyaux pour éviter d’être vue par deux akraniens qu’elle n’avait pas entendu venir qu’elle trouva la solution. Les machineries du vaisseau akraniens produisaient beaucoup de chaleur. Hors ces machineries semblaient ne pas aimer la chaleur. Jones avait remarqué plusieurs grilles de ventilation. Ces grilles donnaient sur des tuyaux, assez grand, qui couraient dans tous le vaisseau. En se cachant derrière un de ces tuyaux de ventilation qui montait vers les niveaux supérieurs, Jones se trouva face à une grille, et elle vit au travers de celle-ci qu’il y avait des échelles de maintenance pour monter ou descendre dans les tuyaux. Après quelques recherches, elle parvint à ouvrir la grille, et se glissa à l’intérieur du tuyau. Il y faisait frais, mais c’était supportable. Elle monta l’échelle et arriva ainsi au niveau supérieur du vaisseau. Là, elle dut continuer à quatre pattes, mais c’était possible. Tout les 100 mètres il y avait une grille, par laquelle elle pouvait observer le vaisseau et les akraniens. Ces grilles étaient aussi la seule lumière, faisant alterner dans les tuyaux des zones d’ombres et de clarté.

Au grès de sa progression, elle vit les cuisines, des salles de repos, des salles dont elle ne comprenait pas l’utilité, et surtout beaucoup de laboratoires. Dans ces laboratoires, elle put apercevoir quelques scientifiques akraniens, perdus dans leurs expériences, mais aussi de nombreuses espèces animales de toute la galaxie, dans des cages. C’était vraiment étrange. Au grès de sa progression, elle voyait les akraniens comme des scientifiques, et pas des soldats. Elle n’avait vu aucune arme apparente. Quels drôles de gens ! Elle continua sa progression, et arriva au niveau de ce qui devait être une chambre d’akranien. Le mobilier était assez austère, comme dans tout vaisseau spatial, mais plus confortable que dans l’UFP-Atlas. Jones allait continuer lorsque la porte s’ouvrit, et un akranien entra dans sa chambre. La curiosité la retint, et elle observa l’extraterrestre. Il était torse-nu, comme les autres. Mauve, oreille en pointe, entièrement glabre. Il vaquait à ses occupations, prit un magazine dans un tiroir. Elle allait continuer, lorsqu’elle vit qu’il commença à se déshabiller. Elle aurait dû continuer, mais une curiosité voyeuriste la retenait. Elle vit le pantalon de l’akranien descendre. Il avait des fesses, comme des fesses humaines… Deux fesses mauves, avec son petit trou au milieu. Puis il se retourna. Jones n’en crut pas ses yeux ! Il avait deux pénis. Deux pénis qui commencèrent à bander, puis qui se tendirent à leur maximum. Jones rougit. L’akranien commença à se masturber, une main sur chaque sexe. Jones ne savait détourner les yeux de ces deux pénis, de ces deux glands qui apparaissaient et disparaissaient au grès des mouvements des mains de l’akranien. Jones vit à travers sa combinaison que ses tétons pointaient. Elle rougit encore plus. L’akranien gémit, et éjacula de ses deux sexes à quelques secondes d’intervalles. Son sperme ressemblait beaucoup à celui des humains, en plus jaunâtre peut-être… puis il disparut du champ de vision de Jones. Elle profita pour se remettre en route. Mais en bougeant, elle sentit que son entre-cuisse était tout humide. Elle passa sa main, et malgré sa combinaison, elle sentit le mouillé. Elle sentit ses effluves et rougit encore plus. « Pffff, je suis venue ! Comme une gamine devant son premier film porno ! Quelle honte ! »

Elle continua sa route, le plus silencieusement possible. Elle sentait dans la conduite ses effluves. « Pourvu que personne d’autre ne le sente » pensa-t-elle. Les pièces suivantes étaient de grands hangars, avec ce qui ressemblait à de grandes cages. Mais il faisait trop sombre pour qu’elle puisse voir de quoi il s’agissait. Elle continuait sa progression, mais s’arrêta brusquement. Elle avait entendu un bruit. Devant elle. Elle s’arrêta, scruta les ténèbres. Puis elle vit deux yeux jaunes luire dans le sombre, face à elle. Elle dégaina doucement son désintégrator. Un Mx32. Silencieux, précis. La meilleure arme de courte portée de la galaxie. Jones recula doucement dans le tuyau, dans la zone d’ombre, de façon à laisser venir son adversaire dans la partie claire, pour bien viser et le tuer sans faire le moindre bruit. Elle vit les yeux jaunes se rapprocher. Et constata que ce n’était pas un akranien, mais un animal qui venait vers elle. L’animal était arrivé dans la partie claire du tuyau. C’était un rat de l’espace. Croisement entre la souris de laboratoire et le rat, le rat de l’espace avait une fourrure blanche, des yeux jaunes et une longue queue rose. Sa taille avait évolué au gré des modifications génétiques. Il était grand comme un labrador terrien. Il se cachait souvent dans les grands vaisseaux spatiaux et mangeait ce qu’il trouvait. Il était omnivore et ses dents et ses griffes aussi coupante que des lames bien affûtées. Et là, il regardait Jones avec gourmandise. Calmement, elle leva son arme, visa et tira. Un rayon rouge sortit de son désintégrator, et foudroya le rat, qui tomba raide mort. 

Ce n’est que quand elle sentit une présence derrière elle qu’elle se rappela que les rats de l’espace ne vivent – et ne chassent – jamais seul. Jones n’eut pas le temps de se retourner. Le deuxième rat lui sauta dessus, si violemment qu’elle lâcha son désintégrator. « Je suis morte ! » pensa Jones en fermant les yeux, prête à sentir des dents acérées lui déchiqueter le corps. Mais le rat n’essaya pas de la manger. Ses pattes avant griffues posées sur les épaules de Jones, il s’accrochait à elle et elle sentit un coup violent à l’entrecuisse. Puis un autre. Avec horreur, Jones comprit que le rat ne voulait pas la manger. Il voulait s’accoupler. Il était en rut, et avait sentit les effluves de Jones. Le besoin vital et instinctif de s’accoupler, de se reproduire, était plus fort que celui de se nourrir. Jones voulut bouger pour se débarrasser du rat, mais il était lourd, et à quatre pattes, dans ces canalisations exiguës, elle ne savait pas beaucoup bouger. Elle sentait dans son entrecuisse les coups de sexe du rat de plus en plus répétés. Elle regarda sous elle, et vit que le sexe du rat ressemblait à celui d’un chien, en plus long et un peu plus dur. Pour le moment le sexe du rat glissait sur la combinaison de Jones, mais devant les coups répétés, elle ne tiendrait pas longtemps. Jones essaya encore de se débattre, mais le rat lui donna un coup de griffe qui lui fit mal. Elle s’écroula. Sa combinaison était déchirée sur le côté gauche, mais heureusement elle n’avait qu’une estafilade au-dessus du sein. Elle se remit à quatre pattes pour fuir, mais le rat lui sauta à nouveau dessus. Dans le mouvement et avec les coups répétés du rat, sa combinaison se déchira. « Noooon ! » pensa-t-elle ! Le rat refit un coup de bassin, son sexe dur entra complètement dans le vagin de Jones. « Aaaaah » De douleur et sur le coup, elle s’écroula sur ses coudes… Sa croupe ainsi offerte, le rat n’hésita pas : il allait commencer à la besogner. Son sexe dur et rouge s’approchait du sexe humide de Jones. Mais le précédent coup de boutoir avait fait bouger Jones, qui sentit un objet métallique près de son coude droit. Son désintégrator ! Elle le prit, et tandis que le pénis du rat commençait à entrer en elle, elle tira à l’aveugle. Touché en pleine tête, le rat s’effondra sur Jones, mort. Elle dégagea d’abord le sexe encore chaud du rat de son vagin, puis se dégagea de sous la carcasse de l’animale. Elle était dans un bel état ! Sa combinaisons déchirée à l’entrecuisse, et imprégnée de sa mouille, et de la mouille du rat, son sein gauche à l’air… Elle souffla un peu, et décida d’aller de l’avant, l’arme à la main, en espérant ne plus rencontrer d’autres rats sur son passage.
Par lina
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Mardi 7 octobre 2 07 /10 /Oct 22:36

Au large du système d’Akrana – année terrestre 5073

- Nous approchons du système d’Akrana, Capitaine.
- Bon, dévions notre route. Il vaut mieux ne pas trop s’approcher de ce système, c’est la frontière avec la Fédération des Planètes Unies. Enseigne Lhatta, veuillez entrer les coordonnées 03.7.89.4.45. 
- Bien Capitaine. 

Le Capitaine Douglas se leva alors de son siège de commandeur du vaisseau FPU-Atlas. Approchant la quarantaine, le Capitaine était bel homme, grand, fort, des cheveux noirs, coupés à la brosse, et des yeux bleus dans lesquels se lisait une volonté de fer. Héros de la guerre des trois systèmes, sa réputation tant de pilote que de Capitaine n’était plus à faire. Depuis la fin de la guerre, il faisait surtout des missions d’escorte avec un navire de combat de taille moyenne de la fédération, le FPU-Atlas. Même si ce n’était pas un gros vaisseau de guerre, comme un de ceux qu’il avait commandé lors de la guerre des trois systèmes, et qu’il n’avait comme équipage qu’une vingtaine de personnes à bord, le Capitaine l’aimait pour sa rapidité et sa maniabilité.

Après avoir escorté une expédition scientifique vers le Système Endorra3, mission sans accroc, ils retournaient vers la station Orbital1, la plus grosse de la Fédération, à la limite de la Voie Lactée, avant de peut-être reprendre le chemin de la terre…

- Voilà, la route vers Orbital1 nous est toute tracée. Lieutenant Jones, prenez le commandement, je vais à ma cabine me reposer un peu...

Le second du Capitaine, le Lieutenant Martha Jones était une femme d’une trentaine d’année, les cheveux châtains, et qui, en plus d’être jolie, était surtout un excellent soldat. Elle aussi avait fait montre de courage lors de la guerre des 3 systèmes, et ses relations avec le Capitaine Douglas, très professionnelle, en faisaient un tandem de choc, la meilleure équipe d’officier de toute l’armée de la Fédération des Planètes Unies. 

Le Lieutenant Jones se levait lorsque l’alarme retentit. Le Capitaine Douglas se retourna d’un bloc. Il revint à sa place.

- Que se passe-t-il ?
- Nous recevons un message de détresse mon Capitaine.
- Sur haut-parleur !

Un son diffus, entre-coupé d’interférence, se fit entendre par les hauts-parleurs :
« Ici FPU-Evergreen. SOS. Je répète SOS. Tempête magnétique nous a fait dévier… coordonnées 01.7.59.4.45. SOS. Vaisseau… nombreuses avaries… oxygène se raréfie… n’en avons plus pour longtemps… SOS… »

- Enseigne Lhatta, fit le capitaine, avons-nous des détails sur le vaisseau FPU-Evergreen ?

L’enseigne Lhatta, dernière arrivée dans l’équipe de Douglas, une jeune eurasienne diplômée de l’Académie avec mention, connaissant par cœur quasiment tout les systèmes informatiques approuvés par la Fédération, rapide et efficace, tapota sur son écran de contrôle. Elle eut vite les renseignements demandés.

- Oui Capitaine. C’est un ancien destroyer spatial transformé en vaisseau scientifique. Il a quitté, il y a environ 15 jours terrestres, la station Orbital15 avec à son bord 150 personnes et quelques animaux d’études.
- 150 personnes ! Nous ne pouvons les laisser mourir comme ça. Allons les secourir, cap au 01.7.59.4.45, fit le Capitaine.
- Mais, Capitaine, fit le Lieutenant Jones, c’est de l’autre côté de la frontière !
- Je sais Lieutenant. Mais nous ne pouvons laisser ces gens. Nous n’avons aucune intention belliqueuse, c’est une mission de secours. Nos supérieurs comprendront ce genre d’impératifs.

Aussitôt, de toute la vitesse dont il était capable, le FPU-Atlas fit route vers le vaisseau en détresse. Il dépassa la limite de la Fédération des Planètes Unies, et entra dans le Système d’Akrana.

- Nous y sommes Capitaine
- Je veux le visuel sur l’écran. Que dit le radar ?
- Rien Capitaine, c’est étrange, aucun vaisseau signalé…

L’image s’afficha sur l’écran principal.

« Oh mon Dieu ! », fit le Lieutenant Jones. L’écran ne montrait pas un vaisseau spatial, mais tous des débris flottant dans l’espace, et commençant à suivre une route invisible, celle de l’orbite d’une des lunes d’Akrana. Ces débris devaient être tout ce qui restait du vaisseau FPU-Evergreen. Tout le monde avait les yeux fixés sur cette triste vision, même l’enseigne Lhatta, qui ne vit pas les deux points lumineux sur le radar, points lumineux qui se rapprochaient d’eux… jusqu’au moment où retentirent les sonneries d’alarme.

- Capitaine, deux vaisseaux en approche ! Un derrière nous et un autre qui nous coupe la route !
- Sont-ils de la Fédération ?
- Non, Capitaine ! Et ce sont de gros bâtiments de guerre à ce qu’il me semble…
- Nom de nom ! Et nous ne pourrons pas fuir !
- Capitaine, ils demandent à nous parler !
- Bien, sur visuel !

La tête d’un extraterrestre apparut sur l’écran. Il ressemblait à un humain, mais de couleur mauve, et avec des oreilles pointues, des traits presque efféminés… il ressemblait fort à la façon dont les humains représentent les elfes dans leurs légendes. Il semblait habillé d’un grand manteau bleu azur. Une grande noblesse émanait de lui. Il parlait une langue bizarre, mais les ordinateurs traduisaient simultanément.

- Vaisseau FPU-Atlas, vous êtes dans une zone qui vous est interdite. Vous risquez la destruction. Que faites-vous ici ?
- Ici le Capitaine Douglas du vaisseau FPU-Atlas de la Fédération des Planètes Unies. Nous sommes entrés dans cette zone pour une mission de sauvetage, après avoir reçu un message de détresse…
- Vous dites la vérité, nous avons eu ce message aussi. Nous faisions route vers votre système pour une mission d’ambassade de paix avec votre Fédération. Nous pourrions commencer les pour-parler ensembles, qu’en pensez-vous capitaine ? Je vous invite à mon bord.
- J’accepte ! Le temps d’aller dans la salle de téléportation.

L’écran devint noir. Le lieutenant Jones se porta à la hauteur du Capitaine.

- Capitaine, le code nous interdit de monter à bord de vaisseaux inconnus. C’est trop dangereux !
- Je sais lieutenant Jones, mais nous n’avons pas le choix. Nous avons une chance de signer un traité avec eux. Refuser pourrait les vexer, et vexer deux gros bâtiments solidement armés risquerait fort d’amener notre anéantissement. De toute façon, s’ils voulaient nous détruire, ils auraient déjà pu le faire.
- Capitaine, ils nous font confiance, fit l’enseigne Lhatta. Ils baissent leurs boucliers de protection.
Le Capitaine Douglas acquiesça, puis se tourna vers une personne sur sa droite.
- Attachée scientifique, que savons-nous sur les akraniens ?
L’attachée scientifique, le professeur Neil, pianota sur sa console. Celle-ci était une grande femme rousse, qui en plus d’être très belle, était pleine d’assurance et très intelligente. Elle avait un doctorat en sciences naturelles, en sciences spatiales, et en étude des formes de vies étrangères.
- Pas grand-chose Capitaine. Ils sont plus évolués que nous scientifiquement, et ont toujours refusé tout contact avec la Fédération. Ils n’ont jamais voulu nous envoyer d’ambassadeur ni de scientifique, et tous les vaisseaux étant entré dans leur système n’en sont jamais revenus.
- Bien. Lieutenant, vous prendrez le commandement en mon absence. Si je ne reviens pas, n’essayez pas de combattre, ils sont trop forts. Fuyez le plus vite possible prévenir Orbital1. Je resterai en contacte avec vous, disons, une fois par jour terrien.
- A vos ordres, mon Capitaine !

Le Capitaine salua militairement son subordonné, puis alla vers la salle de téléportation. Mais quelqu’un s’interposa. 
- Mon Capitaine, puis-je vous accompagner ?
- Professeur Neil, je ne pense pas que…
- Veuillez m’excuser mon Capitaine, mais je suis l’attachée scientifique du vaisseau. Je pourrais vous aider à comprendre le mode de vie de ces extraterrestres, et aussi les étudier. On ne sait jamais, ça pourrait servir.

Le capitaine réfléchit quelque minute, puis accepta la demande du professeur Neil. Elle lui serait d’un grand secours. Et puis, si les choses tournaient mal, autant ne pas mourir seul, mais accompagné… Le Capitaine accepta sa requête.

Ils arrivèrent tous deux dans la salle de téléportation. Ils se placèrent sur le socle adéquat, puis l’opérateur tritura son panneau de commande. Il laissa l’accès au rayon du vaisseau extraterrestre. Un halo blanc entoura le Neil et Douglas, devint éclatant, puis disparu avec les deux humains. La téléportation s’était bien déroulée. L’opérateur enclencha un bouton, et communiqua avec le lieutenant Jones. « Opération réussie mon lieutenant, ils sont tous deux, vivant, à bord du vaisseau extraterrestre ». Le lieutenant Jones acquiesça. « Visuel, devant nous » fit-elle d’un ton péremptoire. L’enseigne Lhatta appuya sur un bouton, et le vaisseau extraterrestre apparut sur l’écran. Le lieutenant Jones le fixa en plissant ses sourcils. « J’ai un mauvais pressentiment » pensa-t-elle…

* *
*

L’arrivée dans le vaisseau extraterrestre se fit sans aucun problème. L’un d’entre eux guida courtoisement Douglas et Neil à travers le vaisseau, vers le bureau de leur capitaine. Ils étaient assez semblables aux humains, avec deux bras, deux jambes, des corps également bien proportionnés. Les seules différences étaient leurs oreilles pointure, la couleur mauve de leur peau. Ils avaient tous des yeux en amandes, très effilés, et mis à part leurs cheveux ne semblaient pas avoir de poils. Ils portaient un étrange uniforme : un pantalon bouffant, dans une matière inconnue, qui ressemblait à de la soie, mais plus solide, plus opaque, et un long manteau bleu, dans la même matière, ouvert sur leurs torses glabres. Beaucoup d’entres eux se retournaient sur le professeur Neil. Douglas lui murmura à l’oreille « même ici vous faites forte impression ! ». Elle sourit, et lui glissa à l’oreille « Merci ! Mais c’est un peu à cause de nos combinaisons… je n’ai jamais compris pourquoi ils les faisaient si près du corps ! » Le capitaine regarda alors le corps du professeur. L’uniforme moulait ses seins très généreux, ainsi que ses fesses bien formées, bien rondes, son ventre plat, ses longues jambes galbées… Il lui dit à l’oreille « ce sont sûrement des hommes qui ont dessiné nos uniformes ! » avec un sourire franc qu’elle lui rendit.

Ils arrivèrent dans la cabine du capitaine. Il se leva à leur entrée. 
- Bonjour ! Bienvenue, bienvenue ! Je suis content de vous rencontrer, Capitaine Douglas !
- Bonjour, mais… je ne connais même pas votre nom ! Et comment se fait-il que vous parliez notre langue ?
- Je suis le Zourk Menesis. Disons, chez vous, le Commandeur Menesis, chef des armées d’Akrana. Nous avons une technologie en avance sur vous : lorsque nous nous sommes parlés tout à l’heure, notre ordinateur a décrypté et analysé votre langage, puis, me l’a appris. Avant demain, nous parlerons tous votre langue. Nous sommes un peuple qui aimons connaître, nous instruire est notre quête.
- C’est fascinant, fit Neil.
- Voici le professeur Sarah Neil, fit le capitaine Douglas. Elle est notre attachée scientifique. Notre peuple aime aussi apprendre.
- Oui, Capitaine Douglas, votre peuple aime apprendre… mais il aime faire la guerre aussi. Vous avez beaucoup fédéré… les armes à la main ! Et ce, dans beaucoup de Galaxies ! Mais soit… - le capitaine Douglas voulut parler, mais le Zourk Menesis lui enjoignit de la main de ne rien dire - … ne revenons pas la-dessus. Mon peuple veut la paix. Nous voulons continuer à apprendre, sereinement. Mais nous en parlerons plus tard… tout à l’heure… j’ai prévu un banquet pour en parler calmement. J’ai mis des cabines à votre disposition, pour vous rafraîchir et vous reposer avant cela…
- C’est bien aimable à vous, Zourk Menesis.
- Vous me direz des nouvelles de l’hospitalité Akranienne. – une porte s’ouvrit dans le dos de Douglas et de Neil, et un Akranien entra - Voici Mannè. Il vient d’apprendre votre langue, et il sera votre guide dans le vaisseau. Il est en quelque sorte, notre ambassadeur scientifique ! Il va vous indiquer vos cabines.
La porte s’ouvrit, et Mannè sortit, suivi de Neil et de Douglas. Dès qu’il fut seul, Menesis alla vers son bureau, réfléchit un moment, puis appuya sur le bouton d’un interphone et parla : « L’opération est lancée. Phase 1 terminée. Phase 2 enclenchée. »

Après avoir pris congé du Zourk Menesis, Douglas et Neil suivirent Mannè dans le dédale des couloirs du vaisseau. Après avoir pris un ascenseur et empruntés certains couloirs, ils arrivèrent dans un long couloir, avec deux portes face à face. Lorsque Mannè arriva à leur hauteur, les portes s’ouvrirent.
- Capitaine Douglas, fit-il en montrant la porte de gauche. Professeur Neil, en montrant la porte de droite. 

Douglas entra dans sa cabine. Elle était assez spacieuse, avec un petit salon et des canapés assez bas mais qui avaient l’air fort confortable, un lit, grand et confortable, un petit bureau, et une porte avec un coin-douche fort bien équipé. La seule décoration était une plante, assez grande, avec des pétales pourpre ou mauve. Le Capitaine n’aimait pas trop être séparé su professeur Neil. Après tout, ils n’étaient pas encore sûrs des intentions des akraniens, et seul on est moins fort qu’à deux ! Mais comme il n’avait pas le choix, il cacha ses préoccupations derrière un trait d’humour.
- Ma foi, c’est plus luxueux que ma cabine de capitaine, fit-il. Il faudra que je me plaigne au syndicat des officiers !
- Heureux que cela vous plaise, fit Mannè. Pas sortir seul, cela dangereux. Pour ça, je ferme la porte. Je viendrai vous chercher dans deux heures.

Il sortit et la porte se referma derrière lui. Douglas s’en approcha, et vit qu’il n’y avait aucun moyen pour lui de l’ouvrir. Il était enfermé. C’était une cage dorée, mais une cage quand même !

Le professeur Neil entra dans sa cabine, suivie par Mannè. Sa cabine était identique à celle du capitaine Douglas.
- Effectivement, jolie cabine, fit-elle ! Oh, que c’est joli !

Son regard de femme et de scientifique avait directement vu la grande plante, avec de belles fleurs aux pétales rouges. Elle s’en approcha. On aurait dit une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres en trompette. Neil s’approcha d’elles et en huma une. Le parfum de ces fleurs était prodigieux ! Elle remarqua alors que les pistils de ces fleurs avaient la forme de petits pénis. Elle sourit, rougit, puis huma de nouveau le parfum des fleurs. Ce parfum était vraiment bon, entêtant. En un coup, elle se sentait bien, tout son stress s’envolait. Elle oubliait où elle était, elle était euphorique… elle renifla encore la fleur, se sentant de mieux en mieux. Son cerveau de scientifique comprit très vite ce qui se passait : le parfum de la fleur était neurotoxique, et elle était sous son influence. Elle se retourna pour dire quelque chose à son guide, mais celui-ci resta sans bouger, la regardant avec attention.

Comme droguée, Neil replongea son nez dans la fleur… elle se rappela les petits pistils, qui avaient des formes de pénis. Sous l’influence de la plante, elle commença alors à lécher les pistils, qui se durcirent sous sa langue, libérant des spores orangées qu’elle ingéra. Une autre sensation remplaça alors l’euphorie… Elle commença à avoir chaud, si chaud… son uniforme la gênait, elle l’ouvrit, et se déshabilla. Complètement nue, elle comprit ce qu’était cette sensation de chaleur : elle avait envie de sexe ! Cela ne lui était plus arrivé depuis fort longtemps, trop occupée par ses études scientifiques… Mais là, elle avait envie… Une envie folle, dévorante… Elle mit sa main sur sa chatte… qui était trempée ! son clitoris était gonflé d’envie… Elle se retourna et vit Mannè qui la regardait avec satisfaction…Nue, elle se dirigea vers lui…

- Mmh… dans un intérêt scientifique, je me demande comment tu es fait… susurra-t-elle…

Elle s’approcha de l’extraterrestre, lui caressa la joue, la nuque, le torse… pas un poil ! Ils étaient vraiment tout glabres ! Elle remonta ses mains sur les épaules de Mannè et fit tomber son manteau. Il avait une tête, deux grandes oreilles, un nez, une bouche, deux bras, un torse, deux jambes… mais sous le pantalon… qu’allait-elle découvrir ? Ses mains descendirent vers le pantalon, et après une recherche caressante, elle comprit comment l’ouvrir, et le faire glisser lentement le long des jambes de Mannè… et là… elle en ouvrit la bouche de stupeur ! Mannè n’avait pas une verge, comme les hommes de la terre… non, il en avait deux ! Deux l’une au-dessus de l’autre ! Elle se trouvait face à deux pénis mauve en érection… Elle qui en avait tant envie, elle en avait deux pour le prix d’un seul ! Elle approcha sa bouche d’une des deux verges, celle d’au-dessus, et commença à la lécher doucement. En même temps, elle astiquait la deuxième, juste en dessous. Sa chaleur recommençait à monter, elle se sentait à nouveau euphorique, elle avait envie de lui appartenir. Elle engouffra entièrement la verge dans sa bouche, lui faisant une pipe gourmande, rapide, tandis que sa main branlait de plus en plus vite son autre verge… la verge qu’elle branlait commença à battre et explosa… elle sentit un premier jet de foutre s’envoler, et retomber sur son dos, le sperme glissant lentement le long de son épine dorsale, tandis qu’un autre jet de foutre glissait le long de sa main… Puis ce fut la verge dans sa bouche qui explosa… avidement elle bu le sperme tiède de Mannè, dont le goût était pareil à celui du sperme humain… Tout cela l’excitait tellement fort ! Elle en voulait aussi… elle se coucha sur le sol, et se masturba devant Mannè. Elle caressa d’abord son clitoris, puis s’enfonça sans problème deux doigts dans sa chatte toute humide et toute ouverte… il ne lui fallut pas longtemps pour exploser, mouillant ses doigts de sa mouille… Elle porta ensuite ses doigts à ces lèvres qu’elle lécha avec gourmandise. Le spectacle fit aussitôt rebander Mannè. Petit à petit, ses deux verges se dressèrent. Sarah Neil les voulait en elle. Elle fit un signe à l’extraterrestre, qui vint se coucher sur elle. Elle sentit un gland tout chaud contre ses lèvres intimes, et d’un coup de rein, la verge de l’extraterrestre fut tout en elle. Elle gémit de plaisir. Il lui faisait l’amour avec sa deuxième verge, celle du dessous, et à chaque coup de rein en elle, sa première verge frottait son clitoris et le bas de son ventre… Sarah Neil gémissait de plaisir, et Mannè la prenait sans ménagement. Après quelques coups de queues, elle jouit une seconde fois. L’extraterrestre donna encore quelques coups de boutoir, puis s’arrêta. Elle en voulait encore ! Il la retourna sans ménagement, et elle se mit à quatre pattes. Il la prit alors en levrette. Toujours son sexe du dessous qui entra complètement en elle, dans un bruit de succion humide, le sexe du dessus frottant le long de la raie de ses fesses. Mannè donna quelques coups de boutoir furieux, puis s’arrêta… Sarah sentit alors qu’il sortit un peu d’elle, pour pouvoir placer sa verge du dessus contre son petit anus. Il y rentra doucement. Sarah eut un peu mal au début, mais son corps était tellement euphorique qu’elle ne sentit quasiment pas la douleur. Par contre, quand elle sentit les deux verges qui allaient et venaient, une dans son anus et l’autre dans son vagin, elle hurla de plaisir. Elle jouit encore une fois, de l’anus et de sa chatte, puis elle sentit les deux verges éjaculer en même temps, le sperme chaud se répondant dans son anus et dans sa chatte, lui arrachant encore un dernier râle de plaisir. Elle était toute remplie par Mannè… Puis Mannè se retira, la souleva dans ses bras, et la coucha dans le lit où elle s’endormit sans demander son reste.

* *
*

Douglas alla s’asseoir sur un canapé. Puis il sortit un petit émetteur et appela son vaisseau.
- FPU-Atlas, vous me recevez ? Ici le capitaine Douglas.
- Je vous reçois capitaine. Ici le lieutenant Jones. Tout va bien ?
- Oui, ils sont vraiment très aimables ! Trop pour être honnête. Soyez sur vos gardes lieutenant Jones !
- D’accord ! Et vous ?
- Je suis invité à dîner ce soir ! 
- Veinard ! Toujours les mêmes qui s’amusent ! Faites attention à vous – terminé.

La communication s’interrompit. Douglas décida d’inspecter sa chambre avant de se rafraîchir et de se préparer pour le banquet. Il commença par la porte de sa cabine. Aucun système d’ouverture visible. Il l’avait observé sous tous ces aspects, mais pas moyen pour lui de sortir. Il inspecta alors le reste de sa chambre, et ne trouva rien… pas de caméra, pas de micro, rien qui puisse lui laisser penser qu’il était surveillé. « Étrange ! » pensa-t-il.

Puis, son attention fut attirée par cette plante qui trônait dans un coin de la pièce. Il s’en approcha. Elle ressemblait à une plante de la terre, une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres ou mauves, en trompette. La plante était posée sur une sorte de table basse. « C’est certainement là qu’ils ont planqué leur système de surveillance ! » pensa-t-il. Il se baissa pour palper la table. En se baissant, son nez passa près d’une des fleures. « Non rien ! Mmhmm… il y a quelque chose qui sent vraiment bon par ici. Serait-ce ces fleurs ? » Il en approcha une de son nez et huma à pleine narine. « Oh oui, ça sent bon ! ». Il regarda encore autour de lui pour voir quelle partie de la pièce inspecter, mais tout d’un coup, il se sentit bizarre… plus léger, moins soucieux. En fait, il se sentit mieux. « Pas de problème, je vais quant même pas devenir parano ! Ces extraterrestres sont super gentil, super accueillant, pas de souci ! En plus ils ont des plantes qui sentent super bon ! ». Il revint près de la plante et huma encore une fleure. Il se sentit encore plus léger, encore mieux. Il devenait presque euphorique. Il examina de plus près la fleur, et vit que les pistils de ces fleurs avaient la forme de petits pénis. Il en rit tout seul. « Une fleur à bite ! » Il rit et replongea son nez dans la fleur. Il était si bien tout d’un coup. Une étrange idée lui passa alors par la tête. « Si je lèche ces pistils-pénis, vont-ils bander ? ». Le nez dans la fleur, il commença donc à titiller avec sa langue le pistil qui se durcit, et libéra des spores orangées que Douglas ingéra. Une autre sensation remplaça alors l’euphorie, il commença à avoir chaud, si chaud… son uniforme la gênait, il l’ouvrit, et se déshabilla. Complètement nu, il comprit ce qu’était cette sensation de chaleur : il avait envie de sexe ! Son pénis était tout bandé, tout dur. Le nez toujours dans la fleur, il commença à se masturber. Sa main montait et descendait sur son sexe, de plus en plus dur. Il accélérait le mouvement, sentit son pénis battre dans sa main et une giclée de sperme sortit, arrosant la plante, la terre de celle-ci, et sa main. Euphorique, il regardait cette plante, et examina de plus près la sorte de bulbe à demi-enterré, qui ressemblait à une noix de coco terrestre. Il vit qu’au milieu de ce bulbe il y avait une sorte de fente, sans doute par où la plante se nourrissait. Or cette fente ressemblait beaucoup à un sexe de femme. Il caressa le bulbe et la fente avec son doigt, et sentit que le bulbe était tiède et assez doux. Il introduisit son doigt dans la fente de la plante, et sentit qu’elle était assez profonde, et humide. Il ressortit son doigt, qui était mouillé. Il avait la même odeur que les fleurs, une sorte de sève orangée et visqueuse. Il renifla à nouveau le parfum entêtant des fleurs, et introduisit son doigt dans la fente du bulbe, comme s’il masturbait le sexe d’une femme. Euphorisé par la plante, il avait encore envie de sexe. Son membre redevint tout raide, il n’en pouvait plus, se masturber n’était pas assez… Il enjamba la plante, et fléchit ses jambes, plaçant ainsi son gland contre la fente du bulbe. Il fléchit encore plus les jambes, enfonçant son sexe dans la fente, entièrement, et commença à baiser le bulbe. C’était chaud et doux, un peu comme lorsqu’il utilisait sa poupée gonflable de service, mais en beaucoup mieux. Et chaque fois qu’il s’enfonçait dans le bulbe, ses fesses touchaient la terre, ce qui lui procurait de petites sensations pas désagréable du tout. C’était si bon ! Tout à son euphorie, il ne vit pas la terre remuer, et une tige de la plante sortit un peu de terre, juste là où ses fesses se posaient. Il sentit ce petit renflement, mais n’y pris pas attention. Plus il baisait la plante, plus la racine sortait de terre, et venait caresser son anus. C’était plaisant. Il continuait, et sentit la tige s’insinuer contre son anus, puis dans son anus… Tout en baisant le bulbe, Douglas s’empalait l’anus sur cette tige. Il baisait la plante qui l’enculait ! Cela avait l’air complètement fou, mais quelles sensations de plaisirs il ressentait ! Bien vite il jouit, remplissant le bulbe de son sperme. Puis, inexplicablement, il s’endormit, le nez dans une fleure de la plante, le sexe, flasque, toujours dans le bulbe, et la tige dans son anus. Et la plante le recouvrit de ses feuilles, comme si elle enlaçait le capitaine Douglas…

Par lina
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Jeudi 7 août 4 07 /08 /Août 12:01

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Samedi 2 août 6 02 /08 /Août 11:27

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Samedi 2 août 6 02 /08 /Août 09:12

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