Dimanche 12 octobre 7 12 /10 /Oct 15:27
Sud de l’Italie – Le même jour

Sylla se retournait dans son lit, n’arrivant pas à dormir. Le mois de juin était déjà chaud, mais la nuit apportait un peu de fraîcheur. Non, ce qui l’empêchait de dormir, c’était son mental qui tournait sans arrêt. Elle était très troublée. Bien sûr Angelo était un crétin, et le fait qu’il ait rompu avec elle aujourd’hui ne l’attristait pas plus que ça… ce qui la tourmentait, c’est les dernières paroles qu’il avait prononcées… « De toute façon, tu n’es pas comme les autres, tu es bizarre, tout le monde le sait ! »

« Tu n’es pas comme les autres ! » Depuis toujours Sylla ne se sentait pas comme les autres. Déjà son drôle de prénom. C’était plutôt un nom de garçon, or elle était une fille… et jolie avec ça ! La peau couleur miel, des cheveux bruns, longs et ondulés, un corps de rêve, avec de jolies formes… Mais depuis l’orphelinat – elle n’avait jamais connu ses parents – elle préférait la solitude. Devenue adulte, elle n’arrivait pas à se fixer. Elle avait eu des aventures de ci, de là, avec des hommes, des femmes aussi, avait fait plusieurs métiers… mais elle ressentait toujours un manque, que jamais elle ne réussissait à combler.

Elle se leva. Sa nuisette collait à sa peau, à cause de la sueur. Elle s’approcha de la fenêtre pour prendre un peu d’air. Elle se mit sur le balcon. Son petit immeuble donnait sur une ruelle, déserte à cette heure. Tout était calme et silencieux. Sauf dans l’immeuble d’en face, un étage plus bas, où un petit volet avait grincé… Toni, le fils du maraîcher, un adolescent boutonneux, prenait l’air, lui aussi… Il n’était pas bien méchant, mais dans son innocence et sa fougue d’adolescent, il faisait une cour vaine et assidue à Sylla, déposant de petits bouquets de fleurs sur le pas de sa porte, lui donnant toujours les plus beaux légumes lorsqu’elle allait faire son marché… Elle lui sourit, et se pencha un petit peu plus sur le balcon… La lumière n’était certes pas très bonne, mais grâce à l’éclairage public, de là où il était, il pouvait deviner les seins superbes aux sombres tétons de Sylla… Il fit un petit salut timide et confus à la jolie femme…

Mais un bruit la fit sursauter. Elle tendit l’oreille. Oui, pas d’erreur, il y avait quelqu’un d’autre dans sa chambre, elle en était sûr. Elle se retourna et ramassa la petite manivelle de fer qu’elle utilisait pour déplier l’auvent du balcon. De son balcon, Toni vit la belle se retourner et se pencher… lui découvrant ses superbes fesses… Tandis qu’il tombait évanouis, comme s’il avait vu une apparition de la Madone, Sylla entra doucement dans sa chambre, tenant la manivelle fermement, prête à se défendre… mais elle le lâcha de surprise !

Devant elle il y avait bien quelqu’un… non… plutôt QUELQUE CHOSE ! Une forme d’homme, mais entièrement transparent, comme s’il était uniquement constitué de liquide, et entouré d’un halo lumineux blanchâtre. Mais c’était un homme, ça elle en était sûre, au vu de l’énorme sexe qu’il avait entre les jambes ! 

- Sylla… au secours… nous avons besoin de toi !
- Mais qui… qui… êtes vous ? 
- Sylla… Sylla… au secours… nous avons besoin de toi !
- Mais enfin, comment me connaissez-vous ? Qui êtes vous ?
- Sylla, je t’en prie… viens… demain… à la pleine lune… au vieux temple de la colline…

Et, en disparaissant lentement, l’ombre, dans un murmure réitéra son injonction « Sylla… au secours… nous avons besoin de toi ! »

Sylla était abasourdie. Machinalement, elle ramassa la manivelle et alla la porter sur le balcon. Elle nota du coin de l’œil Toni qui se masturbait sur le balcon, et qui s’arrêta, gêné et penaud, en la voyant. Elle lui fit un petit clin d’œil, remonta sa nuisette, lui dévoilant son sexe rasé, puis rentra dans son appartement alors que l’adolescent éjaculait dans ses mains. Sylla pensait à ce qu’il lui était arrivé. Elle n’avait pourtant pas fait la fête hier soir ! Elle était sobre ! Que lui était-il arrivé ? Que pouvait être cette chose ? Il n’y avait qu’un seul moyen de savoir le fin mot de cette histoire. Elle irait au vieux temple !

* *


Le lendemain, elle vaquât distraitement à ses occupations, impatiente de voir le jour se coucher. Lorsque enfin la nuit tomba, elle se mit en route vers le vieux temple. C’était un temple grec, comme on voit beaucoup dans le sud de l’Italie. Il était exceptionnellement bien conservé, ce qui était une manne touristique pour les habitants du village. Portant de petites chaussures plates, pour faciliter sa marche, et une petite jupe qui voletait à chaque pas à mi- cuisse, elle arriva bien vite au temple. Lorsqu’elle arriva sur le site, c’était effectivement la pleine lune… elle pouvait la voir au-dessus du temple, ce qui lui donnait une allure fantasmagorique. Elle fit le tour du temple, mais ne vit personne. Elle rentra alors à l’intérieur du temple… il y faisait sombre et l’endroit semblait désert. « Zut, j’aurais dû penser à apporter une lampe de poche ! » pensa-t-elle… cela lui aurait été plus utile que le couteau de cuisine qu’elle avait mis dans son sac… au cas où ! « Quelle cloche ! Je me prends pour Indiana Jones ! Bon, assez de fantasmes, je rentre à la maison ». 

Elle allait faire demi-tour, lorsqu’elle entendit un bruit, dans le recoin le plus sombre du temple. Sylla senti le manche du couteau dans son sac, ce qui la rassura un peu…

- Il y a quelqu’un ???

Une voix inconnue vint du coin d’ombre :
-  ?
- Pardon ? Qui est là ?
- Sylla ? Est-ce bien toi ? fit la même voix
- Oui, c’est moi… mais qui êtes vous ? Et à quoi rime cette comédie ?

Un homme sortit de l’ombre. Il semblait très âgé, le crâne dégarni avec une couronne de cheveux blancs comme neige, et une barbe blanche et assez longue. Il était habillé comme un prêtre orthodoxe, à quelques différences près. 

- C’est bien que tu sois venue. Très bien. Tu es très courageuse.
- Qui êtes-vous, et à quoi rime cette comédie ? Comment me connaissez-vous, et qu’est ce que c’était cette chose, chez moi, hier ?
- Oui, si tu acceptes de nous aider, tu mérite des explications. Mon nom n’a pas d’importance, sache que je suis le dernier prêtre d’un ordre fort ancien, un ordre qui préserve des connaissances qui hélas se perdent aujourd’hui… Dis-moi, crois-tu à la mythologie ?
- Laquelle ? Il existe autant de mythologie que de peuples !
- Exactement ! Mais toutes ont un point commun : elles sont des énigmes, ou des codes, qui racontent une histoire unique. L’histoire du début de l’humanité, de la lutte entre les créatures de l’ombres et les créatures de la lumière.
- Mais je rêve ! C’est quoi ce délire ?
- Ce n’est pas un délire, la lutte du bien contre le mal existe depuis toujours, on ne peut le nier. Même les religions actuelles le décrivent, différemment, certes, mais c’est toujours cela. Or sache que grâce à une femme humaine, les créatures de la lumière on réussit à emprisonner toutes les créatures de l’ombre. Mais ce n’était pas assez, il fallait les faire disparaître ! Hélas, les humains ont commencé à ne plus croire en ces histoires, et donc aux créatures de la lumières… qui tirent leurs forces de la croyance, de la foi que les humains mettent en eux. Et au fur et à mesure que cette foi disparut, les créatures de la lumière s’affaiblirent, et petit à petit disparurent… Il n’en reste plus qu’un aujourd’hui… et tu l’as vu hier…
- C’est la chose que j’ai vu hier dans ma chambre ?
- Oui. Nous ne savons pas comment ni pourquoi, mais l’équilibre du monde vient d’être perturbé. Une créature de l’ombre a été libérée. Il faut la combattre, et la vaincre, avant qu’elle ne déverse un flot de malheur sur la terre. Pour cela la créature de la lumière à besoin de toi. Il t’a choisi. Il n’est plus assez puissant, et pour retrouver sa puissance, il doit s’unir à toi…
- Hola, s’unir à moi… oui… heu… vous fumez quoi en général ? On a bien rigolé, mais là, faut vraiment que je rentre à la maison…

Une voix vint de derrière Sylla…

- Sylla… j’ai besoin de toi… l’humanité à besoin de toi…

Elle se retourna d’un bloc. Un rayon de pleine lune, passant par une ouverture du plafond, éclairait la base de ce qui devait être un autel. Il n’en restait plus maintenant qu’un grand bloc de marbre, un peu de travers. Devant cet autel, dans le rayon de lune, se tenait la même créature que la veille. Toujours translucide. Sylla allait répliquer, mais son regard se posa sur le sexe énorme de la créature. Elle se sentait fasciné, comme hypnotisé par cette verge translucide, qui petit à petit se dressait. Elle sentit son sexe devenir humide. La créature tendit la main…

- Nous n’avons plus beaucoup de temps, viens à moi Sylla… et accomplis ton destin…

Comme une somnambule, Sylla marcha vers la créature. Elle rentra dans le faisceau de lune, devant l’autel. La créature passa sa main avec douceur sur la joue de la jeune femme. La main était douce mais un peu froide. Elle descendit le long du cou, sur un sein… Sylla fut parcourue de frisson. Se tétons durcissait, et commençaient à se voir à travers le T-Shirt qu’elle avait mis. La créature murmura quelque chose à son oreille, et elle se déshabilla entièrement, puis se coucha sur l’autel. La créature s’approcha d’elle, caressa doucement son front, y posa un baiser, puis caressa les seins de Sylla… avec une douceur et une tendresse que Sylla n’avait jamais ressentie, ces mains caressèrent ses seins, les malaxèrent, puis caresse son ventre, son pubis, passa le long de son sexe… la jeune femme se cabra, écarta ses jambes et s’offrit à la créature. Celle-ci vint délicatement se coucher sur Sylla. Elle sentit le gland de l’énorme verge de la créature se poser contre son sexe à elle, puis doucement la pénétrer. Ce qu’il était gros ! La créature s’enfonça complètement en elle… Puis lui donna de doux coups de boutoirs, coups de boutoirs qui de doux, commençaient à s’accélérer. Le vieux scandait des paroles inaudibles, et frappait d’un coups de bâton sur les dalles du temple à chaque coups de queue de la créature. Sylla était complètement remplie, ce sexe aurait du lui faire mal par sa grosseur, mais elle ne ressentait que du plaisir. La cadence s’accélérait, Sylla était en extase par la mélopée, les coups de boutoirs de plus en plus rapide et de plus en plus profond, cette verge énorme qui la remplissait complètement, ce gland énorme qui venait taper contre le fond de son vagin… il lui semblait que la créature rentrait de plus en plus en elle… le plaisir devenait insoutenable… la créature semblait devenir de plus en plus fine et de plus en plus longe, se transformant en un pénis géant… une vague déferla dans son sexe, une vague de plaisir intense, qui la fit crier de plaisir… à ce moment, la créature, qui n’avait plus forme humaine, mais était vraiment devenue un pénis géant, donna un coup de boutoir plus fort que les autres… et rentra entièrement dans le vagin de Sylla : elle avait absorbé la créature… le cri de plaisir devint un cri de douleur, une douleur pareille à celle d’un accouchement, puis elle s’évanouit…

* *
*

Europe Centrale, au même moment

Odin, couché dans son sarcophage, sursauta et ouvrit les yeux. Il l’avait sentit. La créature de lumière était elle aussi réveillée. « Déjà ! Il ne me reste pas beaucoup de temps, mes forces sont presque régénérées, il faut que je réunisse mon armée ». Il sortit du sarcophage. Il vit à terre les corps d’Emma et du professeur. Ils étaient nus, encore éclaboussés du foutre verdâtre de ses tentacules, et semblaient endormi. 

- Esclaves, réveillez-vous !

Emma et le professeur se réveillèrent, et comme hypnotisés, vinrent s’agenouiller devant Odin. Ils ne voulaient pas lui obéir, ils étaient conscients à l’intérieur de leur corps, mais leur volonté n’existait plus… les corps obéissaient à la voix d’Odin. Celui-ci marcha jusqu’à la grande porte qu’Emma avait remarqué la veille. Ses doigts devinrent des tentacules, qui s’enroulèrent autour de la barre de pierre et la brisèrent en mille morceaux. La porte s’entre ouvrit doucement. Derrière la porte, une caverne sombre, insondable. Accroché à la porte, un tambour. Odin le montra au professeur.

- Sonne le rassemblement.

Le professeur alla décrocher le tambour, et commença à faire raisonner le son lugubre de l’instrument dans la caverne. Au début, rien ne se passa… Puis, deux paires d’yeux jaunes apparurent dans le noir de la caverne. Le professeur reposa le tambour et recula, effrayé. Les deux créatures apparurent dans la lumière des troches. Gris et velu, c’étaient des monstres ! Ils ressemblaient a un croisement entre homme et sanglier. Ils avaient la taille, les bras et les jambes comme des humains, en plus costaud et plus trapu, et les poils, l’odeur et la trogne de sangliers. Ils n’étaient vêtus que d’un simple pagne, dans un tissu sale et parlaient d’une voix très rauque

- Maître, enfin, vous êtes revenus.
- Où sont les autres ? fit Odin, irrité.
- Maître, c’est que… vous êtes parti longtemps… les plus vieux sont mort d’épuisement et de faim… puis nous avons mangé les plus jeunes… enfin… il ne reste que nous deux.
- Heureusement que je pense à tout ! Professeur, venez avec moi. Vous deux, prenez l’humaine, et fécondez-là ! Commencez à reconstituer une armée, je vais vous ramener d’autres humaines.

Et Odin sorti de la caverne, suivi du professeur.

Emma resta seule avec les deux créatures, qui détaillaient ce corps nu avec gourmandise… 

- Tu te rappelles des femmes humaines… comme c’était bon…
- Cela fait si longtemps… j’en ai la bave aux lèvres…

Ils s’approchèrent d’Emma, qui recula timidement…

- Non, par pitié, ne me faites pas de mal… par pitié…

Elle essaya de s’enfuir, mais une des deux créatures l’attrapa par le bras et la jette à terre, tandis que la deuxième vint se mettre devant elle…

- Tu vas voir qu’on va pas te faire de mal… 

Et il arracha son pagne. Emma découvrit un sexe comme elle n’en avait jamais vu. Il était aussi long qu’un sexe humain, mais légèrement plus gros, et de forme ondulée. De plus la créature avait des testicules énormes, deux fois plus grandes que des testicules humaines. La créature avança sa verge vers le visage d’Emma. Elle n’en voulait pas, ces créatures la dégoûtaient… elle voulait s’enfuir, mais de nouveau, son corps ne lui obéit plus. Elle se mit à quatre pattes et s’avança vers le sexe du monstre. « Non ! Mais qu’est-ce que je fais ? » Mais elle n’avait aucun contrôle sur son corps. Elle prit la verge du monstre dans sa main, et commença à lui lécher le gland, tout en branlant ce sexe ondulé. Puis elle enfourna entièrement ce sexe et commença à sucer le monstre, qui couinait de plaisir, tout en massant ses énormes testicules. L’autre créature vint se mettre derrière elle. Elle le sentit, et contre sa volonté, elle offrit au deuxième monstre sa croupe rebondie. Il frotta son gland contre le sexe d’Emma, puis l’enfonça d’un seul coup dans son vagin déjà fort mouillé. Il la pénétrait comme une bête, et cette grosse queue ondulée procurait beaucoup de sensations dans le vagin d’Emma tandis qu’elle suçait l’autre monstre avec gourmandise, se régalant de cette autre grosse queue ondulée… Le sexe du monstre commença à battre dans sa bouche… Emma voulait se dégager, mais sa bouche resta bien en place, pompant le monstre de plus belle… qui éjacula un sperme épais et âcre qu’Emma avala goulûment, léchant même encore la queue du monstre pour ne pas en perdre une goutte ! L’autre monstre, trouvant sans doute ce spectacle très excitant, donna un dernier coups de reins et explosa, remplissant le vagin d’Emma de son foutre épais… 

Mais les monstres, qui ne s’étaient apparemment pas soulagés depuis longtemps, n’avaient pas eu leur compte. Emma lécha encore les deux queues, qui redevinrent vite raide. Le premier se coucha à terre, la queue bien raide. Emma en avait assez, mais pas son corps ! Il avança vers le monstre, et Emma s’empala sur sa queue dressée… cela faisait encore plus de sensation ! Elle sentait la queue ondulée glisser dans son vagin, lui arrachant à chaque fois des soubresauts de plaisir… Alors qu’elle s’empalait sur le monstre, le deuxième vint derrière elle. Il s’agenouilla, et l’empêcha de coulisser sur le premier monstre. « Mais que fait-il ?… oh non pas ça ! »… tandis que son vagin était remplis par la queue du premier monstre, le deuxième colla son gland contre l’anus d’Emma. Elle ne voulait pas de ça, la queue ondulée du monstre était trop grosse pour son anus étroit ! Mais son corps se positionna pour recevoir les deux queues en même temps. Le monstre pressa sa queue plus fort contre l’anus d’Emma, qui, sous la pression s’ouvrit et absorba le gland du monstre… Emma cria en sentant ce gland en elle… puis, poussant encore, petit à petit, le monstre enfonça la moitié de sa queue dans l’anus d’Emma tandis que l’autre recommença à ramoner son vagin… Emma sentit dans son anus le passage de chaque ondulation de la queue du monstre. Au début cela faisait mal. Le second monstre commença alors un va et vient plus lent dans son anus… Emma, remplie par ces deux énormes queues, sentit la douleur se muer en un insondable plaisir. Elle jouissait et hurlait comme une folle, prise par les deux monstres, se donnant à eux, ses deux orifices intimes remplis par ces queues énormes, les grosses testicules du deuxième monstre qui venait frapper contre ses fesses… Ils étaient bestiaux, mais quelles queues ! Le corps d’Emma n’était plus que plaisir. Elle jouissait encore lorsque les deux monstres jouirent en même temps… le sperme abondant et épais des monstres remplit le vagin et l’anus d’Emma, débordant de ses deux orifices, coulant le long de ses jambes… et encore gourmande de plaisir, Emma se dégagea, puis alla nettoyer avec sa langue les queues des deux monstres, pour ne pas perdre une goutte de sperme. Ces deux derniers grognèrent de satisfaction…

- Ce que c’est bon… et en plus, avec ça, l’armée est en cours de production…

Et les deux monstres rirent de bon cœur, laissant Emma fort perplexe…
Par lina
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Samedi 11 octobre 6 11 /10 /Oct 20:44
Europe Centrale – Juin 2006

Le professeur Müller eut un sursaut de joie : enfin il l’avait trouvé ! Devant lui s’ouvrait l’ouverture béante d’une grotte. Cette grotte, il la cherchait depuis des années. Professeur d’archéologie à l’université de Berlin, il avait trouvé un vieux texte runique scandinave racontant la vie légendaire du Seigneur Odin, puissant chaman celte. Beaucoup de faits héroïques marquèrent la vie de cet ambitieux chaman devenu chef d’un puissant clan, et si la fin de sa vie manquait sur le vieux texte, l’endroit où devait se trouver sa tombe y était bien indiqué. Il l’avait cherché pendant des années. Il avait été la risée de ses collègues, mais maintenant il allait leur prouver qu’il avait raison, et trouver le lien entre l’histoire primitive de l’Europe et les légendes mythologiques, qui pour lui, étaient des histoires réelles. Il n’y avait plus qu’à entrer dans cette grotte.

- Moi je trouve cet endroit sinistre… dit une voix féminine derrière lui.

Emma, son assistante, était une belle femme. Blonde, grande, de jolie longue jambe, des seins de belles dimensions et de belles fesses bien galbées, elle assistait le professeur dans ses recherches depuis près de deux ans. Elle était sérieuse, travailleuse et ordonnée. Le professeur avait bien essayé d’un peu profiter de son physique attrayant, lui-même étant encore beau garçon, sportif malgré sa quarantaine bien accomplie, les cheveux noirs grisonnants aux tempes, bien bâti, mais hélas en vain. Emma était très… coincée. Pour ne pas dire quasiment frigide. Enfin, là n’était pas la question. Le professeur était gagné par une autre excitation : une découverte archéologique majeure ! Il regarda autour de lui, ils étaient en plein cœur d’une forêt de conifères, il est vrai d’aspect assez sinistre. Devant lui un éboulement rocheux, et une fissure, à moitié cachée par des racines, marquait l’entrée de la grotte.

- Emma, je vous prie, passez-moi la lampe torche, oui, et le fac-similé du manuscrit.

Suivi de son assistante, le professeur entra dans la grotte. Après un passage étroit, assez difficile, ils arrivèrent dans une caverne. Une caverne, tout ce qu’il y avait de plus normale, avec stalactites et stalagmites, apparemment sans issue.

- Désolée professeur, je crains que ce ne soit pas pour cette fois !
- Mais c’est impossible, fit rageusement le professeur, cela doit être ici, tout correspond !

Il fit jouer le rayon de la lampe torche sur les parois de la caverne, tout en suivant ces parois, suivi de son assistante.

- Professeur, ça sent bizarre par ici, fit cette dernière.

Le professeur pointa le rayon de la lampe torche vers l’endroit que désignait son assistante, et après plusieurs passage de lumière, il s’aperçut qu’il y avait un couloir qui descendait lentement, couloir bien caché par un angle que formait la roche. Le professeur jubilait ! « Ah le sixième sens féminin ! » pensa-t-il. Et ils suivirent le couloir. Ils marchèrent pendant une demi-heure lorsque le couloir finit sur un cul-de-sac. Mais sur le mur de ce cul-de-sac étaient gravées des inscriptions runiques…

- Enfin nous touchons au but ! fit le professeur.
- Mais que disent les inscriptions professeur ?
- Alors, je traduis… le début est illisible, ah… ici : « entrée… tombe… Odin… malheurs aux profanateurs… ne jamais y pénétrer… sinon… » et le reste est tout à fait illisible.
- Vous croyez que c’est prudent d’entrer professeur ?
- Oui, ne vous en faites pas Emma, ce sont les inscriptions habituelles sur les tombes, pour éviter que des pilleurs ne viennent emporter ce qui était enterré avec le défunt… alors… voyons, comment entrer dans la tombe… mmhmm dommage que le reste des inscriptions soient illisibles…

Afin de pouvoir essayer de déchiffrer le reste de l’inscription, le professeur se pencha, et mit sa main sur la rune qui formait le mot Odin. Avec la mauvaise luminosité, il n’avait pas vu que celle-ci était en relief… et lorsque sa main se posa dessus, celle-ci s’enfonça dans la roche. 

- Mais qu’est ce que…

Le professeur ne put en dire plus. Une trappe s’ouvrit sous leurs pieds. Ils tombèrent dans le trou en criant, arrivant sur une pente terreuse, et roulèrent le long de cette pente. Il y avait des ronces tous le long. Ils roulèrent presque dix minutes avant de s’arrêter. Puis le silence et le noir. Ils mirent quelques minutes pour reprendre leurs esprits.

- Emma, tout va bien ?
- Ouf, ça va professeur. Je suis écorchée d’un peu partout… et… Oh, on dirait une lueur, là, dans le fonds…
- En effet…

Ils marchèrent à tâtons vers la lueur. A mesure qu’ils y approchèrent, il fit de plus en plus clair, et le professeur put voir que leurs vêtements étaient en lambeaux. Il pouvait admirer le corps et la peau d’Emma. Il vit qu’elle ne portait pas de sous-vêtement. « Oh la coquine ! » pensa-t-il. 

Mais son regard fut attiré par autre chose : arrivés aux lueurs, ils entrèrent dans une caverne ronde. Absolument et parfaitement ronde. Donc taillée de la main de l’homme. Des torches, allumées, éclairaient cette pièce, dont on ne voyait pas le plafond. Au milieu, un gros sarcophage de pierre. Et rien d’autre. Le professeur était tout excité par SA DÉCOUVERTE ! Il courut vers le sarcophage…

- Mon Dieu, mon Dieu ! Enfin ! J’avais raison, à moi la gloire, la fortune, un article dans le Times !

Mais Emma ne partageait pas cette joie.

- Professeur, ne trouvez-vous pas cela bizarre, ce mécanisme qui fonctionne si bien, alors qu’il est là depuis des millénaires ? Et ces torches toujours allumées ? Ce n’est pas normal… Je sens qu’il y a ici quelque chose d’étrange…

Emma vit alors dans le fonds de la grotte une sorte de porte immense, avec des linteaux de pierres, et barrée par une immense barre de pierre. Et toujours cette odeur fétide… qui semblait venir de cette porte. Elle voulu attirer l’attention du professeur, lorsqu’elle vit qu’il était occupé à pousser le couvercle du sarcophage de pierre pour l’ouvrir… 

- Professeur ! Attendez !
- Non, venez m’aider !

Le ton était si impérieux, qu’elle obéit. Ils poussèrent à deux sur le couvercle du sarcophage, mais rien n’y fit, il était trop lourd et ne bougeait pas. Après bien des efforts, en sueur, ils s’arrêtèrent. 
- Professeur, vous avez remarqué comme la pierre est tiède ? On dirait qu’elle chauffe… Et je ne sais pas… depuis quelques minutes, je me sens bizarre… comme euphorique…

Le professeur n’écoutait pas son assistante. Il avait le regard braqué vers son débardeur, où ses mamelons pointaient comme il ne les avait jamais vus. Il se sentait bien aussi. Il sentait dans son pantalon son sexe entrer en érection. Emma s’adossa au sarcophage, et le professeur avança sa main vers ses seins. Elle ne protesta pas, au contraire, semblait l’appeler. Il ne l’avait jamais vue comme cela. Il caressa ses seins, se colla à elle et l’embrassa à pleine bouche. Son débardeur étant en lambeau, il le déchira pour libérer les seins d’Emma. Il les attrapa à pleine main, les caressa, tritura les tétons entre deux doigts. Emma soupira de plaisir. Il commença alors à lui lécher les tétons, puis à les sucer. N’y tenant plus, le professeur commença à se déshabiller, et Emma fit de même. Elle vit la superbe érection du professeur, son membre tendu vers elle. 

- Mmhmm comme il est beau…

Elle s’agenouilla au pied du professeur, et pris son pénis à pleine main.

- … et appétissant…

Elle approche le sexe de sa bouche, et commença doucement à le lécher… de petits coups de langue sur le bout du gland… puis de grands coups de langues qui entourent le gland… Puis elle le lécha sur toute sa longueur, puis de nouveau le gland. Le professeur soupirait de plaisir. 

- Tu en veux plus ?

Elle approcha à nouveau le gland vers ces lèvres, puis le fit rentrer petit à petit dans sa bouche… jusqu’à enfourner tout le sexe du professeur. Celui-ci gémit de plaisir, et commença des vas et viens dans la bouche d’Emma…

- Oh oui, c’est bon, depuis le temps que j’attends ça… mmhmm… oh oui, ta bouche si chaude… et ta langue… ah oui… mmhmm… oh non, pas encore….

Sentant son sexe battre, proche de l’éjaculation, il le retira de la bouche d’Emma, qui se remit debout. Il souleva celle-ci et l’assit sur le sarcophage, puis d’un geste autoritaire, lui écarta les jambes. Le sexe de son assistante était tout offert à la bouche gourmande du professeur. Il donna des coups de langue sur son clitoris, le lécha, l’entoura de sa langue, le titilla, le suça… Emma gémit de plaisir… il lécha alors le sexe humide de son assistante, tout autour, puis le long de la fente… Emma pressa alors la tête du professeur contre son intimité, et celui-ci n’eut aucun mal à la pénétrer de sa langue. Une langue gourmande qui fouillait profondément le sexe de la fille, avalant goulûment ses secrétions intimes… Emma râlait de plaisir… personne ne lui avait jamais fait ça avant… elle jouit, inondant la bouche du professeur de son jus de plaisir… Puis, elle se coucha tout à fait sur le sarcophage, et le professeur l’y rejoint. Il la pénétra sans aucun problème et commença à lui faire furieusement l’amour… à chaque coups de butoir les sexes faisaient un petit splitch, la mouille d’Emma commença à couler sur le sarcophage… elle criait son plaisir, et le professeur la rejoint, lâchant une bordée de sperme dans un râle de plaisir, puis se retira pour se déverser sur le ventre et les seins d’Emma… le sperme coulait aussi le longe de la fente du derrière d’Emma, se mélangea à sa mouille… leurs jus mêlés coula la long du sarcophage… puis à l’intérieur du sarcophage… à ce moment un grondement se fit entendre, et toute la caverne trembla… Emma et le professeur tombèrent du sarcophage…

- Mais que se passe-t-il donc ?

Emma et le professeur semblaient retrouver leurs sens. Emma vit le professeur nu, et se vit nue et pleine de mouille et de sperme.

- Mais qu’avons-nous donc fait ?

A ce moment, une lumière blanche monta du sarcophage. Le couvercle de pierre explosa en mille petits morceaux qui s’éparpillèrent dans la caverne. Le professeur protégea Emma de son corps, et fut blessé par quelques petits éclats de pierres.

- Professeur, tout va bien ?
- Oui, oui, quelques éraflures… mais enfin que se passe-t-il ? Tout cela n’est pas naturel !

La lueur blanche qui sortait du sarcophage devint de plus en plus crue… une voix gutturale sortit alors du sarcophage… 

« De la débauche… du stupre… de la semence de vie… oui… enfin… LIBRE !!! »

La lumière devint aveuglante, puis décrut pour enfin disparaître. Le professeur regarda et vit qu’il y avait quelqu’un près du sarcophage. Il ne voyait que le buste de cet homme étrange…
En effet, sa peau était de couleur vert-gris, des cheveux très noir et long, une barbe noire, en pointe, encadrait un visage buriné, avec des yeux étranges : pupille jaune, iris blanc et vert, qui scrutaient profondément le professeur et Emma…

Apeurée par cet étrange individu, Emma se cacha derrière le professeur.
- Mais… qui… qui êtes vous ?

L’homme regarda fixement le professeur, comme s’il lisait en lui, puis parla… mais si sa voix, gutturale et grave, se faisait entendre (dans la langue du professeur), ses lèvres ne bougeaient pas !

- Celui que tu es venu chercher !
- O… Odin ???
- Lui même !
- Le chaman celte ! Le Seigneur de guerre ? Odin ! Mais vous devriez… être… mort depuis longtemps !
- Ah ah ah ! Mais JE SUIS MORT DEPUIS LONGTEMPS ! Pour satisfaire mon ambition, mon pouvoir de chaman m’a permis de faire un pacte avec les créatures de l’ombre… et je suis devenu l’un d’eux… J’ai hélas été vaincu et emprisonné par une créature de la lumière… mais vous m’avez libéré grâce à votre semence de vie… maintenant, mon heure est venue pour terminer ma quête…

Et Odin sauta par dessus le sarcophage. Le professeur pu le voir entièrement. Il avait bien deux jambes, vert-gris également, mais pas de sexe. Il avait des pieds griffus à trois doigts… par contre quatre doigts à chaque main… et, s’approchant du professeur et d’Emma, il continua à parler

- … et pour terminer ma quête, j’aurai besoin de l’un de vous deux…

Aussitôt ses doigts commencèrent à grandir, à se diviser en deux, puis en quatre… devenant de vrais tentacules. Le professeur et Emma firent mine de s’enfuir, mais les tentacules étaient plus rapide qu’eux… une tentacule s’enroula autour du pied d’Emma et la fit tomber. Elle voulut se débattre, mais une autre lui attrapa l’autre jambe, tandis qu’une troisième lia ses poignets… Et Emma se retrouva soulevée à 3 mètres du sol, suspendue par les bras et les jambes écartées par les tentacules… Le professeur voulut l’aider, mais les tentacules s’enroulèrent autour de ses bras et de ses jambes, l’empêchant de bouger… il se retrouva les bras et les jambes écartées… Odin s’avança vers eux…

- Lequel vais-je choisir… il regarda vers Emma… Toi ?

Emma ne pouvait plus bouger… elle vit venir trois tentacules vers elle… le bout de ses tentacules se transformèrent… en pénis de belle forme ! elle sentit le premier longer sa jambe… elle essaya de se débattre, mais en vain… la tentacule grimpa le long de sa cuisse gauche… elle la sentit caresser son sexe, puis en un coup, le gland énorme s’y introduisit !

- Nooooooon ! Aaaaaaah !

La tentacule commença à lui faire furieusement l’amour… Emma criait… puis elle sentit la seconde tentacule le long de sa jambe… puis tourner vers ses fesses… doucement caresser la fente de son derrière galbé, et buter contre son petit anus resserré…

- Oh non pas ça… pas ça…

Mais le gland de la tentacule titilla son anus, mouillé des orgasmes qu’elle avait déjà eu, et de sa mouille qui continuait de couler de son vagin ramoné par la première tentacule, et, avec ce lubrifiant naturel, le gland s’introduisit dans l’anus d’Emma et commença à la sodomiser…

- Noooooooooon ! Aïïïeeeeeeeee !

Ses cris de douleurs devinrent bien vite des cris de plaisirs… Elle ne voulait pas se donner à se monstre… c’était dégoûtant, contre-nature… mais quel plaisir elle ressentait ! Elle s’en sentait honteuse, mais elle adorait cette double pénétration. Son sexe et son anus en demandaient encore, encore, et elle n’arrêtait pas de jouir ! Alors qu’elle criait sa jouissance, la troisième tentacule s’engouffra dans sa bouche… Le gland était certes vert-gris, gros et gluant, mais aussi chaud et doux… Emma commença à sucer la tentacule, et elle y prenait du plaisir… tout ses trous étaient remplis et ramonés, elle mouillait les tentacules de sa mouille et de sa bave, et jouissait comme elle n’avait jamais joui… Lorsque la première tentacule lâcha son jet de foutre dans son vagin, Emma ressentit ce jet chaud, beaucoup plus chaud que le sperme humain, et tout son corps fut parcouru d’une onde de plaisirs… elle sentit ensuite le foutre chaud inonder l’intérieur de son anus, et couler le long de ses fesses galbées et de ses jambes… oh, elle le voulait aussi dans sa bouche, elle resserra ses lèvres autour de la tentacule et sa langue la titilla à l’intérieur de sa bouche… le troisième jet de foutre inonda sa bouche… c’était aussi chaud et même sucré… elle avala tout, et sentit une onde bienfaisante sur elle… une torpeur la prit et elle s’endormit lentement, ravagée de plaisirs…

Le professeur avait assisté à tout cela… malgré l’horreur de la situation, son sexe s’était à nouveau tendu…

- Emma ! Emma ! Sale monstre que lui avez-vous fait ?
- Rassure-toi, que du plaisir… Sauf que pour les humains, elle est perdue à jamais… et mon esclave pour toujours… et toi me seras-tu utile ?

Le professeur vit alors les tentacules se diriger vers lui. Il essaya de se débattre, mais rien à faire ! Il fut lui aussi soulevé de terre, toujours maintenu en X par les tentacules… il sentit aussi la première tentacule remonter le long de son mollet, de sa cuisse… puis le long de la fente de ses fesses…

- Non, NON !

La tentacule lui titilla l’anus, puis s’y enfonça, d’abord doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus profondément… N’ayant pas de lubrifiant naturel, le professeur gémit de souffrance au début, en sentant ce corps étranger dans son anus, un léger filet de sang s’écoulait d’ailleurs le long de sa jambe. Mais au fur et à mesure que le professeur sentait cet objet étranger dans son corps et que son anus se dilatait, il trouva cet objet gluant et doux… il était sodomisé par une tentacule, mais cette sensation douloureuse et humiliante devenait plaisir… 

- Noooon, Aïe… aïe ?… mmhmmm… oh ouuuiiiii….

Une seconde tentacule s’enroula autour de son coup, et se présenta devant sa bouche, butant contre ses lèvres. Le professeur serra les lèvres, mais le monstre intensifia ses vas-et-viens dans le cul du professeur, qui lâcha un petit cri, et la tentacule en profita pour entrer pleinement dans sa bouche… il la sentait aller et venir, racler son palais… il ne le voulait pas, mais sa volonté fut dissoute… sa bouche épousa les formes de la tentacules et le professeur la suça… il sentit le foutre chaud et sucré de la tentacule se déverser par saccade dans sa gorge… il éjacula aussi, et sentit ensuite le foutre chaud dans son cul… c’était si bon… il se sentait si bien… doucement ses yeux se fermaient, et il s’endormit…
Par lina
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Samedi 11 octobre 6 11 /10 /Oct 20:33

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Par lina
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Vendredi 10 octobre 5 10 /10 /Oct 18:35

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Par lina
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Vendredi 10 octobre 5 10 /10 /Oct 18:32

Jones marchait d’un pas rapide dans le vaisseau, avec un sentiment de malaise grandissant. Non seulement elle n’arrêtait pas de faire des cauchemars érotiques, mais en plus son intuition pessimiste s’aggravait. Et voilà que le Docteur Wenz l’appelait car des choses n’allaient pas : le résultat des analyses ne collaient pas, et son assistant qu’il avait envoyé dans la soute avait disparu depuis presque deux jours. De plus, Lhatta, Belinda et Jenny s’étaient éveillée et avaient un comportement bizarre.

Enfin Jones arriva à l’infirmerie. La porte était verrouillée. Elle passa son badge dans une encoche, à gauche de la porte, et celle-ci s’ouvrit. Jones entra dans l’infirmerie, et allait dire quelque chose au Dr Wenz, mais ce qu’elle vit la laissa sur place, bouche ouverte…

Devant elle, sur la table d’examen, Lhatta était couchée, nue, et devant elle il y avait le Dr Wenz, le visage pourpre, nu lui aussi. De son sexe raide, de petite taille mais assez gros, il s’enfonçait dans la vulve offerte de Lhatta, qui gémissait de plaisir, se caressant les seins. A ses pieds, Belinda et Jenny, qui tout en se masturbant avec de gros objets médicaux, léchaient l’anus et les couilles du Dr Wenz. Celui-ci accélérait son va et vient, ahanant des « Petites salopes ! Ah mes petites salopes, vous allez voir ce que vous allez voir ! ». Se sentant proche de l’éjaculation, il se retira du sexe trempé de Lhatta, et tout en se masturbant guida son sexe vers le visage de la jeune femme. Il lui éjacula sa semence blanche, par saccade, sur la joue, le menton, la bouche. Lhatta lècha ce sperme qui coulait sur ses lèvres et son menton. Puis le docteur Wenz, le sexe de plus en plus mou, alla vers un petit pot de médicament décapuchonné sur une table, et avala une gélule bleue. Après quelque minute, son sexe redevint raide et bandé ! Il revint près des filles, et vit que Jenny léchait le sperme sur le visage de Lhatta, tout en la branlant avec sa main. Il se dirigea donc vers Belinda, lui prit la bouteille de désinfectant avec laquelle elle se masturbait et la retourna avec rudesse. « A ton tour maintenant ! » Ce à quoi elle répondit « Oh oui, punissez-moi docteur, punissez-moi très très fort » tout en balançant sa croupe humide devant le docteur. Il enfonça la petite bouteille trempée dans l’anus de Belinda. Elle gloussa de plaisir. Puis il la prit en levrette, sans ménagement. Il s’enfonçait de plus en plus vite et de plus en plus fort en elle, donnant des claques retentissantes sur ses fesses arrondies.

« Mais enfin, qu’est-ce qui vous arrive ? Arrêtez ! Je vous ordonne d’arrêter ! » Cria le Lieutenant Jones. Mais rien n’y fit. Elle s’approcha pour secouer vigoureusement le Dr. Wenz, mais celui-ci la repoussa fermement, ahanant « Patience ! Ton tour viendra après ! ». Jenny se colla contre le Lieutenant Jones, son sexe humide caressant la tunique de l’officier, au niveau des fesses, sa main la caressant au niveau des seins. « Laissez-vous aller Lieutenant, venez voir et goûtez comme c’est bon… » Dit-elle, lui léchant l’oreille. Mais Jones se dégagea, hurlant « Non ! ». Et elle quitta précipitamment l’infirmerie. « Oh non, ça recommence ! Je suis sûre qu’une de ces saloperies est ici. Le meilleur moyen de savoir comment c’est arrivé, c’est de retrouver l’assistant du Dr. Wenz. Il faut que je descende aux soutes pour essayer de le retrouver ».

Jones fouilla méthodiquement tout le niveau inférieur, sans retrouver trace de l’assistant du Dr. Wenz. « Bon, pensa-t-elle, il ne me reste plus que la soute aux déchets, et là si je ne le retrouve pas, j’appelle l’amirauté et je mets le vaisseau en état d’alerte ».

Elle pénétra dans le local de maintenance, où se trouvaient deux ouvriers qui discutaient tout en jouant aux cartes. Reconnaissant l’uniforme d’un officier supérieur, ils se mirent tout deux au garde à vous.

- Repos, messieurs ! fit Jones d’un ton autoritaire. J’inspecte ce niveau à la recherche d’un membre d’équipage porté disparu… Rien vu d’anormal par ici ?
- Rien Lieutenant. Sauf que le mécanisme de la soute à déchets ne fonctionne plus.
- Quoi ? Depuis quand ?
- Presque deux jours… 
- Presque deux jours ! Mais… ça colle avec la disparition de l’assistant du docteur. Et vous n’avez rien fait pour essayer de réparer ?

Les deux ouvriers se regardèrent, un peu gênés.

- On ne comprend pas Lieutenant. Tous les sas donnant accès à la soute aux déchets sont verrouillés de l’intérieur. Il n’y a qu’une ouverture possible… mais… on est trop gros ! On sait pas passer par là !

Tout en parlant, il montra une petite trappe, sur la droite de la porte menant au sas de la soute de déchets. Elle n’était effectivement pas très large. Même Jones aurait du mal à y passer. Pourtant, si elle voulait savoir ce qui se passait, elle devait aller dans cette soute, elle le sentait. Elle s’approcha et examina la trappe. A la hauteur du sol, large d’un demi-mètre, pas beaucoup plus haute, Jones ne savait pas y passer tête la première. La trappe donnait sur un conduit, pas très long. Elle s’assit donc par terre, prit appuis sur ses mains et engagea ses jambes dans le conduit. Elle avança lentement. Alors que ses jambes y étaient totalement engagées, elle entendit un ‘clac’ distinct, et elle ne sut plus bouger ses jambes. D’instinct, paniquée, elle s’arqua et entra ses mains dans le conduit, pour sentir ce qui bloquait ses jambes. Ses mains sentirent une barre métallique. Alors que ses mains palpaient la barre un autre déclic se fit entendre, et quelque chose emprisonna les bras de Jones. Elle ne savait plus bouger ! Elle était assise par terre, le visage contre la paroi en fer du vaisseau, ses pieds et ses mains bloqués…

- Au secours, cria-t-elle vers les deux ouvriers, je suis coincée, venez m’aider !
- Mais bien sûr Mamzelle !

Était-ce le ton utilisé par l’ouvrier ? Directement, Jones comprit que quelque chose ne tournait pas rond. C’était un piège ! Dans les vaisseaux de la Fédération, aucune salle, aucune pièce, aucun sas ne fermait complètement de l’intérieur, par mesure de sécurité. Les ouvriers lui avaient menti, pour qu’elle fonce dans ce conduit, dans ce piège. Et, sans réfléchir, agissant d’instinct, elle y avait plongé, les deux pieds devants !

Elle sentit la présence de l’ouvrier dans son dos. Il agrippa fermement ses épaules. L’autre ouvrier alla ouvrir le sas, entra dans la soute à déchets, et débloqua quelque chose près des pieds de Jones. L’ouvrier qui la tenait par les épaules la tira alors fermement en arrière. Jones se retrouvait assis au milieu de la pièce, les pieds et les mains coincés dans une sorte de pilori métallique. Les ouvriers la regardaient, un sourire mauvais aux lèvres.

- Mais vous êtes devenus fous ? C’est de la mutinerie ! Relâchez-moi, ou vous le payerez très cher !
- Pas question Lieutenant. Nous devons le faire, nous devons la protéger. C’est plus important que nos propres existences. Et vous, vous voulez la détruire. Depuis que vous l’avez vue. Vous avez été très vilaine… et vous allez être punie !

Et, un sourire méchant aux lèvres, l’ouvrier approcha de Jones, un couteau à cran d’arrêt en main. Jones devint blême. Il passa derrière elle. Sa fin allait-elle venir ? Mais au lieu de sentir le froid de la lame sur sa gorge, Jones sentit que l’homme découpait… ses vêtements ! Rouge de honte, Jones se retrouva entièrement nue, sauf la partie de son uniforme coincé par le pilori et ses bottes d’officier.

Puis les hommes la soulevèrent, et la portèrent hors de la soute où ils se trouvaient. Ils marchèrent un bon moment, puis déposèrent Jones. Ils ne la déposèrent pas assise, mais sur le dos. Celle-ci sentit le contact froid d’une table métallique contre son dos. De ce qu’elle voyait, elle devait être près du réfectoire du vaisseau. Nue, posée ainsi sur le dos, arqué, avec ses bras et ses jambes qui arrivaient au niveau de son visage, elle devait offrir sa croupe et son sexe aux regards de tous. Et elle ne voyait rien, si ce n’est le plafond. De plus, c’était un passage obligé dans le vaisseau, et très fréquenté. Etre exposée ainsi, nue, offerte, quelle honte !

Soudain Jones se crispa. Elle avait sentit quelque chose de tiède et d’humide contre son sexe. Ce contact l’électrisa. La sensation revint. C’était une langue. Une langue qui lui léchait les lèvres intimes. Qui était-ce ? Un des ouvriers ? Quelqu’un d’autre ? Jones ne le savait pas. Elle ressentait cette langue qui cherchait maintenant son clito, qui fouillait son intimité. Puis qui la pénétra, se délectant de ses sécrétions intimes. Jones rougit du plaisir quelle ressentait. Elle était attachée, offerte, contre son gré… mais son sexe s’ouvrait, comme une fleure, devant cette langue fouilleuse et experte. Puis la langue se retira. Jones sentit alors quelque chose de tout aussi tiède et mouillé, mais de beaucoup plus dur contre ses lèvres intimes. Un sexe bandé ! Le gland la pénétra doucement, puis d’un coup de rein, toute la verge entra dans le sexe de Jones. Était-ce la même personne qui l’avait léchée ? Elle ne le savait pas. Elle ne pouvait rien voir, juste ressentir les sensations. Et ça décuplait son excitation. Elle ressentait ce sexe en elle, qui allait et venait, de plus en plus vite, lui occasionnant des vagues de plaisirs. Elle ne voulait pas, non, elle ne voulait pas aimer ça. Mais ces sensations… ces vagues de plaisir, de plus en plus fortes. Elle était proche de l’explosion, mais la verge se retira d’elle. Puis elle sentit un liquide l’atteindre, par jets, tièdes, gluants, mouiller ses fesses, et couler le long de ses fesses, vers son dos. Puis de nouveau un gland contre son vagin. Et nouvelle pénétration. C’était une autre verge, elle le sentait, moins longue, mais plus grosse. Et cette verge là, elle tapait juste sur son point G. Après quelques rapides va-et-vient du gland sur ce point, Jones ne sut retenir un soupir de plaisir lorsqu’elle explosa. L’homme explosa peut après en elle, la remplissant de son sperme chaud. Puis vint, un troisième, avec une verge beaucoup plus imposante que les précédents. Sa verge était vraiment très épaisse, Jones la sentit passer doucement son passage intime, et remplir tout son sexe. L’homme savait si prendre, jouant de son épaisseur, de la vitesse, de la profondeur… Là, Jones ne sut retenir ses cris de plaisirs lorsqu’elle explosa. Elle eut encore un troisième orgasme avant que l’homme n’éjacule en elle. Il avait vraiment un sperme abondant, Jones le sentit couler de son sexe, et couler le long de son entre-jambe vers son anus. 

Au bruit qui commençait à se faire, Jones sut qu’il devait maintenant y avoir plusieurs hommes. Elle entendit des commentaires grivois, des rires. Puis elle entendit la voix d’une femme qui relevait un défi. Et ce fut sans doute elle qui vint lécher le sperme abondant qui coulait du sexe de Jones. Elle lécha le sexe, sa langue faisant des bruits très indécents pour bien ramasser tout le sperme, puis sa langue descendit le long des fesses de Jones. Cette langue fouilla l’anus, puis joua à y pousser le sperme dégoulinant sur les fesses de Jones. Quelqu’un écarta la femme, et Jones sentit une nouvelle bite en elle. Mais celle-là était plus petite, et Jones était tellement mouillée, et son sexe si ouvert, qu’elle ne lui faisait pas beaucoup de sensation. A l’homme non plus sans doute car il se retira… et vint pénétrer l’anus de Jones. La surprise lui arracha un cri de douleur. De plus l’autre n’avait même pas pris la peine de se lubrifier l’engin ! Mais au fil des minutes l’agacement devient plaisant, et la douleur devint plaisir. Son anus se fit à cette queue, et accepta le vas et vient de l’homme dans le rectum, tandis que la femme recommença à lécher le sexe trempé de Jones. Elle léchait bougrement bien en plus ! Jones jouit en même temps que l’homme éjacula dans son cul. Il se retira, et Jones sentit le sperme couler hors de son anus. 

Elle sentit des jets tièdes sur ses fesses, ses cuisses, d’autres hommes devaient se branler en voyant la scène. Elle entendit aussi une autre femme jouir, elle aussi devait se faire prendre. Peut-être était-ce celle qui l’avait léché ? Puis une autre bite s’engouffra dans le sexe béant de Jones, tandis qu’elle aperçut trois hommes arriver près d’elle, un à sa gauche, un à sa droite, un derrière sa tête. Ils se branlaient en regardant Jones se faire prendre. La cadence de leurs mains sur leurs sexes tendus augmentait au rythme des va-et-vient de la verge dans le sexe de Jones. Puis elle entendit un râle de plaisir, et quelque chose de tiède et de liquide aspergea son front, puis les joues. Le gars derrière elle venait de lui éjaculer dessus, et les deux autres firent de même. Jones avait le sexe ravagé, le visage plein de sperme, et elle ne comptait plus ses orgasmes… Un autre homme arriva, sur elle, au niveau de sa poitrine, et elle sentit une nouvelle bite dans son sexe, alors qu’une autre pénétrait difficilement son anus…

Ces sens s’agitaient, se mélangeaient… elle n’était plus qu’une sensation de plaisir. Hors d’elle-même, elle ouvrit même la bouche pour essayer d’attraper au vol un autre jet de sperme qui passait au niveau de son visage. Voyant cela, un des hommes s’approcha d’elle. « Mais tu sembles aimer ça en plus ! ». Il fit un signe, deux hommes soulevèrent Jones, et ils bougèrent la table sur laquelle était Jones, puis la redéposèrent. Elle avait maintenant la tête dans le vide. L’homme en profita pour mettre son sexe dans la bouche de Jones, tandis qu’un autre recommençait à lui astiquer l’anus. Comme elle ne savait faire quasiment aucun mouvement, l’homme faisait un mouvement de vas et vient, baisant sa bouche, sa grosse queue allant de plus en plus loin dans la bouche de la femme. Jones serrait les lèvres, écartant les dents, pour donner le plus de plaisir à l’homme, et pour bien sentir cette queue passer et repasser ses lèvres, racler son palais. Et l’homme explosa dans sa bouche, Jones avala tout ce sperme chaud. Et en plus, elle le trouva excellent ! Elle entendit quelqu’un crier « Vas-y, ouvre la bouche ! ». Elle ouvrit bien grand sa bouche. Trois hommes qui se masturbaient s’approchèrent. Jones vit ces trois gros glands rouges approcher de ces lèvres, les mains qui faisaient ce mouvement de va-et-vient… puis les trois qui éjaculèrent, visant sa bouche, quasiment en même temps. Jones bu ce qu’elle pu, le reste coula sur ses lèvres, ses joues… Elle sentit encore une bite dans son cul et une autre dans sa chatte… et le plaisir qui montait en force, et les éjaculations, le sperme qui remplissait tous ses orifices. Elle entendit encore quelqu’un crier « Vous avez vu ? Elle est couverte de sperme ! Regardez, elle en a tellement pris qu’il coule hors de sa chatte et de son cul ! » Rien qu’à imaginer ses orifices d’où coulait le sperme, Jones eut un orgasme mouillé… 

Et alors que Jones sombrait doucement dans un coma orgasmique, elle était entourée d’homme, sexe tendu, attendant de pouvoir se satisfaire aussi… pas de doute, tout l’équipage allait lui passer dessus !

Elle était dans un état de semi-conscience lorsqu’elle reconnut la voix de l’ouvrier. Il tata sa chatte et dit « Elle est bien dilatée, elle est prête maintenant ». Elle sentit qu’on la transportait de nouveau. De ce qu’il lui semblait, elle faisait le chemin inverse. On la redescendait vers la soute. Elle reconnut la soute où les ouvriers l’avaient piégée. Mais cette fois une grosse porte était ouverte. On l’amenait dans la soute aux détritus.

Au lieu de l’odeur infecte, et au lieu du tas d’immondices puants, il y avait une sorte de couche d’humus sur le sol, et au milieu, une plante, avec des fleurs pourpres en forme de trompette. Il y avait deux jeunes plantes près d’elle. Les ouvriers assirent Jones face à la plus grosse plante qui semblait être la plante mère. « Je le savais ! pensa Jones, je l’avais senti ! ».
Les ouvriers se reculèrent. Jones entendit une voix, douce, une vois de femme, très sensuelle.
- Vous ne réussirez pas à nous détruire.
- Pourquoi ? Pourquoi faites-vous cela ?
- C’est une question de survie pour nous. D’autant plus que les humains sont fait pour nous, si faible, si esclaves de leurs sensations ! De tous l’univers, vous êtes les créatures les mieux appropriées pour notre survie. Mais nous avons compris une leçon de nos erreurs passées. Nous avons évolué pour ne pas sucer la force vitale des humains jusqu’à les faires disparaître, ce qui est arrivé avec les créatures de notre planète d’origine. Nous pouvons vivre en symbiose. Grâce à notre télépathie et votre faiblesse, nous vous contrôlons (comme je contrôle certains membres de votre équipage), et vous nous nourrissez et nous vous fournissons du plaisir…
- Vous voulez faire de nous des esclaves ! Jamais, jamais ! Plutôt mourir ! Se battre ou mourir !
- Tssss, tsss créature agitée ! C’est pour cela que nous t’avons choisie. Pour ta force, ta combativité, et pour t’apprendre à te mesurer à nous !
- Me choisir ? Mais… pourquoi ?
- C’est toi qui va nous implanter sur ta planète !
- Jamais !

Jones répéta son « jamais », mais la voix ne lui parla plus. Au lieu de cela, une nouvelle tige sortit de son bulbe. Elle avait aussi au bout de sa tige des pétales pourpres, mais beaucoup plus petit que les autres. Par contre son pistil était énorme. Jaune, en forme de pénis, comme les autres, il était néanmoins plus gros, le plus gros que Jones ait vu, et était granuleux. Les ouvriers s’approchèrent à nouveau, retournant Jones, croupe face à la plante, visage contre terre. La tige s’avança, le pistil en forme de pénis arriva contre le dos de Jones, et descendit lentement. Jones le sentit, doux, plus doux qu’un pénis humain, et humide. Il s’arrêta près de son anus, puis descendit encore et vint frotter la vulve de la jeune femme. Elle cria « Noooooon ! », mais rien n’y fit. Le pénis força doucement l’entrée et pénétra dans son vagin. Elle sentit ce gland énorme. Heureusement sa mouille abondante et le flot de sperme, ainsi que sa chatte dilatée par les nombreuses bites qui l’avaient visitée, aidaient cet énorme pénis à entrer en elle. Une larme coula de ses yeux lorsque le pénis buta sur le fond de son sexe. Il était si gros ! Puis, il commence ses vas et vient en elle. Un autre pénis, de taille plus normale, glissant sur le sol, arriva près de sa bouche. Jones entendit à nouveau la voix. « Suce-le ! Le nectar te rendra l’insémination moins douloureuse… tu n’en ressentiras que le plaisir ! » Au début Jones n’en voulut pas ! Mais ce sexe était énorme ! Si gros ! Elle était fatiguée, et son corps se rappelait les nombreux orgasmes qu’elle venait d’avoir. Après tout, pourquoi se faire du mal alors qu’elle pouvait encore avoir du plaisir ? La lutte viendrait plus tard ! 

Elle ouvrit la bouche, accepta le pénis jaune qui s’y glissa. Il était si doux, et tiède ! Elle sentit le nectar qui en suintait. Sa langue fit le tour du gland, ramassant ce nectar, puis elle suça avidement le pénis jaune, qui allait et venait dans sa bouche. Il explosa bien vite, et elle sentit ce liquide sucré, chaud, qui coulait dans sa gorge. Et elle se sentit mieux, euphorique. L’énorme pénis dans son sexe ne la dérangeait plus, elle s’y était fait. Elle en ressentait tout le plaisir. Elle sentait les granules de cette queue qui frottaient tous son vagin de l’intérieur, et son point G aussi, elle sentait les secousses de son ventre, chaque fois que le gros gland buttait dans le fonds de son sexe. C’était si bon ! Jones continuait à sucer le pénis jaune, tout en se faisant ramoner par une bite énorme ! Et la plante attendit qu’elle eut un violent orgasme pour éjaculer en elle. Jones sentit ce liquide très chaud et très abondant envahir son sexe. L’autre pénis éjacula une seconde fois dans sa bouche. Il lui sembla être rempli de cette semence orangée, qui coulait du haut, du bas… elle était si bien, qu’elle ferma doucement les yeux et sombra dans l’inconscience…

Suivant les ordres de la plante, les deux ouvriers libérèrent et soulevèrent délicatement le lieutenant Jones. Ils la portèrent dans les soutes jusqu’à la partie du vaisseau où se trouvait les capsules d’évacuation. Ils déposèrent le lieutenant dans une de ces capsules, encodèrent une direction, fermèrent la porte de la capsule, puis appuyant sur un autre panneau de commande, ils lâchèrent la capsule dans l’espace, qui lorsqu’elle fut assez loin du vaisseau, prit lentement la direction encodée par les ouvriers.

Les deux ouvriers retournèrent vers la plante, qui était mourante. La couche d’humus était trop superficielle pour lui permettre de vivre longtemps, c’est pour ça qu’elle avait donné ses dernières forces pour transmettre la vie de son espèce à la femelle humaine. Ben arriva, lui aussi sous le pouvoir de la plante. Les hommes entendirent cette voix douce et suave. « Merci pour votre aide mes amis. Maintenant il faut effacer toute trace de ce qui est arrivé. Ben, vous qui étiez second sur ce navire vous avez les codes. Faites votre devoir ! »

Ben fit le salut militaire, puis disparut. Il monta jusqu’à la passerelle de commande. Là, il demanda à l’équipage présent de quitter les lieux quelques instants, le temps qu’il prépare un exercice d’un nouveau type. Peu habitué à discuter les ordres, les gens présents obéirent et quittèrent la passerelle de commande. Resté seul, Ben s’approcha du panneau de commande central. Il tapota un code sur ce panneau, et sur sa droite une petite trappe s’ouvrit, et un bouton rouge apparut. Il entra un deuxième code, et un déclic se fit entendre, le système de sécurité du bouton rouge venait d’être enlevé. D’un doigt qui ne tremblait pas, Ben appuya sur le bouton rouge, qui mit en marche la procédure d’autodestruction du vaisseau. Partout les lumières devinrent rouges, et une sirène se fit entendre.

Ceux qui étaient sous le contrôle de la plante continuaient leur orgie, sans se rendre compte de ce qui se passait. Les autres membres de l’équipage paniquaient, ne sachant que faire. Un jeune officier se rua sur la passerelle de commande, mais Ben le mis au sol d’un uppercut magistral. Et le jeune officier n’eut pas le temps de se relever. Il y avait juste cinq minutes que Ben avait enfoncé le bouton… Dans une gerbe d’étincelles et de feu, le FPU-Atlas explosa, ne laissant derrière lui que quelques particules fumantes flottant dans l’espace.

Seule la petite capsule d’évacuation contenant le lieutenant Jones continuait sa route incertaine…


Epilogue.


Après avoir contemplé silencieusement les jardins artificiels d’Orbital1, l’Amiral tapota distraitement la cloison de plexiglas qui illuminait son bureau, et se retourna vers les deux hommes assit de l’autre côté dudit bureau. L’un était capitaine et l’autre docteur.

- Ainsi donc quand vous êtes arrivé près de XC23, plus de vaisseau ?
- Oui, Amiral. Alors qu’il était distinctement sur nos radars, le FPU-Atlas a disparu en une seconde. Lorsque nous sommes arrivés sur place, les débris ne laissaient pas place au doute : le vaisseau a explosé. Nous avons juste trouvé la capsule avec l’officier Jones, inanimée, qui venait vers nous.
- A-t-elle repris conscience ?
- Non, fit le médecin. Nous l’avons évacué vers la terre pour la soigner.
- N’est-ce pas dangereux ?
- Je ne pense pas, fit le médecin, nos scanners n’ont trouvé aucune trace de parasitage ou d’infection. Nous en serons un peu plus dans quelques semaines, lorsque le lieutenant Jones aura été examinée sur terre.

L’Amiral fit un signe de tête, congédiant ainsi les deux hommes qui étaient venus faire leur rapport de la disparition du FPU-Atlas. Puis il se retourna de nouveau vers la baie en plexiglas, contemplant les jardins artificiels fleuris d’Orbital1. Il avait un mauvais pressentiment depuis qu’il savait la disparition du FPU-Atlas…


THE END !

Par lina
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