Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 10:38

- Gitane, il faut encore que je te dise que notre amie Brigitte, une dominatrice pure et dure, a pourtant demandé à subir le même sort demain matin. Tu ne vas pas me dire qu'une soumise comme toi, une aussi bonne et belle salope reculera devant une épreuve qu'une dominatrice a déjà acceptée.

- Tu as raison, Marc! Ordonne et je t'obéirai!

- Hé bien, ce n'est pas trop tôt, cela fait bien trois mois que j'attendais que tu me dises cela! Pour que tu saches à quoi tu t'es engagée, tu vas te mettre à genoux devant Kyrhan en lui tournant le dos, tu vas t'ouvrir les fesses à deux mains, le visage au sol et tu le supplieras de t'ouvrir le cul, de te défoncer pour que tu puisses recevoir enfin les plus grosses bites.

- Oui, Marc, tout de suite!

- Ce n'est pas tout! Après, tu lui feras une toilette soignée avec ta langue et nous irons dans un magasin de piercing pour la totale, comme pour Virginie.

- Quoi, même l'anneau au nez! Je ne pourrais plus sortir de chez moi!

- Mais si! Je te renverrai à Avignon dans trois jours avec ta chatte cadenassée et un œuf vibrant à l'intérieur. Tu auras la clé sur la langue avec interdiction de la sortir de ta bouche avant d'être en présence de ton mari. Avec tous tes anneaux, il pourra t'attacher un peu partout dans votre maison. Je suis sur qu'il appréciera. 

- J'en suis sure aussi, Marc!

- J'attends avec impatience les prochaines vacances : on ira se promener tous les quatre dans la garrigue avec Marie Laure et toi nues avec la laisse attachée au capuchon de votre clito. J'ai remarqué que, dans ce cas-là, Marie Laure ne tire jamais sur la laisse, elle est toujours très attentive à tous mes gestes. Je suis sur que tu seras tout aussi bien dressée au bout de deux ou trois sorties.

- Mais si on rencontre quelqu'un'

- Tu demanderas à ta fille de t'expliquer le protocole. Tu t'accroupis à mes pieds, la tête et le corps tourné vers le visiteur et tu obéis aux ordres que je peux te donner. On a croisé ainsi récemment une équipe de foot qui s'entrainait au vert. J'ai mis ta fille à la disposition de l'entraineur. Les dix huit membres du groupe se sont vidés les couilles où cela leur chantait et ils sont repartis en sifflotant. Mais, mon cher Kyrhan, nous vous faisons attendre à moins que vous ne soyez trop fatigué après avoir baisé de manière si royale Virginie et Marie Laure!

- Je crois que vous me connaissez vraiment mal, mon cher ami! Un homme originaire du Rajahstan, de famille princière comme moi qui plus est, a un contrôle sur lui même que vous ne connaissez pas. Juste pour vous le prouver, je vais honorer successivement votre petite Gitane, puis Brigitte si elle le veut bien avant de terminer avec Kira.

- Mais Kira est l'épouse de votre ami Dan! Ne me dites pas que vous voulez la bai... et en public devant nous tous!

- Ne vous inquiétez pas, Marc, Dan et moi sommes de très vieux amis et nous avons souvent partagé la même femme ou baisé cote à cote comme des frères d'armes et Kira a souvent été notre partenaire! Dan, cela te dirait de baiser avec moi cette belle Gitane et un peu plus tard notre chère Kira'

- Bien sur. Je vous préviens que les partenaires de Kyrhan auront l'anus plutôt distendu pendant quelques jours. Il n'y a que Kira qui a une! Pour les autres, d'ici huit jours au grand maximum, il n'y paraitra plus mais elles pourront désormais prendre n'importe quel homme dans leur petit cul sans aucun risque!

- Bon assez parlé, Gitane, à quatre pattes devant moi et tout de suite! Tu vas me sucer le bouton pendant que notre invité te défoncera l'anus! Et applique toi, je te prie!

Gitane, toujours aussi obéissante se mit en position, même si elle avait la peur au ventre. Elle était visiblement au bord de la panique mais se soumettait totalement. Marc était vraiment doué pour tout obtenir de ses femmes. Pas un reproche de Marie Laure lorsqu'il s'occupait de sa propre mère, pas un refus quelques soient ses exigences! Brigitte et Jean appréciaient en connaisseurs. 

Gitane sentit un contact très froid sur son anus. C'était le doigt de Kyrhan qu'il avait copieusement enduit de crème et qu'il lui enfonçait en tournant. Ce n'était pas désagréable et Marc l'avait déjà habituée à des pénétrations autrement importantes. Voyant que Gitane semblait ne pas souffrir, Kyrhan la pénétra avec deux puis trois doigts. La main du colosse Indien était en proportion de son corps d'athlète. Aussi, Gitane se mit à geindre désespérément lorsque Kyrhan chercha à lui introduire un quatrième doigt dans le fondement. Il ressortit sa main et ajouta une nouvelle dose de crème lubrifiante. Au bout de quelques minutes, il parvint enfin à ses fins : Gitane était maintenant suffisamment dilatée pour recevoir facilement les quatre doigts qui coulissaient presque librement dans son anus. Allait-il tenter de faire pénétrer son petit doigt qui restait seul, replié à l'entrée de son sphincter ou allait-il tenter de lui mettre sa verge qui était maintenant tendue à l'extrême, et battait contre le clitoris de Gitane.

Ce fut la mère de Marie Laure qui s'offrit d'elle même :

- Maitre, je crois que je peux vous recevoir, maintenant. Je sens que mon cul est grand ouvert. Essayez-moi, même si je crie un peu : je n'ai jamais reçu quelque chose d'aussi énorme, surtout par derrière!

Marc intervint :

- Dis moi si, toi, tu veux que cette grosse bite te pénètre! Tu n'as qu'à le dire et Kyrhan te la mettra!

Gitane, éperdue et dépassée par les évènements geignit :

- Oui, je veux sa bite monstrueuse. Qu'elle s'enfonce à fond dans mon petit cul!

- Pour quoi faire?

- Je veux qu'il me baise, qu'il m'éclate la rondelle, qu'il ressorte par la bouche mais qu'il me baise enfin! Cette attente est trop longue!

Gitane gémissait maintenant de façon continue. Marc réalisa qu'il était temps de passer à des choses sérieuses. Dan s'étendit sur le lit à coté d'elle. Kyrhan la prit dans ses mains à bout de bras et la souleva apparemment sans effort. C'était Dan qui guidait la manœuvre. Lorsque l'orifice de son vagin se retrouva juste au dessus du pal tendu qui l'attendait, Dan dit à Kyrhan de la laisser descendre sans bouger. Les mains bronzées de Kyrhan formaient un contraste saisissant avec la peau très claire des hanches de Gitane. On aurait dit que les muscles de l'homme étaient sculptés dans le bronze. Les hanches de Gitane descendaient lentement, inexorablement.

Kyrhan se figea un instant lorsque les lèvres du vagin de la jeune femme entrèrent en contact avec la bite de Dan puis la progression reprit toujours aussi lentement. Centimètre après centimètre, la hampe plus qu'honorable de Dan disparaissait dans le ventre de la jeune femme. Elle gémit lorsque les derniers centimètres disparurent en elle. Il avait atteint le fond de son vagin et taquinait le col de son utérus. Il fallait qu'elle s'habitue à être pénétrée aussi profondément, se dit Kyrhan car son chibre gigantesque faisait bien cinq centimètres de plus et il comptait bien le lui mettre jusqu'à la garde d'ici peu et il n'aurait que deux ou trois jours pour ce faire avant de devoir repartir pour New Delhi. 

Kyrhan l'abandonna, dansant déjà sur la pointe de la verge de Dan, pour se mettre une nouvelle couche de vaseline. Cette fois ci, lui aussi était pressé. Les plaisirs de la porte sont très agréables mais pas trop longtemps

Gitane, totalement obéissante, tourna ses fesses en direction de Kyrhan, elle écarta ses fesses avec ses doigts aussi largement qu'elle pouvait et poussa pour ouvrir son cul et accueillir comme il fallait le maitre auquel elle s'était résolue à s'abandonner complètement. Kyrhan la tira à lui avec délicatesse. La pointe de son sexe écarta lentement ses fesses et entra majestueusement dans son anus grand ouvert. La pression sur ses épaules diminua rapidement : Kyrhan ne cherchait pas à la pénétrer en force mais la laissait s'ouvrir progressivement pour le recevoir.

La pression qu'l exercait était constante mais n'avait rien de brutal. Il voulait qu'elle s'empale sur son sexe, d'elle-même, à sa propre vitesse. Chaque fois qu'elle sentait que son sphincter s'assouplissait, elle poussait en arrière pour en absorber encore quelques centimètres. Lorsque sa toison intime vint caresser ses fesses, elle sut que Kyrhan avait une nouvelle fois remporté une victoire totale. Elle était maintenant enfilés jusqu'à la garde et sa gigantesque bite de taureau était maintenant, toute entière, au fond de ses entrailles. Comme Marc le lui avait promi, elle n'avait pas ressenti la moindre douleur réelle. L'exultation s'empara d'elle : maintenant, elle serait capable de recevoir les plus grosses bites qu'elle puisse imaginer sans difficultés et surtout sans appréhension!!

Lorsque Kyrhan jouit dansson cul, elle bascule la tête en arrière et hurla comme une lionne prise au ventre. A ce signal, les larges mains de Kyrhan attrapèrent ses seins qui oscillaient librement entre ses bras tendus et il commença à les masser fermement, tyrant sur les mamelons et rallumant le plaisir dans son ventre surchauffé. Elle eut un vertige qui ne dura que quelques secondes mais personne ne s'en rendit compte car Kyrhan la soutenait fermement. Sa mission n'était pas finie : elle devait encore satisfaire Marc et Jean, son future gendre, le master qui l'avait éveillée à une nouvelle vie de servitude si plaisante et le mari de sa maitresse adorée!

Marc ne se souciait pas d'utiliser son petit cul qui avait été largement dilaté par le chibre dantesque de Kyrhan. Il choisit donc sa chatte accueillante, chaude et humide, juste comme il aimait. Il y fit un très bon travail, la faisant jouir deux fois avant de l'inonder. Jean se montra moins pusillanime : sans un mot pour lui announcer ses intentions, il dirigea sa bite vers ses fesses et donna un formidable coup de reins, martelant ses fesses comme s'il avait été sevré de sexe depuis des mois. Depuis l'arrivée de Virginia chez lui, Il la prenait souvent de cette façon et il en faisait de même avec Marie Laure et depuis peu de temps, même avec sa femme, qui ne semblait pas s'en plaindre. C'était maintenant devenu une coutume établie. Gitane était probablement beaucoup moins serrée que d'habitude mais il s'en moquait éperdument. Il ajouta une bonne giclée de sperme dans son fondement. Il faudrait peut-être lui donner un bon lavement pour la nettoyer mais cela n'avait aucune importance pour lui : une simple petite humiliation de plus pour elle!

Lorsque Jean se retira et regagna son siège, Gitane arborait un grand sourire. Apparemment, avoir donné du plaisir à tous les homes presents don't certains particulièrement bien members n'était pas une corvée insurmountable pour la mere de Marie Laure!

Pour le diner, Marie Laure, Virginia et Gita recurrent des bols de croquettes, dehors sur la terrace devant le reste des convives. Les trois filles s'occuperaient du service et veilleraient à ce que personne ne manque de rien. Pour leur service, elles seraient debout derrière les convives, nues avec seulement un petit tablier et un bonnet en dentelle mais pieds nus. Brigitte avait garni leurs anus avec un gros plug qui ne leur causait plus ni crainte ni douleur, grace à Kyrhan! Elles l'avaient reçu comme le symbole de leur soumission et elles en étaient très fières!

Virginia arriva plus tard avec un gros gateau au chocolat. Elle en découpa des parts qu'elle servit à tous les convives. Pendant qu'ils mangeaient et discutaient amicalement, les trois filles disparurent discrètement. Soudain, Dan, Kyrhan et Marc levèrent la tête au meme instant : une main féminine s'attaquait à leurs braguettes et au dhoti de Kyrhan, fouillant à l'intérieur et extrayant une bite en train de grossir rapidement. Une bouche féminine, tout aussi invisible, se referma immédiatement dessus et commença à la sucer et lecher avec un enthousiasme évident : Gitane s'occupait de Dan et Marie Laure de Kyrhan. Pendant ce temps, Virginia donnait une fellation particulièrement délicieuse à Marc tandis que Kira n'était pas restée inactive : elle avait ouvert la braguette de Jean et s'était penchée sur lui pour le prendre dans sa bouche. Brigitte qui n'avait pas d'homme à satifaire s'était rabattue sur les testicules de Kyrhan qu'elle massait avec delectation en s'accordant sur le rythme de Marie Laure. A son signal, les trois soumises permutèrent tandis que Kira changeait de coté pour s'intéresser à son autre voisin.

Pour le café et les discussions de fin de soirée, les trois soumises otèrent leur tablier et reçurent une laisse tenue par Kira ou Brigitte. Les hommes étaient un peu fatigués et peu demandèrent le service des trois filles. Ils discutèrent d'abord des arrangements pour la nuit. Kira souhaitait la compagnie de Kyrhan. De façon surprenante, Brigitte choisit Dan. Les trois soumises n'avaient bien entendu pas la possibilité d'avoir des préférences. Jean choisit Marie Laure and Marc opta pour Gitane. La pauvre Virginia se sentit rejetée mais Kyrhan l'invita à partager sa chamber avec Kira. Elle se rua à ses pieds avec un cri de joie. 

- Cette nuit, je me sens capable de vous épuiser toutes les deux. Si je n'y arrive pas, je serai à vos ordres à toutes les deux pour toute la journée de demain mais si je réussis, Kira portera mon collier et ma laisse toute la journée.

- Tu gagnes toujours mais je relève le gant!!!

Des bruits de ressorts et de lits accompagnés de cris perçants et de gémissements d'extase ponctuèrent la nuit. Ils émanaient de toutes les chambres occupées mais la plus bruyante était sans contestation celle de Kyrhan! Le combat dura jusqu'aux petites heures du matin lorsqu'une des parties rendit les armes et admit sa défaite.

Le matin suivant, Dan émergea de sa chamber suivi par Brigitte avec de larges cernes sous les yeux. Les autres gagnèrent la salle à manger les uns après les autres. Le dernier à quitter sa chamber fut Kyrhan. Il avait un sourire radieux Dan remarqua immédiatement qu'il était entièrement habillé. Il félicita son ami pour avoir gagné apparemment son pari. Kyrhan le confirma et claqua des mains. Virginia, nue avec son collier autour du cou et tenant sa laisse en main sortit de la chambre suivie par Kira qui portait la même tenue. Les deux filles se placèrent de part et d'autre de Kyrhan, à genoux à ses pieds. Il leur distribua des porceaux de gateaux et il leur versa du lait dans une écuelle qu'il placa sur le plancher. TLes filles léchèrent leurs bols jusqu'à ce qu'ils soient parfaitement propres. Kyrhan annonça :

- Si cela ne vous gêne pas, je souhaiterais jouir un peu plus de ces deux beautés. Je propose que nous nous donnions quartier libre pour toute la journée jusqu'au diner. Tout le monde pourra faire ce que bon lui semble.

Tout le monde fut d'accord. Marc et Dan se décidérent pour une promenade à la campagne avec Brigitte et Gita. Jean et Marie Laure retournèrent dans leur chamber et fermèrent la porte derrière eux. Des bruits très révélateurs informèrent bientôt Marc et Dan des activités que leurs amis avaient choisies. 

Marc et Dan choisirent pour Gitane la combinaison couvrante avec des ouvertures aux endroits stratégiques que Marc avait déjà fait porter à Gitane à l'opéra. Les deux hommes furent très surpris lorsque Brigitte proposa d'en porter une elle aussi. Marc en avait par chance deux dans ses valises. Elles étaient faites dans un matériau très extensible qui s'adapterait sans problème aux deux filles. Une pair de bottes, une minijupe en tweed et un petit bolero compléteraient leurs tenues. Dan, qui n'aimais pas être pris au dépourvu pépara un sac à dos avec de l'eau, une thermos de café et une grosse boite de préservatifs. Marc ne comprenait pas à quoi cela allait pouvoir servir :

- Nous avions décidé de ne pas nous embarrasser avec ces trucs, Nous sommes tous clean et toutes les filles prennent la pilule!

- On ne sait jamais! 

Bien entendu, les filles durent porter le sac à dos à tour de role. Deux heures plus tard, alors qu'ils venaient de traverser un petit bois pour atteindre un petit lac pittoresque, ils tombèrent sur un groupe d'hommes très bien batis, une équipe de rugby qui faisait un petit décrassage en campagne. Ils étaient vingt quatre y compris l'entraineur. Ils jetaient tous des regards avides et paillards en direction des deux filles qui accompagnaientMarc et Dan. Celui ci prit un malin plaisir à tenter l'entraineur.

- Nos petites amies semblent vous faire pas mal d'effet!

- Excusez nous mais on ne s'attend pas à trouver deux filles aussi jolies si loin de la ville! Ainsi, ce sont vos petites amies'

Dan jeta un coup d'œil, surtout à Brigitte qui était la plus susceptible de se rebeller si on lui donnait un rôle de fille soumise. Elle avait croisé ses mains derrière son dos, les yeux rivés au sol, les fesses cambrées et la poitrine pointant vers l'avant, dans la posture de la petite esclave que prenaient souvent devant elle aussi bien Virginia, Marie Laure ou Gitane. Dan avait remarqué qu'elle semblait fascinée par la servitude. Elle lui semblait mûre pour une première expérience. 

- Non, ce sont nos esclaves! Elles exécuteront tous nos ordres, meme si nous leur disons de se faire tirer par tous vos grars ici et maintenant!

- Oh, vous plaisantez! ce n'est pas très sympa et plutot grossier, mon gars!

- Je ne plaisantais pas! Vous voulez voir à quel point elles sont obéissantes? Si c'est oui, vous devrez assumer les conséquences! Ces filles sont vraiment très chaudes et je ne veux pas les désappointer.

- Aucun risque!

- Comme vous voulez Brigitte, Gitane, retirez votre jupe et votre boléro. Ces messieurs se proposent de voir quelles bonnes baiseuses vous faites. Couchez vous en travers de ces troncs. Non, sur le ventre avec les jambes d'un coté et la tête de l'autre. Vous pourrez vous faire baiser par deux homes à la fois : un dans votre bouche et un autre dans votre chatte ou votre cul! Laissez les choisir eux mêmes! Ils vous feront seulement lever un petit peu vos fesses pour atteindre votre petit cul avec leurs grosses bites. Et vous, les gars, J'ai une grosse boite de préservatifs, cinquante exactement. Si je ne me trompe pas cela fait deux pour chacun de vous et deux de rechanges au cas où certains auraient un gout de revenez-y! Est-ce que cela vous convient?

- Vous plaisantez! Et les filles, qu'est ce qu'elles en pensent?

- Je vous ai dit que ce sont des esclaves. Regardez! Elles sont déjà prêtes pour vous!

Brigiie et Gitane avaient soigneusement plié leurs vêtements à l'écart et elles attendaient tranquillement leurs premiers clients. Elles savaient que ce qu'on leur demandait était de l'abattage pour prostituées de bas étage mais même Brigitte semblait s'en moquer! L'entraineur paraissait interloqué mais il n'émit aucune objection : après tout, c'était un moyen original pour assurer la cohésion du groupe! Il organisa meme soigneusement les choses pour qu'il n'y ait pas de bousculades. En moins de deux heures, tous les préservatifs avaient été utilisés et les deux filles n'étaient même pas essoufflées! Dan les félicita lorsque l'entraineur les quitta avec son équipe enchantée. Il avait demandé à Marc sa carte de visite au cas où ses troupes auraient besoin d'un peu de réconfort du genre de ce qu'une fille pourrait leur apporter. 

- Je pense que nous pourrions laisser un rôle plus important aux filles, vous ne croyez pas, Marc? Après tout l'une d'elles est votre compagne et l'autre est sa mère!

- Pour moi je serais d'accord, du moment que je ne les perds pas pour longtemps. A quoi pensez-vous?

- Oh, il y a plein de possibilités : Elles pourraient devenir des laitièress comme Virginia, des reproductrices comme Leena, une de mes amies, de vraies prostituées pour la gagne comme Debbie à Singapour ou des esclaves pures et simples sa sœur Jacki aux USA. On pourra discuter des possibilités à la maison! Vous pourriez peut être faire le tour des différents endroits et rencontrer les filles?

Par lina
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Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 19:36

Les tendances exhibitionnistes de Brigitte, presque oubliées depuis tant d'années refleurirent lorsqu'elle se retrouva sucée et léchée par ses deux soumises Virginia et Marie Laure. C'était tellement agréable d'être aussi agréablement traitée devant tant de spectateurs males : cinq si ses sens surexcités ne la trompaient pas. Cela lui rappelait presque le temps où elle était l'esclave de Jean. Ils avaient peu à peu cessé leurs petits jeux de domination et Marie Laure avait été le dopant dont ils avaient eu tant besoin pour maintenir la mémoire des plaisirs passés. Avec l'arrivée de Dan et Kyrhan, un barrage avait cédé et des feux qu'ils croyaient éteints brulaient de nouveau. Elle se sentait parfaitement capable, à elle toute seule, de traire les cinq hommes jusqu'à la dernière goutte de sperme.

Elle était très bruyante pour l'instant, criant son plaisir à tue tête, à la face de son mari et de leurs invités. Kyrhan et Dan l'observaient avec un sourire en coin. Après quelques minutes, Kyrhan se tourna vers Dan avec une question muette. Dan acquiesça immédiatement, une nouvelle preuve de la symbiose totale de leurs esprits. Kyrhan se tourna vers Jean :

- Pouvons-nous nous occuper d'elle, Jean?

- Bien sur, mes amis! Faites comme chez vous!

Kyrhan et son ami s'approchèrent des trois filles. Au grand dam de Marie laure et de Virginia, ils les écartèrent délicatement. Aucune d'entre elles n'osa protester mais Brigitte le fit. Elle était sur le point de jouir une nouvelle fois et leur intervention l'avait privée d'un orgasme foudroyant. Elle se rendait bien compte que des mains très habiles la manoeuvraient. Elle ouvrit les yeux pour découvrir ceux de Kyrhan rivés aux siens. Il était debout devant elle, en train d'ajuster sa position avec soin. Elle sentit quelque chose de très dur exercer une pression sur son anus. Elle tourna la tête et regarda d'o— venait ce contact. Elle vit la bite fort appétissante de Dan qui se glissait entre ses fesses. Il était vraiment trop gros pour elle. Elle ne voulait pas qu'il la déchire. Il était déjà trop tard : elle sentit la tête de son mandrin la pénétrer, séparant ses fesses comme le soc d'une charrue. Elle hurla lorsqu'il s'enfonça en elle beaucoup plus facilement qu'elle ne l'avait escompté. Virginia avait fait vraiment un bon travail en lubrifiant si parfaitement son petit cul. A la place de la douleur intolérable à laquelle elle s'attendait, elle ne ressentait que l'impression étrange d'être dilatée bien au delà de ce dont elle avait l'habitude, rien de plus. Elle se retourna vers Kyrhan.

Maintenant que Dan était profondément enfoncé dans son petit cul, Brigitte comprit pourquoi ils s'étaient répartis les rôles sans aucune parole : Kyrhan avait un sexe nettement plus gros que celui de Dan! Pour une première fois, il valait certainement mieux que Kyrhan se serve de sa chatte qui était certainement nettement plus élastique. Il était déjà en train de l'élargir pour la préparer à recevoir ce visiteur impressionnant. Lorsqu'il la pénétra, elle hoqueta mais le laissa continuer librement. Elle se promit de lui demander sous peu d'élargir son petit trou du cul jusqu'à ce qu'elle puisse le recevoir pour leur plaisir à tous les deux. Dieu du ciel, elle n'aurait jamais pensé qu'elle puisse recevoir deux bites aussi grosses en même temps!!!

Laure s'occupait de Marc, son compagnon et de Jean. Ils l'avaient embrochée de belle façon en imitant Dan et Kyrhan et elle semblait beaucoup apprécier le traitement. A un moment, Dan se rendit compte que Marc avait pénétré la chatte de Marie Laure en même temps que Jean : la jeune femme avait deux bites dans sa petite chatte d'apparence si fragile! On n'avait vraiment pas l'impression qu'elle souffrait de cette pénétration inhabituelle! Parfait! Cette fille serait sa prochaine conquête et elle danserait très certainement sur la pointe du chibre de Kyrhan avant la tombée de la nuit. Leurs hôtes étaient vraiment très accueillants!

Lorsque tout le monde se fut dégagé de l'amoncellement de corps sur le plancher, sur la canapé, partout où ils avaient terminé leurs ébats, ils se rhabillèrent tranquillement. Les hommes reboutonnèrent leurs vêtements et prirent place sur des chaises ou fauteuils, comme si de rien n'était. Brigitte remarqua avec plaisir que Marie Laure et Virginia s'étaient contentées de se repeigner et de réparer leur maquillage. Elles étaient restées nues, leurs poignets croisés dans le dos, la tête incline dans une posture de totale soumission. Elles étaient à genoux, de chaque coté de leur maitresse, les cuisses grandes ouvertes, prêtes à être baisées à nouveau ou à obéir à n'importe quel ordre de Brigitte. Elle était très fière d'elles, pour avoir suivi à la lettre ce qu'elle leur avait appris lors de leur entrainement : Elles rentraient le ventre, projetant en avant leurs seins orgueilleux et elles n'étaient pas assises sur leurs pieds mais restaient accroupies, prêtes à bondir en avant. Brigitte était parfaitement sure de ce que leur disponibilité totale leur vaudrait de se faire baiser par l'un ou l'autre des hommes présents sous peu.

Brigitte voulait absolument voir la jolie petite Marie Laure empalée jusqu'à la garde en même temps sur les bites de Kyrhan et de Dan. Marc ne pourrait pas éviter ce spectacle. Il était réellement amoureux de sa petite amie mais il adorerait la voir remplie de sperme par d'autres hommes devant ses yeux! 

Brigitte voulait fêter dignement ce qu'elle appelait l'honneur qui était fait à sa maison avec des hôtes si importants. Bien entendu, ce ne serait pas elle qui ferait la cuisine, qui servirait à table ou ferait la vaisselle mais la pauvre Virginie obligée de préparer un repas improvisé pour huit personnes sans compter les deux soumises, elle et Marie Laure. Enfin parmi les convives prévus, il y avait bien la mère de Marie Laure qui se prénommait elle aussi Brigitte. Virginie s'amusa par avance des quiproquos qui risquaient de se produire avec une dominatrice et une soumise qui portent le même nom. Mais Brigitte s'en moquait!

Virginie s'installa aux fourneaux comme c'était son habitude depuis son retour chez Brigitte et Jean. Sa mère l'avait habituée à faire la cuisine et elle y avait pris goût immédiatement : transformer une viande sanguinolente ou un poisson flasque en un mets délicat était une forme d'art qui lui avait plu. Autant Brigitte était empruntée et inefficace dans une cuisine, autant Virginie était un cordon bleu de tout premier plan. Elle avait même réussi à se faire embaucher pendant l'été dans la brigade de quelques grands cuisiniers de la région. 

Ces chefs auraient été bien surpris de revoir Virginie faire la cuisine, nue sous son tablier que Brigitte avait remodelé à son goût : le dos se limitait à une ceinture et un anneau centré sur son nombril tenir l'avant, le col avec le foulard usuel du chef avait été remplacé par un décolleté profond et fort affriolant. La sécurité du cuisinier y avait sans doute perdu mais l'esthétique y avait beaucoup gagné. Sa tenue était destinée à mettre en valeur les beautés de son corps, pas à les protéger! Jean adorait pouvoir caresser librement les fesses de sa cuisinière lorsqu'elle s'activait aux fourneaux et plonger l'index dans son cul alors qu'elle goutait une sauce était un plaisir inégalable surtout qu'elle devrait lui nettoyer son doigt souillé avec sa langue immédiatement après la sauce divine qu'elle avait préparée mais à laquelle elle ne toucherait plus. Elle n'était qu'une soumise, une fille de rang inférieur dont les désirs pouvaient être négligés voire tournés en ridicule. De toutes façons, elle ne voudrait pas être traitée différemment!

Bien entendu, pour toutes ses préparations, elle n'utilisait que du lait de femme, du beurre, de la crème de même origine et elle ne servirait que des fromages provenant des meilleures laitières de Saint Azul. Elle savait pertinemment que dès qu'elle commencerait à donner du lait, elle devrait l'utiliser en priorité dans ses recettes. Elle serait fière de contribuer ainsi directement au plaisirs gastronomiques de son maitre et de sa maitresse. Ce serait pour elle la touche finale à sa domestication! 

- Marc, comment va-t-on s'organiser pour le service avec Virginie et Marie Laure'

- Il serait peut être préférable de laisser Virginie en cuisine. Elle viendrait servir le dessert dont elle fera partie!

- Oui mais j'ai un peu peur que Marie Laure soit débordée avec huit personnes à servir!

- Huit' Mais je n'en ai compté que sept : Dan, Kyrhan et vous, Jean et moi-même et Kira lorsqu'elle arrivera.

- Vous avez oublié la mère de Marie Laure, mon cher Marc.

- Je ne l'ai pas oubliée, bien sur, Je vous ai dit qu'elle était très soumise. J'ai veillé à son entrainement avec le plus grand soin. Ne vous inquiétez pas pour elle : elle aura bien assez à boire et son repas sera très riche en protéines, cette nuit! 

- Nous avons quand même un problème de disposition de table : je verrais bien d'un coté de la table vous même, avec Jean. De l'autre coté, nous mettrons Kira entourée par son mari et le prince Kyrhan.

- Parfait, ils semblent très bien se connaitre mais il reste vous même, mon cher Marc et seul!

- Pas de problème pour moi, la mère de Marie Laure s'occupera de moi.... mais sous la table et non comme convive. Mais ce sera une première pour elle : elle m'a plusieurs fois taillé une pipe mais seulement lorsque nous étions seuls ou en présence de l'une ou l'autre de ses filles, jamais en public.

- Dans ce cas, il faut immortaliser l'évènement! Je la prendrai en photo de trois quart pour qu'elle soit parfaitement identifiable en train de vous pomper. Son mari est au courant? - Bien sur. Je lui ai donné des tirages de mes meilleures images et il en raffole!

- Dans ce cas, vous pourrez lui offrir un agrandissement et vous lui suggèrerez de l'accrocher bien en vue dans leur chambre à coucher. Comme cela, elle pensera à vous chaque soir surtout si son mari préfère la position du missionnaire!

- Bravo, voilà une idée plus vicieuse que toutes celles que j'ai pu avoir : un gars qui accroche lui même dans sa chambre à coucher une photo de sa femme en train de le cocufier : vous êtes une vraie perverse, ma chère Brigitte!! Vous me plaisez de plus en plus!

- Mais cela ne le gênera pas d'accrocher une photo porno dans sa chambre?

- Non : au fil du temps, j'en ai fait un vrai vicieux! J'ai fait acheter à sa femme toute une nouvelle garde robe avec des mini robes en cuir ultra moulantes à ras du cul, des talons de douze centimètres et des bas résille. Je lui ai même fait mettre à l'opéra avec son mari sous sa micro robe un body en résille qui couvrait tout le corps sauf ses seins, sa chatte et son cul. Je les ai ensuite amenés dans une boite et j'ai dansé avec elle en mettant mes mains sous sa jupe. Les autres danseurs ont pu voir son cul tout nu. Son mari était juste à coté de nous et il la regardait avec les yeux exorbités lorsque je lui ai enfoncé deux doigts dans le cul toujours sur la piste de danse. Elle a joui devant tout le monde, juste devant son mari. Je l'ai fait tourner très vite devant lui et il a pu voir qu'elle était presque nue sous sa robe très suggestive. Elle a crié très fort lorsqu'elle a joui et il a éjaculé dans son pantalon! 

- Impressionnant! 

- Pour tout vous dire, Brigitte, j'ai présenté Florence, la soeur de Marie Laure, à des amis allemands dont elle est devenue tout de suite la soumise. Pour elle, cela a été le grand jeu: rasée, tatouée, marquée au fer rouge, prostituée, partouzée, fouettée et humiliée même pas un mois après avoir eu ses dix huit ans. Ils ont envoyé une cassette à son père. Nous l'avons visualisée ensemble pendant que Marie Laure et sa mère nous faisaient des gâteries. Il a été très excité de voir sa fille avilie comme ça. Elle vit toujours en Allemagne avec ses maitres! Alors, sa femme, ce serait encore mieux! Il en redemandera!

- Vous n'avez jamais pensé à organiser une séance de baise avec des immigrés pour Marie Laure et sa mère en les faisant tenir en laisse par le cher homme. Lorsque tous les clients auraient tiré leur coup, il pourrait se soulager dans le cul de Marie Laure avant de se faire sucer par sa mère ou vice versa!

- Pas mal, encore une fois! Nous verrons ce que nous pourrons faire un de ces jours! Vous avez une sacrée imagination, Brigitte!

- C'est gentil de me le dire! Au fait, comment avez vous connu Dan'

- Nous nous sommes rencontrés dans une exposition au Grand Palais sur des estampes japonaises érotiques. Nous avons tout de suite sympathisé. Il a des amis très haut placés. C'est un peu bizarre pour un chercheur scientifique! J'ai cru comprendre que Kyrhan a un poste important dans le gouvernement indien mais Dan est très discret à ce sujet.

- Tiens une voiture vient de se garer devant la maison c'est peut être Kira et la mère de Marie Laure? Des troupes fraiches sont toujours les bienvenues!

Ils sortirent pour accueillir les nouvelles arrivées. Au volant de la grosse Citroën, il y avait une femme, la quarantaine avec un port royal, des pommettes relevées qui lui donnaient un air encore plus majestueux, les cheveux bruns longs. Sa silhouette assez élancée mettait en valeur ses hanches et sa poitrine opulente et haut perchée et sa taille fine. Elle portait une jupe d'été courte et un chemisier à décolleté assez profond. Bref le genre de femme qui attire les regards des hommes dans une foule. Ce devait être Kira, la femme de Dan!

- Bonsoir! Je me présente : je m'appelle Brigitte. Voici mon mari Jean et notre ami Marc. Les deux filles qui sont restées à la maison sont nos deux soumises : Virginie et Marie Laure. Mais je croyais que vous deviez venir avec la mère de Marie Laure'

Kira répondit par un sourire radieux.

- Elle est là mais d'après ce qu'elle m'a expliqué lorsque nous nous sommes rencontrées, elle est du genre très soumise. Jusqu'à présent, c'est resté limité à Marc, l'amant de sa fille et à quelques exhibitions dans des sex shops parisiens, à l'opéra ou dans la rue. Aujourd'hui, je lui ai dit qu'elle allait découvrir quelque chose de plus sérieux! 

- Certainement, Kira!

- Alors je l'ai emmenée au parking souterrain où ma voiture était garée et je l'ai fait mettre à poil devant une caméra de surveillance. Elle n'a apparemment pas remarqué le point lumineux qui signalait que la caméra fonctionnait. Je lui ai fait me sucer la chatte puis me lécher l'anus toujours en pleine vue du surveillant. Il n'a pas du en perdre une miette. J'ai fait rentrer Brigitte toute nue dans le coffre de la voiture. Lorsqu'on est passée à la caisse, le gardien était pivoine. Pour soulager le malheureux, je lui ai proposé d'aller ouvrir le coffre. Brigitte lui a taillé une pipe sans sortir du coffre de la voiture. J'ai pris quelques photos. J'ai pensé que cette pipe la mettrait dans l'ambiance!

- Bonne idée. Mais il serait peut être temps de la faire sortir du coffre. Elle doit être toute courbaturée! J'amène une couverture, Kira!

- Pourquoi faire? La rue n'est pas très passante. Elle pourra aller de la voiture à la maison toute nue en plein jour. S'il y a quelqu'un qui la voit, il n'en perdra pas la vue! Il faut être un peu dure avec ces soumises, ma chère! Elle a apporté un collier clouté et une laisse. Allez les lui mettre et ne vous pressez pas pour lui faire traverser la rue! 

Brigitte s'exécuta. Kira la surprenait : elle était une dominatrice peut-être encore plus expérimentée qu'elle même. Pourtant, elle sentait instinctivement que Kira était attirée aussi bien par l'exhibitionnisme que par la soumission. Ce genre de femme était toujours un cocktail détonnant. Il n'y avait donc rien d'étonnant à ce qu'elle eût attiré des hommes aussi intéressants que Dan et Kyrhan qui n'avaient pas tari d'éloges sur elle au cours de leurs conversations.

Dès que tout le monde fût rentré à la maison, à l'abri des regards indiscrets, Kira reprit la laisse en main et fit s'accroupir à ses pieds la mère de Marie Laure. Celle-ci obéit sans rechigner tellement le charisme de Kira paraissait l'avoir subjuguée. 

- Avant tout, nous devons régler un petit problème : vous vous appelez Brigitte et notre nouvelle soumise a le même prénom. Etant une dominatrice, vous garderez votre prénom, bien sur, mais elle devra en changer ou recevoir un diminutif qui marquera son statut inférieur : Que penseriez vous de Gigi'

- Pas mal mais je crois avoir une idée encore meilleure : j'ai eu jadis une chienne que j'avais appelée Gitane.

- Va pour Gitane! Bien, mes amis, je vous présente notre nouvelle chienne, Gitane. Je vois qu'elle a une poitrine aussi imposante que celle de cette autre fille. Je suppose qu'il s'agit de Marie Laure'

- Gagné! Marie Laure! Viens embrasser Gitane! Non, pas comme cela, espèce de gourde! A pleine bouche et utilise ta langue! Vous vous frottez aussi les seins et la chatte l'une l'autre. Sans les mains, bien sur!

Gitane dut ensuite saluer Brigitte puis Kira en se mettant à genoux successivement devant les deux femmes, en soulevant délicatement l'avant de leurs jupes et en jouant de la langue sur leurs chattes et leurs clitoris qu'aucun sous vêtement ne protégeait. 

- C'est bien : maintenant, tu vas t'occuper de Jean, Marc, Dan pour finir avec Kyrhan. Tu te mets à genoux devant eux, tu leur nettoies les chaussures avec ta langue, tu les suces avant de leur proposer ta chatte ou tes reins, à leur convenance.

Gitane s'exécuta bravement, venant à genoux devant chacun des hommes présents, nettoyer leurs chaussures avec sa langue avant de leur tailler une pipe. Jean choisit ses reins. Depuis qu'il usait de cet orifice tous les jours avec Virginie, c'était devenu pour lui une habitude. Il en usait même avec son épouse Brigitte depuis peu et elle ne s'en plaignait pas du tout. Marc choisit aussi le chemin de ses reins qui commençait à être bien lubrifié. Dan, peu soucieux de se vautrer dans le sperme de ses deux prédécesseurs, préféra explorer sa chatte et la trouva très accueillante, humide et chaude à souhait. Visiblement, devoir servie au plaisir de cinq hommes n'était pas une corvée détestable pour la mère de Marie Laure.

Pourtant, lorsqu'elle arriva devant Kyrhan, celle qui répondait depuis peu au nom de Gitane se figea, interdite, devant la bite de taille assez inhabituelle qu'il avait sorti de son vêtement hindou avec lequel elle n'était guère familière.

- Marc, je ne peux pas, elle est beaucoup trop grosse!

- Mais, non, rassure toi! Ta fille et la petite Virginie ont eu la même réaction affolée que toi. Dan leur a expliqué que Kyrhan est un homme très calme et posé et qu'il n'a jamais fait de mal sérieusement à une femme. Comme elles n'étaient pas convaincues, Brigitte a décidé que Kyrhan sodomiserait Virginie la première. Cela s'est très bien passé et si elle a hurlé vers la fin, c'était de plaisir lorsqu'il s'est enfilé à fond dans son petit cul.

- Elle n'a pas eu mal'

- Tu vois bien que non. Virginie, si je te propose de laisser Kyrhan s'occuper de ton petit cul à nouveau, qu'est ce que tu en diras'

- Tout de suite, Maitre! Et plutôt deux fois qu'une! Le prince sait vraiment y faire même avec une pauvre petite fille blanche comme moi, aussi étroite que je l'étais. Il m'a promis que la prochaine fois, ce serait encore meilleur!

- Tu vois! Ta fille y est passée aussi dans la foulée et elle n'a pas eu l'air de s'en plaindre! Pas vrai, Marie Laure'

- Oh non, Marc, mon maitre chéri! Maman, tu devrais essayer avec le prince, c'est un vrai magicien. Je n'ai pas eu mal du tout lorsqu'il m'a enfilée, juste une gêne étrange de se sentir si complètement remplie. J'ai bien eu un peu mal lorsqu'il est sorti de mon cul tout doucement avant de m'embrocher à nouveau de toutes ses forces. Je ne m'y attendais pas, il faut dire! C'était la surprise totale!

Par lina
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Vendredi 7 novembre 5 07 /11 /Nov 10:00

10565124_749739201732062_1684166154292565098_n.jpgBrigitte alla chercher dans le coffre de la voiture un collier blanc pour la brune Virginie et un collier noir pour la blonde Marie Laure. Virginie avait comme d'habitude un collier assez large avec une clochette tandis que l'autre était en cuir tressé brillant. Brigitte attacha la laisse à ce collier et fixa une longe à l'anneau nasal de Virginie. Elle lui tata la poitrine.

- Comment, toujours pas de lait? Moi, j'avais déjà commencé à en produire moins d'un mois après mes piqures d'hormone! Marc, vous n'envisageriez pas de mettre votre Marie Laure en production? Au prix où cela se vend, vous pourriez arrondir vos fins de mois. Nous serions intéressés!

- Non je ne veux pas m'enquiquiner à la traire matin et soir. 

- Dommage que vous n'habitiez pas plus près de chez nous! Je me serais fait un plaisir de venir m'occuper d'elle tous les jours et de faire fabriquer fromage et beurre par notre petite Virginie. 

- Tentant, en effet. J'ai vu la stalle que vous lui avez fait faire dans votre cave. On s'y croirait! La paille ne lui pique pas trop les seins?

- Pour une génisse ou une vache, on parle de mamelles. Pour répondre à votre question, le confort de Virginie est le dernier de mes soucis! C'est elle qui s'est offerte à Jean. A elle d'en assumer les conséquences!

- Oh mais je crois que j'entends la voiture de nos visiteurs. Il serait peut être temps de compléter le harnachement de nos deux soumises?

- Vous avez raison!

Brigitte tira de son sac un harnais qu'elle fixa sur la tête de Virginie. Il comportait des oeillères qui masquaient complètement sa vue. Elle y ajouta des bouchons pour ses oreilles. Elle était ainsi rendue aveugle et sourde. Brigitte se tourna ensuite vers Marie Laure. Elle eut droit au même harnachement auquel s'ajoutait un mors qui se refermait autour de sa langue et la tirait juste contre ses dents. Ainsi la jeune femme était tout aussi muette que sa compagne. 

La voiture de Dan arriva enfin. Il descendit de voiture le premier. Il était très large d'épaules avec une barbe fournie, un mètre quatre vingt. Mais la seconde personne qui descendit de voiture était beaucoup plus impressionnante: plus d'un mètre quatre vingt dix, une carrure à assommer un boeuf à main nue, une voix de stentor, des bras musclés de lutteur et un charisme phénoménal: c'était visiblement un chef né. Il se présenta sous le nom de Kyrhan Singh. C'était très certainement le prince hindou dont Marc avait parlé.

Par comparaison, le troisième arrivant faisait figure de gringalet. Pourtant, il était grand, bien bati, d'une fine élégance grace à laquelle on devinait l'aristocrate Anglais. Il brillait d'intelligence. Sa diction française était impeccable et sa politesse délicieusement surannée. Brigitte en fut folle dès le premier abord. Elle présenta aux nouveaux arrivants leurs deux soumises qui ne s'étaient même pas rendu compte que trois hommes venaient de les rejoindre. Dan s'intéressa au harnachement que Brigitte avait fait mettre à Marie Laure et Virginie. Il nota les piercings qui ornaient leurs seins, leurs grandes lèvres et leur clitoris. Il remarqua aussi que les grandes lèvres de Virginie portaient un cadenas qui devait tirer fortement sur ses chairs qui apparaissaient distendues. Brigitte lui expliqua.

- Cette petite dinde a encore son berlingot. Mon mari veut qu'elle attende encore un ou deux ans avant de la faire dépuceler et de la faire saillir probablement dans la foulée. Il hésite encore à ce sujet. Le dépucelage sera certainement fait en public et sera filmé pour que l'humiliation soit plus complète et plus durable mais il ne sait pas s'il s'en chargera lui même ou s'il confiera le travail au grand chien braque d'un de nos amis. L'animal a déjà été utilisé pour dépuceler successivement deux soumises l'an dernier et le spectacle a été très apprécié par l'assistance.

- Ca c'est passé comment?

- Elles étaient déguisées en écolières avec des socquettes blanches, une jupe plissée noire très courte et un chemisier blanc trop ajusté pour elles et bien sur aucun sous vêtement. Elles se sont fait enculer royalement par le chien qui a une bite impressionnante. Ensuite elles ont écarté les jambes et ont dirigé elles mêmes la pine du chien vers leur petit con de pucelle. Leurs cris lorsque l'animal les a déflorées assez brutalement ont fait éjaculer dans leurs pantalons la moitié des hommes présents. Moi, je me caressais furieusement tellement j'étais excitée.

- Vous nous tentez! Ma femme Leena et celle de Kyrhan, Kira, portent souvent des tenues hindoues. Leur faire revêtir une tenue d'écolière anglaise pas sage pourrait être amusant de temps en temps. Votre avis, Kyrhan?

- La description de Brigitte a suffi à me faire bander. Nos femmes sont restées faire du shopping à Paris pour ne pas vous effrayer par une arrivée en force. Mais, avec notre ami Dan, il faudrait une fille de plus car Leena a un rendez vous important avec un business man du Sri-lanka à Birmingham.

- Pas de problèmes, mes amis. La mère de Marie Laure est tout aussi chaude qu'elle et tout aussi plaisante à regarder. J'ai réussi à la soumettre elle aussi totalement. Je l'appelle, elle saute dans un TGV s'il y a de la place et elle sera à Paris dans moins de quatre heures. Le temps de louer une voiture et elle pourra nous rejoindre à Sedan avec Kira.

- Parfait. Pendant que vous organisez tout cela avec Dan et Jean, Brigitte pourrait nous faire la démonstration de ses résultats de dressage sur ces deux charmantes filles.

- Oh, leur dressage est loin d'être terminé : la brune a reçu des hormones et va bientôt nous donner du lait et la blonde a révélé tout récemment des tendances prometteuses de soumission et d'exhibitionnisme. Leurs piercings remontent à tout juste un mois mais ce sont déjà deux petites salopes accomplies.

Brigitte tenait d'une main ferme les laisses de Virginie et de Marie Laure. Elle ressentait encore une certaine gêne entre les deux groupes. Elle se dit qu'elle pourrait peut être payer un peu de sa personne pour dégeler la situation.

Elle remonta tranquillement sa jupe et l'enroula autour de sa ceinture. Elle fit glisser son string, heureuse de constater que son effeuillage discret avait attiré l'attention de tous les mâles présents. Elle débarrassa Marie Laure et Virginie de tout leur harnachement, fit descendre la première de la table où elle était juchée et l'attira à elle, toujours à genoux. Brigitte colla d'autorité sa motte contre la bouche docile. Elle tendit la longe de Virginie à son mari qui comprit aussitôt ce qu'elle voulait. Il amena la jeune fille vers les fesses de sa Maitresse.

Les deux soumises étaient déjà bien dressées et comprirent elles aussi ce qu'elles devaient faire. Virginie avait déjà eu plusieurs fois l'occasion de donner du plaisir à Brigitte avec sa langue mais on ne lui avait jamais demandé de s'intéresser à son anus. Elle sortit timidement la langue et la fit tourner tout autour de l'orifice encore bien fermé. La répulsion initiale passée, elle mit tout son cœur à l'ouvrage. Brigitte poussa intérieurement et son anus s'ouvrit. La langue de Virginie s'enfonça sans sourciller dans l'orifice béant.

Pendant ce temps, Marie Laure était aux prises pour la première fois de sa vie avec le sexe dégoulinant d'une femme. Elle fit un effort pour se rappeler tout ce qui avait pu lui donner du plaisir à elle. Elle se mit à lécher le jus qui coulait de la chatte baveuse. Elle s'appliquait méticuleusement lorsqu'elle sentit le sexe vigoureux d'un homme s'immiscer entre ses fesses. L'homme (c'était Dan) lui fit écarter les jambes pour mieux l'accueillir. Il n'eut pas à forcer bien fort pour pénétrer son sexe trempé. En même temps, il enfonçait son pouce bien raide dans son anus, cherchant à l'évaser progressivement. Dan en dépit de son habileté n'aurait certainement pas réussi à préparer l'anus de Marie Laure à des pénétrations autrement plus considérables mais la veille, celui-ci avait été occupé par un plug noir autrement plus gros que le petit pouce de Dan. 

En quelques minutes, le cul de la jeune fille s'assouplit et s'ouvrit tout grand. Dan se retira rapidement et laissa la place à son ami Kyrhan. Marie Laure s'affola lorsqu'elle vit la torpille monstrueuse qui se préparait à lui défoncer l'anus. Marc était aussi quelque peu affolé ainsi que Jean, Brigitte et leur nièce. Virginie se voyait déjà déchirée et amenée aux urgences de l'hopital le plus proche. Dan et Peter s'employèrent à les rassurer, leur expliquant que Kyrhan était très doux et très patient, que leurs épouses respectives faisaient souvent l'amour avec lui et qu'aucune blessure n'en était jamais advenu. Dan leur proposa de téléphoner à Leena et Kira pour avoir leur avis sur le sujet. Brigitte et Marc furent décontenancés lorsque leurs inquiétudes furent balayées par un formidable éclat de rire.

- Ne vous inquiétez pas du tout! Kyrhan est un amant tellement fantastique qu'il pourrait réussir à faire saillir n'importe quelle pucelle par un étalon, un vrai cheval!

Brigitte quelque peu vexée par le fou rire des deux filles au téléphone décida de tenter l'expérience avec sa propre soumise, Virginie. Elle aussi avait été dilatée par le plug monstrueux de Romuald. Si cela se passait bien avec elle, il serait toujours temps d'offrir Marie Laure à ce chibre gigantesque. Marc n'aurait plus de raison de s'inquiéter. Pendant ce temps, Brigitte passerait bien quelques moments agréables avec Peter. Elle avait toujours été très sensible au charme aristocratique des Anglais. 

L'opération fut un peu longue, près d'une demie heure pour que Virginie puisse sentir coulisser de bout en bout la pine monstrueuse dans son anus. A chaque mouvement, elle criait à gorge déployée. Au début, Marc et Jean avaient cru distinguer quelques accents de douleur dans ces cris stridents mais maintenant, il n'y avait plus de doute possible : Virginie jouissait comme une possédée, dilatée à se rompre par le sexe surdimensionné du prince Kyrhan. Elle le réclamait à cor et à cri, pour qu'il s'enfonce encore et encore dans son petit trou du cul horriblement dilaté, qu'il se vide enfin au fond de ses boyaux. Virginie délirait de plaisir, lui promettant les plus abjectes soumissions s'il daignait continuer à la prendre par cette porte qui n'était plus si petite. Brigitte avait enfoncé sa main jusqu'à l'avant bras dans cet anus et elle l'avait remplacé ensuite par une bouteille de Champagne qu'elle y avait enfoncée jusqu'à la moitié du goulot. Mais si Kyrhan se retirait subitement, il était clair que la bouteille pourrait maintenant rentrer tout entière dans cet anus.

Virginie cria encore plus fort lorsque Kyrhan se répandit dans son fondement. Elle perdit connaissance alors qu'il se retirait très lentement de son cul pour ne pas la blesser. Lorsqu'il se libéra enfin avec un luxe inhabituel de précautions, il se tourna sur la couverture dans l'herbe pour se trouver nez à nez avec Marie Laure qui ayant vu Virginie jouir comme une damnée pendant plus d'une demie heure, voulait participer elle aussi à la fête. L'idée devait être contagieuse car Brigitte, qui avait baisé avec Peter, puis avec Dan et à nouveau avec Peter pendant que Virginie puis Marie Laure se faisaient ramoner l'anus d'importance, de façon si divine, manifesta aussi le souhait de se faire sodomiser à son tour par Kyrhan. Celui-ci était un peu fatigué et promit de s'occuper d'elle à la première heure le lendemain matin. Tout le monde repartit donc pour Sedan où la maison était bien assez grande pour les accueillir tous, y compris les deux femmes qui devaient arriver dans la soirée.

Par lina
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Jeudi 6 novembre 4 06 /11 /Nov 16:40

Brigitte laissa un instant sa nièce Virginie qui s'était évanouie au cours d'un fist fucking mémorable. Elle avait retiré sa main de son cul et l'avait remplacée par le col d'une bouteille de Champagne qu'elle lui avait enfoncée presque jusqu'à la moitié du goulot.

- Maintenant, ma chère Marie Laure, si nous nous occupions sérieusement de ton cas? Lève toi et plus vite que ça!

Brigitte avait sorti d'un placard le long fouet dont elle s'était servie peu de temps auparavant pour corriger Virginie. Marie Laure s'était jusque là limitée avec sa cousine Brigitte à un peu d'échangisme. Jean était un très bon amant, très exigeant, Marie Laure pouvait en témoigner! Elle ne s'était pourtant jamais seulement mise nue devant sa cousine et ne s'était jamais soumise à elle. Elle se tourna vers Marc qui la regardait en souriant. Visiblement, elle ne pouvait espérer aucune intervention de sa part. Peut-être même, Brigitte, Jean et lui s'étaient entendus. Marc avait nourri ses tendances innées qui la portaient vers l'exhibitionnisme et la soumission mais jusqu'à présent, seuls des inconnus avaient pu en profiter. Sa mère et sa soeur partageaient ses tendances et étaient tombées elles aussi sous la domination de Marc. 

Apparemment, Marc souhaitait la livrer à Brigitte et Jean. C'était des cousins mais ils ne faisaient pas partie de sa famille très proche et surtout, ils étaient clairement des dominateurs expérimentés. Elle frissonna en pensant qu'ils n'habitaient pas si loin de chez elle et que Brigitte qui était femme au foyer et Jean pourraient facilement venir la voir et lui infliger humiliations, épreuves et même punitions quand bon leur semblerait. C'était vraiment les intentions de Marc puisqu'il lui dit :

- Ma chérie, je voudrais que Brigitte et Jean disposent des clés de notre appartement. Donne leur ton trousseau!

Marie Laure eut l'impression d'être en plein cauchemar lorsqu'elle ouvrit son sac, fouilla dedans et en tira ses clés. Le porte clé comportait son prénom en métal argenté. Elle voulut garder ce petit cadeau de Marc mais il arrêta son geste. 

- Laisse! Comme cela, Brigitte saura tout de suite retrouver le trousseau. Je t'en ai fait faire un autre.

Il lui tendit aussitôt un autre jeu de clés. Il y avait aussi un porte-clefs avec des lettres, noires, celles-ci. Marie Laure la tourna pour lire ce qui était écrit en majuscules. Elle lut : SOUMISE. 

- J'ai trouvé amusant de te faire savoir de cette façon le rôle je voulais que tu joues. J'en ai fait faire toute une série. Je voudrais que tu me promettes de t'y conformer quoique je puisse te demander.

Marie Laure eut l'impression qu'un gouffre s'ouvrait devant elle. Marc lui demandait de s'engager pour l'avenir, de s'engager à lui obéir totalement. Cette perspective la terrifiait mais aussi l'excitait terriblement. Jusqu'où voudrait-il l'emmener? Elle n'en avait aucune idée et cela donnait tout le piment à la situation. Elle répondit dans un souffle:

- Oui, Marc. Euh, non, plutôt: oui, Maitre!

- Eh bien, puisque tu admets enfin ta vraie nature, qu'attends tu pour obéir aux ordres de Brigitte? Tu dois lui obéir désormais comme à moi et pareil pour Jean. Je pense qu'elle est impatiente de te voir nue! Je crois d'ailleurs qu'elle a un argument décisif à la main pour t'en convaincre.

Brigitte jouait négligemment avec le fouet. Certaine qu'elle ne pouvait pas attendre d'aide de Marc ou de Jean qui paraissaient très excités par la tournure des évènements, Marie Laure se résigna à obéir. Elle déboutonna son corsage et le plia sur une chaise, baissa la fermeture éclair de sa jupe et défit l'agrafe à la taille en rougissant. Sa jupe portefeuille s'ouvrit aussitôt et rejoignit immédiatement le corsage sur la chaise. Marie Laure avait fait le trajet en voiture sans slip et sans soutien-gorge. Sa nudité présente expliquait les joues pivoine qu'elle arborait.

Brigitte s'assit dans un fauteuil sur la terrasse en intimant à la jeune femme de la suivre. Comme Marie Laure n'obéissait pas assez vite à son goût, elle revint vers elle et lui administra un coup de son fouet enroulé sur le gras de ses fesses. Marie Laure fit un bond en avant et, sans discuter, suivit Brigitte. Celle-ci la fit se mettre au garde à vous devant le fauteuil qu'elle s'était choisie. Elle alla chercher différents accessoires dans la maison en laissant Marie Laure en plein soleil avec interdiction formelle de bouger. L'autorité naturelle qui émanait de son aînée fit que la jeune femme ne songea pas une seconde à désobéir. 

Brigitte revint avec une cordelette dorée avec laquelle elle tressa soigneusement une sorte de corset autour de la poitrine de Marie Laure. Un tour de poitrine au dessous de chaque sein et un tour au dessus avec tous les cinq tours, un tour autour de chaque sein. Le résultat fut spectaculaire: les seins étaient parfaitement maintenus, étirés violemment vers l'avant et parfaitement séparés. La respiration de Marie Laure était maintenant totalement réduite à son abdomen. Lorsque Brigitte arrêta son tissage, seuls les mamelons étaient encore visibles. Elle termina son travail par un beau noeud, juste entre ses deux seins.

Brigitte entreprit ensuite de saucissonner la taille de Marie Laure de façon extrêmement étroite. Au fur et à mesure, la respiration de la jeune femme devenait de plus en plus difficile. Finalement, elle ne put utiliser que le haut de sa poitrine dans un halètement laborieux qui avait l'immense avantage d'agiter sa poitrine de mouvements affolés extrêmement suggestifs.

Brigitte n'en avait pas fini avec Marie Laure. Elle exhiba une paire de menottes qu'elle lui attacha dans le dos, derrière les reins. Elle prit ensuite ce qui restait de ficelle dorée et entreprit de lui attacher les deux coudes ensemble puis d'essayer de les rapprocher le plus possible. Elle n'espérait pas les amener en contact pour cette première séance de bondage mais se déclara très satisfaite de les avoir rapprochés à moins de dix centimètres.

- Tu verras, ma chérie, avec un rien de pratique, ils se toucheront parfaitement et je pourrai envoyer ta photo aux magazines spécialisés!

Une dernière exigence fut de faire porter à la jeune femme des chaussures compensées à talon de plus de douze centimètres. Marie Laure n'osait plus bouger de peur de tomber. Brigitte aida ensuite sa victime à s'agenouiller devant le fauteuil dans lequel elle prit place.

- Maintenant, mets ta tête sous ma jupe et active ta langue sur ma chatte et mon clito. Si je ne suis pas entièrement satisfaite, tu risques de passer un bien mauvais quart d'heure!

Marie Laure n'avait jamais eu de relations avec une autre femme mais confusément, elle comprit que Brigitte était le genre de fille qu'il fallait satisfaire à tout prix. Elle posa donc ses lèvres sur la chatte de Brigitte qui avait déjà commencé à jouer avec son fouet, en lui tapotant le dos avec la pointe nouée de l'outil de punition.

La compagne de Marc n'avait peut être pas beaucoup d'expérience mais elle compensait ce handicap provisoire par une bonne volonté digne d'éloges et un talent inné. Brigitte se dit qu'il suffirait de quelques semaines pour en faire soit la dernière des trainées, soit la reine de leurs soirées, en tout cas jusqu'à ce que la petite Virginie ait atteint sa maturité sexuelle.

Lorsque Brigitte fut sur le point de jouir, elle appela son mari et Marc.

- Jean, cette petite salope me suce comme une reine, je vais jouir dans un instant. Je voudrais que tu lui rendes le travail un peu plus difficile en lui administrant une bonne correction pendant qu'elle s'occupe de moi: une fessée magistrale, quelques coups de ta ceinture voire de ta cravache. Cela ne la rendra que meilleure pour me sucer. Lorsqu'elle aura rempli son office, vous pourrez vous occuper d'elle, toi et Marc. Prenez-la en sandwich ou toi dans sa chatte ou son cul et Marc dans sa bouche mais faites la crier vraiment fort!

Marie Laure fit beaucoup de progrès dans son éducation sexuelle ce jour-là, réalisant un nombre impressionnant de premières dans sa jeune vie. Elle dut reconnaître, à son corps défendant, que certaines des expériences auxquelles Brigitte l'avait soumise étaient vraiment très agréables et excitantes et qu'elle recommencerait volontiers, même si c'était au prix des quelques moments d'inconfort voire carrément de douleur qu'elle avait aussi vécus.

Marc et Marie Laure passèrent la nuit chez Jean et Brigitte. Bien entendu, Marie Laure et Virginie furent au centre de l'intérêt des trois dominants. Le lendemain, Virginie revêtit une cape sur son corps nu et se rendit dans la boutique où tous les piercings prévus devaient être réalisés. Jean, Marc et Brigitte assistèrent aux opérations de bout en bout. Lorsque tout fut fini, Jean et Marc repartirent avec la jeune fille. Ils la firent monter dans la voiture mais dans le coffre. Marie Laure avait fait le voyage aller avec Virginie dans cet espace exigü. Marc avait décidé au milieu de la nuit, alors qu'il était profondément enfilé dans l'anus de son amie qu'il aimerait bien lui faire porter les mêmes bijoux intimes que Virginie. Marie Laure, comme à son accoutumée, avait tergiversé un moment avant de se soumettre à la volonté de son amant.

Marie Laure portait un poncho large qui attira certes les regards mais plus par son caractère insolite et coloré que par son indécence. Pourtant, il était très court et elle était totalement nue en dessous. Elle était passablement effrayée par ce qu'on allait lui faire. Cependant, ayant vu que Virginie ne paraissait pas particulièrement malmenée lorsqu'elle était remontée dans le coffre, elle se sentait beaucoup rassurée.

L'homme qui allait lui faire les piercings se présenta sous le nom de Romuald. Cheveux courts, mise impeccable mais Marie Laure sentit d'instinct que c'était un homo qui n'aimait pas du tout les femmes et elle en particulier. Pourtant, il utilisa les poches de froid classiques pour insensibiliser les zones où il allait faire les piercings. Il lui rasa la chatte soigneusement car le moindre poil pouvait poser un problème d'asepsie et de cicatrisation retardée. En moins d'une heure, Marie Laure se retrouva pourvue d'anneaux assez larges aux seins, deux paires de petits anneaux plus larges pendaient de ses grandes lèvres et un autre plus fin était fixé au capuchon de son clito. Marc, soucieux de la réaction de ses profs de fac, lui avait épargné l'anneau dans le nez, trop animal à son goût.

- Tu sais, cela ne changera pas grand chose pour toi : au lieu d'attacher ta longe à ton anneau de nez, j'utiliserai l'un des anneaux qui pendent sur tes grandes lèvres.

En échange, Marie Laure eut droit à quelques tatouages évocateurs : au bas de ses reins, au dessus de son anus, un court texte proclamait :

RESERVE

A MARC

ET SES

AMIS

Sa chatte portait de son coté la seule mention : 

USAGE

PROTEGE

LIBRE

Romuald riait en tatouant le texte que Brigitte avait préparé. 

- Une question : est ce que je fais partie des amis? Si oui, ce sera gratuit pour ces deux chiennes mais vous me les ramenez la semaine prochaine pour que je m'assure qu'elles cicatrisent normalement. Vous me les laisseriez une journée entière? 

- Pas de problème pour l'autre, Virginie, mais Marie Laure repart pour Paris demain ou après demain. . .

- Dommage! Peut-être dans quelque temps?

- Certainement. Quand seront-elles à nouveau baisables sans risque?

- Si vous les laissiez tranquilles, je vous dirais deux semaines mais je suis certain que vous les baiserez ou les ferez baiser tous les jours. Je vous conseille alors d'être prudent pendant un bon mois.

- Alors à dans un mois!

Les deux couples se revirent tous les week-ends, de plus en plus longtemps, soit à Paris, soit à Sedan. Un mois après leur visite chez Romuald, elles vinrent faire leur contrôle chez lui. Elles portaient à nouveau cape et poncho comme la première fois. Brigitte et Marc les accompagnaient pendant que Jean préparait un pique nique pour le lendemain. Le trajet choisi était nettement plus long car les deux dominants jouissaient d'exhiber leurs soumises dans la rue. Toutes les deux portaient des talons démesurés et roulaient des hanches comme si leurs reins étaient montés sur roulements à billes. Apparemment, elles étaient maintenant très à l'aise même à moitié nues en pleine ville.

Romuald voulut montrer à ses invités que la cicatrisation était parfaite. Pour cela, il fit se déshabiller Marie Laure et Virginie, les fit se mettre face à face avec leurs mains menottées dans le dos. Il les fit se rapprocher jusqu'à ce que leurs seins entrent en contact. Il leur fit ensuite rectifier la position jusqu'à ce que leurs pubis glabres entrent eux-aussi en contact. Puis il relia leurs anneaux respectifs : leurs tétons d'abord puis leurs grandes lèvres et finalement leurs clitoris. Les deux filles étaient maintenant étroitement accolées. 

Romuald proposa à Marc de se dévêtir comme lui. Les sexes des deux soumises étaient inaccessibles mais leurs anus étaient sans défense. Romuald les graissa avec une crème très épaisse. Il s'ajusta derrière Marie Laure et dit à Marc de faire de même avec Virginie. En un instant, les deux filles se retrouvèrent empalées jusqu'à la garde par la virilité impressionnante de leurs étalons respectifs. Chaque ruade dans leurs reins provoquait un contre coup qui touchait aussi bien leurs seins que leurs chattes et leurs clitos. Elles eurent un peu de mal à coordonner leurs mouvements mais le quatuor finit par trouver le bon rythme. Ils jouirent tous violemment, les hommes d'abord et, un instant plus tard, les filles les suivirent. 

Pour éviter de blesser les filles entravées, les deux hommes se retirèrent rapidement les laissant debout au centre de la pièce. Comme elles n'étaient plus soumises aux attentions des deux mâles, elles se concentrèrent sur les sensations qui émanaient de leurs corps. Virginie commença à frotter délicatement les bouts de ses seins contre ceux de sa compagne. Celle-ci accompagna le mouvement en appuyant son pubis contre celui de Virginie. Au bout de quelques mouvements, leurs lèvres se joignirent tout naturellement et leur contact se mua en un baiser profond et passionné à pleines bouches. 

Brigitte et Marc laissèrent comme convenu les deux filles chez Romuald. Ils ne posèrent aucune question sur le programme de la nuit. Romuald pouvait user d'elles comme bon lui semblait du moment que Brigitte et Marc pourraient en reprendre possession le lendemain à quatorze heures comme convenu. Le samedi à l'heure dite, tout le monde était au rendez vous. Marie Laure et Virginie attendaient sagement nues, à genoux sur une table, les genoux reposant sur une règle métallique triangulaire qui devait leur faire assez mal. Leurs dos, fesses et seins étaient marqués par une fouettée qui avait du être violente. Elles avaient toutes les deux un gros plug en plastique noir enfoncé dans leurs anus. Elles le gardèrent pour rentrer à la maison.

Le lendemain, Marc descendit de voiture dans la clairière où il avait prévu de faire le piquenique. Leur promenade à vive allure sur l'autoroute bien dégagée avait constellé son pare brise et ses phares de mouchettes, moustiques et autres insectes dont les restes salissaient les vitres de protection. Il vit là une occasion en or d'humilier les deux filles devant Jean et Brigitte. 

- Les filles! Les phares sont répugnants avec tous ces insectes écrasés. Vous allez me les nettoyer tout de suite! Au travail, fainéantes!

Virginie étant réduite au silence, Marie Laure se chargea de demander avec quoi elles devaient travailler. Marc nota avec satisfaction qu'elles avaient accepté cette nouvelle corvée sans rechigner. Elles étaient même venues voir de près le travail qu'elles avaient à faire.

- Pas de matériel pour cela! Vous allez nettoyer la vitre avec votre langue. Mettez vous à poil à genoux dans l'herbe devant la voiture. Vous avez dix minutes. Après, vous aurez droit à deux coups de cravache par minute supplémentaire!

- Mais c'est répugnant!

- C'est justement pour cela que nous voulons vous voir le faire et plus vite que cela! Brigitte, attache leurs mains derrière leur dos, s'il te plait. Elles n'ont le droit d'utiliser que leur langue et rien d'autre!

Virginie eut des hauts le coeur et Marie Laure vomit lorsqu'elle dut avaler une libellule à moitié écrasée et qui bougeait encore. Heureusement pour les filles, il n'y avait ni guêpes, ni abeilles, ni frelons, ce qui aurait pu être dangereux à avaler.

Pendant que Virginie et Marie Laure s'affairaient, dégoutées, Brigitte et Marc s'affairaient pour préparer la table: trois assiettes sur la table et deux écuelles par terre. Les deux filles soumises n'auraient pas droit à manger à la table de leurs Maitres et Maitresse.

Avant de passer à table, Marc émit une nouvelle exigence humiliante. Cette fois-ci, les filles devraient nettoyer et polisher la carrosserie toujours sans l'aide de leurs mains. Marie Laure demanda à nouveau comment elles allaient appliquer le détergent puis le polish.

- Très simple les filles: vous allez frotter la carrosserie avec vos roberts et mettez y du coeur. Attention, le produit de polissage est assez agressif pour la peau. Vous pourrez mettre un chiffon pour protéger vos nichons. 

Marc se tourna vers Jean et Brigitte.

- C'est un ami français, Dan, qui va souvent en Inde avec sa femme Kira qui m'a donné l'idée. Il viendra nous rejoindre tout à l'heure avec deux amis.

- Vous les connaissez bien?

- Très bien. Ses amis les plus proches sont des gens très bien : un prince hindou, un maharadja, je crois, et un grand patron de l'industrie anglais. J'aimerais bien les inviter à passer quelques semaines avec nous. Ce serait drôle d'habiller Marie Laure et Virginie en saris de soie avec rien en dessous et de les envoyer faire leurs courses en ville. Elles nous ramèneraient sans doute quelques admirateurs toutes les deux!

Les deux filles qui s'occupaient de la voiture étaient toutes les deux très généreusement dotées par la nature, Marie Laure avait hérité de sa mère une poitrine impressionnante (95E) et un tour de taille comparativement mince: la forme en sablier qui donne l'eau à la bouche à tous les hommes. Elle ne manquait d'ailleurs pas de propositions de voisins, collègues de travail ou parfois même d'inconnus dans la rue, fascinés par sa silhouette fabuleuse. Virginie n'avait pas encore terminé sa croissance mammaire. Elle avait reçu des injections d'hormones et ses seins commençaient à froler le 95D ce qui lui valait une attention soutenue dans la rue, elle aussi. A elles deux, elles eurent tôt fait d'astiquer parfaitement la voiture. Marc les envoya se rincer dans un petit ruisseau qui coulait à proximité. L'eau était plutôt froide mais comme il s'agissait de deux filles très soumises, cela n'avait aucune importance.

Pour l'instant, il était l'heure du repas. Jean envoya Virginie tirer une glacière du coffre de la voiture tandis que Marie Laure alla chercher le sac avec le repas des deux soumises. Au menu, foie gras arrosé de Sauternes millésimé, saumon en gelée à la mayonnaise avec un délicieux Kaefferkopf et charlotte aux fruits rouges avec une flute de champagne pour les trois dominateurs, macédoine de légumes avec une boite de viande pour chien et eau du ruisseau pour les autres. Marc fut gentil avec elles: il délia leurs mains mais il leur interdit de s'en servir pour manger. Elles durent donc s'exécuter à quatre pattes en plongeant le nez dans leurs écuelles. Lorsque leurs auges furent vidées, elles avaient le visage couvert de débris de leur repas.

- Vous êtes dégoutantes! Vous ne savez pas manger proprement? Nettoyez-vous donc l'une l'autre. Oui comme cela, avec la langue! Léchez-vous le museau comme les deux petites chiennes que vous êtes. A propos, ma chère Brigitte, il serait peut être temps de leur mettre leurs nouveaux colliers et leurs laisses. Si nous avons des visiteurs, je ne voudrais pas les laisser divaguer, de peur qu'on passe des heures à les retrouver!

Par lina
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Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 17:16

Justement, le moment parut propice à Brigitte pour tester le niveau d'asservissement de Virginie. Elle invita une cousine qui venait parfois dans la région où elle avait une maison de famille avec un grand jardin pour le lendemain. Son compagnon, Marc, viendrait avec elle. Cette cousine, Marie Laure, à l'allure très sexy, assez mince mais avec une poitrine à faire damner un saint d'après la description de Brigitte n'était pas du tout au courant des activités de cette dernière, de son mari et maintenant de leur nièce et fille adoptive. 

Virginie allait avoir l'occasion de remettre une tenue normale, en tout cas pour l'aspect extérieur: jupe portefeuille courte en coton blanc, polo rouge, socquettes blanches et sandales en cuir blanc, une tenue pas particulièrement originale pour une jeune fille qui venait de fêter ses dix huit ans. Par contre, lorsqu'on la regardait avec un peu d'attention, on voyait ses seins libres sous le polo trop petit d'une ou deux tailles et qui moulait ses seins de façon très crue. Aucune marque de slip n'était visible sous sa jupe, là aussi rien de surprenant puisque tout sous vêtement avait été interdit à la jeune fille. Enfin la jupe elle même était faite de nylon très léger qui bougeait au moindre souffle de vent. 

Virginie avait été fermement avertie que si une bourrasque survenait et qu'elle faisait le moindre geste pour maintenir sa jupe en place, elle serait sévèrement punie. Les invités auraient alors tout loisir pour découvrir sa chatte lisse comme celle d'une petite fille et ses grandes lèvres décorées d'un rouge à lèvres très lumineux. Ce petit incident prémédité aurait l'avantage de fixer l'atmosphère de cette réunion.

Peu avant midi, la voiture des invités entra dans la cour avant. Marc était au volant et Marie Laure était à coté de lui. Virginie alla les accueillir et tout naturellement commença par ouvrir la portière de la passagère. La femme très jolie arborait comme on le lui avait annoncé une poitrine fabuleuse qui attira le regard envieux de Virginie. 

- Mon dieu! Elle fait au moins du 95D. Je vais être comme elle dans moins de trois mois! Au moment où elle ouvrait totalement la porte de la voiture, une rafale insidieuse frappa la façade et la jupe de Virginie se releva en découvrant ce qu'elle aurait voulu cacher. La jeune fille rougit de confusion jusqu'aux oreilles mais, obéissante, ne chercha pas à remettre en place sa jupe. La femme sourit en examinant le spectacle inattendu qui lui était offert. Elle portait elle aussi une jupe portefeuille du même type quoique portant la griffe d'un grand couturier. Au bout d'une ou deux minutes, elle attrapa le bord libre de sa jupe et l'écarta d'un geste négligent mais avec un grand sourire. Virginie put constater que la femme ne portait pas non plus de slip et que sa chatte était tout aussi lisse que la sienne. La femme prit le menton de Virginie dans sa main et la força à lever la tête.

- Tu n'as pas à avoir honte. Tu es déjà très jolie et ton corps fera la joie de beaucoup d'hommes. . . et de femmes! Tu ne trouves pas, Marc?

Son compagnon s'impatientait un peu.

- Si, si! Je crois qu'on nous attend! Laisse cette gamine tranquille!

Virginie était révoltée. Cet homme la prenait pour une gamine! C'était insupportable. Elle avait déjà subi sans broncher une quinzaine d'hommes qui l'avaient enculée à tour de rôle et deux avaient joui dans sa gorge sans compter la femme qui l'avait fait jouir et à laquelle elle avait rendu la pareille. Elle allait lui montrer qu'elle était une vraie femme qui méritait bien quelques égards. Elle se dirigea vers l'entrée en marchant devant lui et en tortillant du cul pour l'exciter. L'homme ne parut rien remarquer.

Virginie devait assurer le service de table. Sa tante lui avait déjà montré ce qu'il fallait faire et la jeune fille fit de son mieux pour que tout soit parfait. Un moment où elle servait du vin à l'homme, elle se trouva debout entre lui et sa femme. Virginie eut la surprise de sentir deux mains, une de chaque coté, remonter sous sa jupe et explorer délicatement sa chatte pour celle de la femme et ses fesses pour celle de l'homme. Les instructions de Brigitte avaient été très claires: si un visiteur se lançait dans l'exploration de son cul, sa fente ou ses seins, elle devait le remercier à mi voix de l'intérêt qu'il lui portait et se disposer de façon à lui faciliter autant que possible la tâche. Elle se tourna donc à moitié pour offrir sa chatte à la femme et son petit cul à l'homme qui commençait déjà à forcer son anus. Jean s'amusa beaucoup de la situation avant de venir à la rescousse. 

- Marc, tu devrais débarrasser cette petite dinde de sa blouse, que la splendeur de sa jeune poitrine illumine ce repas. Quant à vous, Marie Laure, ma chère cousine, que diriez-vous de faire de même? Ma protégée a reçu des piqures d'hormones adéquates et d'ici trois petits mois, vous ne serez plus la seule à nous faire rêver! 

Marie Laure ne s'était jamais encore dénudée devant Brigitte et son mari mais cette petite, comment déjà? ah, oui! Virginie, l'avait bien excitée avec sa chatte rasée et ses grandes lèvres baveuses. Elle et Marc, son compagnon avaient une vie sexuelle bien remplie, faisant l'amour un peu partout avec une prédilection pour les endroits où ils pouvaient être surpris comme le jardin de leur pavillon où quelques logements avaient une vue imprenable sur la propriété. Ils avaient aussi fait l'amour à l'arrière de la voiture de Marc garée sur un parking du centre ville en pleine nuit, dans l'entrée de leur immeuble à Paris ou carrément sur leur balcon, à l'abri insuffisant d'une balustrade en fer forgé. Marie Laure s'était d'ailleurs débarrassée de tous les pots de fleurs qui pouvaient gêner la vue des voisins voyeurs qu'elle espérait nombreux.

Depuis le premier soir, le jeune couple avait trouvé piquant de faire l'amour à la fenêtre de leur appartement. Trois nuits auparavant, par exemple, il faisait beau, Marc l'avait mise toute nue et elle s'était penchée au dehors en appuyant sa poitrine nue sur le rebord de la fenêtre de leur chambre. Elle cachait seulement ses aréoles avec ses deux mains. Son compagnon l'avait prise en levrette, lui arrachant de longues plaintes sourdes tellement les sensations qu'elle éprouvait étaient fortes. Lorsque son besoin de jouir était devenu trop intense, l'homme avait ôté les mains de Marie Laure de sa poitrine et les avaient croisées derrière son cou. Elle n'avait plus bougé, offrant sa poitrine orgueilleuse à tous les regards, toute honte oubliée. Il avait sorti son téléphone portable et pris une série de photos à bout de bras pour immortaliser l'événement. Seulement après, il avait relâché son contrôle sur lui même pour jouir bien au fond de sa chatte. Dès le lendemain, il avait envoyé les photos les plus réussies à tous leurs amis, enfin plus exactement à tous ceux qui partageaient un tant soit peu leurs goûts exhibitionnistes.

L'expérience avait exacerbé leurs tendances de ce coté-là et depuis les premiers temps de leur vie commune, ils recommençaient souvent en essayant d'apporter de temps en temps un élément nouveau. Une fois, il faisait nuit. Il avait ouvert les rideaux de la porte fenêtre de leur salle à manger qui donnait sur un balcon. Il avait allumé toutes les lumières pour attirer les regards du voisinage. Il l'avait mise nue à nouveau et l'avait collée contre la vitre avant de l'enculer toujours collée contre la paroi. Là, elle n'avait même pas pu voir s'ils avaient eu des spectateurs et c'était justement cela qui l'excitait.

Depuis leurs premières expériences, les délices de l'amour dans leur chambre, dans le noir et les volets fermés leur avaient semblé bien fades en comparaison. Il leur fallait quelque chose de plus excitant. Avec Jean et Brigitte, ils étaient bien tombés et il y avait peu de chances qu'ils s'ennuient vraiment la nuit prochaine. Et la petite Virginie apporterait certainement une contribution très appréciée à leurs plaisirs.

La table était mise pour quatre personnes, une petite table carrée idéale pour les parties fines, suffisamment proches pour que les hommes puissent atteindre sans grande difficultés les chattes de leurs voisines ou taquiner leurs poitrines, leur faire du genou mais suffisamment éloignées pour que les contacts accidentels soient rares. Lorsque Marie Laure voulut s'asseoir, elle vit la main droite de Jean qui reposait la paume en l'air sur le siège où elle voulait prendre place. Le majeur et l'index étaient tendus à la verticale. Il n'était pas très compliqué de comprendre ce que souhaitait leur hôte. 

Marie Laure troussa sa jupe et s'assit lentement sur les doigts accolés qui commencèrent aussitôt à s'agiter dès que la chaleur humide de sa chatte les entoura. Lorsque ses fesses arrivèrent en contact avec la paume de Jean, un soupir d'aise échappa de ses lèvres. Un mouvement spasmodique de son ventre avertit l'assistance que Marie Laure commençait à jouir. Marc et Brigitte applaudirent. Marie Laure se mordit les lèvres pour ne pas leur laisser le plaisir de l'entendre crier. Jean laissa ses doigts enfoncés dans la chatte trempée honteusement. Lorsqu'il les retira, il appela Virginie et lui mit successivement ses doigts dans la bouche en lui intimant l'ordre de les nettoyer parfaitement avec sa langue. La jeune fille s'activa immédiatement.

- Votre petite Virginie est une perle. J'espère que vous me la prêterez à l'occasion.

- Cela va sans dire, chère amie! Elle est d'ores et déjà à votre disposition si nous n'avons rien prévu pour elle.

- Et quel est son programme?

- Demain, je l'amènerai chez Romuald pour lui faire tout le jeu de piercings requis. Elle ne sera donc pas disponible pendant une huitaine.

- Même son cul?

- Non, bien sur! Il a déjà pas mal servi depuis notre visite à Saint Azul.

- Lui avez vous déjà mis un plug?

- Non, pas encore, voulez vous étrenner notre nouveau jouet? J'ai justement un modèle gonflable qui sera parfait pour lui faire subir son premier fist fucking anal!

- Magnifique! Virginie, va donc t'allonger sur la table de desserte et écarte tes fesses avec tes mains. On va t'élargir sérieusement la rondelle!

- Jean! Ce n'est pas la peine d'être grossier avec notre petite Virginie. Tu vas lui faire peur! Ne t'inquiète pas, ma chérie. D'ici peu, tu en redemanderas. C'est si bon, tu verras!

Virginie alla s'allonger sur la table de desserte, comme elle en avait reçu l'ordre. Il n'était pas pensable qu'elle se rebellât contre une autorité aussi naturelle. Jean lui enfonça quelque chose dans le cul, ce n'était guère plus gros qu'un crayon de papier, rien de bien méchant, vu ce qu'on lui avait déjà enfoncé à cet endroit là. Elle s'inquiéta un peu plus lorsqu'on adapta une pompe à main à cet objet inhabituel. Brigitte tendit la pompe à Marie Laure.

- Tiens! A toi, l'honneur!

Marie Laure donna deux coups de pompe rapides. Virginie sentit le tube dans son cul se gonfler et devenir plus rigide mais elle était encore loin des calibres auxquels elle était habituée. Marie Laure passa la pompe à Marc qui donna trois pressions longues sur la pompe. Virginie commença à ressentir une gêne sensible. Le diamètre de l'objet entre ses fesses avoisinait celui des plus grosses bites qui s'étaient introduites à cet endroit. 

Ce ne fut pas sans inquiétude que Virginie vit Marc tendre la pompe à Brigitte. Celle-ci s'approcha doucement de sa jeune victime, se pencha vers elle et l'embrassa sur les lèvres, forçant sa langue au plus profond de la bouche de Virginie. Tout en prolongeant le baiser brulant qui les soudaient, elle plongea les yeux dans ceux de la jeune fille. Elle avait un regard avide et affamé lorsqu'elle pressa de toutes ses forces sur la pompe à trois reprises. Virginie eut l'impression que son sphincter se déchirait tant la douleur qui accompagnait sa dilatation était intense.

Les lèvres de Brigitte quittèrent à regret celles de Virginie. Elle tendit l'instrument de la souffrance de la jeune fille à son mari avec un grand sourire. 

- Tiens, chéri, regarde si tu peux l'élargir encore un peu. Je crains qu'elle soit encore un peu étroite pour que je puisse y mettre ma main entière!

Jean tata du doigt l'anneau tendu à se rompre de son cul autour du pieu qui la dilatait sans pitié. Il donna un petit coup de pompe pour voir comment Virginie réagirait. Elle se mit à gémir puis à crier. Jean lacha la pompe mais n'appuya pas sur la valve destinée à faire baisser la pression. Au contraire, lorsque Virginie essaya de l'atteindre, il lui menotta les poignets devant son ventre. De cette façon, elle ne pouvait plus espérer atteindre cette fameuse valve. Au bout de quelques essais infructueux, Virginie se mit à pleurnicher dans son coin. Brigitte lui administra quelques coups de martinet.

- Allons debout, Virginie. Tu vas nous servir le café. Comme cela, tu penseras à autre chose que ton petit cul. Cela te donnera le temps de s'habituer et on pourra t'élargir encore un petit peu. Si tu voyais ton cul, on dirait que tu pourrais te faire un vrai étalon ou au moins un bourricot! Qu'en penses-tu?

Virginie aurait bien été en peine pour répondre. Elle pleurait de douleur et d'inquiétude mais la douleur s'atténuait rapidement. Lorsque la jeune fille eut fini de servir le café, Jean lui fit reprendre sa place sur la table de desserte. Il estima que son sphincter s'était suffisamment accoutumé et il donna deux coups de pompe longs et appuyés. Virginie feula comme une louve mais elle ne cria pas. Brigitte la fit se relever et s'agenouiller devant Marie Laure. Celle-ci écarta de ses doigts sa vulve gluante et l'offrit à la bouche de la jeune novice. Virginie se mit à laper le jus clair et musqué qui s'échappait de la fente de plus en plus baveuse. Marie Laure jouit bruyamment. Brigitte intima à Virginie l'ordre de s'occuper ensuite d'elle même. La jeune fille s'acquitta à merveille de cette nouvelle tâche.

Brigitte jugea que le moment fatidique était arrivé. Elle appuya sur la valve qui relacha rapidement la pression sur l'anus de Virginie qui resta béant au grand amusement des deux autres femmes. Brigitte s'enduisit copieusement la main de crème pour la peau et introduisit rapidement et très facilement trois doigts jusqu'à la garde dans la cavité toujours béante. Elle ressortit les doigts et y ajouta son petit doigt puis elle s'acharna à y faire aussi rentrer son pouce. L'opération apparaissait aux spectateurs, difficile voire vouée à l'échec mais Brigitte poussait sa main toujours plus profondément sans pitié. Marie Laure vit de très près les derniers millimètres disparaître dans l'orifice horriblement dilaté qui bagua aussitôt étroitement son poignet. Brigitte se mit à agiter les doigts au fond de l'anus de Virginie, appuyant sur les parois internes de son rectum. La jeune fille, soufflait, grognait, gémissait sans discontinuer. Lorsque Jean se mit à lui caresser le clitoris, un orgasme titanesque la balaya. Elle poussa un meuglement long et prolongé et s'évanouit. Brigitte retira doucement sa main et la remplaça par une bouteille de Champagne glacée qu'elle enfonça profondément.

- Il faut fêter cet événement dignement. Vous avez une meilleure idée?

Par lina
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