Vendredi 16 janvier 5 16 /01 /Jan 20:05

Résumé des épisodes précédents : 
Voici l’histoire d’une belle et jeune fille au doux nom d’Emilie. 
Par le plus grand des hasards, elle tombe sur une lampe magique à la forme particulière : celle d’un sexe masculin.
Sexus, le génie qui habite la lampe, lui propose alors de réaliser 3 vœux sexuels.
La jeune fille, naïve et peu expérimentée sexuellement tente de détourner les vœux à son avantage.
Le premier vœu, tourne rapidement à la catastrophe. 
Le deuxième l’entraine dans la peau d’une actrice pornographique ! Elle se retrouve sur le tournage du film « des études et du sexe 4 », ou 4 acteurs s’apprêtent à lui faire découvrir le plaisir (ou pas !) anal ! 
Quelle autre surprise lui réserve cette aventure ?




Episode 4

N-Kari, le réalisateur, se mit à hurler :
- En place tout le monde la pause est terminé. Les acteurs sur le plateau ! 

Émilie traina les pieds jusqu’au plateau. Elle avait essayé tant bien que mal de se préparer pour cette scène. Mais dans quelle galère le génie l’avait-il encore projeté !

Les quatre acteurs se branlaient dans un coin, pour garder leurs sexes en érections, tout en fumant et en discutant de la pluie et du beau temps. Quel monde de fous !
L’un d’eux fit un signe à Émilie :
- On mange un bout après le boulot ?
Émilie lui lança un petit sourire crispé tout en continuant son chemin « laisse-moi déjà digérer ton bout à toi ! » pensa-t-elle. 

N’kari s’activait sur le plateau pour régler son et lumière.
- Bon les acteurs venez autour de moi ! Vous avez été formidable ! Émilie tu vas te placer sur le lit en position levrette. C’est toi Arthur qui la pénétrera en premier, Tom tu te fais sucer, les deux autres, vous faite style de mater, là, sur la banquette en face. Et vous tournez ! Il est déjà tard, on ne fait qu’une prise de cette scène ! Et Émilie pas de blague hein ! N’essaye pas de faire rire tes partenaires ! 

Non, vraiment non, Émilie n’avait pas envie de rire et encore moins de provoquer un fou rire chez les acteurs ! Elle se positionna sur le lit, comme demandé par le réalisateur. Le dénommé Arthur vint se placer derrière elle. Il lui chuchota à l’oreille :
- Dit donc ta mit la dose en lubrifiant, t’as vidé le tube ?? 
Émile se sentit rougir.
Le fameux Tom s’installa face à la jeune fille, le sexe à quelque centimètre de son visage.
- tient la grande chef est là ! 
Arthur jeta un rapide coup d’œil à l’assemblé :
- Ah ouais Erika ! Parait qu’elle n’est pas commode ! 
- Elle a virait un acteur la semaine dernière, sois disant qu’il avait volé des idées de scénario pour le compte du studio x-rongeur Movies ! 
Émilie soupira intérieurement devant cette discussion affligeante de bureau. 

N-Kari se plaça derrière sa caméra :
- Silence sur le plateau ! Attention moteur, action ! 

L’Arthur vient se planter d’un coup sec dans la chatte d’Émilie qui poussa un énorme crie de surprise. Pas de doute les garçons étaient parfaitement rentrés dans leurs rôles !

Il l’attrapa par les hanches la pénétrant violemment :
- C’est ça que tu voulais salope, une bonne bite dans ta chatte ! Tu ne vas pas être déçu, mes potes et moi on est en forme ! 
Émilie se cramponnait au drap du lit, essayant de tenir sur ses genoux. Le Tom, lui, forçait la bouche d’Émilie, poussant sa queue contre les lèvres de la jeune fille.
Cette deuxième scène s’annonçait sportive pour Émilie, qui hurler comme une folle, entre douleur et plaisir. 

N’Kari, derrière sa caméra s’extasiait comme un fou :
- Ah oui Émilie Bravo quelle actrice ! On s’y croirait presque ! 

Une autre bite se présenta aux portes intimes d’Émilie. La voilà se faisant pilonner à nouveau alors qu’elle tentait de sucer les sexes Tom et Arthur. Le troisième garçon ne fut pas plus doux, allant jusqu’à claquer les petites fesses rebondit d’Émilie. Malgré les circonstances, Émilie trouva du plaisir dans cette situation. Elle sentit sa petite chatte s’humidifier. Ses gémissements furent étouffés par les queues dans sa bouche. Elle transpirait comme une folle.
- Ah oui je te baise bien ! Tu es vraiment la grosse pute du lycée ! 
Chacun jouaient sont rôles à la perfection. Émilie suspecta même les garçons d’y prendre autant de plaisir qu’elle.

Sans temps mort, les sexes se relayaient dans l’antre d’Émilie et dans sa bouche.
La jupe d’Émilie était maintenant totalement relevée et même déchirée par endroit. Ses magnifiques seins débordaient de son chemisier blanc. 
Arthur repris sa place à nouveau dans la petite chatte d’Émilie. Les trois autres garçons continuaient de se faire sucer tout couvrant le corps de la jeune fille de caresse. La caméra tournait toujours, passant de l’une à l’autre, zoomant sur les gros sexes des garçons en pleine action. 
Émilie sentit alors un doigt se frayaient un chemin entre ses fesses. Elle remercia intérieurement Arthur pour cette initiative. Elle essaya de se détendre au maximum, écartant ses fesses avec ses mains.
- Ah putain la cochonne elle veut une bite dans le cul aussi ! 

Non Émilie ne voulait pas se faire déflorer le cul, mais elle devait en passer par là, jouer l’écolière aguicheuse, pour sortir de ce vœu imaginait pas ce pervers de génie.

Le doigt d’Arthur continuait de détendre le petit trou d’Émilie, tout en la prenant par devant.

Le réalisateur enchainait les plans : 
- Mes amis, on tient le film de l’année avec cette scène ! Je prédis une avalanche de récompenses dans les plus grands festivals porno du monde entier ! Caméra 3, film-moi ce petit trou qui se dilate ! On va en déchirer des boxers et caleçons avec ça ! On passe à la double, Arthur dessous, Tom au-dessus !

En quelque seconde Émilie fut retourné comme une crêpe par les bras musclés d’Arthur. Elle se retrouva allongé dos sur Arthur qui déjà guidait son sexe contre le petit trou d’Émilie. Elle poussa un énorme cri de douleur en sentant cette queue s’engouffrer dans son anus.

- Ah oui Émilie ! Actor studio ! On croirait vraiment que c’est ta première ! Cria N-kari.
Émilie lui aurai volontiers fait bouffer sa caméra, mais elle devait se concentrer pour ne pas que les larmes lui montent au visage. 

Elle commença à peine à s’habituer à cette bite que déjà Tom glissait son sexe dans la chatte d’Emilie. Elle sentit Tom s’écraser de tout son poids contre son corps. 
Elle sentit les abdos dur et chaud du jeune homme contre ses seins ce qui lui procura un frémissement dans tout le corps. 
Les garçons trouvèrent leur cadence. 
Émilie ne put retenir ses hurlements de plaisirs. Car oui, cette première expérience lui procura des sensations jamais soupçonnées. 
Les deux autres garçons tentaient de se faire sucer par la jolie écolière. 

Chacun leur tour, ils prirent leur place entre les fesses de la jeune écolière, la pilonnant fortement, lui arrachant des cris bestiaux. Comme un concours de celui qui la ferrait hurler encore plus fort. 

- Coupez ! La prise est parfaite ! 
Derrière les caméras, les techniciens, Erika, la directrice de ce studio de production, et Yug0lit0 l’agent d’Émilie, se mirent, tous, à applaudir. 
Émilie tentait désespéramment de se remettre de ses émotions, hallucinant devant cet assemblé de fous.

- On enchaine avec la scène final ! Ne laissons pas les ardeurs de ces jeunes gens retomber !
En place tout le monde, Émilie reste sur le lit, tu es sublime ! 

La jeune fille se retrouva à genou, devant les quatre garçons debout face à elle.

- Attention, moteur et action ! 
Émilie leva les yeux, encerclée par ces quatre bites. Elle se demanda un instant ce quelle foutait dans cette situation. Elle avait fait l’amour avec une fille, avait couchait avec son premier black, venait de vivre sa première expérience anal et la voilà maintenant prête à recevoir le sperme, de 4 acteurs porno, sur son visage. Elle, la gentille et timide étudiante !
L’attente ne fut pas longue. Les 4 garçons jutèrent presque en simultané sur ses seins et son visage. Une pluie de foutre s’abattit sur la jeune fille, sous les râles poussifs et les insultes scénaristiques des 4 étudiants mâles. La caméra ne manqua rien de cette action.

***

Émilie pris une douche méritée. Elle resta un long moment sous l’eau échafaudant un plan pour fuir ce studio et son agent.
Mais peine perdue, Yug0lit0 l’attendait à la porte de la loge.
- Tu as était formidable ! Tu es ma poule aux œufs d’ors toi ! 
- Super compliments… 
- Émilie, tu sais bien ce que je veux dire ! Allez, vient, je te ramène chez toi, je te ferais voir les contrats, on va être riche ! 

***

Assise dans la limousine au côté de son agent, Émilie regardait par la vitre le paysage défilé. La voiture longeait le bord de mer. Elle regarda Yug0lit0, qui, au téléphone, semblait donner des conseils à une cliente, une récente gagnante du loto à première vue.
Elle n’osait pas lui demander le nom du département ou même le nom de la ville où ils se trouvaient, de peur de passer à nouveau pour une folle dingue.
Elle devait trouver un moyen de partir. Elle était surement à plus de quatre heures de route de la maison de ses parents. Foutu génie ! 

Soudain un énorme quatre-quatre noir doubla la limousine à vive allure.
Le tout-terrain fit soudain une embardée, obligeant la limousine à freiner. Le chauffeur écrasa le frein et tourna brusquement le volant. Les passagers de la limousine furent bousculés en avant et Émilie tapa la tête contre la portière. La limousine s’immobilisa devant le véhicule noir. 
Légèrement sonnée, Émilie releva la tête. 
Elle aperçut alors des hommes, habillés de noir et cagoulés, sortir du quatre-quatre et se diriger en courant vers la limousine. 
La portière de la luxueuse voiture s’ouvrit brutalement et des mains tirèrent Émilie de l’habitacle, la forçant à sortir et à grimper dans le tout terrain.
Yug0lit0 n’eut pas le temps de réagir et venir en aide à sa cliente. Meurtrit par la douleur, il s’évanouit alors que le tout-terrain s’éloignait, emportant avec lui la jeune actrice porno…

***
Émilie se réveilla doucement, le regard brumeux. Elle tenta de bouger, mais ses pieds et mains étaient liés. Elle releva la tête. L’endroit était immense et désert. Des poutres en métal de partout. Surement une veille usine abandonnée. Soudain une porte grinça. 
- Alors, tu es réveillée ma belle ? 

Émilie leva les yeux vers la voix. Elle fut alors très surprise.
L’homme qui se tenait devant elle, portait une combinaison noir moulante, des épaulettes et genouillères rouge. Sur son torse, Les lettres « Dr » inscrites en rouge. 
Un masque noir et rouge lui couvrait le bas de visage. 
En temps normal Émilie aurai surement éclaté de rire devant cet accoutrement ridicule. Mais la situation, dans laquelle elle se trouvait, était loin d’être drôle. 

D’une voix tremblante Émilie s’adressa à l’homme masqué.
- Mais qui êtes-vous ? 
- Je suis le Doc ! DocSevere pour les intimes. Je suis le super-méchant de l’histoire ! 

Émilie se mit à hurler :
- Au secours ! Aidez-moi !! 
- Tu peux crier, petite, personne ne t’entendra ! 
Le doc se mit à rire, un rire diabolique qui résonna dans toute l’usine.

- Que me voulez-vous ? 
- Tu es la première pierre à mon plan diabolique ! Je vais débarrasser le monde de toute perversité !
Éliminer le sexe de tous les médias. Télé, internet, vidéo. Enlever toute les actrices et les soumettre à mes pires délires ! Le monde deviendra fou sans échappatoire sexuelles ! J’anéantirai l’industrie du porno. Je pulvériserai les sites de cul, Xstory en premier ! Et je deviendrai alors le maître du monde, ah ah ah ah !!! 
- Bordel de merde je vais me réveiller, c’est sûr, c’est un cauchemar ! 

Soudain une énorme déflagration retentit, soufflant le super-vilain, le projetant cinq mètre plus loin. 
Un nuage de flammes et de fumée éclaira l’immense pièce. Le mur venait de céder sous la violente explosion. Émilie aperçu alors deux ombres à travers le brouillard.
Le Doc se releva, prêt à combattre. Émilie se sentait prise entre deux feux.
La fumée se dissipant, elle put enfin distinguer les deux personnes. 2 hommes aux combinaisons aussi moulantes que celle du DocSevere. L’un en Vert, l’autre en mauve. Encore plus ridicule. 

Le Doc se mit à hurler :
- Super-Wanderer et Super-BenX, vous ici ! 
- Diabolique-Doc, tu es pris au piège ! Libère Émilie ! 

Des hommes armés firent irruption dans la pièce. 
- Tirez ! » Hurla le Doc.
Une rafale de balle s’abattit en direction des super-héros. Le bruit assourdissant des balles résonna dans toute la pièce. 
Émilie tenta de se recroqueviller sur elle-même, pour se protéger. Mais, étant toujours attaché, tout ce qu’elle réussit à faire c’est se blesser les poignets. 
Elle hurla :
- Bon dieu génie, sort moi de là. Je veux annuler mon vœu ! 

Autour d’elle, le chaos total. Les balles sifflaient dans l’air, des flashes lumineux envoyaient voler les hommes de mains du Doc. Super Wanderer bondissait contre les murs lançant des lasers contre ses ennemies. Super-BenX lui échangeait des coups violents avec le Doc, dans un combat au corps à corps brutal.

Soudain Émilie perçut une présence dans son dos. Elle se retourna pour découvrir un homme dans sa combinaison mauve portant fièrement, sur son torse un blason orné de la lettre W. 
L’homme libéra Émilie et la tira à lui. 
Il releva la tête en direction de son acolyte de super-héros et cria : 
- Je l’ai, on y va ! 
Émilie, dans les bras de son « sauveur », se senti littéralement décoller. Elle vit, avec stupeur le sol s’éloigner. Super-Wanderer décolla, emportant avec lui la jeune fille dans les airs. D’un coup de laser, il fit éclater les immenses velux de l’usine, protégeant le visage d’Émilie des éclats de verres. Tous deux disparurent dans le ciel…

Par lina
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Jeudi 15 janvier 4 15 /01 /Jan 20:03

Résumé des épisodes précédents :
Voici l’histoire d’une belle et jeune fille au doux nom d’Émilie.
Par le plus grand des hasards, elle tombe sur une lampe magique à la forme particulière : celle d’un sexe masculin.
Sexus, le génie de la lampe, (ou plus intimement Liou), lui propose alors d’exaucer trois vœux sexuels.
La jeune fille, naïve et peu expérimentée sexuellement, tente de détourner les vœux à son avantage.
Le premier vœu tourne rapidement à la catastrophe.
Sortie indemne de cette aventure, Émilie doit maintenant se prononcer sur son deuxième vœu, pour enfin se débarrasser de ce pervers de génie et de sa lampe. Mais que lui réserve donc l’avenir ?


Episode 3

Le soleil était magnifique en ce dimanche matin. La nuit avait été réparatrice pour Émilie. Après sa dernière aventure désastreuse et son vœu totalement raté, elle devait, à nouveau, affronter le génie Liou.

Habillée d’un simple shorty et d’un tee-shirt plus que moulant, Émilie sortit de sa chambre pour se rendre dans la cuisine. Elle chercha dans la maison le génie. Mais le lieu semblait plongé dans un calme absolu. Avait-elle rêvé ou imaginé toute cette histoire ?
Sa joie fut de courte durée quand elle découvrit, par la fenêtre, le génie. Il était dans le jardin, nu, semblant méditer, flottant dans l’air, dans la position du lotus. Elle poussa un soupir.
Plus rien ne pouvait étonner Émilie.

Elle prenait son petit déjeuner lorsque Liou fit son apparition.

— Bonjour jeune fille ! Bien dormit ?

Elle fusilla le génie du regard.

— A première vue, Émilie, tu m’en veux encore ! Mais je suis sûr que je vais pouvoir me rattraper aujourd’hui !
— J’en doute fort. Mais gardons quand même espoir…
— J’adore ton ironie mordante !
— Et c’est mon ironie qui te fait bander de bon matin ? On n’avait pas, vaguement, évoqué la possibilité que tu enfiles un pantalon, hier soir ? »
— Si tu savais le nombre de jeux de mots qui me viennent à l’esprit, en t’entendant évoquer le verbe enfiler !
— Ben voilà, tu m’as coupé l’appétit…

Émilie repoussa son bol, soupirant de plus belle.

— Allons, jeune fille, un peu d’humour ! Je suis sûr que la journée va être merveilleuse !
— Je demande à voir… Et si on en finissait une fois pour toute avec cette histoire de vœux. Et, Liou, si tu pouvais te palucher ailleurs que devant moi, je te jure que je ne le prendrais pas mal…
— Ok, ok ! Ecoute, Émilie, j’ai conscience que ton premier vœu n’était pas à la hauteur de tes attentes.
— C’était même sacrément merdique, tu veux dire !!!
— Pour me faire pardonner, ma chère Émilie, je te propose de réaliser un vœu exceptionnel ! Que dirais-tu d’être riche, d’avoir une magnifique villa, une piscine et d’être une véritable star dans le monde entier ?
— Tu es sérieux ?
— Mais bien sûr ! Je suis toujours sérieux quand on parle de vœux ! Alors, prête ?
— Heu... ouais ok, ça m’a l’air pas mal mais….

Le génie ne lui laissa pas finir sa phrase et claqua des doigts pour la faire disparaître dans un nuage rose. Le deuxième vœu d’Émilie était en marche….

***

À nouveau ce tourbillon de lumière étincelant. Et comme par magie, Émilie se retrouva au centre d’un immense salon. Elle mit quelque secondes pour reprendre ses esprits. Elle balaya la pièce du regard.
La pièce était grandiose. Vaste, luxueuse. Des colonnes se dressaient au milieu de ce salon, lui donnant un aspect encore plus démesuré. Elle traversa la pièce. Sur un meuble trônaient des photos. Elle fut stupéfaite de découvrir des clichés d’elle, avec sa famille ou ses amis. Elle visita le reste de la maison. Toutes les pièces plus spacieuses les unes que les autres. Une cuisine dernier cri, des chambres immenses, un gigantesque hall d’entrée tout en marbre. Et le clou du spectacle, une immense terrasse bordée d’un jardin tropical, avec, au centre, une piscine à l’allure de bassin olympique. Le tout avec une vue imprenable sur la mer.
Émilie nageait en plein rêve !

Pourtant, elle ne pouvait s’ôter de la tête que derrière ce vœu se cachait une énorme arnaque.

En fouillant la maison, elle découvrit une nouvelle pièce. Une petite de salle de cinéma. Sur les murs couraient d’énormes affiches de films dont elle était l’héroïne. Elle était bel et bien une star du cinéma.

Oui mais…. Une star du cinéma porno. Aucun doute ! Et les titres de films étaient sans équivoque : « Émilie lycéenne soumise », « Émilie très chaude et frangins pervers », « L'anniversaire de ma fille dégénère », « « Jeux de gamines », « Cobaye pour ma sœur Émilie et ses copines »….

Les affiches la représentaient dans des tenues très légères, dans des positions plus qu'équivoques, entourées d’énormes sexes prêts à l’action.

Le génie l’avait, encore une fois, piégée. Elle n’eut pas le temps de se morfondre sur son sort. La sonnette de la porte d’entrée carillonna dans toute la villa.
Elle s’approcha de la porte d’entrée vitrée, discrètement, sans attirer l’attention. Derrière la porte, un homme, la cinquantaine, une petite mallette à la main, attendait patiemment l’ouverture de la porte. Émilie se décida à ouvrir, persuadée que c’était aussi aux ennuis qu’elle allait ouvrir.

— Bonjour. Heu… que puis-je pour vous ?

L’homme la regarda d’un air interloqué.

— Émilie, tu as bu, tu t’es droguée ?? Ah non pas aujourd’hui, dis-moi que tu n’as pas fait ça ! »
— On se connait ??

L’homme poussa la porte et entra dans le hall, légèrement agacé.

— Émilie, arrête de faire l’enfant s’il te plait !
— Mais vous êtes qui ?
— C’est moi, Yug0lit0, ton agent ! Enfin Emilie, mais qu’est-ce qui t’arrive ? On signe un gros contrat aujourd’hui ! Le chauffeur nous attend dans l’allée. Dépêche-toi ! J’ai d’autres clientes, moi ! Dans deux heures, j’ai rendez-vous avec Lisa, une vraie petite ambitieuse celle-là !

***

Émilie avait suivi sans broncher son agent. Ils avaient fait route à bord d’une somptueuse limousine vers les locaux de l’entreprise « X-Story Production ».

Arrivés devant le bâtiment, ils furent conduits par une hôtesse jusqu’à un bureau. Une femme, une magnifique rousse, la trentaine, dans un tailleur très chic, les y attendaient. Ses yeux étaient cachés derrière des lunettes de soleil, trop grande pour son visage.
— Ah, voilà enfin notre petite star ! Bonjour, je m’appelle Erika et je suis la présidente.

Émilie tendit une main timide pour la saluer.

Yug0lit0 prit alors la parole :

— Ravi de vous revoir, Erika ! Émilie est enthousiasmée à l’idée de travailler avec vous, pas vrai Émilie ?

L’agent donna un coup de coude à la jeune fille pour la faire réagir :

— Oui, tout à fait, dit-elle sans réelle conviction.
— Ne perdons pas une minute, alors ! Émilie, ma secrétaire va vous conduire vers les studios de tournage. Nous finaliserons les contrats avec votre agent pendant ce temps.
— Les studios… ?

***

Le cauchemar commençait pour Émilie. Elle fut rapidement conduite sur l’un des tournages.
Des maquilleuses et habilleuses la prirent en charge à son arrivée. Elle fut déshabillée, maquillée de la tête aux pieds et relookée d’une chemisette blanche et d’une jupe très courte à carreaux. La coiffeuse se chargea de lui faire deux longues couettes sur la tête.

— Elle est parfaite !

Émilie se tourna au son de cette voix grave. Un jeune homme de 25 ans se tenait devant elle, les cheveux en bataille portant une pochette dans les mains.

— Je suis N’Kari, le réalisateur et scénariste ! Vous êtes parfaite !
— J’ai surtout l’air d’une pute !
— C’est un peu le but, non ?
— Je pourrais quand même mettre un string !
— Quel intérêt ? C’est une perte de temps ! On ne fait pas une pub pour de la lingerie !
Il se mit à rire, puis enchaina :

— Je suis venu voir le texte avec vous. »
— Le texte ?
— Mais oui, l’épisode 4 de votre histoire : « des études et du sexe ».
— Euh… On ne devrait pas s’emballer trop vite, on pourrait attendre un peu avant que je tourne, vous avez sûrement plein d’autres scènes à tourner !
— Tu es drôle et charmante, toi !
Il jeta un œil sur ses papiers :

— Alors, ah oui voilà ton texte : « alors les mecs, on baise ? » et puis des petits « oh, ah, hi » devraient faire l’affaire. 
— Très recherché….
— C’est la magie du X ! Bon, on y va, direction le plateau ! 

N'Kari entraîna alors Émilie sur le tournage.
Elle se retrouva installée sur un lit. Elle regarda autour d’elle. Les techniciens s’affairaient dans cette fausse chambre d’étudiant, crée pour le tournage, installant les projecteurs à quelques mètres d’Émilie.

Le réalisateur s’installa derrière la caméra.
— Attention, silence sur le plateau. Les acteurs, vous écoutez mes consignes. Je rappelle l’idée de base : La soirée étudiante bat son plein et Émilie vient de s’éclipser dans une des chambres, après avoir bien chauffé tous les garçons de la soirée. Faites entrer les acteurs.

4 garçons apparurent sur le plateau, nus comme des vers et déjà leurs sexes au garde-à-vous.
Émilie commença à se sentir très mal. Elle allait devoir jouer le jeu, pour pouvoir quitter ce cauchemar au plus vite. Mais 4 mecs d’un coup ! C’était déjà beaucoup pour cette pauvre Émilie. Même s'ils étaient particulièrement mignons ! Même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait jamais imaginé participer à une telle orgie.

— Attention, les gars, on se lâche, hein ! Je veux de la sincérité, de l’émotion, mais je veux du cliché aussi ! Attention, Émilie, caméra 2 sur toi, tu te touches en la regardant. Je veux de la sensualité dans tes yeux, rappelle-toi que tu es une salope ! Moteur et action !

Toutes les paires d’yeux étaient braquées sur Émilie. Elle vit le voyant rouge de la caméra s’allumer. Elle fit glisser ses mains sur son corps, caressant timidement sa généreuse poitrine.

— Émilie, c’est la caméra que tu dois regarder, pas les techniciens ! Ecarte les cuisses, arrache-moi les boutons de cette chemise, fais l’amour à la caméra !

Émilie fit sauter les premiers boutons de sa chemise, puis écarta les jambes en caressant l’intérieur de ses cuisses, regardant fixement la caméra, passant sa langue sur ses lèvres.

— Oui, oui, oui !! C’est ça, continue, fais bander les téléspectateurs ! Allez, les garçons, on s’avance dans le cadre !

Les 4 garçons aux corps d’apollon entourèrent Émilie, la regardant se caresser tout en branlant leurs montagnes de chair.

— Émilie, c’est à toi pour la réplique !
— Vous venez me rejoindre, les garçons ?
— Non, Émilie ! On est dans un film de cul, je veux du trash ! Reste sur le texte !

Émilie tenta de sourire pour se donner du courage, essayant de rester concentrée sur son rôle. Mais ces quatre énormes sexes qui l’entouraient ne faisaient que la perturber. Elle prit une bonne inspiration avant de dire :

— Alors, les mecs, on baise ?

Ni une, ni deux, les quatre garçons se jetèrent littéralement sur elle. Une pluie de mains s’abattit sur la jeune fille. Malgré elle, Émilie soupira de plaisir en sentant les mains se promener sur son corps et ces bites la frôler.

L’un des garçons avait déjà commencé à caresser en profondeur la petite chatte d’Émilie :

— Mais tu es toute mouillée ma petite cochonne !

Le réalisateur cria :

— Oui, c’est bien, Arthur, c’est ça que je veux ! On passe à la fellation !

Émilie se résigna à prendre une bite dans chacune de ses mains laissant courir sa langue dessus. Les deux autres garçons continuaient à la caresser, des caresses de plus en plus sauvages et appuyées.

— Les quatre en même temps, Émilie ! N’oublie pas que tu es une gourmande !

Émilie se retrouvait le visage face à quatre gros membres. Elle tentait, tant bien que mal, de les sucer le plus adroitement possible en alternant les bites dans sa bouche. Mais les garçons n’en restaient pas là, essayant de lui faire sucer deux sexes en même temps, l’attrapant par les cheveux pour enfoncer leurs queues encore plus loin dans sa bouche.

— Oui, salope vas-y, tu nous as bien chauffés tout à l’heure dans le salon. Tu vas prendre cher.

Et N'Kari, le réalisateur semblait s’enthousiasmer :

— Oui, c’est ça, vous êtes géniaux ! C’est du grand art ! Émilie, continue, tu es superbe ! Caméra 3 zoome sur sa chatte ! Les mecs, on ne débande pas !

Les garçons frottaient leurs bites sur le visage et les lèvres d’Émilie, chacun à leur tour insérant leurs sexes dans la bouche de la jeune fille, l’attrapant par les couettes pour l’attirer encore plus sur leurs bites.

— Bouffe-nous la bite, fais-nous bien durcir, petite chienne !

Emilie branlait et suçait à s’en faire mal aux mains et à la mâchoire. Son maquillage avait coulé. Elle imprégnait les quatre sexes de sa salive et les garçons s’amusaient à souiller le visage d’Émilie de sa propre salive.

— Coupez ! Allez, c’est bon, la prise est bonne ! On fait une pose de dix minutes ! Maquilleuses !

Les quatre garçons s’éloignèrent d’Émilie, la laissant là, la mine effarée devant ce changement soudain de situation. Une maquilleuse était déjà à l’œuvre, nettoyant le visage d’Émilie.

La jeune fille aperçut alors son agent. Elle laissa finir l’employée du studio avant de le rejoindre.

— Yug0lit0, tu devrais me ramener, je me sens un peu fatiguée !
— Mais non, ne t’inquiète pas, c’est normal. Je sais ce qui te tracasse, fais-moi confiance, tu peux bosser en toute tranquillité, j’ai signé un contrat en Or avec Erika ! Tu n’as pas à t’en faire ! Tu devrais plutôt te préparer pour la scène suivante.
— Me préparer ?
— Oui, le lubrifiant ! Je sais bien que les acteurs que tu côtoies d’habitude son largement mieux membrés, mais il fallait un minimum de réalisme. Ils jouent des étudiants ! Il faut quand même préserver tes attributs du travail !

Inquiète par les propos de son agent, Émilie se dirigea vers N'Kari :

— Excuse-moi, j’ai….j’ai oublié le script chez moi, c’est quoi la suite ?
— Du classique ! Pénétration et double. Rien de bien sorcier pour toi !

Émilie se sentit blanchir en posant la question :

— Pénétration, double ? Tu veux dire Anal ??
— Évidemment !
— Et on ne commence pas par un petit cunni, histoire de bien faire passer, disons, les choses ?
— Un quoi ?
— Un cunnilingus !
— Jamais entendu parler de ça sur un tournage ! C’est quoi ? Une position ?

Émilie s’éloigna, laissant le réalisateur à son ignorance. Elle commençait sérieusement à flipper, elle qui n’avait jamais fait d’anal, elle allait devoir se préparer à recevoir plusieurs sexes à la suite, entre ses fesses !

Par lina
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Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 21:07

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Par lina
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Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 20:01

Résumé de l’épisode précédent : Émilie, jeune fille belle et innocente (si, si !!) trouve une lampe magique qui bouleversera son destin à tout jamais. Son premier vœu, rendre fou de désir n’importe qui d’un simple regard, la plongera directement dans le pire des cauchemars. Chaque personne qu’elle regardera, deviendra folle de désir, ne pensant plus qu’à une seule chose : lui faire l’amour…
Poursuivie par une meute d’étudiants incapables de se contrôler et réfugiée dans l’appartement d’une amie, Émilie sortira-t-elle indemne de ce premier vœu ?




Épisode 2


-Émilie ? Mais tu es complètement folle ! Calme-toi !
-Julie, ne me regarde surtout pas !
-Quoi ? Mais tu délire complètement !

Émilie balaya le studio du regard. Sur le buffet, une paire de lunettes noires traînait au milieu de divers objets. Elle s’en empara rapidement pour cacher ses yeux.
-Émilie, reprends-toi, tu me fais peur, là.

Émilie prit Julie par la main et la fit assoir près de la table. Reprenant sa respiration, elle raconta à Julie son histoire, la lampe, le génie, le vœu. Elle lui parla de Julien et de la mauvaise tournure qu’avait prise la situation.
Julie l’écouta, complètement abasourdie par les paroles de son amie.
-T’es sérieuse, là, Émilie ?

Un brouhaha monstrueux se fit entendre dans le couloir.
-Regarde dans l’œil de bœuf si tu ne me crois pas !

Julie se leva et regarda dans la petite lucarne ronde de sa porte.
Elle découvrit, stupéfaite, une bande d’étudiants arpentant le couloir, complètement nus.
-Non de d…. C’est complètement dingue !

Julie se retourna face à Émilie :
-Tu comptes faire quoi maintenant ?
- Je dois retourner chez mes parents, invoquer le génie et annuler ce foutu vœu.
-Et comment vas-tu sortir de cet immeuble, ils sont partout ! Et tes parents habitent à plus d’une heure d’ici !
-Je sais merci ! Laisse-moi réfléchir deux secondes. Tu as ta voiture ?
-Non, mon mec l’a prise. Et il ne revient que dans 2 jours. Par contre, je sais ou en trouver une. Il y a un étudiant qui ne me refusera pas ce service.
-Qui ?
- Il habite au 17 à cet étage tout fond du couloir. Il s’appelle Dyll. Va le voir, dis-lui que tu viens de ma part. Par contre, je te préviens d'avance : il est très... disons... Critique ! Moi, je prépare un petit sac, je pars avec toi !
-Ok, Dyll, 17, c’est bon j’y vais.

Émilie jeta un œil par la petite lucarne de la porte. Le couloir semblait désert. Elle franchit la porte, prudente, regardant des deux côtés du couloir. Personne. Elle se hasarda dans le long corridor, s’arrêtant à chaque bruit suspect.

Elle frappa à la porte. Un jeune homme de corpulence moyenne, les cheveux en bataille vint lui ouvrir.
-Oui ?
-Heu salut, désolée de te déranger, c’est Julie qui m’envoie. Elle souhaiterait t’emprunter ta voiture pour une urgence.

Le jeune homme dévisagea Émilie.
-C’est quoi ton prénom ?
-Émilie.
-Classique, déjà vu. J’aurai choisi quelque chose de plus sensuel. Lana, Pamela, Cindy, Allison, plus accrocheur, plus sexy.
-Heu oui... Et pour la voiture ?
-C’est quoi cette urgence ?
-Heu un problème avec son copain….
-Pas très convaincante comme histoire, un peu courte, je reste sur ma faim.
-Heu ouais... ok… Tu nous la prêtes cette voiture ou pas ??
-Pourquoi tu portes des lunettes de soleil ?
-C’est une longue histoire !
-J’adore les histoires !
-Dès notre retour, promis, je te raconte tout !
-Ah super, hâte de connaitre la suite ! Ne bouge pas : je vais chercher les clefs !

Émilie se sentait vulnérable dans le studio. Elle tapotait nerveusement sur son bras observant le jeune homme fouiller ses affaires, priant pour qu’aucun de ces détraqués sexuels ne débarquent.
- Tiens, voilà les clefs. C’est la « 206 » rouge garée devant l’immeuble.

Émilie le remercia d’un léger sourire. Elle tourna les talons. Son seul souci à présent était de se mettre à l’abri de tout danger. Alors qu’elle avançait dans le couloir, elle sursauta en entendant la porte du jeune homme se refermer bruyamment.
Elle jeta un œil par-dessus son épaule. Mais un autre bruit attira son attention. Un grognement qui venait des escaliers. Son sang ne fit qu’un tour. Elle se précipita vers l’appartement de Julie. Mais trop tard : un jeune homme nu, le sexe toujours aussi dur surgit de la cage d’escalier, bloquant la jeune fille. Elle reconnut le jeune Storm. La bave aux lèvres, les yeux remplis de perversion, l’homme se jeta sur Émilie, tentant de l’embrasser.

-Storm, non ! Reprends-toi ! Fait une pause merde, pouce !

Elle joignit le geste à sa parole, d’un timide pouce de la main.
Mais Storm sembla devenir encore plus fou, essayant même de lui mordre le pouce. Émilie Tomba à terre.
-Storm pitié, ok t’aimes pas les pouces, j’ai compris. Je t’en supplie, lâche-moi !

Mais le jeune homme n’écoutait rien, frottant son sexe contre la cuisse d’Émilie. Elle lui décocha un coup de coude au visage. Storm roula sur le côté, assommé. Elle se releva et courut vers l’appartement de Julie.
Elle entra en trombe dans le studio, refermant la porte à double tour et tomba à genoux au milieu de la pièce. Tremblante, elle tente de recouvrer son sang-froid. Elle ferme les yeux.

Se ressaisir. Ne pas flancher. Elle touchait au but. Il ne restait plus qu’à atteindre la voiture et prendre la route. Fuir cet endroit. Reprenant enfin ses esprits, elle entend la voix de Julie :
-Ça va ?

Julie avait ramassé les clefs et s’était placée entre son amie et la porte comme pour la rassurer.
Mais pour Émilie quelque chose clochait. Elle sentit la présence d’un inconnu. Elle flaira un regard au-dessus de son épaule. Elle leva les yeux. Devant elle, un homme, la peau d'un noir profond, grand, une carrure athlétique impressionnante. Les yeux verts, un léger sourire pendait à ses lèvres.

Émilie se releva d’un coup.
-Bordel !

Julie la rassura :
-Pas de panique. Il était tout seul dans le couloir, avec les détraqués qui rodent, je l’ai invité à rentrer.
- Je te rappelle quand même, Julie, que ces détraqués, comme tu dis, c’est à moi seule qu’ils en veulent ! Et toi, tu fais rentrer un inconnu comme ça, sans savoir qui c'est !
-On s’en fout de sa présentation ! On ne va pas en faire tout un topic ! De toute façon, on ne le reverra jamais !

Émilie se tourna vers Julie :
-Ouais mais il me regarde avec un drôle d’air…

Julie, horrifié, regarda la jeune fille :
-Émilie… Où sont…. Où sont les lunettes de soleil ?

À ces mots, Émilie porta ses mains à son visage. Plus de lunettes. Elle les avait sûrement perdues dans la bagarre avec le jeune étudiant du couloir.

-Émilie… Je me sens bizarre… Je… Je suis excitée….
-Julie, contrôle-toi !

Trop tard. Julie était transformée. Elle ne voyait plus Émilie comme une amie, mais comme une proie. Le désir montait en elle, plus puissant que le plaisir. L’esprit plus fort que les actes. Le grand black empoigna Émilie la serrant de toutes ses forces contre lui.
-Oh oui tiens-la ! hurla Julie.

Pour Julie et son nouvel acolyte, il était temps de se mettre à table pour le festin.

-Julie, non !

Déjà les mains du jeune black caressaient le corps d’Émilie. Julie s’approchait, laissant sa langue se promener sur ses lèvres pulpeuses.
-Julie ! Tu es mon amie ! Ça devient du hors charte là !
-Alors laisse-toi faire ! Écrivons notre histoire. L'histoire d’une belle amitié. Tous les poncifs sont réunis pour faire de cette histoire une belle amitié torride. J’ai envie de toi, je mouille comme une folle et je suis sûre que notre ami a une énorme bite !

Julie s’approcha d’Émilie tout en se déshabillant. Laissant tomber ses fringues, les unes derrières les autres, sur son passage.
-Julie… J’avoue… La situation est plutôt existante. Tu me laisseras partir ensuite ?
-Bien sûr, ma petite cochonne.

Le jeune homme au teint hâlé avait pris l’initiative de déshabiller Émilie. Elle se laissait maintenant faire, soupirant sous les mains chaudes de l’homme. Sa jupe au sol, elle sentait des doigts glisser sous son string et caresser sa petite chatte. Julie lui mangeait les seins. Sensation nouvelle pour Émilie de sentir quatre mains lui parcourir le corps. Elle frottait ses fesses contre l’ouverture du jean du jeune homme, sentant une bosse se former contre sa belle petite lune.
-Oh oui, ma cochonne, je suis tout dur !

Émilie respirait fortement, basculant la tête en arrière tant le plaisir lui était fort.
Les deux prédateurs déposèrent la jeune fille sur le lit.

Maintenant nue, Émilie était offerte à Julie, qui se jeta sur elle, glissant peu à peu vers sa chatte brûlante de désir. Le grand Black s’était déshabillé complètement. Émilie tourna la tête vers lui et découvrit son sexe démesuré. Une bite énorme, large et fièrement dressée.
-Tu vois, Émilie ! Les blacks ont de gros chibres ! Les clichés, c’est bien aussi !

- Allez, suce-moi !! ordonna le jeune homme.

Émilie avait posé le bout de sa langue sur la base de ce sexe et remontait lentement jusqu’au gland.
Elle masturba, d'abord doucement, cette énorme bite, puis de plus en plus vite, tout en dégustant de sa langue le bout de cette queue.

-Oh oui, t’es trop bonne ! Tu suces comme une vraie salope !

Julie s’activait sur la chatte d’Émilie. Encouragée pas les gémissements d’Émilie, elle la doigta, continuant de sucer son clitoris au rythme des va-et-vient de ses doigts.

-Vas-y, bouffe-moi la queue !

Le jeune homme avait posé ses mains sur la tête d’Émilie, l’enfonçant sur son membre, lui fourrant son imposante bite au fond de la bouche.

À ce moment, Julie se leva et demanda à Émilie de se mettre à quatre pattes au-dessus d’elle.
Émilie se mit en position. Elle avait une vue magnifique sur la belle chatte rasée de Julie. Et, tout naturellement, comme si elles avaient l’habitude de ce genre de plan coquin, les deux filles commencèrent à se lécher mutuellement.

Le grand black vint se placer au-dessus du visage de Julie, dirigeant sa grosse queue contre la chatte d’Émilie.

-Tiens, cochonne. Ta première bite noire !

Et, d'une seule poussée, il lui planta sa bite sans aucun autre préambule.
Il la pénétrait sauvagement. Émilie était secouée brutalement, ses fesses tapant sur les cuisses musclées du jeune homme et sa bouche, de plus en plus excitée, dégustait la chatte de Julie.

Elle sentit cette queue en elle la défoncer, immense, remplissant son antre, et criait sous l'excitation et la force des coups de butoir.
Chacun alternait caresses douces et brutales, chacun cherchant le plaisir de l’autre, que ce soit avec la langue, les doigts, la bouche ou cette bite. Tous les trois gémissaient, hurlaient, se laissant envahir par ce moment torride.

Les deux amantes partirent dans un orgasme simultané, intense, toute deux secouées par de violents soubresauts. L'effet fut immédiat pour le jeune homme. Entendre les filles jouir à l’unisson lui procura une décharge le long du corps. Il eut tout juste le temps de retirer sa bite de la chatte d’Émilie avant d'exploser contre celle-ci et sur le visage de Julie.

-Prends mon sperme !

Il leur fallut de longues minutes pour se remettre de cet orgasme intense.
C’est Julie qui brisa le silence.

-Je crois que le quota de poncifs est bon…

Émile se glissa hors du lit. Elle jeta un œil à ses deux amants. Ils semblaient doucement tomber dans les bras de Morphée. Discrètement, elle s’essuya et se rhabilla.
Elle devait maintenant fuir ce studio avant que l’envie et le désir ne reprennent leurs droits.
Elle prit les clefs et guetta le moindre bruit ou mouvement suspect à l’extérieur de l’appartement.

Elle finit par sortir dans le couloir de la cité. Des grognements lui parvenaient du studio. Ils se réveillaient, cherchant encore le plaisir auprès d’Émilie. Il fallait faire vite. Storm, toujours allongé dans le couloir semblait, lui aussi, revenir à lui.
Elle emprunta les escaliers et sortit du bâtiment. Elle trouva rapidement la voiture. La 206 rouge.

Dehors, le ciel s'assombrissait peu à peu, le vent faisant virevolter des feuilles d’arbres. La pénombre s’installait, les oiseaux étaient étrangement silencieux. Elle grimpa dans la voiture. Elle jeta un coup d’œil dans le rétroviseur et découvrit avec horreur toute une meute d’étudiants surexcités se dirigeant vers elle, Julie en tête.

Émilie tourna la clef, mais la voiture toussa sans démarrer.

-Bordel de merde !

Elle enclencha la fermeture centralisée. Elle tenta à nouveau de démarrer la voiture mais rien. Le moteur semblait s’étouffer à chaque fois.
Le groupe encercla la voiture la secouant de tous les côtés et essayant d’ouvrir les portes. Émilie frappa comme une furie sur le volant.

-Tu vas démarrer, bordel ?!

À l’extérieur, des cris, des plaintes. Les étudiants étaient agglutinés autour de la voiture, frottant queue, seins, contre les vitres du véhicule.
La jeune fille tenta désespérément de démarrer une nouvelle fois la 206. Miracle ! Celle-ci fit rugir le moteur et Émilie enclencha la marche arrière, obligeant les étudiants à s’éloigner de la voiture.

Libre, enfin libre. Émilie fouilla le véhicule, tout en conduisant. Elle mit la main sur une nouvelle paire de lunettes.
La ville s’éloignait peu à peu. Le calme enfin.

****
Elle rentra en trombe dans la maison de ses parents.

-Génie, où es-tu ?!!

Elle trouva Liou, le génie, vautré sur le canapé du salon, devant la télé allumée, entouré de deux filles aux allures de danseuses orientales.

-Ah tiens ma belle, déjà de retour ?
-Il ne faut surtout pas te gêner, hein ! Tu veux du Popcorn aussi ?!!
- Je te présente Jasmine, la sœur d’Ali Baba et Azmiya, la fille de Sinbad le marin. Elles sont majeures, pas de panique !
-Fais-les partir !

Le génie soupira et claqua des doigts. Les deux filles disparurent dans un nuage de fumée rose.
-Émilie, je te sens contrariée !
-Contrariée ?? Je suis furieuse, oui ! Annule tout de suite mon vœu ! C’est un ordre !

Le génie claqua une seconde fois des doigts.

-Qu’il en soit ainsi. Bon, du coup, il te reste deux vœux.
-C’est fini, les vœux, je veux que tu retournes dans ta lampe et que tu n’en sortes plus jamais !
-Impossible, Bella ! Tant que tu ne seras pas allée au bout de tes trois vœux, je serai condamné à vivre sous ce toit. Ah... La tête de tes parents quand ils vont me voir !

Émilie enfouit sa tête dans ses mains.
-C’est un cauchemar…
-Ton vœu était si terrible que ça ?

Julie fusilla du regard le génie.
-Il me semble que tu as pris beaucoup de plaisir avec Julien. Et ne parlons pas du moment avec cette petite Julie ! Tu as son numéro ? J’adorerais lui faire visiter Berlin…
-Laisse- la en dehors de tout ça ! Moi, je vais manger puis dormir. Et, crois-moi, on va reparler de tout ça demain ! En attendant, tu fais profil bas, pas de sexe, pas de bordel et, s'il te plaît, enfile un pantalon !

Émilie quitta le salon, furieuse.
La nuit tomba comme un voile sur cette journée cauchemardesque. 
Émilie s’enfonça dans un sommeil profond, épuisée par cette folle journée. Demain, elle devra se prononcer sur ses deux derniers vœux. Que pouvait bien lui réserver ce pervers de génie ? Pas sûr que cette histoire se transforme en un merveilleux conte…

Par lina
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Mardi 13 janvier 2 13 /01 /Jan 20:00
Laissez-moi, Messieurs, Mesdames, Mesdemoiselles, vous conter l’histoire extraordinaire de cette belle et jeune fille. Évidemment, je parle de moi, mais restons modeste ! L’histoire pourrait paraître inventée et pourtant…. *** L’histoire se passe dans un pays pas si lointain que ça, la France. Émilie, jolie brin de fille de 19 ans, étudiante modèle (oui, oui !) venait tout juste d’intégrer une prestigieuse école de critique d’histoire de sexe et d’essai. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les semaines n’étaient pas de tout repos. Entre les cours de rédaction de topic et ceux de maîtrise de forum, l’apprentissage du second degré à l’écrit et son stage dans la glorieuse entreprise « Xstory », Émilie avait peu de temps libre. Lorsque ses parents lui proposèrent de garder la maison familiale pendant leurs absences, Émilie accepta la proposition avec joie. Elle pourrait enfin se décontracter et se reposer. Le destin allait pourtant lui réserver bien des surprises… *** Samedi, treize heures. Émilie venait d’avoir sa première nuit complète depuis bien longtemps et avait profité d’une belle grasse matinée au lit. Sortant tout juste de la douche, le destin vint frapper à la porte de la maison familiale. Surprise, Émilie enfila son peignoir, maudissant déjà la personne sur le seuil de la demeure. Elle entrebâilla la porte pour y découvrir Pierre Heim, son voisin. -Émilie, ma petite Émilie ! Quelle bonne surprise ! Tu es de retour chez tes parents ? Pierre est un personnage surprenant. Émilie l’avait toujours admiré. Toujours humble et gentil, il l’avait souvent couverte, petite, pour certaines petites bêtises auprès de ses parents. Un grand sage qui avait consacré sa vie aux autres. Mais aussi un formidable conteur d’histoire. Il en avait toujours en stock pour les gamins du quartier qui l’écoutaient avec la plus grande attention. -Pierre ! Comment allez-vous ? -Oh, tu sais, petit-ange, j’ai encore la tête sur les épaules, donc tout va bien. -Vous avez l’air en forme en tout cas ! Que puis-je pour vous ? -En fait, je venais voir ton père pour lui demander un petit service. -Il n’est pas là, mais je peux peut-être vous rendre ce service ? -Voilà, je t’explique. Il y a un vieux carton dans mon grenier qui contient plusieurs albums photos. J’aimerais lui mettre la main dessus mais, avec mes problèmes de dos, impossible pour moi d’accéder au grenier et de descendre ce carton. - C’est d’accord, je m’en occupe. Laissez-moi quelques minutes pour me changer et je vous rejoins chez vous. *** Le grenier de Pierre était une véritable caverne d’Ali Baba. Des tonnes de meubles et d’objets entassés qui aurait sûrement fait le bonheur de brocanteurs. Telle une exploratrice, Émilie s’était munie d’un petit sac et d’une lampe torche. Elle partit donc à l’aventure, fouillant le grenier de fond en comble à la recherche des albums photos de Pierre. Elle finit par découvrir le carton en question. La poussière l’avait recouvert, témoin des années passées au fond du grenier. Mais son regard fut attiré par un autre carton. Un contenant de petite dimension. Elle passa sa main sur le dessus du carton, faisant voler la poussière pour y découvrir une inscription en lettres rouges : « À détruire ! ». Piquée par sa vilaine curiosité, Émilie ouvrit le carton. Elle s’arrêta, clouée par l’étonnement. Une lumière aussi vive que celle du soleil jaillit du carton. Au fond du carton, une vieille lampe brillait de mille feux, recouverte d’une peinture or éclatante. Mais ce qui surprit le plus Émilie, ce fut l’aspect du bout de la lampe. Celui-ci avait la forme d’un phallus. Émilie fut saisie d’une envie irrésistible et inexplicable de s’emparer de cet objet. Elle glissa la lampe dans son sac, telle une voleuse, referma soigneusement le carton et prit sous le bras la boite à souvenir de Pierre qu’elle était venue chercher. *** Émilie était enfin de retour dans la maison de ses parents. Pierre avait été surpris par la précipitation de la jeune fille à vouloir le quitter aussi rapidement. Il avait seulement souri et baragouiné un « ah, les jeunes... » quand l’étudiante avait franchi le seuil de sa porte. Émilie faisait face à cette lampe, la détaillant sous toutes les coutures. Et cet embout en forme de… ben oui… en forme de bite. La jeune fille semblait comme attirée. Elle passa sa main sur cette représentation de sexe masculin, délicatement, puis finit par le prendre à pleine main, frottant la lampe. Soudain, la lampe vibra entre ses mains et dégagea une énorme fumée rose qui se rependit dans toute la cuisine. Surprise, Emilie échappa la lampe qui tomba au sol. La fumée se mit à tourner au-dessus de la tête de la jeune fille apeurée. Brusquement, la fumée se dispersa et un homme fit son apparition en tenu d’Adam. - Hello, beauté ! Émilie resta bouche bée, incapable de prononcer le moindre mot. L’homme la regarda et lui demanda : -En quelle année sommes-nous jeune fille ? -heu…2014… -Ah ouais quand même ! Plus de 40 ans que je moisis dans cette lampe. Ça commencé à sentir franchement le renfermé ! T’as un truc à manger ? Je te préviens : je suis végétarien ! -Mais vous êtes qui bon sang ! -Alors jeune fille, on n’a pas lu ces classiques ? Aladin, le génie, la lampe magique ? Disney et cette sublime Jasmine ? Soit dit en passant, je l’aurai volontiers enfermée dans cette lampe pour passer le temps ! - Heu si… - On m’appelle Sexus mais tu peux m’appeler par mon petit nom : Liou ! On va faire court : je suis un génie. Un génie particulier, je te l’accorde ! Je ne réalise que des vœux sexuels ! Tu as 3 vœux, pas un de plus. Tu demandes et, si c’est dans mes cordes, je dispose ! Si le vœu ne te plaît pas, tu peux toujours me demander de l’annuler, mais il ne sera pas remplacé ! Alors ? Je t’écoute. - Là, tout de suite, tu me prends un peu au dépourvu, Liou. -Allez, belle ange, tu es mon 72521ème maître ! J’ai donc pas mal d’expérience. Un conseil : évite les « je veux de l’argent, une grosse voiture, être heureuse » et autres vœux à la con. Moi, je réalise tes fantasmes ! -Y a bien un garçon que j’aimerais séduire… -Stop, je t’arrête tout de suite : je ne fais pas dans le domaine de l’amour. La guimauve, les sentiments, la vie en rose, c'est chiant ! Mon domaine, c’est le sexe. T’as vu la forme de ma lampe, non ? Allez, on réfléchit et on se dépêche, j’ai des torchons à corriger ! Émilie prit le temps de la réflexion. Comment contourner les règles du génie afin d’avoir des vœux qui lui font envie ? Et ce garçon, cet étudiant, qu’elle convoite depuis si longtemps ? C’est une occasion inespérée pour qu’il lui tombe dans les bras ! Il suffit de bien formuler ses vœux. -Génie Liou, j’ai trouvé. J’aimerais rendre fou de désir n’importe qui d’un simple regard. -Accordé jeune fille, va donc voir ton Don Juan ! Et le génie claqua des doigts pour faire disparaitre Émilie. *** Émilie fut transportée dans un tourbillon de lumière et, comme par magie, elle se retrouva sur un trottoir face à un énorme bâtiment. Elle mit quelques instants à reconnaitre l’endroit, légèrement désorientée. L’immense bâtisse était la cité universitaire. Elle se demanda un instant si elle n’était pas devenue complétement folle. Le vœu avait-il fonctionné ? Elle devait en avoir le cœur net. Elle s’engouffra dans l’immeuble. Dans le hall elle croisa un groupe d’étudiants qui squattait là à refaire le monde. Elle reconnut certains visages familiers de la fac. Elle prit l’ascenseur occupé par un homme d’une quarantaine d’années. - Quel étage Mademoiselle, cordialement ? - Le cinquième s’il vous plaît. L’homme enfonça le chiffre 5 tout en lui souriant. -Vous êtes sublime Mademoiselle, cordialement. Gênée, Émilie lui rendit son sourire. L’homme portait une combinaison de travail bleue, avec l’inscription TD dessus. - Vous êtes le gardien de la cité ? -Non. Je passe quelques fois pour régler quelques conflits entre étudiants et j’essaye, au mieux, d’apaiser les tensions, cordialement. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent sur le cinquième étage. Émilie salua l’homme avant de le quitter. Mais elle sentit son regard posé sur ses courbes alors qu’elle s’enfonçait dans le couloir. Elle croisa d’autres étudiants, discutant de porte à porte avant de s’arrêter devant celle portant le chiffre 55. Un jeune homme d’une vingtaine d’années lui ouvrit la porte : -Émilie ? Quelle bonne surprise ! Entre donc ! -Salut, Julien ! Émilie entra dans le minuscule studio. Le jeune homme referma la porte derrière elle, s’excusant du désordre régnant en maître dans l’appartement. -Je suis contente de te voir mon Julien. -Mais que me vaut….. Julien s’arrêta soudain de parler, fixant Émilie, comme hypnotisé par son regard. Il se jeta sur elle pour l’embrasser à pleine bouche. D’abord surprise, Émilie savoura ce baiser comme une victoire. Le vœu fonctionnait. Puis Julien décolla ses lèvres de la bouche d’Émilie bafouillant un timide "désolé". Mais la magie du génie fut plus forte que lui. Et il s’empressa à nouveau d’embrasser la jeune fille, la poussant à s’étendre sur son lit. Il ne pouvait plus contrôler son envie. Incapable de maîtriser ses désirs, il laissa ses mains caresser les formes magnifiques du corps d’Émilie. Émilie fut très réceptive aux douces caresses du jeune homme et, très vite, le jeune couple se retrouva nu, enlacé sur le lit. La langue agile du jeune homme ne tarda pas à partir à la découverte de ce corps. S’attardant d’abord sur les seins d’Émilie, jouant avec les petits tétons. La jeune fille ne put s’empêcher de pousser quelques légers gémissements. Cette langue glissa ensuite sur son ventre pour venir gouter au fruit défendu. Julien lécha le sexe, déjà humide, de la jeune fille. Il entra délicatement un de ses doigts, faisant des va-et-vient pendant que sa langue s’activait sur son petit abricot. Émilie était au bord de l’extase, profitant pleinement de ce doux traitement. Julien embrassa le corps d’Émilie remontant progressivement jusqu’à son visage et ses lèvres. Leurs deux corps étaient en ébullition, puis Julien vint placer son sexe dur contre la petite chatte d’Émilie et, sans prévenir, la pénétra d’un coup sec. Les va-et-vient de la queue du jeune homme se firent d’abord lent, laissant Émilie gémir et profiter de ses coups reins. Puis les coups s’amplifièrent. Émile, allongée sur le dos, devenait plus bruyante. Elle commença à onduler des hanches faisant redoubler Julien de plaisir et d’ardeur. Le couple était en sueur, profitant des délices de cet acte sexuel. Émilie voulait être baisée, encourageant son partenaire à la pénétrer encore plus fort. Le plaisir était intense. Émilie releva ses jambes, donnant plus de plaisir à Julien qui s’empressa de déposer des baisers sur ses cuisses, tout en la pilonnant plus fort. Il sentit le vagin se compresser autour de son membre. Émilie poussa un cri en sentant sa jouissance monter et se répandre dans ton son corps. Julien accéléra sa cadence et finit par jouir à son tour. Le jeune homme s’effondra sur le corps d’Émilie, l’embrassant à nouveau. *** Après une douche, Émilie laissa sa place à Julien dans la salle de bain. Elle se rhabilla, heureuse. Soudain, on frappa à la porte. Émilie ouvrit doucement la porte et passa sa tête dans l’entrebâillement. Quelle ne fut pas sa surprise de trouver sur le seuil deux jeunes hommes complètement nus et, surtout, tous deux avec une belle érection ! Les deux étudiants ne lui laissèrent pas le temps de s’offusquer, l’un d’eux prit la parole. - Salut, on s’est croisés tout à l’heure dans le couloir. Franchement, on te trouve trop belle ! - Et c’est une raison suffisante pour venir me dire ça à poil ? - C’est un truc de fou, on t’a vu et direct, on a eu la trique ! T’inquiète : on est sympa. Mon pote là, c’est Benxxx et moi, on me surnomme Storm. On me rajoute un X lorsque je m'enflamme un peu trop, ce qui a tendance à arriver souvent ces temps-ci. On est cool, on se connaît bien, on écrit et on bosse parfois ensemble. Et d'ailleurs je suis correcteur pour la Fac, grâce à moi, tes travaux n'ont jamais été refusés pour motifs de mauvaise orthographe. Tu m’en dois une ! Émilie leur claqua la porte au nez. Elle resta un moment appuyée contre la porte. Elle entendait les deux étudiants gratter sur le bois en la suppliant d’ouvrir. - Alors ça, ce n’était pas prévu ! Elle appela Julien qui occupait toujours la salle de bain. -Julien ! Dépêche-toi de sortir ! Y a deux mecs à poil dans le couloir ! Julien sortit de la pièce, regarda Émilie et lui dit : - C’est dingue ! - Tes voisins à poil dans le couloir ! Ah oui, tu peux le dire, c’est dingue ! - Je ne parle pas de ça. Regarde, je bande encore, j’ai encore envie ! - Tu crois vraiment que c’est le moment ? Julien, reprends-toi ! - Je ne peux pas : j’ai encore envie de toi, envie de te faire l’amour ! Julien s’approcha d’Émilie pour l’embrasser, mais elle le repoussa, s’éloignant de la porte. -Julien s'il te plaît, si on réglait déjà le problème de tes voisins ? -Ah ok si tu veux… Julien s’approcha de la porte et l’ouvrit. Les deux jeunes étudiants étaient toujours là, nus et plus durs que jamais ! - Salut, les gars. Allez-y rentrez mais je vous préviens : je passe en premier ! Julien se tourna vers Émilie : - Voilà, c’est réglé. On baise ? Elle était sidérée par sa réaction. Les trois garçons s’approchèrent dangereusement d’Émilie, bite en avant. Elle les esquiva de justesse franchissant la porte en courant, fonçant tête baissée dans le couloir. Elle fut stoppée dans son élan par un groupe de jeunes gens. Elle les regarda. Des garçons et des filles tous à poils, un sourire vicieux sur le visage. Elle les reconnut tout de suite : c’était le groupe qui squattait le hall d’immeuble tout à l’heure. - Elle est là ! Un vrai cauchemar. Émilie se mit à crier, reculant dans le couloir. Ils étaient tous hypnotisés. Ils n’avaient qu’une envie : la toucher, la baiser. Derrière elle, Julien et ses deux acolytes étaient sortis de la chambre, lui barrant toute retraite possible. Sans vraiment réfléchir, elle fonça sur le groupe, poussant violemment les étudiants pour se frayer un passage. Elle sentit des mains la caresser, des sexes lui frôler la cuisse. Elle se mit à courir en direction de l’ascenseur et tapa nerveusement sur le bouton d’appel. Elle gardait un œil sur le groupe qui, dans la confusion, avait perdu leur cible de vue. Mais le répit fut de courte durée pour Émilie. L’ascenseur tardait à venir et les étudiants se dirigeaient maintenant vers elle hurlant des « Émilie » « On te veut » « Suce-nous » et poussant des cris bestiaux. La porte de l’ascenseur s’ouvrit enfin. Une main lui attrapa le bras. Elle leva les yeux pour découvrir le modérateur de la cité qu’elle avait croisé dans cet espace clos quelques heures auparavant. Son regard lubrique était plongé dans les yeux d’Émilie. -Vient ma belle entre, cordialement, bien sûr… Elle découvrit avec horreur que son bleu de travail était baissé sur ses genoux et qu’il avait sorti son sexe. Elle s'extirpa tant bien que mal de l’emprise de l’homme et chercha un moyen de s’enfuir. Son regard se posa sur une porte. - Les escaliers ! Elle courut jusqu’à la porte et s’engouffra dans les escaliers sombres de la cité puis descendit les marches en trombe. Elle s’arrêta un instant, essoufflée, sur le palier du deuxième étage. Elle entendit le groupe de fous furieux s’engouffrer dans la cage d’escalier 3 étages au-dessus. Elle eut soudain une illumination. Julie, son amie, en Fac de psy, habitait la cité ! Elle dévala encore un étage pour se rendre au niveau un. De là, elle pénétra dans le couloir vide du premier étage pour aller tambouriner sur la porte de l’appartement de son amie. La porte s’ouvrit. Émilie fut soulagée de découvrir le sourire de son amie. - Émilie ??? Elle ne lui laissa pas le temps de s’interroger plus longtemps. Émilie pénétra dans l’appartement et ferma violemment l’ouverture derrière elle…
Par lina
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