Sylla se retournait dans son lit, n’arrivant pas à dormir. Le mois de juin était déjà chaud, mais la nuit apportait un peu de fraîcheur. Non, ce qui l’empêchait de dormir, c’était son mental qui tournait sans arrêt. Elle était très troublée. Bien sûr Angelo était un crétin, et le fait qu’il ait rompu avec elle aujourd’hui ne l’attristait pas plus que ça… ce qui la tourmentait, c’est les dernières paroles qu’il avait prononcées… « De toute façon, tu n’es pas comme les autres, tu es bizarre, tout le monde le sait ! »
« Tu n’es pas comme les autres ! » Depuis toujours Sylla ne se sentait pas comme les autres. Déjà son drôle de prénom. C’était plutôt un nom de garçon, or elle était une fille… et jolie avec ça ! La peau couleur miel, des cheveux bruns, longs et ondulés, un corps de rêve, avec de jolies formes… Mais depuis l’orphelinat – elle n’avait jamais connu ses parents – elle préférait la solitude. Devenue adulte, elle n’arrivait pas à se fixer. Elle avait eu des aventures de ci, de là, avec des hommes, des femmes aussi, avait fait plusieurs métiers… mais elle ressentait toujours un manque, que jamais elle ne réussissait à combler.
Elle se leva. Sa nuisette collait à sa peau, à cause de la sueur. Elle s’approcha de la fenêtre pour prendre un peu d’air. Elle se mit sur le balcon. Son petit immeuble donnait sur une ruelle, déserte à cette heure. Tout était calme et silencieux. Sauf dans l’immeuble d’en face, un étage plus bas, où un petit volet avait grincé… Toni, le fils du maraîcher, un adolescent boutonneux, prenait l’air, lui aussi… Il n’était pas bien méchant, mais dans son innocence et sa fougue d’adolescent, il faisait une cour vaine et assidue à Sylla, déposant de petits bouquets de fleurs sur le pas de sa porte, lui donnant toujours les plus beaux légumes lorsqu’elle allait faire son marché… Elle lui sourit, et se pencha un petit peu plus sur le balcon… La lumière n’était certes pas très bonne, mais grâce à l’éclairage public, de là où il était, il pouvait deviner les seins superbes aux sombres tétons de Sylla… Il fit un petit salut timide et confus à la jolie femme…
Mais un bruit la fit sursauter. Elle tendit l’oreille. Oui, pas d’erreur, il y avait quelqu’un d’autre dans sa chambre, elle en était sûr. Elle se retourna et ramassa la petite manivelle de fer qu’elle utilisait pour déplier l’auvent du balcon. De son balcon, Toni vit la belle se retourner et se pencher… lui découvrant ses superbes fesses… Tandis qu’il tombait évanouis, comme s’il avait vu une apparition de la Madone, Sylla entra doucement dans sa chambre, tenant la manivelle fermement, prête à se défendre… mais elle le lâcha de surprise !
Devant elle il y avait bien quelqu’un… non… plutôt QUELQUE CHOSE ! Une forme d’homme, mais entièrement transparent, comme s’il était uniquement constitué de liquide, et entouré d’un halo lumineux blanchâtre. Mais c’était un homme, ça elle en était sûre, au vu de l’énorme sexe qu’il avait entre les jambes !
- Sylla… au secours… nous avons besoin de toi !
- Mais qui… qui… êtes vous ?
- Sylla… Sylla… au secours… nous avons besoin de toi !
- Mais enfin, comment me connaissez-vous ? Qui êtes vous ?
- Sylla, je t’en prie… viens… demain… à la pleine lune… au vieux temple de la colline…
Et, en disparaissant lentement, l’ombre, dans un murmure réitéra son injonction « Sylla… au secours… nous avons besoin de toi ! »
Sylla était abasourdie. Machinalement, elle ramassa la manivelle et alla la porter sur le balcon. Elle nota du coin de l’œil Toni qui se masturbait sur le balcon, et qui s’arrêta, gêné et penaud, en la voyant. Elle lui fit un petit clin d’œil, remonta sa nuisette, lui dévoilant son sexe rasé, puis rentra dans son appartement alors que l’adolescent éjaculait dans ses mains. Sylla pensait à ce qu’il lui était arrivé. Elle n’avait pourtant pas fait la fête hier soir ! Elle était sobre ! Que lui était-il arrivé ? Que pouvait être cette chose ? Il n’y avait qu’un seul moyen de savoir le fin mot de cette histoire. Elle irait au vieux temple !
* *
Le lendemain, elle vaquât distraitement à ses occupations, impatiente de voir le jour se coucher. Lorsque enfin la nuit tomba, elle se mit en route vers le vieux temple. C’était un temple grec, comme on voit beaucoup dans le sud de l’Italie. Il était exceptionnellement bien conservé, ce qui était une manne touristique pour les habitants du village. Portant de petites chaussures plates, pour faciliter sa marche, et une petite jupe qui voletait à chaque pas à mi- cuisse, elle arriva bien vite au temple. Lorsqu’elle arriva sur le site, c’était effectivement la pleine lune… elle pouvait la voir au-dessus du temple, ce qui lui donnait une allure fantasmagorique. Elle fit le tour du temple, mais ne vit personne. Elle rentra alors à l’intérieur du temple… il y faisait sombre et l’endroit semblait désert. « Zut, j’aurais dû penser à apporter une lampe de poche ! » pensa-t-elle… cela lui aurait été plus utile que le couteau de cuisine qu’elle avait mis dans son sac… au cas où ! « Quelle cloche ! Je me prends pour Indiana Jones ! Bon, assez de fantasmes, je rentre à la maison ».
Elle allait faire demi-tour, lorsqu’elle entendit un bruit, dans le recoin le plus sombre du temple. Sylla senti le manche du couteau dans son sac, ce qui la rassura un peu…
- Il y a quelqu’un ???
Une voix inconnue vint du coin d’ombre :
- ?
- Pardon ? Qui est là ?
- Sylla ? Est-ce bien toi ? fit la même voix
- Oui, c’est moi… mais qui êtes vous ? Et à quoi rime cette comédie ?
Un homme sortit de l’ombre. Il semblait très âgé, le crâne dégarni avec une couronne de cheveux blancs comme neige, et une barbe blanche et assez longue. Il était habillé comme un prêtre orthodoxe, à quelques différences près.
- C’est bien que tu sois venue. Très bien. Tu es très courageuse.
- Qui êtes-vous, et à quoi rime cette comédie ? Comment me connaissez-vous, et qu’est ce que c’était cette chose, chez moi, hier ?
- Oui, si tu acceptes de nous aider, tu mérite des explications. Mon nom n’a pas d’importance, sache que je suis le dernier prêtre d’un ordre fort ancien, un ordre qui préserve des connaissances qui hélas se perdent aujourd’hui… Dis-moi, crois-tu à la mythologie ?
- Laquelle ? Il existe autant de mythologie que de peuples !
- Exactement ! Mais toutes ont un point commun : elles sont des énigmes, ou des codes, qui racontent une histoire unique. L’histoire du début de l’humanité, de la lutte entre les créatures de l’ombres et les créatures de la lumière.
- Mais je rêve ! C’est quoi ce délire ?
- Ce n’est pas un délire, la lutte du bien contre le mal existe depuis toujours, on ne peut le nier. Même les religions actuelles le décrivent, différemment, certes, mais c’est toujours cela. Or sache que grâce à une femme humaine, les créatures de la lumière on réussit à emprisonner toutes les créatures de l’ombre. Mais ce n’était pas assez, il fallait les faire disparaître ! Hélas, les humains ont commencé à ne plus croire en ces histoires, et donc aux créatures de la lumières… qui tirent leurs forces de la croyance, de la foi que les humains mettent en eux. Et au fur et à mesure que cette foi disparut, les créatures de la lumière s’affaiblirent, et petit à petit disparurent… Il n’en reste plus qu’un aujourd’hui… et tu l’as vu hier…
- C’est la chose que j’ai vu hier dans ma chambre ?
- Oui. Nous ne savons pas comment ni pourquoi, mais l’équilibre du monde vient d’être perturbé. Une créature de l’ombre a été libérée. Il faut la combattre, et la vaincre, avant qu’elle ne déverse un flot de malheur sur la terre. Pour cela la créature de la lumière à besoin de toi. Il t’a choisi. Il n’est plus assez puissant, et pour retrouver sa puissance, il doit s’unir à toi…
- Hola, s’unir à moi… oui… heu… vous fumez quoi en général ? On a bien rigolé, mais là, faut vraiment que je rentre à la maison…
Une voix vint de derrière Sylla…
- Sylla… j’ai besoin de toi… l’humanité à besoin de toi…
Elle se retourna d’un bloc. Un rayon de pleine lune, passant par une ouverture du plafond, éclairait la base de ce qui devait être un autel. Il n’en restait plus maintenant qu’un grand bloc de marbre, un peu de travers. Devant cet autel, dans le rayon de lune, se tenait la même créature que la veille. Toujours translucide. Sylla allait répliquer, mais son regard se posa sur le sexe énorme de la créature. Elle se sentait fasciné, comme hypnotisé par cette verge translucide, qui petit à petit se dressait. Elle sentit son sexe devenir humide. La créature tendit la main…
- Nous n’avons plus beaucoup de temps, viens à moi Sylla… et accomplis ton destin…
Comme une somnambule, Sylla marcha vers la créature. Elle rentra dans le faisceau de lune, devant l’autel. La créature passa sa main avec douceur sur la joue de la jeune femme. La main était douce mais un peu froide. Elle descendit le long du cou, sur un sein… Sylla fut parcourue de frisson. Se tétons durcissait, et commençaient à se voir à travers le T-Shirt qu’elle avait mis. La créature murmura quelque chose à son oreille, et elle se déshabilla entièrement, puis se coucha sur l’autel. La créature s’approcha d’elle, caressa doucement son front, y posa un baiser, puis caressa les seins de Sylla… avec une douceur et une tendresse que Sylla n’avait jamais ressentie, ces mains caressèrent ses seins, les malaxèrent, puis caresse son ventre, son pubis, passa le long de son sexe… la jeune femme se cabra, écarta ses jambes et s’offrit à la créature. Celle-ci vint délicatement se coucher sur Sylla. Elle sentit le gland de l’énorme verge de la créature se poser contre son sexe à elle, puis doucement la pénétrer. Ce qu’il était gros ! La créature s’enfonça complètement en elle… Puis lui donna de doux coups de boutoirs, coups de boutoirs qui de doux, commençaient à s’accélérer. Le vieux scandait des paroles inaudibles, et frappait d’un coups de bâton sur les dalles du temple à chaque coups de queue de la créature. Sylla était complètement remplie, ce sexe aurait du lui faire mal par sa grosseur, mais elle ne ressentait que du plaisir. La cadence s’accélérait, Sylla était en extase par la mélopée, les coups de boutoirs de plus en plus rapide et de plus en plus profond, cette verge énorme qui la remplissait complètement, ce gland énorme qui venait taper contre le fond de son vagin… il lui semblait que la créature rentrait de plus en plus en elle… le plaisir devenait insoutenable… la créature semblait devenir de plus en plus fine et de plus en plus longe, se transformant en un pénis géant… une vague déferla dans son sexe, une vague de plaisir intense, qui la fit crier de plaisir… à ce moment, la créature, qui n’avait plus forme humaine, mais était vraiment devenue un pénis géant, donna un coup de boutoir plus fort que les autres… et rentra entièrement dans le vagin de Sylla : elle avait absorbé la créature… le cri de plaisir devint un cri de douleur, une douleur pareille à celle d’un accouchement, puis elle s’évanouit…
* *
*
Europe Centrale, au même moment
Odin, couché dans son sarcophage, sursauta et ouvrit les yeux. Il l’avait sentit. La créature de lumière était elle aussi réveillée. « Déjà ! Il ne me reste pas beaucoup de temps, mes forces sont presque régénérées, il faut que je réunisse mon armée ». Il sortit du sarcophage. Il vit à terre les corps d’Emma et du professeur. Ils étaient nus, encore éclaboussés du foutre verdâtre de ses tentacules, et semblaient endormi.
- Esclaves, réveillez-vous !
Emma et le professeur se réveillèrent, et comme hypnotisés, vinrent s’agenouiller devant Odin. Ils ne voulaient pas lui obéir, ils étaient conscients à l’intérieur de leur corps, mais leur volonté n’existait plus… les corps obéissaient à la voix d’Odin. Celui-ci marcha jusqu’à la grande porte qu’Emma avait remarqué la veille. Ses doigts devinrent des tentacules, qui s’enroulèrent autour de la barre de pierre et la brisèrent en mille morceaux. La porte s’entre ouvrit doucement. Derrière la porte, une caverne sombre, insondable. Accroché à la porte, un tambour. Odin le montra au professeur.
- Sonne le rassemblement.
Le professeur alla décrocher le tambour, et commença à faire raisonner le son lugubre de l’instrument dans la caverne. Au début, rien ne se passa… Puis, deux paires d’yeux jaunes apparurent dans le noir de la caverne. Le professeur reposa le tambour et recula, effrayé. Les deux créatures apparurent dans la lumière des troches. Gris et velu, c’étaient des monstres ! Ils ressemblaient a un croisement entre homme et sanglier. Ils avaient la taille, les bras et les jambes comme des humains, en plus costaud et plus trapu, et les poils, l’odeur et la trogne de sangliers. Ils n’étaient vêtus que d’un simple pagne, dans un tissu sale et parlaient d’une voix très rauque
- Maître, enfin, vous êtes revenus.
- Où sont les autres ? fit Odin, irrité.
- Maître, c’est que… vous êtes parti longtemps… les plus vieux sont mort d’épuisement et de faim… puis nous avons mangé les plus jeunes… enfin… il ne reste que nous deux.
- Heureusement que je pense à tout ! Professeur, venez avec moi. Vous deux, prenez l’humaine, et fécondez-là ! Commencez à reconstituer une armée, je vais vous ramener d’autres humaines.
Et Odin sorti de la caverne, suivi du professeur.
Emma resta seule avec les deux créatures, qui détaillaient ce corps nu avec gourmandise…
- Tu te rappelles des femmes humaines… comme c’était bon…
- Cela fait si longtemps… j’en ai la bave aux lèvres…
Ils s’approchèrent d’Emma, qui recula timidement…
- Non, par pitié, ne me faites pas de mal… par pitié…
Elle essaya de s’enfuir, mais une des deux créatures l’attrapa par le bras et la jette à terre, tandis que la deuxième vint se mettre devant elle…
- Tu vas voir qu’on va pas te faire de mal…
Et il arracha son pagne. Emma découvrit un sexe comme elle n’en avait jamais vu. Il était aussi long qu’un sexe humain, mais légèrement plus gros, et de forme ondulée. De plus la créature avait des testicules énormes, deux fois plus grandes que des testicules humaines. La créature avança sa verge vers le visage d’Emma. Elle n’en voulait pas, ces créatures la dégoûtaient… elle voulait s’enfuir, mais de nouveau, son corps ne lui obéit plus. Elle se mit à quatre pattes et s’avança vers le sexe du monstre. « Non ! Mais qu’est-ce que je fais ? » Mais elle n’avait aucun contrôle sur son corps. Elle prit la verge du monstre dans sa main, et commença à lui lécher le gland, tout en branlant ce sexe ondulé. Puis elle enfourna entièrement ce sexe et commença à sucer le monstre, qui couinait de plaisir, tout en massant ses énormes testicules. L’autre créature vint se mettre derrière elle. Elle le sentit, et contre sa volonté, elle offrit au deuxième monstre sa croupe rebondie. Il frotta son gland contre le sexe d’Emma, puis l’enfonça d’un seul coup dans son vagin déjà fort mouillé. Il la pénétrait comme une bête, et cette grosse queue ondulée procurait beaucoup de sensations dans le vagin d’Emma tandis qu’elle suçait l’autre monstre avec gourmandise, se régalant de cette autre grosse queue ondulée… Le sexe du monstre commença à battre dans sa bouche… Emma voulait se dégager, mais sa bouche resta bien en place, pompant le monstre de plus belle… qui éjacula un sperme épais et âcre qu’Emma avala goulûment, léchant même encore la queue du monstre pour ne pas en perdre une goutte ! L’autre monstre, trouvant sans doute ce spectacle très excitant, donna un dernier coups de reins et explosa, remplissant le vagin d’Emma de son foutre épais…
Mais les monstres, qui ne s’étaient apparemment pas soulagés depuis longtemps, n’avaient pas eu leur compte. Emma lécha encore les deux queues, qui redevinrent vite raide. Le premier se coucha à terre, la queue bien raide. Emma en avait assez, mais pas son corps ! Il avança vers le monstre, et Emma s’empala sur sa queue dressée… cela faisait encore plus de sensation ! Elle sentait la queue ondulée glisser dans son vagin, lui arrachant à chaque fois des soubresauts de plaisir… Alors qu’elle s’empalait sur le monstre, le deuxième vint derrière elle. Il s’agenouilla, et l’empêcha de coulisser sur le premier monstre. « Mais que fait-il ?… oh non pas ça ! »… tandis que son vagin était remplis par la queue du premier monstre, le deuxième colla son gland contre l’anus d’Emma. Elle ne voulait pas de ça, la queue ondulée du monstre était trop grosse pour son anus étroit ! Mais son corps se positionna pour recevoir les deux queues en même temps. Le monstre pressa sa queue plus fort contre l’anus d’Emma, qui, sous la pression s’ouvrit et absorba le gland du monstre… Emma cria en sentant ce gland en elle… puis, poussant encore, petit à petit, le monstre enfonça la moitié de sa queue dans l’anus d’Emma tandis que l’autre recommença à ramoner son vagin… Emma sentit dans son anus le passage de chaque ondulation de la queue du monstre. Au début cela faisait mal. Le second monstre commença alors un va et vient plus lent dans son anus… Emma, remplie par ces deux énormes queues, sentit la douleur se muer en un insondable plaisir. Elle jouissait et hurlait comme une folle, prise par les deux monstres, se donnant à eux, ses deux orifices intimes remplis par ces queues énormes, les grosses testicules du deuxième monstre qui venait frapper contre ses fesses… Ils étaient bestiaux, mais quelles queues ! Le corps d’Emma n’était plus que plaisir. Elle jouissait encore lorsque les deux monstres jouirent en même temps… le sperme abondant et épais des monstres remplit le vagin et l’anus d’Emma, débordant de ses deux orifices, coulant le long de ses jambes… et encore gourmande de plaisir, Emma se dégagea, puis alla nettoyer avec sa langue les queues des deux monstres, pour ne pas perdre une goutte de sperme. Ces deux derniers grognèrent de satisfaction…
- Ce que c’est bon… et en plus, avec ça, l’armée est en cours de production…
Et les deux monstres rirent de bon cœur, laissant Emma fort perplexe…