Lundi 3 novembre 1 03 /11 /Nov 15:47

La bétaillère transportant Virginie arriva devant chez Jean vers cinq heures du matin. Brigitte et son mari l'attendaient avec impatience depuis plus d'une heure. Les maisons voisines avaient une vue directe sur leur maison. Il était donc impensable de faire passer Virginie nue comme un ver sur le trottoir. Jean avait déjà prévu la parade. Il entra dans la remorque avec un grand drap. Il embrassa Virginie sur les lèvres fougueusement puis il détacha les sangles qui l'avaient entravée tout le long du voyage. Il remarqua que son anus était enflé et entrouvert et que du sperme s'en écoulait encore. D'autres traces de sperme avaient séché autour de sa bouche. Il était évident que l'ami qui conduisait avait fait un dernier arrêt à quelques kilomètres de là pour tirer un dernier coup avec la jeune femme. Rien à dire à ce sujet, cela faisait partie de leur accord. Jean laissa à Virginie ses menottes qui immobilisaient ses poignets derrière son dos.

De toute façon, Jean Pierre était un ami de très longue date et ils se rencontraient deux fois par mois au moins. Virginie aurait souvent l'occasion de batifoler dans l'herbe ou ailleurs avec lui à l'avenir. Jean enveloppa le corps mince et délicat de sa nièce dans un grand drap pour la porter à l'intérieur de la maison. Virginie se tourna vers l'autre fille qui l'avait accompagnée dans son voyage. Elle essaya de parler mais le vétérinaire de Saint Azul avait fait un travail particulièrement réussi : ses cordes vocales épaissies de façon rigoureusement choisie par un gel à durcissement rapide ne lui permettaient que d'émettre des sons graves et prolongés. Ce qu'elle voulait dire se transforma en une assez bonne imitation d'un meuglement de vache. Virginie savait très bien que ce gel se dissoudrait de lui même en à peu prés un an et qu'il faudrait le renouveler si son Maitre voulait la maintenir muette. Il n'empêche qu'elle trouvait cette infirmité temporaire extrêmement frustrante. Enfin, il était probable qu'elle s'habituerait vite!

Jean la prit dans ses bras et la porta jusqu'à la maison. La fraicheur de la nuit la glaçait à travers le frêle tissu. Il la reposa sur ses pieds dés que la porte fut refermée. Brigitte enleva d'un geste le drap qui la couvrait. Elle prit sur un guéridon un collier de cuir et le lui fixa rapidement autour du cou. Sa tante qui avait toujours été si affectueuse depuis que sa nièce était venue s'installer chez elle n'avait plus ses manières maternelles de la semaine précédente.

- Bon, Virginie, J'espère que tu as fait bon voyage. Je vois que Jean Pierre a continué ton éducation pendant le voyage. C'est très bien.

Virginie essaya encore de répondre par un petit merci mais il se transforma en un grognement inarticulé. Sa tante reprit :

- Ce harnachement grossier est provisoire. J'ai déjà pris rendez vous pour toi pour après demain. On va décorer ton corps avec une série de piercings. Tu en auras un au nez pour qu'on puisse t'y mettre un anneau auquel j'attacherai ta longe pour tous tes déplacements. 

Virginie commença à s'inquiéter sérieusementÊ: un anneau dans le nez comme une vraie vache! Que voulaient-ils encore lui faire?

- Tu auras aussi un anneau à chaque mamelon, deux autres à chacune de tes grandes lèvres et un sur le capuchon de ton clitoris et pour bien faire un dernier au nombril. Celui-là n'aura qu'un intérêt esthétique alors que celui de ton clitoris va le stimuler en permanence. Dans moins d'un mois, tu auras en permanence envie de baiser et cela deviendra toujours plus lancinant si tu n'es pas satisfaite. Tu pleureras, meugleras pour être saillie, montée comme on dit dans notre jargon. Quant à ceux sur tes grandes lèvres, ils serviront à fixer un cadenas qui verrouillera l'accès à ta chatte, un moyen de punition si tu n'es pas obéissante, un moyen de s'assurer que tu seras saillie par le bon mâle et par lui seul lorsque Jean décidera de t'utiliser comme reproductrice.

Brigitte était d'une précision quasi clinique, décrivant avec précision chaque opération qui serait réalisée sur le corps de Virginie qui serait bien en peine de s'y opposer vu son caractère très soumis et l'impossibilité où elle était de s'exprimer. Mais toutes les informations que sa tante lui donnaient étaient précieuses puisqu'elle avait été pendant des années dans la même position qu'elle, totalement soumise au bon vouloir d'un homme, qui pouvait décider à tout moment quand et par qui elle serait mise enceinte, quelque chose de totalement inacceptable pour une jeune femme moderne! Pourtant, le simple fait d'évoquer sa servitude actuelle et future qu'elle avait réclamée elle-même était suffisant pour la faire haleter de désir. Sa chatte était remplie de secrétions qui devaient déjà couler le long de ses cuisses. Elle était prête à se soumettre à n'importe quel homme, jeune ou vieux, laid ou beau, riche ou pauvre s'il acceptait d'enfoncer sa queue bien raide dans son vagin virginal.

Apparemment, le discours de Brigitte avait aussi mis son mari en émoi car il traina sa nièce jusqu'à la table basse du salon, la fit s'étendre dessus dans la largeur. De cette façon, ses seins et sa tête pendaient du coté opposé. Son cul était offert sans défense. Jean lui écarta sans douceur les fesses et s'enfonça entre elles brutalement. Il agrippa ses seins et les manipula sans douceur tout en s'activant dans son anus. Les quantités de foutre considérables que le conducteur de la bétaillère dans laquelle elle avait voyagé avait injectées dans son cul, se révélèrent bien utiles à cet instant, lui procurant une lubrification sans laquelle elle aurait pu être blessée par les assauts furieux de son oncle. Elle qui était une pure vierge la veille encore se surprit à apprécier la brutalité, voire la bestialité dont il faisait preuve. Elle se mit à répondre à ses coups de boutoir, poussant en arrière lorsqu'il s'enfonçait dans son anus et, au contraire, accompagnant son mouvement lorsqu'il se retirait d'elle pour le garder plus longtemps au fond de son ventre.

Dieu! Si moins de vingt quatre heures après sa vente, elle se comportait déjà comme une chienne en chaleur, que ferait-elle lorsque le début de son esclavage remonterait à cinq ou dix ans? Jean et Brigitte pourraient-ils encore la tenir? Jean se répandit au fond de son cul et le choc de ses jets de sperme contre les parois de son intestin, provoquèrent le premier véritable orgasme anal de la carrière de Virginie qui serait beaucoup plus longue qu'elle ne l'avait jamais imaginé mais elle ne le savait pas encore.

Avec sa longe improvisée, Brigitte la mena dans la petite pièce à coté du garage. Virginie l'avait connue comme une innocente resserre oé un tas de produits pour le jardin ou la maison avaient trouvé une place. Tout cela était dorénavant rangé dans des caisses contre le mur du garage. Le sol de la resserre était maintenant couvert de paille, l'établi qui tronait au fond avait perdu son plan de travail et était devenu une mangeoire tout à fait acceptable avec une fontaine à eau du type de celles qu'elle avait utilisées à Saint Azul. La mangeoire était équipée d'une chaine reliée à un poids. Lorsqu'elle s'éloignait de la mangeoire, elle devait fournir un effort supplémentaire modeste mais lorsqu'elle s'en rapprochait, le contre poids tombait au sol avec un bruit étouffé. De cette façon la chaine à laquelle son collier était fixé était toujours tendue et elle ne pouvait se la prendre dans les pieds.

- Bon, chérie, je suis fatigué, je te laisse notre nièce qui est si chaude que c'en est un vrai plaisir! Tu peux l'utiliser comme bon te semble du moment que tu ne cherches pas à la déflorer d'une façon ou d'une autre.

Lorsqu'il quitta la pièce, Brigitte considéra sa nièce et l'eau lui vint à la bouche. Le corps totalement dénudé de Virginie était d'une perfection inégalée de la tête aux pieds: c'était une beauté aux grands yeux marron un peu étirés en amande, à la peau dorée, aux longs cheveux couleur chocolat avec des reflets naturel de miel. Ses seins en pomme haut perchés semblaient défier la gravité. Ils étaient pourtant gonflés et appétissants. Que serait-ce lorsque les hormones qu'on lui avait injectées auraient fait leur effet. Si la mémoire de Brigitte était bonne, elle-même n'avait pas pu dormir pendant deux ou trois jours tant ses seins l'avaient brulée. Les pointes étaient dardées comme des balles de fusil.

Virginie avait hérité du visage exotique, aux traits presque hindous de sa mère. La beauté de celle-ci avait toujours attiré les regards et l'attention des connaisseurs de Saint Azul. Depuis son mariage, elle n'avait plus été mise en vente mais son mari avait continué à l'exhiber à la foire, vendant son lait et louant ses trois orifices. Il aurait pu faire beaucoup d'argent tant la demande était forte mais il tenait juste à ce que son épouse soit totalement repue de sexe pendant ces quelques jours. Il lui choisissait toujours des partenaires doux, agréables et bien membrés. Brigitte l'avait accompagnée la plupart du temps et avait partagée sa stalle.

Brigitte était terriblement excitée en pensant que cette jeune femme, glorieusement nue devant elle était à son entière disposition. Elle pourrait la punir comme bon lui semblait à la moindre incartade ou accès de paresse mais elle pourrait aussi la punir juste pour son propre plaisir. 

Maintenant que Virginie était debout, ses seins pointaient agressivement vers sa maitresse comme si elle désirait que Brigitte s'en occupe. Ses mamelons d'un brun sombre lui donnaient l'eau à la bouche. Elle tendit les doigts et planta ses longs ongles vernis dans la chair tendre offerte devant ses yeux. Virginie gémit mais ne chercha pas à échapper à sa prise. Au contraire, elle rectifia sa position en offrant encore mieux sa poitrine. 

- C'est bon pour toi, ma chérie! Si on te caresse ou te manipule la poitrine d'une façon ou d'une autre, cela provoque un afflux de sang et tes seins grossiront plus vite.

Brigitte faisait maintenant rouler ses mamelons entre ses doigts, les griffant avec ses ongles ou les écrasant entre deux doigts. Il ne lui fallut pas longtemps pour que la jeune fille se mette à gémir puis à meugler de plus en plus fort au fur et à mesure que sa tante découvrait les caresses qui avaient le plus d'effet sur sa nièce. Ce faisant, Brigitte affermissait inexorablement sa domination sur Virginie. Elle posa sa main droite sur le ventre doux et plat de la jeune fille. La peau était douce au toucher et brulante. Sa main descendit encore un peu et frola la chatte baveuse et ouverte de sa soumise. Virginie écarta les jambes sans se faire prier. Ses gémissements étaient maintenant continus et son ventre était parcouru de spasmes incoercibles. Elle dut s'allonger sur la paille car ses jambes n'arrivaient plus à la porter.

La jeune fille toujours vierge sentit les longs doigts experts de sa tante s'emparer de sa chatte inviolée. Les caresses étaient suaves, délicates et la rendaient folle de désir. Un doigt la pénétra très doucement et vint buter trés doucement contre son hymen. Virginie hurla ou plutôt émit un meuglement extasié. Elle poussa son ventre en avant espérant s'empaler complètement sur le doigt qui la fouillait, se faire déflorer par sa tante et atteindre la jouissance enfin. Mais Brigitte ne l'entendait pas de cette oreille. Elle retira son doigt en toute hâte et reprit ses caresses sur son clitoris. Elle amena à de nombreuses reprises sa victime au bord de la jouissance avant de cesser ses caresses au dernier moment. Virginie pleurait de frustration. 

Dés que la respiration de sa nièce se calmait un tant soit peu, Brigitte reprenait ses caresses ineffables. Le corps de Virginie était baigné de sueur et elle gémissait toujours, perdue dans un désir violent, affolant qu'elle ne parvenait pas à assouvir. Brigitte savait que ce désir inassouvi rendait la jeune fille toujours plus malléable, plus soumise à sa maitresse. Son corps était parcouru de spasmes et ses seins étaient gonflés par l'excitation permanente à laquelle elle était soumise.

Brigitte finit par se lasser de ce jeu et s'écarta de sa victime pantelante. Virginie n'avait pas joui et c'était justement ce que voulait sa maitresse. Jean s'en occuperait plus tard en s'enfonçant dans son cul. Il était très important que Virginie s'habitue à ne jouir que lorsque son anus était rempli par une grosse bite. Comme cela, lorsqu'elle serait prise par le vagin, elle pourrait se concentrer sur le plaisir de son partenaire et moins s'occuper du sien. 

Comme Jean dormait toujours, Brigitte fit faire ses exercices physiques à Virginie. Deux heures d'aérobic et de step, nue, avec un long fouet pour la rappeler à l'ordre lorsque son rythme baissait. Elle aurait encore deux heures d'abdos et de danse l'après midi. Virginie allait devenir une experte aussi bien en pole dance qu'en danse orientale pour le plus grand plaisir de ses partenaires futurs. Elle lui laissa ses menottes lorsqu'elle lui fit prendre une douche bien méritée même si elle était très froide. Elle appliqua ensuite de l'huile d'Argan ou du beurre de Karité selon les endroits sur tout son corps avant de la coiffer et de la maquiller comme pour un soir de gala. Lorsqu'elle eut fini, Virginie ne ressemblait plus à une sauvageonne habillée de bric et de broc. Son nouveau look à la fois très sexy et très sophistiqué lui allait diablement bien. 

Le retour brusque de Jean surprit les deux femmes. Le seul bruit était les halètements laborieux de Virginie. Brigitte regarda son mari avec un sourire contraint.

- Ne t'inquiète pas. On s'amuse juste un peu entre filles. Elle est toujours aussi vierge et pure que tu me l'as laissée, enfin vierge, j'ai vérifié mais tu peux faire ton deuil de sa pureté. Elle est prête à se faire baiser par un régiment de tirailleurs. . .

Jean n'avait d'yeux que pour sa nièce étendue sur le sol, les cuisses grandes ouvertes, appelant de tout son corps une pénétration brutale. Son sexe distendait de façon ridicule son pantalon qu'il avait refermé. Sa gorge était paralysée par l'émotion. A cet instant, il regrettait amèrement sa décision de ne pas déflorer immédiatement la jeune fille juste après l'adjudication comme c'était la coutume jadis.

Les premières gouttes de sperme s'échappèrent de son méat et tachèrent sa braguette. Brigitte vint à son secours et déboutonna rapidement sa chemise de bas en haut avant de libérer sa bite. Elle poussa ensuite sa niéce, le dos contre le ventre de son mari. virginie prit d'instinct la bite de son oncle dans ses mains qui étaient toujours menottées au creux de ses reins et donc idéalement placées pour flatter sa bite prête à exploser. De son coté, Jean avait les mains libres pour explorer une nouvelle fois la poitrine orgueilleuse de Virginie. Ces préliminaires auraient pu durer longtemps car ni l'un ni l'autre ne voulait abandonner la proie qu'il ou elle malaxait avec volupté. Brigitte vint à leur secours en présentant la pointe de la bite maintenant impressionnante de son mari juste sur la rosette de l'anus de sa nièce. Celle-ci était obstinément fermée. Brigitte se redressa et, d'un geste vif, gifla Virginie.

- N'oublie pas que tu es ici pour te faire mettre à toute heure du jour et de la nuit, toute l'année. Si ton maitre daigne s'intéresser à ton cul, tu l'ouvres tout de suite sans discuter, compris, ma petite salope enculée?

Virginie opina désespérément de la tête, dans l'impossibilité de répondre. Pour bien faire rentrer la leçon, Brigitte tordit son mamelon en le pinéant férocement. Sa niéce meugla plaintivement et se hâta de pousser de l'intérieur en s'aidant de ses mains pour faciliter la pénétration de son petit cul encore si étroit.

Lorsque Jean fut enfoncé de toute sa longueur dans ses reins, Virginie reçut l'ordre de tourner la tête et d'offrir ses lèvres et sa bouche à son oncle. Ses mains étaient maintenant occupées à lui masser doucement les couilles. Elle qui n'avait jamais touché sans même parler de caresser un homme de sa vie était en train de bénéficier d'un cours avancé dans l'art de donner du plaisir à un homme. Il prit ses lèvres délicatement et poussa doucement sa langue dans la bouche accueillante.

Virginie était sans contestation, la plus jolie fille et la plus bandante qu'il ait jamais fait danser à la pointe de sa bite et il avait bien l'intention d'en faire un usage très prolongé et très fréquent. Brigitte, un peu jalouse à juste titre, tira la tête de son mari en arrière en l'agrippant par les cheveux. Leurs bouches cessèrent à regret leur baiser brulant. Les mains de Virginie massaient toujours sa bite tandis que les mains de Jean malmenaient toujours les seins de la jeune fille. Il était sur le point d'éjaculer lorsqu'un ordre inattendu de Brigitte le prit par surprise.

- Mords-là au cou, maintenant! Je veux que son sang coule! Tant pis si tu la marques!

Dans un état second, Jean ouvrit la bouche et obéit. Ses dents s'enfoncèrent dans la peau juste en dessous du menton de Virginie. Quelques gouttes de sang s'écoulèrent, juste assez pour calmer l'accès sanguinaire de sa tante. Celle-ci revenue brutalement à la réalité avait honte de ce qu'elle avait voulu dans son délire érotique. Heureusement la blessure était si légère qu'il n'y paraitrait plus d'ici une semaine.

Brigitte réunit leurs bouches qui se soudèrent à nouveau avec un soupir d'aise. La bouche entrouverte de Virginie, brulante et avide s'ouvrit toute grande pour accueillir à nouveau la langue de son oncle tandis qu'il se vidait au tréfonds de ses entrailles. Virginie se découvrit à cet instant un nouveau talent lorsqu'elle se mit à traire avec son sphincter la bite qui dégorgeait dans son cul. Jean se mit à geindre :

- Mon dieu, cette petite salope est en train de me traire divinement. Que c'est bon!

Jean se dégagea et tourna sa nièce vers lui, embrassant et léchant ses seins et s'attardant plus particulièrement sur ses mamelons. Il la fit ensuite se mettre à genoux devant lui et lui offrit tout naturellement sa bite salie à nettoyer avec sa langue. Virginie était revenue en terrain connu car le conducteur de la bétaillère qui l'avait ramenée de Saint Azul avait fait de même à chaque arrêt. Rien de nouveau là dedans pour elle par conséquent. Elle s'acquitta de sa tache sans penser au dégoût immense qu'elle avait éprouvé lorsqu'on lui avait ordonné de nettoyer une bite qui sortait tout juste de son cul. 

Jean repartit s'occuper du jardin en laissant Virginie entre les mains expertes de Brigitte. Lorsqu'il revint, sa femme avait mis un saladier par terre au milieu du garage vide, l'avait rempli de morceaux de viande et de biscuits à base de végétaux et de fruits pour chiens. Elle semblait avoir eu quelques difficultés à faire admettre la caractère gastronomique de son repas à Virginie qui avaient les fesses rouge carmin avec un entrelacs de traces de coup de ceinture et de cravache qui lui couvraient toutes les fesses. Sa chatte avait du aussi recevoir une bonne part de fouettée car les lèvres de sa chatte étaient rose vif et tout enflées. Mais elle mangeait de bon appétit sa pâtée, à quatre pattes sur le béton froid. 

Brigitte avait toujours été très douée pour infliger un châtiment très pédagogique à toutes les filles qui partageaient leurs soirées et leurs vacances. Jean et son frère lui avaient abandonné avec plaisir l'application de tout châtiment qu'ils avaient décidé. Il était tellement plus agréable de regarder Brigitte procéder avec le petit rien de cruauté gratuite qui faisait la différence entre une punition banale et un spectacle grandiose. Brigitte avait tant d'imagination qu'elle aurait pu en remontrer aux Empereurs romains Néron ou Caligula.

En tout cas, à l'air de chat repu de Virginie et de Brigitte, il était évident que Virginie avait du jouir sous les coups de fouet, une performance remarquable avec une fille qui était encore totalement pucelle la veille encore. Il était tout aussi évident que Brigitte avait atteint l'orgasme également de son coté, soit grâce à l'excitation de la fouettée qu'elle infligeait à sa nièce, soit plus prosaïquement en lui imposant de la faire jouir avec sa langue comme condition à l'arrêt de la fustigation. Brigitte avait l'esprit assez pervers pour continuer à la fouetter jusqu'au dernier moment. La jeune fille paraissait complètement matée.

Par lina
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Dimanche 2 novembre 7 02 /11 /Nov 11:10

Vers onze heures du soir, Jean et Virginie regagnèrent tranquillement leur tente. Virginie avait passé son bras sur celui de Jean et elle restait étroitement collée contre lui. Il retira ses chaussures, sa chemise, ses chaussettes et son pantalon comme la nuit précédente, ne gardant encore une fois que son slip. Virginie semblait avoir décidé de laisser tomber sa pudeur farouche car elle fit passer d'un geste sa robe par dessus sa tête. Jean eut la surprise de la découvrir entièrement nue, sans même un string pour la dissimuler. Elle virevolta sur elle même pour laisser à son oncle le temps d'admirer son corps dans les moindres détails, sa vulve où un fin duvet très léger essayait péniblement de dissimuler des grandes lèvres charnues qui semblaient prêtes à recevoir les bites les plus majestueuses.

Ses seins pas aussi gonflés que ceux de la fille qui leur avait donné tout son lait pointaient orgueilleusement vers le ciel. Son ventre plat et musclé semblait inviter les caresses les plus osées tandis que ses fesses rondes et potelées semblaient appeler les fessées les plus sévères, les langues les plus fureteuses et les bites les plus vigoureuses.

- Eh bien, mon oncle, vous ne croyez pas que vous êtes encore un peu trop habillé pour passer au lit avec moi?

Voyant Jean qui restait interdit au milieu de la tente, Virginie s'enhardit.

- Venez, je vais vous aider!

La jeune femme attrapa l'élastique de son slip en le regardant dans les yeux. Elle commença à le tirer vers le bas. Ses yeux se détournèrent et se portèrent sur le pubis qu'elle découvrait lentement. La bite plus qu'à moitié en érection gênait la manoeuvre. Lorsqu'elle fut dégagée, elle se releva brusquement et vint taquiner le nombril de Jean. Quelque part, Virginie fut fière que son oncle soit pourvu d'une si belle bite et qu'elle ait la chance de lui plaire à voir son excitation évidente. Le membre eut un sursaut et grossit encore sous ses yeux. Le slip glissa au sol. Jean le prit entre deux orteils et le lança au loin. Virginie l'attrapa au vol et le porta à ses narines en rougissant à nouveau. Il sentait la sueur d'homme avec un vague relent d'urine. Elle s'enivra un instant de l'odeur. Virginie chercha des yeux le regard de son oncle et lorsqu'elle le trouva, sortit sa langue sans le quitter des yeux et lécha l'emplacement où son sexe avait reposé.

La veille encore, Virginie n'aurait jamais même pensé à un acte aussi dépravé mais la vue de cette foire avec tous ces corps de femmes nues, les exhibitions, les quolibets lors de la vente aux enchères avaient bouleversé la jeune fille. Quelque part, elle sentit qu'elle devait clore la journée par une action d'éclat. Elle s'approcha de son oncle, s'agenouilla à ses pieds, se pencha vers lui. Elle s'arrêta, la bouche à quelques centimètres de sa bite et dit d'une voix sourde :

- Jean, C'est la première fois, je n'ai jamais. . . Il faudra me dire comment faire!

Virginie arrondit sa bouche et franchit les quelques centimètres qui la séparaient de son oncle. Ses lèvres, tout à la fois hésitantes et déterminées se posèrent sur le gland violacé en un baiser affolant puis ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus pour accueillir le membre qui grossissait encore à vue d'oeil. Elle passa sa langue sur le méat. Jean avait un goût salé, épicé avec un relent de noisette qu'elle trouva délicieux. 

Elle eut droit à une leçon complète sur l'art de la fellation et se sentit beaucoup plus savante lorsque Jean éjacula au fond de sa gorge. Comme il le lui avait annoncé, il tenait sa queue de cheval fermement dans sa main droite pour l'empêcher de le recracher. Elle crut un instant qu'elle allait se noyer dans le flot de sperme qui se déversait dans sa gorge. Elle se reprit quand même et avala le liquide visqueux et doux avant de nettoyer la verge de sa langue sous les instructions de son oncle. Jean la prit dans ses bras et la porta sur le lit. Elle pensa qu'il voulait lui faire l'amour mais il se pencha sur son sexe et lécha l'entrée de son vagin et son clitoris. La sensation était toute nouvelle pour Virginie qui hurla vers le ciel étoilé sa jouissance de lionne prise au ventre, sa première vraie jouissance de femme. 

Virginie voulut remercier son oncle du plaisir inoubliable qu'il venait de lui procurer. Elle se tourna sur le lit et reprit son sexe dans sa bouche. Elle mit en oeuvre tous ses talents tout nouvellement acquis de fellatrice. Aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années. Jean aurait pu souscrire à ce vieux dicton car sa femme à Sedan n'aurait pu mieux faire. Virginie essaya même quelques variations de son cru qui emportèrent la décision finale. Jean se répandit une nouvelle fois dans sa gorge accueillante et cette fois, il n'eut pas besoin de lui maintenir la tête pour la forcer à avaler la salve qui avait jailli de ses couilles.

Jean embrassa pour la première fois sa nièce sur les lèvres. Leur baiser devint rapidement plus fiévreux. Leurs langues menèrent un combat long et délicieux dans leurs bouches étroitement unies. Le coeur de Virginie battait à tout rompre. Elle était prête à se donner complètement, à recevoir la bite de son oncle au plus profond d'elle mais Jean se contenta de la serrer dans ses bras avant de s'endormir. Virginie toujours nue était lovée au creux des bras de son oncle. Elle réfléchit longtemps à ce que l'avenir pouvait lui réserver. Finalement, une solution lui vint à l'esprit et s'imposa progressivement. Elle sut tout de suite ce qu'elle allait faire le lendemain, tôt.

Jean se réveilla vers huit heures. Le lit était vide et Virginie était sortie. Avait-elle réfléchi et fui son oncle incestueux? Etait-elle partie pour ne plus revenir? Jean était vraiment inquiet en se lavant et s'habillant rapidement. Lorsqu'il rentra sous sa tente, il fut très soulagé de voir que Virginie était revenue. Ce n'est qu'alors qu'il réalisa ce qu'elle était allé faire. Virginie était totalement nue, à genoux au pied du lit, les cuisses écartées au maximum pour exposer son sexe. Il était maintenant aussi nu qu'une fesse de bébé, sans trace du moindre poil. Il y avait une boutique qui proposait une épilation complète à la cire chaude à proximité. Elle avait du y aller dès l'ouverture à sept heures trente. Elle avait un maquillage sophistiqué de soir de gala qui choquait un peu sur un visage qui gardait des traces de l'enfant qu'elle était il n'y avait pas si longtemps. Sa sortie matinale ne s'était pas arrêtée là puisqu'à son cou était étroitement roulé un foulard blanc comme les génisses qu'elle avait vues la veille. Un collier de cuir large enserrait son cou et une grosse cloche de vache en pendait. Enfin, ses poignets étaient menottés étroitement dans son dos projetant en avant ses jeunes seins si fiers aux pointes dardées et revêtues du même rouge vif que ses lèvres.

Virginie avait aussi préparé un petit panneau qu'elle avait placé devant elle donnant sa date de naissance et précisant qu'elle n'avait pas encore reçu les injections qui provoqueraient la lactation. Elle avait punaisé au panneau un contrat type qu'elle avait déniché et rempli, précisant que le contrat était d'un an renouvelable à la seule discrétion de Jean, que le prix du contrat de cette génisse était fixé à un euro par an et qu'il n'y avait aucune restriction à l'usage personnel ou autre qu'il pourrait faire de son corps. Le formulaire avait déjà reçu la signature de Virginie et n'attendait plus que celle de Jean pour pouvoir être officialisé. Virginie regardait anxieusement son oncle pour voir sa réaction. Elle ressemblait vraiment à cet instant aux jeunes génisses qu'ils avaient vues avides de savoir qui achèterait leur contrat.

Jean pesa le pour et le contre un long moment, alimentant l'anxiété de Virginie. Finalement un sourire apparut sur son visage. Il prit le contrat et le stylo qu'elle avait déposé à coté et parapha le document. Il ne restait plus qu'à faire enregistrer le document par le secrétariat de la foire pour que sa nièce devienne sa propriété. 

Jean avisa dans un coin un collier en mailles d'acier et une longe du même type que Virginie avait acquis dans l'espoir d'être amenée par son oncle à la cérémonie d'enduction de ses cordes vocales. Il lui passa le collier autour du cou et d'une secousse, la fit se lever et se diriger vers la porte. Il ouvrit l'auvent et la poussa dehors. Les hommes qui déambulaient au dehors la dévisagèrent, se rappelant de la jeune fille qui les avait charmés la veille et jetant des regards concupiscents sur la jeune génisse pour laquelle ils pourraient sans doute bientôt faire une offre pour la baiser ou l'enculer.

L'enregistrement ne prit que quelques minutes puis ils se mirent sur la file de filles qui attendaient leur tour avant d'être rendues muettes pour un an. Virginie savait au fond de son coeur qu'elle ne retrouverait le son de sa voix que dans de nombreuses années. Ses derniers mots furent pour son oncle :

- Je vous aime, Maitre! Faites de moi tout ce que vous voulez. Arrangez vous pour que je vous rapporte le maximum d'argent! Faites de moi la plus obéissante vachette du cheptel!

Tandis que le vétérinaire procédait méticuleusement à l'enduction, Jean susurrait à l'oreille de sa nièce ses intentions :

- Merci, Virginie, pour le magnifique cadeau que tu me fais. J'ai été toujours considéré comme l'un des meilleurs dresseurs de notre groupe et je vais me surpasser avec toi! Tu vas rester vierge encore quelques années, je n'utiliserai et je ne louerai que ton cul et ta bouche. Une fille vierge qu'on encule souvent est ce qu'il y a de plus agréable au monde. Elle est plus souple, plus bondissante, elle crie plus fort. Dans ton cas, j'aurais du dire qu'elle meugle plus fort. On fera une fête du tonnerre ici pour ton dépucelage. C'est moi qui te prendrait la première fois mais après je te laisserai aux mains d'une douzaine de noirs d'un groupe musical du Cameroun que je connais bien, ils ont de très grosses bites très dures et ils sont infatigables. Ils s'occuperont de toi toute la nuit et probablement la journée d'après.

Virginie essayait de caresser la bite de son oncle avec ses mains entravées.

- Patience, Virginie! Apres que le vétérinaire aura procédé aux injections dans tes seins, tu te retrouveras exposée dans une des stalles du grand hall. En milieu d'après midi, je t'emmènerai sur le podium et je t'enculerai en public pour la première fois. Il est de tradition pour les ventes de gré à gré que j'offre alors ton cul à une douzaine de mes collègues. Il y aura un tirage au sort pour savoir quels seront les heureux élus.

Le repas de midi de Virginie fut constitué d'une macédoine de légumes avec de petits carrés de viande et de poisson, le tout froid et servi dans une auge métallique où elle dut manger à genoux sans l'aide de ses mains. L'eau était fournie par une pression de son menton ou de son nez sur une petite auge qui se remplissait alors. La première fois, de l'eau pénétra dans son nez et elle toussa éperdument au milieu des rires de l'assistance.

L'après midi, le vétérinaire vint lui faire les injections promises. Ce fut assez douloureux et ses seins se mirent à la bruler. Ils enflèrent progressivement les jours suivants et sa poitrine passa d'un 95B honorable à un 95E impressionnant d'autant qu'ils gardèrent toute leur fermeté. Jean et Brigitte parlaient maintenant devant elle non plus de ses seins mais de ses mamelles et cela ne la gênait pas. Les premières gouttes de lait perlèrent deux semaines plus tard et Jean se mit à la traire matin et soir quelques jours après. Sa poitrine était devenue extrêmement sensible et porter le moindre vêtement était plutôt désagréable pour elle.

Vers 16 heures, Jean vint la chercher dans son enclos, lui mit sa longe métallique et l'amena sur le podium. Sa cloche de vache pendait à son cou et tintait à chaque mouvement qu'elle faisait. Il y avait une barre métallique contre laquelle il la fit s'appuyer. Il attacha sa longe au pied de la barre à un anneau prévu à cet effet. Virginie était cassée en deux, tendant ses jeunes fesses fermes vers le ciel. Jean déboutonna sa braguette et extirpa un membre plus qu'honorable : près de vingt centimètres de long et cinq centimètres de diamètre. Impressionnant pour un petit cul de toute jeune femme encore vierge. Même un doigt n'avait jamais touché l'orifice dans lequel ce chibre conséquent comptait s'enfoncer.

Jean prit un tube de crème pour la peau et en couvrit son doigt. Il l'introduisit lentement en tournant doucement pour lubrifier toute la circonférence et commencer à apprivoiser cet orifice dont il comptait faire un usage quotidien pour les années à venir. Il encréma son doigt plusieurs fois avant de l'enfoncer à nouveau jusqu'à ce qu'il coulisse parfaitement dans l'anus devenu plus accueillant. Au bout d'un certain temps, il sentit que Virginie réagissait enfin en poussant de son coté pour accélérer la pénétration et la rendre plus profonde. 

C'était le signal que Jean attendait pour passer à la prochaine étape. Cette fois, ce fut deux doigts étroitement accolés qui se présentèrent devant l'orifice entrouvert. Virginie grogna. Elle aurait voulu crier mais cela lui fut impossible. Un mugissement prolongé lui échappa et cela ressemblait un peu au meuglement d'une vraie vache. Malgré ses protestations inarticulées, les deux doigts la pénétrèrent et entreprirent d'élargir son anus de façon plus conséquente. 

Lorsqu'il jugea que son anus était enfin suffisamment relâché, il remplaça ses deux doigts maintenant nettement écartés par son propre sexe qu'il couvrit de crème. La pointe rentra comme dans du beurre mais ensuite, elle hurla lorsque la bite de Jean s'enfonça irrémédiablement dans son postérieur. Elle était tellement graissée que Jean ne ressentait qu'une pression continue délicieuse mais elle, sentait que la bite la dilatait, l'ouvrait à une nouvelle vie qui l'effrayait tout en la fascinant. Lorsque les poils du pubis de Jean vinrent chatouiller son anus, Virginie sut que son calvaire s'achevait. Son oncle se retira lentement en ne laissant que le gland dans son cul avant de rengainer violemment, ce qui arracha de nouveaux cris à Virginie qui se transformèrent en autant de meuglements affolés.

Jean se mit à lui caresser le clitoris ce qui arracha de nouveaux cris, de jouissance cette fois, à Virginie. Lorsqu'il éjacula en elle, elle partit elle aussi mais si elle pensait que son anus allait rester tranquille quelque temps, elle dut déchanter lorsque les douze hommes qui avaient été tirés au sort pour continuer à lui défoncer l'anus furent appelés les uns après les autres sur le podium. Elle les reçut tous stoïquement pour faire honneur à son oncle, cherchant à resserrer son anus avant chaque pénétration pour la rendre plus agréable pour l'homme qui se préparait à l'empaler sans merci. Elle s'évanouit lorsque le dernier d'entre eux ajouta sa contribution au fond de ses entrailles. Jean lui enfonça un plug pour qu'elle garde tout en elle jusqu'à son départ pour rentrer à la maison.

Un détail qui l'avait beaucoup gênée le soir de son engagement vis à vis de Jean avait été justement que celui-ci lui avait annoncé qu'elle ne pouvait pas revenir avec lui. Il n'avait en effet pas de bétaillère pour elle. Il s'était déjà arrangé avec un ami habitant Charleville. Il ferait un détour pour la ramener chez lui. En échange, il pourrait utiliser ses reins et sa bouche quand cela lui chanterait pendant le voyage. Elle monta avec beaucoup d'appréhension dans la remorque. Le propriétaire poussa Virginie contre une barre horizontale sur laquelle elle s'appuya des hanches. 

Une ceinture vint fixer étroitement la taille de la jeune fille à la barre. Elle dut ensuite se pencher en avant. L'homme ajusta une seconde barre télescopique pour que le haut de ses épaules vienne s'y appuyer. Une seconde entrave de cuir vint s'enrouler autour de sa taille. Elle ne pouvait plus se relever. Ses seins pendaient sans aucun soutien. Deux autres sangles vinrent se fixer autour de ses chevilles, les écartant autant que possible. L'homme amena ensuite une autre fille qu'il avait achetée à la foire et qu'il attacha à coté de Virginie. Les deux filles échangèrent un regard complice. Il retira le plug de son anus martyrisé. Le sperme se mit à couler le long de ses cuisses et ses jambes jusqu'au sol. Elle devrait patauger dans cette mare collante et odorante jusqu'à l'arrivée. 

C'est dans cette position très humiliante, vraiment animale que Virginie fit le périple de sept cents kilomètres ponctué de cinq arrêts dont deux pour les repas. A chaque arrêt, l'homme montait dans la bétaillère et sans la détacher une seconde, s'installait derrière la jeune fille, il se couvrait la bite de crème fluide et, sans autre préambule, s'enfonçait dans ses reins avant de s'agiter violemment jusqu'à ce qu'il jouisse au fond de son anus. Il se dégageait ensuite et faisait le tour de la fille entravée pour présenter son sexe taché de trainées brunâtres à sa bouche. Elle surmontait son dégoût pour lui faire une toilette impeccable en regrettant que ce ne soit pas Jean qui profite de son attention.

Pour les repas, une écuelle pour chien était placée dans une alvéole devant elle et il la remplissait rapidement de pâtée pour chien mélangée à de la salade non assaisonnée et une orange coupée en quartiers. Le produit était peu ragoûtant mais relativement équilibré, après tout. Une petite bouteille d'eau à la fin du repas constituait la seule boisson à laquelle elle eut droit. Bien entendu, avant de repartir, Virginie eut en guise de dessert l'occasion de s'agiter au bout du pénis de l'homme. L'autre fille la regardait avec un air pincé car elle n'eut pas droit à la moindre caresse tout le long du voyage.

Pendant les mois puis les années suivantes, Virginie eut souvent l'occasion de revoir cet homme avec cette fille puis avec d'autres, car c'était l'un des meilleurs amis de Jean et ils se voyaient à peu près deux fois par mois. C'était devenu un rituel entre elle et lui : il la prenait toujours par l'anus rapidement et brutalement avant d'aller se rincer dans sa bouche sans s'essuyer. A un moment ou à un autre, les deux filles présentes étaient détachées et devaient se gougnotter devant les deux hommes qui les encourageaient de la voix.

Brigitte n'assistait jamais à ces ébats mais elle avait beaucoup d'autres occasions de prendre du plaisir avec sa nièce mais c'est une autre histoire qu'on vous racontera peut être un autre jour!

Par lina
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Dimanche 2 novembre 7 02 /11 /Nov 11:06

Jean, un important industriel de Sedan, la quarantaine fringante, conduisait son gros 4x4 sur les routes du causse du Larzac depuis plus d'une heure. A ses cotés, sa jeune nièce, Virginie, tout juste dix huit ans depuis quelques jours et dans la beauté extatique des jeunes filles en fleur, était assise à moitié assoupie à coté de lui. Cela faisait deux ans qu'elle insistait pour aller à la foire aux bestiaux de Saint Azul où se rendaient chaque année son oncle et sa tante. Un décès dans la famille avait forcé sa tante à se rendre sur place. Elle avait proposé à sa nièce qui vivait chez eux depuis le décès de ses parents d'accompagner son mari.

Virginie s'était réveillée lorsque Jean s'était arrêté pour ouvrir une barrière en quittant la route goudronnée. 

- Tiens, on est déjà arrivés?

- Non. Il y a encore plus de vingt kilomètres. Saint Azul est une ancienne ferme en ruines, loin de tout.

Virginie s'était rendormie tranquillement. Elle avait à peine ouvert les yeux lorsqu'il s'était arrêté à nouveau pour ouvrir d'autres barrières tous les quatre ou cinq kilomètres. Finalement, Jean la réveilla en lui tapotant le genou. Ils étaient en vue de leur destination.

Il y avait peut être cinquante 4x4, pick-up, voire de petits camions bien rangés dans un coin avec une précision quasi militaire. A coté, une grande tente devait abriter les fameux bestiaux dont parlaient souvent Jean et Pierre, le père de Virginie, disparu avec son épouse dans un accident de la route en revenant justement de cette foire. 

Plus loin, un tas de tentes individuelles devaient abriter les visiteurs. Il y avait aussi quelques boutiques vendant fromages, lait, yaourts, crèmes et des produits dérivés divers. D'autres échoppes proposaient des accessoires pour animaux : collier en cuir avec clochette, anneaux de nez, chaines et entraves diverses. Virginie remarqua juste que tous ces objets étaient faits pour des animaux de petite taille, pas pour les vaches qu'elle connaissait dans sa région d'origine.

En arrivant, on avait demandé ses papiers à Virginie mais pas à Jean, ce qui lui sembla surprenant une nouvelle fois. Ils déposèrent leurs bagages dans la tente qui leur avait été assignée. Jean alla ranger la voiture au parc de stationnement tandis que Virginie déballait leurs bagages. La jeune fille fut un peu étonnée de ne trouver qu'un seul lit, large certes mais elle devrait se serrer vraiment contre son oncle. Enfin, elle avait tant insisté pour l'accompagner qu'elle n'allait pas se plaindre des conditions un peu spartiates.

Jean revint pour l'aider à finir d'organiser leur bivouac pour deux ou trois jours. Il était presque midi lorsqu'ils sortirent de la tente pour faire visiter la foire à Virginie. Ils allèrent d'abord prendre un verre de lait d'un goût agréable mais différent d'un lait de vache. Son oncle fit goûter à Virginie différents fromages eux aussi inhabituels. Finalement, ils se dirigèrent vers le hall principal. Jean sourit à Virginie en ouvrant la porte. La jeune fille entra et se figea sur place en découvrant le spectacle.

Comme dans toutes les foires agricoles, il y avait des allées plus ou moins propres bordées de stalles au sol couvert de paille avec des abreuvoirs et des mangeoires. Les bestiaux étaient attachés à des poteaux à l'aide de chaines métalliques. Les propriétaires étaient aux petits soins pour leur cheptel, armés de peignes et de ciseaux. Sauf que le cheptel en question n'était pas constitué de vaches, taureaux, chevaux ou juments mais de près de deux cents femmes nues. 

Virginie, sidérée, se tourna vers son oncle pour obtenir des explications. Les mots ne voulaient pas sortir de sa bouche. Jean vint à son secours.

- Voilà la foire aux bestiaux de Saint Azul, Cela fait deux ans que tu me serinais pour venir. Tu comprends pourquoi je devais attendre que tu sois majeure!

- Mais toutes ces femmes! Pourquoi sont-elles là? Et pourquoi tous ces harnachements? On dirait des esclaves de l'ancien temps.

- Il y a de cela. En fait, c'est une réunion d'un club très fermé de gens qui jouent aux éleveurs de vaches de concours et de femmes qui acceptent de jouer un rôle de ce genre pendant un an.

- Mais quel est leur intérêt?

- Cela dépend : certaines se découvrent un goût pour cela : cela peut être excitant de passer sa journée dans un pré à l'ombre d'un arbre mais ça doit être lassant. Alors on provoque la production de lait. Après, les filles doivent être traites matin et soir et c'est tellement agréable qu'elles peuvent arriver à jouir même avec une machine à traire. Elles ne peuvent plus s'en passer.

- Je croyais qu'une femme devait avoir un bébé pour donner du lait. 

- Détrompe-toi : avec des injections d'hormone directement dans le sein, même une fille vierge va entrer en production. Sa poitrine va grossir et dans les trois mois, elle sera à son niveau de croisière. 

- Et ça dure combien de temps?

- Aussi longtemps que la fille est traite régulièrement. On suit la production tous les jours et si elle tend à baisser, on peut refaire une piqure ou l'engrosser, la faire saillir dans notre jargon. L'effet est sensiblement équivalent.

- Mais qu'est ce qui se passe si la fille n'est pas traite comme tu dis?

- Sa poitrine gonfle et devient très douloureuse. Retarder la traite peut même être utilisé en guise de punition. Dans ce cas, les filles ont leurs mains menottées dans le dos. Elles essayent alors souvent de se traire elles-mêmes en appuyant leurs poitrines contre un mur, un piquet ou une barrière. Il faut les surveiller en permanence. Je te montrerai. Il y a parfois des démonstrations pour ceux que cela intéresse.

- Oh, sur que cela me passionnerait! Je suis toute excitée!

La visite commença par un petit enclos occupé par une douzaine de filles de l'âge de Virginie, tout juste sorties de l'adolescence. Elles regardaient les visiteurs d'un air inquiet et pourtant avide d'attirer les regards. Elles avaient un foulard blanc ou rouge noué autour du cou.

Jean s'accouda à la barrière et les filles s'agglutinèrent devant lui, repoussant leurs épaules en arrière pour mettre mieux leurs jeunes seins en valeur.

- Tu vois, Virginie, ce sont des filles de ton âge qui se mettent en vente pour la première fois. On les appelle ici des génisses. Celles qui sont encore vierges ont un foulard blanc et celles qui ne le sont plus en ont un rouge. Elles ont toutes reçu leurs injections d'hormones et elles vont se mettre à produire du lait d'ici un mois. Du lait de femme se vend bien chez nous. On en fait aussi du beurre et du fromage.

- Oh! C'est dégoutant.

- Je dirais plutôt que c'est délicieux. Tu en as mangé ce matin!

- Les filles reçoivent un contrat d'un an. Une vache ne parle pas. On ne va quand même pas leur enlever les cordes vocales comme cela se faisait parfois jadis. De nos jours, on se contente de vaporiser dessus un gel. Il se dissout à peu près en un an, juste à temps pour que la fille puisse dire si elle veut arrêter l'expérience et redevenir une fille comme les autres, seulement plus riche de dix ou quinze mille Euros ou si elle veut continuer, auquel cas elle revient ici et est remise en vente. 

- A nouveau pour un an?

- Pas forcément! Apres la première année, elle peut décider si le contrat qu'elle propose est de un, deux ou cinq ans mais elle ne peut pas choisir qui achètera son contrat si la vente est aux enchères. Si elle choisit une vente de gré à gré, c'est différent: elle se propose à quelqu'un et il peut accepter ou non et le prix est beaucoup moins intéressant!

Dans les enclos voisins, il y avait pas mal de femmes plus mûres qui paradaient, menées par des hommes qui semblaient être leurs propriétaires. Un écriteau spécifiait la production journalière de chaque fille et le nombre d'enfants qu'elle avait eus avec la date de naissance. Virginie se tourna à nouveau vers son oncle en lui demandant la raison de cette précision. 

- Le contrat d'un an inclut la possibilité de faire saillir la génisse ou la jeune bête. Ce n'est pas une obligation, remarque! 

- Mais comment le propriétaire peut-il rentabiliser son investissement?

- Pour une génisse, il peut vendre le lait, saillir lui même la bête et bien sur donner le bébé en adoption moyennant finances. C'est interdit en France, c'est pourquoi les filles vont accoucher - on dit ici vêler - en Angleterre. Cela suffit souvent à rentabiliser l'achat. En plus, en fin de contrat, le propriétaire touche 10% de la plus value s'il a bien entretenu sa bête. Pour du bétail qui n'est plus de première jeunesse, seule la vente de lait peut encore rapporter de l'argent. 

- Mais ensuite? Qu'arrive-t-il à une bête trop âgée?

- Elle peut revenir à une vie normale comme à la fin de chaque contrat. C'est ainsi que ta mère a épousé ton père et moi ta tante Brigitte.

- Quoi, Maman et Papa et toi et Brigitte, je n'en reviens pas!

- Et si! Ta mère et Brigitte ont toutes les deux pris un contrat de cinq ans à l'issue duquel elles ont choisi de cesser de vendre leurs corps et elles ont épousé leur dernier propriétaire.

- Ca se fait souvent?

- Non, pas très. Les hommes ne veulent souvent pas s'engager et les femmes voient surtout les défauts de leurs maitres. Mais continuons la visite.

Au fur et à mesure qu'ils avançaient, les femmes devenaient plus âgées. Certaines étaient visiblement enceintes et même parfois prêtes à accoucher.

- C'est une technique de vente, tu vois. Certains acheteurs veulent faire un profit immédiat et sont prêts à payer le prix fort avec la certitude de rentrer rapidement dans la plus grande partie de leurs frais. D'autres femmes plus agées souhaitent montrer qu'elles peuvent encore avoir des bébés. . .

Ils arrivaient maintenant au bout de la salle. Il y avait là un petit enclos vide pour l'instant. 

- A la fin de la foire, les filles qui n'auront pas trouvé preneurs seront parquées ici et offertes pour trois fois rien à qui en voudra. La plupart ne pourront plus avoir d'enfants et ne sont plus capables de donner du lait. Elles seront réformées et ne seront plus autorisées à se réinscrire l'an prochain. Tu vois, exactement comme du bétail sauf qu'on leur épargne la fin ignominieuse en animaux de boucherie. . .

Le soir venait déjà. Jean emmena sa nièce au restaurant de la foire. Des filles nues avec leurs foulards blancs et rouge s'occupaient du service. Elles n'étaient pas encore sous contrat et n'avaient pas eu leurs cordes vocales paralysées. Leur but était clairement d'inciter les clients à enchérir sur elles lors de la vente aux enchères du lendemain. Elles s'écartaient en riant lorsque des mains fureteuses essayaient d'explorer leurs charmes, surtout celles qui portaient une écharpe blanche.

Virginie était toute rêveuse lorsqu'ils allèrent se coucher. Jean se déshabilla sans façons devant sa nièce, découvrant son torse puissant. Il ne garda que son slip qui moulait un sexe qui parut gros et long à sa nièce. Elle même était trop timide pour se mettre nue devant lui. Elle alla se changer aux toilettes du camp, enfilant par dessus sa nuisette un petit manteau pour se protéger du petit vent frais. Elle retira son manteau avant de se coucher.

- Tu sais, tu n'avais pas besoin de sortir pour te changer, J'ai tant vu de seins et de culs nus qu'il m'en faut beaucoup plus maintenant pour me faire bander!

- Peut-être mais cela me gêne de me montrer nue devant un homme d'aspect aussi viril! Et depuis deux ans que je vis chez toi, tu fais l'amour presque tous les jours avec Tata.

Quelque part, Jean parut flatté du compliment mais ne put s'empêcher de corriger ses dires. 

- Pour ton info, jeune fille, ta tante passe à la casserole au moins trois fois par jour, parfois plus lorsque nous avons des invités: le matin au bord de la piscine ou sur le tas de bois derrière la maison, à midi, un petit vite fait sur la table de cuisine et le soir au lit où tu as pu nous entendre effectivement. Maintenant, dors! Je suis un peu fatigué par la route.

Jean se coucha sur le coté pour laisser plus de place à Virginie. L'exigüité de la place disponible faisait qu'elle avait le choix entre lui tourner le dos et sentir la pointe toute dure de sa bite (Virginie était suffisamment déniaisée pour utiliser ces mots crus) s'enfoncer entre ses fesses ou bien lui faire face et sentir le même engin encombrant frotter contre son nombril tandis qu'elle plongeait ses narines dans ses aisselles. Au bout de quelques minutes, elle s'habitua à l'odeur et finit par la trouver agréable et sensuelle.

Le lendemain, la vente aux enchères commença. On prenait les filles par rang d'âge. La première à passer était une jeune beauté majeure depuis seulement deux jours. Elle portait fièrement autour du cou un foulard rouge. Elle monta sur l'estrade en roulant des hanches et en lançant des oeillades enflammées au cercle de jeunes males qui s'étaient intéressés à elle la veille. La mise à prix était de cinq mille euros mais l'enchère finale atteignit treize mille euros. Jean fit un commentaire narquois :

- Elle est allée à ce vieux vicieux de Maitre Jacques. Il ne s'intéressera qu'à son petit cul et vendra sa bouche et son sexe à tous ceux qui les voudront. Il a toujours besoin d'argent : elle se retrouvera enceinte dans moins d'un mois. Pauvre fille!

La suivante avait un foulard blanc. Sa beauté était moins agressive que la précédente mais elle paraissait plus douce et plus posée. Jean enchérit sur elle jusqu'à huit mille Euros mais elle partit à dix mille. Il en parut peiné et Virginie ressentit quelque chose qui ressemblait à de la jalousie.

- C'est Pierre Dumont qui l'a eue. C'est le meilleur dresseur que je connaisse, après moi, bien sur. Cette fille sera l'une des stars des prochaines années, tu verras!

La vente continua toute la journée. Jean participa à certaines enchères mais sans y croire vraiment. Visiblement la fille au foulard blanc l'avait marqué. Virginie lui demanda pourquoi il la regrettait tellement et comment il aurait fait à la maison, s'il avait emporté l'enchère.

- Je me suis mis d'accord avec ta tante. Elle s'occupera de l'entretien de la fille et de l'exercice à lui donner. C'est elle qui recevra ceux que je choisirai pour la baiser. Mais pas au rythme que Maitre Jacques va imposer à l'autre : il faut éveiller ses sens doucement et surtout ne pas lui donner trop de sexe tout de suite. Si elle en veut plus, elle ne se donnera que mieux au suivant. Il ne faut jamais qu'une fille comme celle-la soit totalement satisfaite. 

- Et son pucelage, comment va-elle le perdre?

- Si Dumont est moitié moins intelligent que je le pense, elle va garder son berlingot deux ou trois mois encore. Il se contentera de sa bouche et de ses reins en attendant. Cela va la mettre rapidement en chaleur et elle va le supplier à genoux pour être enfin dépucelée. Moi, j'aurais fait venir à ce moment-là cinq noirs bien costauds et je la leur aurais livrée au cours d'une grande fête. Apres, on aurait pu faire ce qu'on voudrait avec elle.

Les autres femmes, plus expérimentées partirent avec des fortunes diverses. Visiblement, elles faisaient toutes de leur mieux pour trouver preneur. Trois femmes autour de la trentaine, assez expérimentées et assez minces pour être des danseuses furent achetées par le même homme : une blonde, une brune et une rousse. Jean lui souffla :

- C'est le tenancier d'une boite de strip-tease. Les filles vont apprendre la pole dance avant de monter sur la scène. Apres leur spectacle, elles serviront aux plaisirs des clients. Tout le monde y trouvera son compte et elles aussi! Les pourboires sont pour elles, traditionnellement.

- Que deviendront-elles, plus tard? 

- Oh, ne t'inquiète pas pour elles : celles-là retombent toujours sur leurs pieds. Elles pourront continuer aux USA ou ailleurs. Une danseuse que cet homme avait engagée tient maintenant une école de danse à Marrakech. Une autre est devenue danseuse orientale au Caire.

- Ah ils passent à des femmes nettement plus âgées.

- Oui, certaines seront réformées ce soir. C'est un moment très délicat, une fin de carrière qui n'est pas souhaitée par l'intéressée. . . 

Finalement seules quatre femmes ne trouvèrent pas preneur. La cérémonie de l'enduction des cordes vocales des filles qui venaient d'être vendues se déroulerait le lendemain matin à partir de 9 heures. Les acheteurs se dispersèrent pour prendre un peu de repos avant le diner. Les autres plièrent bagage pour la plupart. Jean avait décidé de rester. Virginie s'était hâtée de regagner leur tente pour se changer pour le repas. Jean lui laissa tout le temps nécessaire. Elle finit par entrouvrir la porte pour voir ce qu'il faisait. Elle lui fit signe d'entrer en rougissant comme une collégienne. Il eut la surprise de sa vie en la découvrant en minirobe rouge vif à grand décolleté qu'il trouva très à son goût. Il lui fit de grands compliments qui la firent rougir encore plus. Il trouva sa timidité charmante.

Le repas fut délicieux, arrosé de lait de femme caillé parfumé à la rose ou de lait frais. Pour deux euros, on pouvait traire soi-même l'une des filles et remplir son verre. Pour cinq euros, on pouvait téter directement le sein qu'on vous offrait. Virginie s'enhardit et leva la main en brandissant une pièce. Par chance, la fille qui se présenta était l'une de celles qui avaient été acquises par le tenancier de cabaret, la rousse. Ses seins étaient gonflés par l'afflux de lait et devaient être très douloureux. Elle grimaçait en tendant son sein gauche au dessus du verre de la jeune fille. Jean eut pitié de la pauvre femme et lui tendit une autre pièce. Il agrippa l'autre sein et entreprit de remplir son verre lui aussi. 

Virginie n'était certainement pas aussi expérimentée et elle faisait probablement assez mal à la jeune femme sans le vouloir mais celle-ci semblait beaucoup apprécier d'avoir ses deux outres soulagées en même temps. Elle se mit à haleter puis à geindre désespérément. Lorsque Jean se mit à tirer légèrement sur le mamelon en le flattant de l'index et que Virginie se mit à l'imiter, la femme se mit à crier. Tous les regards convergèrent sur la jeune fille et ne la lâchèrent plus. Lorsque les deux verres furent pleins, les seins étaient encore bien pleins mais n'étaient plus douloureux. La fille les remercia du regard. Les spectateurs applaudirent Jean et Virginie qui rosit encore une fois de confusion.

Lorsqu'ils en arrivèrent au dessert, un clafoutis, bien sur au lait de femme. Jean sourit et brandit un billet de dix Euros. La même fille qui leur avait permis de remplir leurs verres, s'avança vers lui. Il lui donna l'argent et lui glissa quelques mots à l'oreille. La fille opina et se dirigea vers Virginie. Elle lui jeta d'une voix éraillée par une année de silence absolu en tendant sa poitrine vers la jeune fille :

- Ce Monsieur a payé pour que vous puissiez me téter tout votre saoul. Mes deux seins sont à votre disposition.

Virginie jeta un regard ahuri à son oncle. Les gens aux tables voisines la jaugeaient du regard, se demandant si elle aurait le courage de faire ce qu'on lui proposait. Apres quelques minutes d'hésitation, elle se pencha en avant et prit le téton dans sa bouche et se mit à téter comme un bébé. La femme rejeta la tête en arrière, faisant cascader ses longs cheveux dans son dos. Boire directement au sein d'une inconnue était une expérience autrement plus enivrante que boire un simple verre du même lait. Virginie ne s'arrêta que lorsque plus une goutte de lait ne sortit du sein qui avait perdu une bonne part de sa superbe.

Elle sourit à Jean pour le remercier et mangea de bon appétit son clafoutis. Lorsqu'on lui servit son café, elle appela la fille et indiqua du doigt sa tasse de café. La femme comprit immédiatement et approcha son second mamelon à deux ou trois centimètres du liquide brûlant. Virginie qui devenait rapidement plus experte, lacha une giclée en plein centre de la tasse. Elle remercia la fille de la tête et fit tourner sa cuillère dans la tasse. Elle but avec délectation le breuvage. Elle discuta quelques minutes avec Jean et rappela la fille pour finir de la traire avec sa bouche. La rousse se laissa faire de bonne grâce et manifesta son plaisir renouvelé par des grognements fiévreux.

Par lina
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Vendredi 31 octobre 5 31 /10 /Oct 15:16

Personnages choisis cette aventure sont : Sam 16 ans (rousse, yeux vert), Clover 16 ans (blonde yeux bleu), Alex 16 ans (cheveux très cour, brune yeux bleu), Jerry 50 ans, Mandy 16 ans (cheveux très long, noir, yeux bleu),

TOTALLY SPIES

UNE MISSION TRES SPORTIVE 3

Clover, se faisait défoncer, ça chatte par un homme, qui pourrait être son père. Sam, se faisait baiser dans celui des maillots de bains, par un vigile très pervers. Alex, rentra dans un magasin ou on vendait des articles pour jouer au football (soccer). Elle entra dans la boutique, il n’y avait pas grand monde, elle se chercha un nouveau short et un grand maillot. Alex tourna la tête de droite a gauche a la recherche du cabine d’essayage. Elle n’envi aucune, elle eu du mal a trouvé un vendeur. Un bruit synthétique, provenant de la réserve du magasin. Alex, utilisait ses réflexe d’agent secret et décida de s’introduisit discrètement dans la réserve. Elle suivit, le bruit électronique, une petite lumière l’aida encor plus. Alex, pénétra dans la partie bureau  et elle surprit un vendeur sur son ordinateur. Celui-ci jouait a un jeu assez excitant, qui lui donnait une fabuleuse érection. il fallait, sauvé une jeune femme et après elle le remerciait en approvisionnant un strip-tease et une bonne petite fellation. Le vendeur avait sortit sa bitte et se masturbé, au même rythme que la fille pompait la queue de son avatar virtuelle. Alex, s’approcha, a pas feutré du jeune homme, il avait une très belle queue de vingt centimètre de long. Alex, passa sa langue sur ses lèvres, sa main droit plongea entre ses cuisses et commença a se frotté. Elle ses masturba a son tour, sa deuxième main déboutonna, son pantalon en fuseau. Ses doigts titillèrent sa vulve aussitôt, son index pénétra dans sa cage a miel et entra en contacte avec son clitoris !

A force de se branlé, Alex, s’affala sur le sol, elle se décida a rampé ver l’objet qui l’excitait tellement. Le jeune vendeur, sentit qu’il allait jouir, quelque chose repoussait sa main. Il sentit quelque chose de doux sur son gland, et qui remontait sur sa verge. Il écarta les cuisses et une tête de jeune fille qui lui pompai le dar !

«  Wouahaaa ! qui ? qui 2tes vous ? Hummm ! _ Slarppp ! Slarppp ! Slruppp ! M’hooo ! » Comme toute réponse, de là jeune fille, qui intensifiaient ses va et vient, que faisait ses lèvres sur sa queue. Le jeune vendeur, décida de là laisser continué de lui paluché le colosse. Il respirait rapidement, en se cramponnant a sa chaise. La fille de l’ordinateur se faisait prendre en levrette à présent.  il se demanda si, il pourrait pas en faire autant avec à pétasse, qui lui bouffait la bitte ! La pression, des lèvres d’Alex, sur la verge qu’elle suçait avec acharnement augmentait d’intensité a chaque aller et retour qu’elle faisait.

Après cinq minutes, il éjacula dans sa bouche, Alex déglutit  en avalant le sperme qui s’écoulait du gland. Elle continua de sucé  et de léché la bitte, avec un sourire, le jeune homme rendit son sourire en lui caressant les cheveux. Tendit, qu’elle donnait encor des coup de langue sur sa verge il lui posa la question. » Eu…Heu ! Tu n’a pas envie que je te la mette ? _ Oui ! Laps ! , Laps ! Je vœux l’avoir dans la chatte ! Laps ! » Alex, abandonna la verge qu’elle avait bien nettoyé et se releva. Elle s’installe sur le bureau, penché en avant elle empoigna le bureau avec ses deux mains.

Le jeune vendeur, se leva de sa chaise en tenant sa bitte d’une seule main, il se colla, derrière Alex. Sa main libre il tata, la chatte de l’adolescente, en glissant des doigts dans la cage a miel de là jeune fille. Là lycéenne, minaudait pour qu’il se dépêche de l’enfilé, elle se dandinait du cul. Le vendeur, voyait bien que l’adolescente était en chaleur, et lui aussi alors il frappa ses petites fesses de là jeune fille. Alex, qui avait peur qui se plante de trous, serra son anus, en se crispant et ferma les yeux, tout en croisant ses doigts. il colla son gland a petite la fente rose d’Alex, il poussa ne avant de toutes ses forces, pour introduire dans la chatte.

Alex, soupira en clignotant des yeux, il lui prenait bien le vagin, te elle sentait tout la grosseur du gland sur ses grosse lèvres. Comme elle l’avait sentit en lui pompant goulument le tout a l’l’heur avec ses petites lèvres ! Le vendeur, poussa en cor une fois, en donnant un bon coup de rein. Ce qui fit entré complètement son gland, avec l’aide d’autre petits coups de reins, il réussi à introduire le reste de sa bitte. Alex, gémissait, comme une chienne en chaleur, lui aussi criait son plaisir de défoncé sa petite moule bien fraiche. Il avait un bon rythme, ses va et vient lui permis de faire entré la totalité de sa verge, ses couille frappait les petites fesses d’Alex, qui rigolait. Il était a bout de souffle, quand il jouit dans son utérus sans retenue, il lâcha trois saccades de sperme au fond du ventre de l’adolescente. Il s’affala sur là jeune fille, leurres deux respirations saccadées se mêlèrent, comme des sportif a bout de souffle. Alex, était collé sur le sol dure, elle sentait toujours la verge de son partenaire sur ses fesses !

Alex, se redressa un peu en poussant sur ses bras, ses genoux remontèrent sou elle. L’adolescente se retrouva a quatre patte, comme une chienne prête a se faire motter. Il remontait, son mini tee-shirt au-dessus de sa petite poitrine et empoigna ses seins. « Oh faite ! Je m’appelle, Jean-Marc ! _ Oh ! Ses drôles, comme prénom ! Moi ses Alex ! Enfin, alexandra ! Vous êtes français ? _ Oui ! »

Il là pelota, avec frénésie, quant il se dit qu’il n’avait cas lui glisser son sexe dans son cul !

Il positionna sa queue a l’entré du rectum, de la brune, ses main tenant fermement ses fine hanche. Il appuya de toute ses forces sur son membre, pour le faire pénétré, a l’intérieur, Alex hulula, de douleur. Son chant, excitât beaucoup, son partenaire. Il poussa encor plus forte et sa verge entra à la moitié. « Ahaaa ! C’est fou ! Se que tu es étroite, de se coter là ! Ma chère Alex ! Ohooo ! _ Ses que Houhou ! Ça fait un peu mal ! Mais si vous aimer bien cette orifice ! Sa me houhou… Ne dérange pas ! Houhou ! Ahaaa ! »

Jean-Marc, commença doucement ses va et vient, sa verge sortait entrai du petite œillet de la jolie petite brune. Alex, qui était toute fine, sentait sa douleur, jamais on ne l’avait encore sodomisé. Elle hululait a chaque va et vient entre ses fesses, elle avait mal au cul comme jamais. Jean-Marc, était heureux de se farcir une lycéenne, pour une fois qu’il entrouvrait une pas très farouche. En plus, il l’encule, sans qu’elle ne proteste, ses sa cousin Mandy, qui se fou toujours de sa gueule en serait jalouse ! Sa faisait a peine deux minutes, qu’il défouraillait l’étroit orifice qu’il sentait déjà, qu’il allait jouir. Une cliente du magasin, avait entendu les étranges, gémissement que poussait Alex. Elle pénétra a son tour dans la réserve, et quant le râle que poussa Jean-Marc, quand il eu jouit elle entra dans le petite bureau !

« Jean-Marc ! Qu’est-ce que tu trafic ? Encor, entrain de te masturbé devant ton ordinateur, au lieu de t’occupé du magasin ? Mais…Mais ! Ohooo ! _ Au ! Cousine Mandy ! Eu…Eu ! » Il était entrain de se secoué la bitte sur les fesse de là jeune fille. Alex passa la tête entre ses cuisses et aperçut Mandy a son tour, elle rougit de honte ! « Mince, alors ! Mandy ! _ Ha ! Ha ! Hi ! Ho ! Au la honte, Alex ! Entrain de se faire baiser et même enculer par mon idiot de cousin français ! » Un rictus, se dessina sur le visage de Mandy, elle allait tout raconté dans le journal du lycée. Alex, savait que Mandy, était un vrais peste, une mal baisé, qui prenait plaisir a se moqué des autres ! Elle se releva et tenta de se rhabillé, Jean-Marc en fit autant ! Alex, pensa, que si elle ne voulait pas que Mandy, profite de la situation pour lui faire un quelconque chantage, elle devait agir.

Alex se jeta sur Mandy, ses mains lui baissèrent sa petite culotte et malgré la protestation que poussait sa partenaire. L’adolescente, glissa deux doigt dans la moule de Mandy, a la recherche de son point G ! Alex roula une pelle à Mandy, pour la calmé et lui montré un peu de douceur féminine. Voir les jambes, écarté de sa cousine, sa peau, brûlé par le soleil, la blancheur des marque laisser par un bikini.  Jean-Marc, toujours aussi excité par sa cousine, prit sa verge dans sa main et commença a se branlé. Alex, tourna la tête, pour voir se que faisait Jean-Marc, eu une autre idée, que de baiser Mandy. Là faire baiser par son cousin, surtout qu’il en avait une grosse, Mandy, allait ne pas regretter d’être venu ! Elle lui fit un signe de la tête pour qu’il s’allonge sur elle et Mandy. «  Aller, Jean-Marc ! Défonce-moi cette petite chatte ! Je sui sur que tu en a très envie ?_ Je peu ? Je peux ?_ oui !ses moi qui te le demande ! Si non cette chieuse va aller tout cafeté !_ Ok ! Je vais me là faire ! Au, cousine, tu va adorer ma bitte ! Hum ! Han ! Han ! »

Alex, bloquait Mandy, au sol avec une prise de karaté. Jean-Marc s’installa entre ses cuisses et là pénétra rapidement. Bien sur Mandy, criait, mais elle ne pouvait pas beaucoup se débattre Alex, appuya sur un point sensible, qu’il l’empêcha de trop bougé, pendant qu’elle lui faisait des baiser moulé avec sa langue. Alex, lui caressa sa poitrine tour en lui baisant le cou et ses douces lèvres. Jean-Marc, beaucoup trop excité jouit rapidement, Mandy, sentit le sperme de son cousin pénétré son utérus ! Entre deus baisé mouillé que lui faisait Alex elle cria sur lui ! «  Abrutit ! tu aurait pus au moins mètre un préservatif ! J’en ai dans mon sac a main ! _Mais ! Non ! Ma chère, Mandy ! Ses plus drôle commença ! _Quoi, t’est une vraie salope ! Alex ! Tu me le payera ! _ Ha ! Ha ! Hi ! Ho ! » Jean-Marc, se retira et éjacula, une dernière fois sur les poiles pubien de Mandy. Il s releva et Alex, relâcha sa proie, en appuyant de nouveau sur le point qu’elle avait paralysé. L’air dédaigneux et plein de haine qu’affichait toujours Mandy avait disparut de son visage !

«  Salops ! Vous êtes de l’enfoiré ! Je vais tout raconte ! _en attendant, tu va devoir aller voir ton gynéco, pour qu’il vérifie que t’es pas enceinte ! Ha ! Ha ! Hi ! Ho ! » Alex et Jean-Marc, se mirent à rire, a plein poumons. Mandy se sentait humilié, Alex se rhabillait, pour une fois elle avait anticipé un sale coup. Elle qui d’habitude jouait de sale tour, elle se dit qu’elle aurait se revanche un jour ou l’autre !

Par lina
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Jeudi 30 octobre 4 30 /10 /Oct 15:14

Personnages choisis cette aventure sont : Sam 16 ans (rousse, yeux vert), Clover 16 ans (blonde yeux bleu), Alex 16 ans (cheveux très cour, brune yeux bleu), Jerry 50 ans, Mandy 16 ans (cheveux très long, noir, yeux bleu),

TOTALLY SPIES

  UNE MISSION TRÈS SPORTIVE 2

Pendant, que Clover, se faisait défoncer, çà petite chatte blonde, dans une cabine d’essayage du magasin de sport. Sam, se  choisissait trois maillots de bain et les essayait dans une cabine. Une camera, dans le plafond, l’avait suivit depuis qu’elle avait franchit le seuil, de la boutique. Le vigile, était un gros pervers qui adorait voir les adolescentes, se trémoussé en maillot de bain. Surtout, quand il devinait, une assez belle poitrine, a travers leur tee-shirt moulant, comme s’était le cas pour Sam ! Dés En plus, le vigile, il adorait les rousses, il avait déboutonné son pantalon. Il pourra ainsi, plus facilement se paluché en la regardant se déshabillé pour enfilé un des maillots de bain.  Il se dépêcha de rebrancher la petit caméra web, installé, par ses soins dans la cabine d’essayage.

elle pénétra, dans la cabine spacieuse, après tout on était a Beverly Hills. Elle retira, son mini tee-shirt, et sa petite robe courte, ainsi que sa petite culotte. Elle était bronzée de partout sauf sur le torse et le bas des hanches. La blancheur laiteuse de sa peau, non bronzé, durcit encor plus la bitte du vigile derrière son écran. « Wouhaaa ! Je vœux, me là faire ! A se quelle elle bonne ! Ses seins tout blancs, avec ses tétons tout roses ! Cette chatte rasée de près ! Se qu’elle est fantastique ! » Il se mit a se branlé, la bave aux lèvres, Sam, qui se doutait de rient enfila son monokini.

L’adolescente, prit des poses sexy devant le miroir, sans se douté qu’elle était espionnée.

Bien, que le monokini, lui comprimait beaucoup les seins, elle continuait de prendre des pose qui aurait damné un saint ! Là poitrine, de la jeune fille, ils étaient assez gros, pour une  si jeune lycéenne, elle devait faire un bon quatre-vingt-dix-huit, de tour. Mais, le monokini, était beaucoup trop étroit, d’au moins deux tailles en-dessous. Sa poitrine, ressortait et il lui serrait trop la moule en lui rentrant dans les fesses. Voir le tissu qui lui rentrait dans ça fente et épousait en lui rentrant dans  là raie du cul, rendait fou de désire le pauvre vigile. Il, lui défoncerait volontiers ses deux trous ? Sam, sentit que si elle n’enlevait pas, rapidement le monokini, elle mouillerait dedans. Elle avait envie dingue de se masturbé, si un homme rentrait dans la cabine, elle lui ferait une fellation, sans rechigné en échange elle lui dirait de lui enfourné sa petite fente. Sam, brulait d’excitation, ses doigts ne pouvaient s’empêché de frotté son sexe et de faire entré le tissu dedans !

Elle s’arrêta juste a temps avant de jouir, Sam, respira fort d’une manière très excitante, elle se reprenait. « Hhhhfhhh…Ahhhfff ! il faut pas que je face ça ici !! Mummm ! Ahhhh…ffff ! » Sam, enleva rapidement le monokini, pour enfiler la brassière du bikini, elle était encor plus savoureuse aux yeux du vigile. Sam, était comme enfiévré elle avait une envie dévorante, de baisé. S’était d’ailleurs pour ça, qu’elle voulait de nouveau maillot de bain, plus sexy, que ceux qu’elle avait déjà ! Sam, recommença encor une fois de faire des poses comme si un photographe de mode était la. Elle fit du gringue au miroir, en faisant des baiser mouillé dans le vite comme si, en montrant ça langue qui tournait. Le vigile lui aussi emballa l’écran de son moniteur comme si il lui rendait son baiser. Il se prit un coup de bourre, ça le rendit fou furieux.

Le vigile, qui avait dans les quarante ans, n’en pouvait plus, il sorti de son bureau. Il avait, entre ses mains une petite seringue remplis d’un produit, qui là rendrait plus lascive. Il se posta a l’entré de la cabine et quand Là, jeune rouquine commença a retiré le haut du bikini,  elle fit un pas en arrière dos aux rideaux. C’st la, que le vigile, là piqua avec la seringue. Les yeux de Sam se brouillait, elle se sentait comme saoul, elle avait plus aucune inhibition. Les seins nues, les bas du bikini en ses genoux, elle tituba. Les vigile, entra a ses moment la dans la cabine, il empoigna ferment la poitrine de l’adolescente, comme si il l’empêchait de tombé et toute en lui malaxant doucement les seins, il lui dit ; «  Sa va pas mademoiselle ? _Heu…eu ! Je …Je ma sens bizarre ! Mais…Mais que faite vous ??? «  Sam, ma portait une main sur son front et avec l’autre essayait, vainement de retiré les mains du vigile de ça poitrine. Mais, elle se sentait sans force, et une irrésistible envie de se faire pénétré lui montait de son sexe, qui devenait comme en feux !

Le vigile, lui pelotait ses seins, qui devenait plus ferme, ses tétons de Sam, grossir et devenait dur. Elle avait de plus en plus envi de sentir une queue, gigoté entre ses cuisses ! « _ Rien du tout ! Mademoiselle ! Vous avez chaud, Mademoiselle ? _ Non ! Oui ! Ses bizarres ! J’ai ! J’ai envi de…De ! Il faut que…_Je ses ! Vous avez, très chaud la ? » Une de ses mains, glissa de ses seins pour descendre plus bas,  passa entre ses cuisses et lui caressa le vagin. Sam, se sentait mal, elle était en sueur. Le vigile, glissa un doigt dans la petite fente de Sam, qui gémissait tout doucement. « Et il vous faut un remède ! Ma petite ! _ Oui ! Un remède ! _Comme ses si ! » il glissa sa verge entre ses cuisses et commença a le frotté contre son vagin !

 Sam, aimait bien sentir se truc qui durcissait entre ses cuisses, elle se dandinait, pour accentuer la pression dessue. Le vigile reprit son pelotage en règle de ses seins de l’adolescente. Comme elle était très chaude et sans aucun inhibition, il ne se retint pas plus longtemps de là pénétré. le vigile, lâcha ça poitrine et  là, fit se penché en avant, Sam posa ses deux mains sur le miroir. Tendit que son partenaire, là saisit par sa croupe et là fit se cambré encor un peu plus. Sam, inconsciemment écarta un peu les jambes, le vigile glissa promptement sa queue dans le sexe de la belle rousse. Elle cria mollement, le vigile eu un peu peur et en regardant a droite a gauche. Il aperçut la petite culotte de Sam, il la ramassa et la passa sur le visage de l’adolescente. « Vas y mord Dadant ! Si tu a mal ! _ Hummm !!! Mummm…Hrrr ! » Le vigile plus tranquille put reprendre sa pénétration. Il donna un coup de rein et la moitié de sa verge rentra ça la fente de Sam. C’est petits gémissements étouffés, par le bâillon a improvisé, elle sentait la bitte de cette homme bien plus âgé qu’elle qui lui défonçait la chatte.

Le vigile, continuait lentement mais, sûrement ses va et viens pour faire rentré toute sa queue. La levrette était très sable, sou les va et vient bien cadencer du vigile dans la chatte brûlant de là jeune rousse. Sam, était plus vierge, et cette queue était moins grosse que celle de son patron du "WOOP " ! Le vigile, poussait un crie de râle, en serrant la dent, quand ses couilles, frappèrent avec virilité les fesses de la rouquine. Il l’avait entièrement enfilée, elle aussi serait les dents ou plutôt sa petite culotte dans ça bouche. Sam, privé de ses inhibition, sentait la verge de l’homme qui frottait contre son clitoris. Cela, là rendait toute molle, la drogue dans la seringue ne durerait pas très longtemps, il fallait qu’il se grouille de prendre son pied dans la délaisseuse rouquine. « Oui ! sa viens ! Oui ! Oui ! ses bon ! Tu là sens ma bitte, Hein ? Tu la sent ma bonne bitte ? _MOui…Mummm ! Mummm ! _Tu est si bonne ! Petite salope ! Oui ! Ohooo ! ohoo ! vive les rousses ! vive les petites adolescentes, avec de grosse poitrine ! Ahaaa ! Oui ! ! _Murrrrmmm ! Mummmm ! »

Sam, sentait la bitte du vigile, qui lui rentrait dans l’utérus et en ressortait aussitôt ! Après, cinq minutes, elle se sentit envahir par une douce et chaude lave, le vigile sans capote, jouissait dans son vagin. Sam, relâcha le bâillon qu’était ça petite culote de sa bouche, sou le coup de la jouissance du vigile en elle !« oui ! Je jouis ! Je jouit dans ta chatte ! Petit…rousse ! Ahaaa ! _Ohooo ! Oui !! !Je sens votre foutre qui me remplit monsieur ! » Il se retira, en même temps qu’il introduisit son pouce dans l’anus de Sam. Elle poussa un petit cri et il s’accroupit derrière elle. Le vigile lui embrassa ses grosse lèvres, il sentait qu’il serait dans les premier a pénétré cet orifice. Dans sa poche il y avait un peu de vaseline, il en mit sur deux de ses doigts. Sam, sentit que quelque chose là pénétrait par le petit trou arrière. Elle se cambra autant qu’elle le pouvait ! Sou le coup, de la drogue, l’adolescente, mourait d’envi de se faire défouraillé par tous les trous. Et surtout, par celui la !

µLe vigile fit entré ses deux doigt dans le petit œillet, et les agitait en faisant de rapide va et viens. Impatient, il décida, seulement après deux minutes, que s’était bon. Il se releva et sa queue, toujours au garda a vous, se positionna sur là raie du cul de Sam ! il donna un grand coup de rein et se pencha de toute ses forces en avant. Sam, qui avait ramasser son bâillon l’avait remit dans ça bouche, bien que privé d’inhibition, elle avait toujours ça prodigieuse intelligence ! elle savait, que se qui entrait par son petit trou, ferait très mal. D’ailleurs un peu de sang gicla, tendit qu’elle sentait que les lèvres de son anus, se déchirait, sur la pression exercé par la gland  qui lui déchirait l’entré du cul ! Le vigile, n’avait jamais enculé d’adolescente aussi étroite de se conduit, il mettait toute son énergie, pour forcé le passage.

« Ohooo ! Se que tu …es étroite ! Ma petite pute rousse ! _Mooooorrr ! Argue ! Harrrr ! Ahaaa ! Mummm ! » Le passage, le plus dure passé ça verge s’enfonçait doucement, dans le petit oriffice. Sam, serrait autant qu’elle le pouvait, ses meuglements, excitait le vigile, qui donnait de violant coup de reins. Il sentit, ses couilles, frappé les fesses, de la jeune fille, cela lui donnait bon cœur a continué de lui défouraillé l’ognon. Sam, trouvait électrisant cette bitte dans son trou de balle et ses couilles molle, lui frappant vigoureusement les fesses. Elle ne se branlait pas souvent et quand elle le faisait, jamais la rouquine n’introduisaient de truc, dans se trou là !

Il sentit qui allait éjaculer, il se retira, en essayant d se retenir, sa bitte aussitôt de l’étroit conduit ! « Vitte ! Petite ! vite ! Agenouille-toi ! » Sam, comme hypnotisé se retourna en s’agenouillant, une main virile lui montrait le chemin, que devait prendre son visage. Le vigile, débâillonnât, l’adolescente, et lui fit avaler sa bitte, avant de jouir dans sa bouche. Sam, voulu recracher le sperme et la bitte, mais il l’en empêcha. Il lui tenait le visage et l’obligea a faire des va et vient, , tendit qu’il enfonçait sa verge, dans sa gorge. il se servit de sa bouche comme d’un piston pour sa bitte, Sam, ne pouvait que subir se dernier outrage. Il cessa, ses va et vient après cinq longue minute, pour là pauvre Sam. Il sortit, entre ses douces lèvres et lui éjacula sur le visage, voir là rouquine, pleine de sperme gluant, qui lui coulait sur ses joue d’adolescente, il exaltait. Le vigile, ce sentait très mâle, devant la jeune fille, qu’il avait souillé par tout ses petits orifices. Sam, comme affamé se jeta sur son gland et commença une succion, tout en lui léchant le colosse comme une glasses de temps en temps !

Le vigile, eu du mal a sortir da la cabine d’essayage, Sam s’accrochait a sa bitte en le pompant comme une folle. Les autres clientes, furent outrées du spectacle, et une vendeuse intervenais, pour sermonné le vigile ! « Simon ! tu a beau être mon frère ! Je ne crois pas ! Que se soit dans tes attributions de…de ! De faire essayer des maillot de bain a notre jeune clientèle ! » Elle repoussa Sam, ver la cabine et en empoignant le bras de son frère. Sam retrouva ses esprit se rhabilla rapidement et sortit de la cabine avec ses trois maillot de bain, sou le bras. En rougissant là jeune fille, au long cheveux roux, passa en caisse…

 

A suivre… dans le prochain épisode


Par lina
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