Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 11:05
Jérôme n'en menait pas large. Déjà le fait de s'être fait pincé encore une fois en train de dealer n'était la meilleure des choses quand on était une petite frappe de seconde zone comme lui mais l'idée de se retrouver confronté au juge de Saint Servier, considéré par son avocat comme le plus inflexible de la cour était encore plus inquiétant. L'espèce d'abruti qui s'occupait de son affaire avait bien tenté de faire juger son affaire par un magistrat tout aussi incapable et surpassé que lui en comparution immédiate autant pour lui éviter une peine trop lourde que pour se décharger au plus vite d'une affaire qui ne ferait pas trop avancer sa carrière mais visiblement le destin ne lui souriait pas et désormais c'était la prison qui semblait l'attendre et pour un bon bout de temps. Il avait passé deux nuits en prison quand il rencontra enfin ce juge. - Mon client ne nie pas ses erreurs monsieur le juge mais il faut avoir conscience de sa jeunesse et qu'il a aussi des contacts en vue de reprendre des études, bonimenta son avocat. Il veut sérieusement s'amender et nous devrions lui donner sa chance. - C'est ce qu'on fait mes deux confrères devant lesquels il a comparu l'an dernier, lui répondit sèchement le juge depuis sa position surélevée d'inquisiteur, mais je ne suis pas aussi laxiste et il est majeur désormais. L'avocat marqua un temps d'arrêt bien trop long au goût du juge. Jérôme compris qu'il n'avait pas prévu d'autres arguments que ceux -- là. Sa situation était désespérée. - Monsieur le juge, je vous demande de lui laisser... - Le temps n'est plus aux demandes, ni aux espoirs avec les voyous de la nature de votre client, maître. Je ne vois que la fermeté qui puisse lui inculquer le sens des réalités. Je vais cependant mettre mon jugement en délibéré. Je vous rendrais ma décision demain. L'avocat parut surpris d'un tel sursis. Jérôme lui était totalement détaché, il retournait en prison et visiblement pour un certain temps. La nuit était tombée depuis un certain temps quand un gardien tira Jérôme de sommeil. Comme le veux l'habitude, il n'avait pas été ramené à la prison mais dans une cellule du palais de justice. Le gars le conduisit sans un mot dans une salle d'interrogatoire où il fut surpris de se retrouver en face du juge qui semblait l'avoir condamné dans la journée. - Eh que voulez -- vous, fit le jeune voyou. Je veux voir mon avocat! - Tais -- toi donc petit con, cria le juge, si tu veux sortir libre de cet endroit tu ferais mieux de m'écouter! Jérôme considéra ce juge. Il était vieux. Plus de cinquante ans certainement ; presque chauve mais assez grand et surtout il avait un regard bleu acier qui le transperçait. Il décida de se taire et d'écouter ce qu'il avait à dire. - Assieds -- toi, ordonna le juge. J'ai relus ton dossier et il n'est vraiment pas bon. La quantité de drogue que tu possédais sur toi était suffisante pour que je puisse te condamner à 10 ans de réclusion. - 10 ANS!!!! s'énerva Jérôme en se levant. - Rassis -- toi! tonna le juge en le transperçant de son regard dur. Jérôme se rassit, comprenant que le juge n'avait pas provoqué cette rencontre sans raison. - Je peux t'envoyer en prison pour 10 ans et crois -- moi, il y a de nombreux petits dealers qui croupissent actuellement en prison pour avoir eu le malheur de me rencontrer. Cependant, tu as de la chance, le temps où j'appliquais la loi sans me poser de question est derrière moi. Désormais, je l'adapte à... mes désirs. - Et vos désirs sont? s'affola Jérôme en s'écartant du ostensiblement du juge. - Rassure -- toi, fit le juge au bord du fou -- rire, je ne mange de ce pain -- là. Mais tu as posé la bonne question. Tu n'es qu'un petit loubard mais un petit loubard qui a la chance d'avoir dans ses relations ce que je veux. Il me semble que tu sors actuellement avec la dénommée Madeleine Bonnet. - Madeleine? Cette coincée? C'est une de mes poufs oui mais pas la meilleure. Elle est loin d'être la plus amusante, elle pense qu'à ses études. Bon sang, m'sieur le juge, si vous voulez une gonzesse, j'en connais des plus engageantes. - Décidément, tu ne comprends rien à rien et c'est normal. Celle que je veux c'est Madeleine et je la veux pieds et mains liés. C'est à cette seule condition que tu retrouveras la liberté et même quelques menus avantages. Crois -- moi, je suis un homme puissant et je peux t'ouvrir bien des portes. - Tout ça, juste si je vous apporte Madeleine? Mais je vous le fais dès demain. - Tut! Tut! Pas si vite, je ne veux pas de violence. Dis -- moi un peu, cette jeune fille, elle est amoureuse de toi ou non? Ne me mens pas car si je peux t'ouvrir des portes, je peux aussi définitivement t'enterrer. - Ouais, elle m'adore. Le vrai problème, c'est sa putain de famille. Ses parents s'imaginent que sous prétexte qu'elle a de super notes à l'école, elle va réussir et devenir avocate ou un truc comme ça. Résultat, elle a 18 ans et pas moyen de sortir le soir ou des choses comme ça. En plus, elle était déjà à faire des projets et moi j'en veux pas, c'est pas la seule nana avec laquelle je sors. - Très bien alors tu vas bien m'écouter. Madeleine était folle. Cela faisait maintenant presque une semaine que Jérôme était sorti de prison et il n'avait plus donné signe de vie. Elle ne comprenait plus rien. La veille de son arrestation, il lui jurait encore qu'elle était la femme de sa vie et maintenant sa sœur Sarah affirmait qu'elle l'avait vu en compagnie de cette garce de Félicia. Le pire était qu'elle ne pouvait même pas en avoir le cœur net tant sa mère la surveillait. Avant, elle n'arrivait à voir Jérôme que parce qu'ils rusaient tous les deux et que ce dernier venait la voir au pied de son immeuble après ses cours. Un samedi après midi alors qu'avec sa mère et sa sœur, elles faisaient des courses dans un centre commercial, elle eut l'immense chance de le croiser. Il l'ignora mais elle profita de la distraction de sa mère pour le suivre ; elle voulait une explication. Elle le rattrapa alors qu'il arrivait dans un couloir et l'attrapa par le bras. Il se retourna et la dévisagea d'un air surpris. - Madeleine, fit -- il. Comment vas -- tu? - Tu me le demande, s'énerva -- t -- elle, alors que je n'ai plus aucune nouvelle depuis des semaines. Il afficha un air contrit, regarda derrière elle comme s'il craignait que quelqu'un l'ai suivie puis l'entraîna vers un endroit plus discret. Soudain, il l'embrassa. - Je suis désolé, mon amour, s'excusa -- t --il, mais je n'ai pas le choix. Je suis piégé. Nous ne devons plus nous voir, nous n'avons pas d'avenir ensemble. Madeleine, encore sous le coup de ce baiser, bafouilla sans réussir à réorganiser ses esprits. Jérôme reprit. - Regarde -- toi, tu es une jeune femme pleine d'avenir et moi je ne suis qu'un loser perdu. En plus tes parents font tous pour nous séparer. - Mais..., je ne... - Chut! Je t'aime et tu le sais mais tant que nous resterons dans cette situation, rien ne sera possible. - Mais dans quelques mois, j'aurais mon bac et je partirais à la fac, je quitterais alors ma maison. - Et ça ne changera rien. Tu dépendras toujours financièrement de tes parents et je serais toujours un petit loubard sans avenir. Madeleine voulait lui crier que cela n'avait aucune importance, qu'elle voulait renoncer à tout ça pour lui quand il ajouta quelque chose. - Bien sûr, si je réussissais à mener mon projet à bien alors tout changerait. - Ton projet? - Oui mais c'est compliqué et j'ai besoin de l'aide d'une femme, d'une vraie, une femme prête à tout pour moi... une femme comme Félicia. Folle de rage à l'énoncé de ce nom, Madeleine s'entendit prononcer des paroles dont elle serait cru incapable. - Félicia n'est rien, je ferais tout pour toi. Il resta silencieux quelques secondes comme s'il réfléchissait puis il dit. - Tu le veux vraiment? - Oui, s'enflamma -- t -- elle persuadée de vivre une véritable passion. - Alors je te retrouverais ce soir à l'endroit habituel. Je t'expliquerais tout. Le soir même, elle retrouva Jérôme dans un débarras en bas de son immeuble. Ses parents pensaient qu'elle était sagement endormie dans la chambre. Jérôme était déjà là. Dès qu'elle arriva, elle se jeta sur lui, l'embrassa et sa main plongea immédiatement en direction de son bas ventre. Ils avaient déjà fait l'amour dans cet endroit bien peu romantique mais elle s'en fichait, elle l'avait retrouvé. Etrangement, il s'écarta doucement d'elle. - Je n'ai pas beaucoup de temps, s'excusa -- t -- il. La prochaine fois. Nous devons parler de notre avenir. La seule évocation de leur avenir ensemble suffit à calmer sa déception et elle s'assit prêt de lui. Il caressa doucement ses cheveux châtains blonds et descendit vers son opulente poitrine mais s'arrêta soudainement pour parler. - Dans notre situation, nous sommes désespérés. Sans argent, je suis condamné à végéter dans ce quartier paumé et toi à rester sous la coupe de tes parents qui me haïssent. - Tu te trompes sur mes parents, ils ne sont pas aussi mauvais que tu le penses. - Ah bon alors pourquoi m'ont -- ils dénoncé à la police? Elle resta sans voix devant cette accusation. - Tu ne me crois pas. Ce n'est pas grave, ce sont tes parents. Il reste que si tu m'aimes et que tu veux vivre avec moi, nous devons devenir rapidement indépendants tous les deux et tu le sais. Elle ne pouvait pas nier cette affirmation. Si elle partait à la fac pendant des années, elle savait qu'il finirait par l'oublier et elle ne le voulait pas. - Quel est ce projet dont tu m'as parlé? - J' ai un ami qui est sur une grosse affaire. On lui a proposé d'acheter une cargaison de plusieurs kilos de drogues, ça vaut une fortune. - De la drogue? s'affola Madeleine. - Calme -- toi, je ne veux pas faire ma vie dans ce milieu mais il suffirait d'une seule vente pour financer tout notre avenir : tes études et mon projet de garage et même une maison pour vivre ensemble. Madeleine se tut. Elle réfléchit en pensant qu'ainsi elle pourrait avoir ce qui la faisait rêver. - Mais pourquoi te ferait -- il ce cadeau? - Ce n'est pas un cadeau. Il n'a pas l'argent pour acheter la cargaison aux producteurs. Ces derniers ne veulent que 10% du prix à la livraison car ils sont pris par le temps. C'est une occasion unique. On leur payera le reste avec les bénéfices de la vente mais ça reste une somme conséquente. J'ai besoin de cet argent et c'est là que tu interviens. Il s'arrêta une seconde pour s'assurer qu'elle écoutait bien. - J'ai rencontré un homme, c'est un juge et c'est surtout un homme riche. Il serait prêt à me donner cet argent mais en échange, il veut passer du bon temps avec une jeune fille. Madeleine ouvrit la bouche en comprenant ce qu'il lui demandait. - Tu veux que je fasse la pute! Tu es fou! Il s'approcha d'elle et la serra fort. - Ce ne sera qu'une fois et ensuite nous serons tranquilles. - Non! Je ne suis pas comme ça! - Je comprends, fit -- il. J'aurais dû m'en douter d'ailleurs. Félicia avait accepté elle. Je pense que je peux lui redemander, elle veut tellement changer de vie. Le sang de Madeleine ne fit qu'un tour et de nouveau ses paroles devancèrent sa pensée. - Jamais! Laisse cette salope où elle est. Je le ferai! Le visage de Jérôme s'illumina alors et il l'embrassa. - Mon amour, tu verras, nous allons être très heureux. Madeleine retrouva Jérôme le samedi après midi. Elle avait de nouveau menti à sa mère pour retrouver Jérôme dans le petit appartement qu'il partageait avec un autre jeune homme. Quand elle arriva, affreusement stressée, elle sentit immédiatement l'odeur de Marijuana qui la mit mal à l'aise. Jérôme vint à sa rencontre et l'embrassa. - Je te sens tendue, lui dit - il. Détends -- toi, tout va bien se passer. Assieds -- toi. - Il va venir ici? Demanda -- t -- elle. - Le juge? Non, quelqu'un va te conduire à sa garçonnière. - Tu ne viens pas? s'affola -- t -- elle. Il l'enlaça et se rendit compte qu'elle restait toujours tendue comme une corde. - Il faut que tu te relaxes sinon tu vas vivre un vrai enfer, lui assura -- t --il. - Facile à dire pour toi, lui répondit -- elle sèchement. Il ne releva pas et lui tendit une pipe. - Tiens fume, tu te sentiras mieux après. - Qu'est -- ce que c'est? - Fume et ne pose pas de questions. Tu poses trop de questions, ce n'est pas bon. Elle hésita une seconde et décida de céder. Elle avait accepté déjà bien des choses par amour pour lui. Elle fuma et quelques secondes plus tard, elle se sentit étrange comme emportée dans un fleuve. Quand elle rouvrit les yeux, Jérôme lui tendait la main. - Tu te sens mieux? Elle ne put répondre encore sonnée par l'excitation apportée. Elle prit sa main et il l'emmena. Il la fit monter dans une voiture discrète conduite par un chauffeur africain qui leur fit traverser une bonne partie de la ville. Encore dans les vapes, elle ne réussit pas à identifier les rues qu'ils traversaient. Finalement, ils se garèrent devant un petit immeuble bourgeois. L'africain descendit, lui ouvrit la portière et lui tendit la main. Elle la prit et il l'entraîna dans ce grand immeuble qui abritait visiblement des appartements cossus et surtout discret. Ils montèrent dans l'ascenseur qui stoppa au troisième étage. Il ouvrit une porte qui se trouvait juste en face et ils se retrouvèrent dans un immense hall d'entrée. Un homme en robe de chambre bordeaux apparut alors et Madeleine crut s'étouffer en constatant qu'il devait avoir 60 ans. Il s'approcha d'elle en souriant. - Enchanté, mon enfant, fit -- il. Je suis tellement heureux de te rencontrer enfin. Il l'enlaça et elle eut une envie de vomir à l'idée qu'elle allait devoir coucher avec cet homme. Il s'écarta d'elle et se tourna vers l'africain. - Merci Christian, ce sera tout pour le moment. Sans un mot, le chauffeur sortit, les laissant seuls. Il l'entraîna alors vers le living room. Elle se rendit compte que cet endroit était immense et que tout l'appartement de ses parents pouvait tenir dans cette seule pièce. - Je m'appelle Madeleine, dit -- elle alors qu'il l'avait lâchée et s'était assis dans un des immenses sofas. - Je sais et moi je suis monsieur le juge. Elle voulut s'assoir. - Non, reste debout, je veux te voir. De plus en plus mal à l'aise, Madeleine restait immobile devant lui. - Qu'est -- ce que tu attends, s'énerva soudainement le juge. Déshabille -- toi! Le malaise de Madeleine s'accentua encore un peu plus mais elle sentit qu'elle ne pouvait plus reculer. Elle avait accepté de se vendre. Elle défit son chemisier et le posa sur le sofa placé derrière elle. - C'est bien, approuva le juge. Continue comme ça! Prends ton temps! Elle dégrafa sa jupe noire qui rejoignit le chemisier. Entre l'effet de la substance qu'elle avait inhalé qui ne s'était pas encore totalement estompé et la situation horrible de devoir se retrouver en lingerie devant cet homme qui avait l'âge d'être son grand père, elle se sentait au bord de l'évanouissement. - Ne fais pas ta timide, tonna le juge. CONTINUE!!! Ce cri la fit sursauter et la tira un peu de son état. Elle dégrafa alors son soutien gorge dévoila son imposante poitrine juvénile puis comme pour ne pas sombrer à nouveau, elle se dépêcha de retirer la culotte blanche dévoilant une touffe mal entretenue. Le juge sourit alors et défit les pans de sa robe de chambre. Il était nu en dessous et il prit son engin en les mains tout en la détaillant de son regard concupiscent. - Tourne sur toi -- même, ordonna -- t -- il. Je veux voir tes fesses. Condamnée à obéir à cet homme qui tenait leur avenir entre ses mains, elle pivota sur elle -- même heureuse de ne plus avoir à supporter le regard de ce vieillard. Elle resta immobile pendant de long instant quand elle sentit un souffle sur son cou et des mains qui se glissaient sous ses aisselles. Elle eut un geste de recul. - Ne bouge pas bon sang, ragea le juge. Laisse -- toi faire! Elle abandonna sa résistance et le laissa lui tripoter les seins tout en se frottant contre ses reins. Elle sentait la force de son érection et priait pour qu'il jouisse immédiatement en se disant que si cela arrivait il ne serait plus capable de rien et que son calvaire serait terminé. Malheureusement pour elle, le juge avait l'expérience pour lui et il savait se contrôler. Il commença à lui lécher le cou alors que ses mains descendirent vers son intimité. Elle ferma les yeux alors que ses doigts s'inséraient dans sa fente. Elle avait envie de pleurer, de hurler mais elle se retint par peur de la réaction du juge. Puis soudain, il la força à se retourner et d'un coup l'embrassa de force. Sa langue s'insinua dans sa bouche recherchant la sienne. Elle manqua s'étouffer de surprise et elle comprit qu'elle devait lui rendre ce baiser si elle voulait reprendre son souffle. Cette horreur dura de trop longues secondes et elle cracha pour retrouver de l'air pour retrouver sa respiration. Le juge ne sembla pas s'inquiéter de cette réaction, il était entièrement concentré sur tout autre chose. Il la fit allonger sur le sofa qui se trouvait derrière elle et plongea sa tête entre ses jambes. De ses mains, elle tenta de repousser cette langue qui s'insinuait dans sa fente intime mais la drogue et la gêne lui avaient ôtées toute force. Elle commença alors à sentir une terrible chaleur monter dans son bas-ventre. Son corps, contre elle -- même, réagissait aux caresses du vieil homme qui semblait avoir une certaine expérience à ce petit jeu de langue. De nouveau, elle tenta de le repousser pour ne pas céder à ce plaisir qui montait en elle, en vain et elle fut envahie par un orgasme qui la remplit immédiatement d'une honte immense. Le juge retira son visage de son entrecuisse pour la dévisager et y déceler les traces du plaisir qui venait de la ravager. Visiblement satisfait, il s'avança alors et se plaça de façon à la prendre. Encore assommée, elle fut incapable de résister. Profitant d'une cavité vaginale désormais parfaitement lubrifiée, il la pénétra sans ménagement avant de s'affaler sur elle. Allongée sur le sofa, les yeux révulsée, elle laissait ce vieux vicieux profiter de son corps sentant son sexe allant et venant en elle, ses mains triturant ses seins et sa langue se promenant sur son cou et son visage. Puis soudain, il se retira et elle crut que son enfer était terminé mais sans ménagement, il la tira par les cheveux et la força à s'agenouiller. Elle pensa qu'elle allait devoir achever par une fellation quand il l'obligea à se retourner et à se pencher en avant sur le sofa et là, elle comprit le sens du mot douleur. D'un coup sec, il força la résistance de son anus et pour la première fois de la soirée, elle ne put plus réprimer ses cris. Le juge se figea puissamment dans ses entrailles avec une vitalité au moins aussi forte que précédemment et il reprit son limage dans une intimité qui n'avait jamais connue de pénétration. - NON, hurla -- t -- elle. NON, JE NE VEUX PAS!!! CE N'ETAIT PAS PREVU!!!! Le juge la tira alors par les cheveux et approcha sa bouche de son oreille droite. - Je paye, petite pute alors je décide de ce qui est prévu. Elle éclata en pleurs alors qu'il reprenait ses allers retours ravageant son anus sans aucune pitié. Elle perdit la notion de temps puis soudain elle sentit un liquide chaud et visqueux couler dans ses entrailles et elle comprit qu'il venait de jouir entre ses fesses. Ses pleurs s'intensifièrent autant par désespoir que par le soulagement de comprendre que son calvaire allait enfin prendre fin. Une demi -- heure plus tard, le juge l'avait laissé prendre une douche et elle s'était rhabillée le plus vite possible. Son corps était perclus de douleur et surtout son anus qui la brûlait horriblement. Le chauffeur africain l'attendait en bas de l'immeuble pour la raccompagner. Dans la voiture, elle se remit à pleurer et ne retrouva la force de faire cesser ses larmes qu'en se disant que désormais toutes cet enfer était du passé. Elle ne savait pas qu'elle n'était qu'au début de sa déchéance.
Par lina
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Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 11:24
Par lina
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Vendredi 23 janvier 5 23 /01 /Jan 11:39
Une demi-heure plus tard, il avait congédié Laura. Amandine se tenait assise devant lui. S'il s'était rhabillé, il lui avait signifié de rester entièrement nue ; même s'il n'était plus question de la baiser, il n'allait pas se priver de quelques menus plaisirs. S'il restait encore dans cette demeure, c'était parce qu'il voulait régler certains détails essentiels qui ne pouvaient attendre. - Signe -- ça, lui ordonna -- t -- il en lui tendant plusieurs documents. Elle le fixa avec un air de chien battu qui aurait pu l'attendrir s'il avait eu un cœur. Elle était encore sous le choc de ce qu'elle venait de vivre et ne comprenait plus vraiment ce qui lui arrivait. - Ca ce sont les documents de cessation de la maison. Je veux que ta sœur et sa famille aient vidé les lieux avant la fin de la semaine. Encore cet air de chien battu, il avait envie de lui envoyer une baffe mais il doutait de l'efficacité d'une telle méthode. Même lui devait de temps faire preuve d'un peu de tact. - Ils vont certainement te haïr mais ils oublieront très vite en découvrant l'endroit où ils vont habiter désormais ; ils ne perdent pas au change. Il vit une petite lueur d'espoir apparaître dans son regard, c'était déjà ça mais le pire restait à venir. - Celui est une attestation pour le juge des enfants qui certifie que tu renonce à ton autorité parentale sur Maria au profit de ton père. Un ami s'est déjà arrangé pour accélérer la procédure, elle pourra déménager elle -- aussi avant la fin de la semaine. - Maria... partie... , articula -- t -- elle, avant la fin de la semaine? - A moins que tu n'aies envie qu'elle n'assiste aux prochaines soirées de ce genre que je compte organiser... ou pire qu'elle y participe. Ce dernier argument porta comme un coup de massue, Amandine saisit son stylo et signa immédiatement et Angel était persuadé que la petite serait chez son grand -- père dès le lendemain. Il pouvait partir l'esprit serein. Une bonne partie de son contrat était déjà remplie. Assis à l'arrière de sa voiture, il sourit quand ils croisèrent le véhicule de la petite famille d'Amandine, ils ne se doutaient pas de la mauvaise surprise qui les attendaient. Il fit un signe à son chauffeur, un ancien videur de boîte de nuit qu'il avait recruté voici des années pour lui servir de garde du corps et celui -- ci fit remonter la vitre de séparation et il pût alors prendre son téléphone pour contacter les autres membres du club. - Allô Juge, dit -- il, la petite opération s'est passée de la plus belle des façons. Je vous ferais parvenir les documents de renoncements dans la matinée comme prévu. - Superbe, répondit son interlocuteur, vous devez être ravi. - Et vous le serez vous aussi. Laura est comme vous les aimez, jeune, belle et d'une docilité surprenante. Comme convenu, je vous ai préservé son œillet annal. - Vous êtes bien digne du club, répondit le juge. Nous nous reverrons donc à la réunion, rajouta -- t -- il avant de raccrocher. Angel fit de même en souriant. Le club avait changé sa vie. * Il s'agissait d'un groupe très fermé d'hommes qui avaient su se réunir autour de centres d'intérêts très particuliers. En réalité, ils n'étaient que 4. 4 hommes très riches et très puissants qui s'étaient rencontrés tous par hasard. En fait aucun ne pouvait dire exactement ce qui les avait conduits à former le club. En dépit de leur richesse, ils n'évoluaient pas tous dans les sphères à l'origine. Angel était un étranger à cette petite région. Devenu milliardaire grâce aux nouvelles technologies, il avait ensuite continuer prospéré dans les affaires mais il avait fini par s'y ennuyer quelque peu au point de laisser la gestion de l'essentiel de son groupe financier à des sous -- fifres qui se contentaient de le faire vivoter. Il s'était ensuite lancé des dizaines de défis tous plus aventureux les uns que les autres à travers le monde mais même l'aventure finit par devenir lassante et c'était un quarantenaire blasé qui avait échoué dans cet endroit idyllique avec l'impression que sa vie était terminée alors qu'elle ne faisait que commencer. Le club avait changé cela. L'honorable juge Jules De Saint Servier est un personnage totalement différent, il est de loin le plus vieux des membres du club. C'est un notable influent, juge et officiellement politique de second rang mais en réalité véritable tête pensante du parti au pouvoir dans la région, il était l'un des hommes les plus puissant de la région. En apparence, c'était un homme bien installé mais en réalité c'était un géant qui bouillait de devoir vivre au milieu des fourmis, obligé de restreindre ses désirs à cause de l'éducation psychorigide qu'il avait subie. Le club lui avait ouvert de nouveaux horizons, permit d'oser enfin abuser de ce pouvoir si immense qu'il possédait à la seule fin d'assouvir sa perversion qui était sans limite. Guillaume Uron était le plus du club. C'était le fils cadet d'une des plus grandes fortunes de la région, sa plus grande honte aussi. Alcool, drogues, femmes et autres plaisirs réprouvés par la morale, il n'y a rien que le jeune fils Uron n'ai pas essayé au point que son père l'ait totalement déshérité au seul profit de son aîné... mais c'était sans compter sur la providence qui a voulu qu'après la mort naturelle du père, un tragique accident de voiture ait provoquée celle du frère et de toute famille. Uron s'est retrouvé donc finalement millionnaire et s'est apparemment assagi. Apparemment seulement car en réalité, l'efficacité de son action et sa détermination avait attiré l'attention des membres du club qui lui avait offert un nouveau terrain de jeu plus à ce sa mesure. Le dernier membre du club se nommait Guillermo Diaz et il contrairement aux précédents, il n'était pas issu de la haute société. C'était un immigré qui avait commencé sa vie à travailler sur les chantiers mais c'était aussi un homme d'une intelligence rare qui à force de rage avait réussi à se forger un empire dans le monde des services. Désormais, le simple petit ouvrier commandait un vaste qui fournissait à des milliers de clients des centaines de services à domicile allant du ménage à l'enseignement. Une véritable petite armée de petits serviteurs dévoués pour satisfaire les plus nantis de la société régionale... et autant de petits espions qui constituaient un mine d'information inépuisables pour découvrir tous leurs secrets les plus inavouables. Comme Angel l'avait déjà dit le club avait changé leur vie à tous car il leur avait révélé une réalité. Ils étaient riches et puissants et pourtant tous se sentaient bridés, lassés pour la simple et bonne raison que ce monde était trop étroit pour eux. Ils avaient donc décidé de repousser les limites et de profiter de tous les plaisirs que la vie leur offrait. Ils étaient puissants mais il restait tant à faire encore dans cette région et ne satisferait que quand ils tiendraient la région dans le creux de leurs mains. Et il y avait le sexe. Tous tant qu'ils étaient, ils n'avaient jamais eu de mal avec les femmes, l'argent et le pouvoir étant de puissants aphrodisiaques mais cela ne leurs suffisaient pas, ils voulaient plus. Ils voulaient désormais des plaisirs plus absolus avec des femmes moins accessibles. Traquer une femme comme une proie lors une chasse pour finalement la contraindre à tout leur céder sans aucune limite. Voilà leur plaisir total. Pour sceller officiellement la naissance du club qui n'était pour l'instant qu'un simple groupe d'amis, ils avaient donc décidé d'ouvrir leur cheptel de victimes. Chaque membre du groupe s'était vu fixé un liste de trois victimes à avilir. Il devait choisir lui-même deux des noms et l'un des autres membres lui imposant le troisième. Les règles étaient simples : interdit de les contraindre par la violence directe (pas question de les brutaliser pour les forcer à vous obéir) ni de les acheter ; ce serait trop facile. Pour le reste, tous les coups sont permis : chantage, mensonge et autres tricheries. Une fois les 12 victimes attrapées, le club se réunira pour fêter cela dignement. Angel observa sa liste personnelle. Il pouvait rayer les deux noms d'Amandine et Laura Blenon. Laura ayant été sa « figure imposée » par le juge. Il reporta son attention sur le troisième nom : Christine Vérone. * La journée était calme au centre d'hébergement. C'était à cet endroit que Christine, 31 ans, occupait le poste d'éducatrice spécialisée depuis des années. Sa fonction assister les personnes qui vivaient en ce lieu dans leurs démarches administratives, leurs recherches d'emplois ou de logements ou tout simplement pour les recadrer quand elles dépassaient certaines limites ou qu'elles connaissaient des passages à vide dangereux. Les gens qui vivaient en ce lieu, des hommes et des femmes en situation précaire majeure mais de tout âge avaient souvent besoin de tout cela et c'était souvent épuisant. Ce jour-là cependant, le centre était très calme. C'était le Week -- End, elle est assurait une permanence. On sonna à l'interphone et une voix d'homme qu'elle ne connaissait pas déclare qu'elle voulait réaliser une démarche pour être accueillie au centre. Elle lui ouvrit et le fit entrer dans son bureau. Par soucis de discrétion, elle ferma la porte derrière lui puis elle le fit s'assoir à son bureau avant de s'installer en face de lui. Dès que cet homme fut entré, elle se sentit mal à l'aise en sa présence. Il ne ressemblait pas du tout aux habitués de ce lieu. Il n'était certes pas habillé de manière précieuse mais tout dans son comportement indiquait qu'il venait d'un milieu bien plus aisé qu'il ne voulait le faire croire. Elle détestait ces jours de permanence, elle était seule dans le centre et pouvait à tout moment se retrouver confrontée à un malade. Cependant, l'homme ne montrait aucun signe de nervosité, au contraire. - Bonjour, dit -- elle en tentant de cacher au mieux son malaise. Que puis -- je pour vous? - Comme je vous l'ai dit, je me retrouve dans une situation délicate. La personne qui me logeait depuis quelques temps vient de me mettre à la porte et je me retrouve désormais à la rue et je ne sais pas où aller. Un ami m'a dit que je pouvais venir ici. - Oui bien sûr, fit Christine qui se détendit devant ce discours qu'elle ne connaissait que trop bien. Nous allons voir ce que nous pouvons faire pour vous mais avant je vais avoir besoin d'informations. Votre nom? Vous avez une carte d'identité? Pour toute réponse l'homme sortit une petite enveloppe qu'il posa sur la table. - Tout est là, fit -- il laconique. Etonnée par l'épaisseur, Christine saisit l'enveloppe et l'ouvrit. Son teint devint alors d'une pâleur cadavérique. L'enveloppe ne contenait pas de papiers d'identité mais des photos. La première photo montrait deux corps de femmes tendrement enlacés. L'une de ses femmes était une certaine Natacha, une ancienne résidente du centre que Christine avait suivie quand à l'autre femme, il s'agissait tout simplement de Christine elle -- même. Nerveusement, Christine dévoila toutes les photos, elles la représentaient toutes en train se livrer à une relation homosexuelle avec ce jeune fille d'à peine 20 ans. Elle releva la tête en direction de l'homme. - Que signifie..., marmonna -- t -- elle. - Je pense que vous le savez très bien. Natacha était une jeune fille difficile. Toxicomane et violente, de ces résidentes qui ne restaient jamais longtemps au centre car elles désespéraient rapidement les éducateurs. Pourtant Christine s'était attachée à cette fille perdue et avait tout tenté pour la sortir de son destin désespéré. Elle avait résisté contre la volonté du directeur de la virer devant ses accès de violences consécutives au manque, s'était battue pour lui obtenir une place dans un centre de désintoxication. Et puis deux jours avant son départ, Natacha avait disparue. Christine n'avait pas voulu abandonné et l'avait cherché dans toute la ville pour le retrouver dans un squat de drogués des bas quartiers. Natacha planait et elle s'était retrouvée confrontée à son dealer. La suite était trouble. Elle se souvient seulement s'être réveillée des heures plus tard, à moitié nue dans sa voiture à quelques mètres du squat sans aucun souvenir de ce qui s'était passé entretemps. Elle avait compris qu'on l'avait drogué. Elle n'avait jamais retrouvé sa petite culotte et avait craint le pire. Un examen médical l'avait rassurée, elle n'avait pas été violée. Cependant, elle avait oublié Natacha qui était morte d'overdose quelques semaines plus tard comme si elle savait au fond d'elle que quelque chose de terrible s'était quand même produit et qu'elle voulait éviter qu'elle ne remonte à la surface. Malheureusement, cette chose venait de lui éclater au visage. - Ces photos sont belles, fit l'homme, mais j'en d'autres encore plus belle où l'ont voit les spectateurs de vos ébats lesbiens et j'ai même un film. - Qui êtes -- vous? cracha Christine. Que voulez -- vous? Angel sourit alors, le jeu pouvait vraiment commencer. - Je me nomme Angel et je suis l'homme qui d'un seul click peut détruire ta vie, assura -- t -- il. Si je le veux demain le film sera demain dans toutes les boîtes mail de tes collègues et ton bel emploi d'éducatrice ne sera plus qu'un souvenir. - Que voulez -- vous? répéta Christine. Pour toute réponse, elle entendit le zip d'une braguette qu'on ouvrait. Ses yeux s'agrandirent sous l'effet de l'horreur. - Sous le bureau, ordonna Angel bien qu'il savait qu'elle avait parfaitement compris ses intentions. - Vous êtes fous. - Je pourrais aussi l'envoyer à ton mari et à tous ses amis. Sa femme couchant avec une jeune femme toxicomane. Il est sicilien, je crois, chez lui on ne rigole pas avec ce genre de choses. Cela détruirait ton mariage, tu perdrais la garde de ton enfant c'est sûr. Il pourrait même te tuer ou se tuer. Elle blanchit à nouveau et il savait qu'elle prenait ces affirmations très au sérieux. Son mari était de l'ancienne école et il n'accepterait jamais cette humiliation. - Sous... le....bureau... Il avait parfaitement séparé chacun de ses mots afin de leur donner le maximum de poids et finalement à l'énoncé du dernier, il vit sa longue crinière brune disparaître sous le chêne marron du bureau. Quelques secondes plus tard, il sentit le contact de ses doigts sur son pantalon. - Si je fais cela, dit -- elle, vous me rendrez le film et les photos. - Certainement pas! mais au moins je resterais le seul à en profiter. SUCE -- MOI! Elle hésita une seconde et sortit sa queue pour l'enfourner dans sa bouche. Il recula doucement sa chaise pour voir sa tête qui faisait de lents aller et retour verticaux au fur et à mesure que son plaisir montait. Le contact de sa langue sur son pénis augmentait son sentiment de plénitude autant que la situation. - Ahhh, dit -- il, ma salope. Tu es douée mais il faut dire que je sais grâce à notre ami Natacha que tu sais très bien te servir de ta langue. Natacha, cette épave qu'il avait récupérer voici quelques mois alors qu'elle pourrissait au fond de son caniveau. Il l'avait juste remise sur pied et formée de façon à ce qu'elle puisse attendrir cette femme dont le seul défaut était de trop s'investir avec les personnes dont elle s'occupait. Il s'en était ensuite servi pour lui tendre un piège aussi tordu que fabuleux. Il avait l'avait drogué à un dérivé du GHB qui avait pour effet de lever ses inhibitions, la drogue du viol. Il espérait ainsi la conduire à coucher avec un des toxicos du squat mais que ne fut pas sa surprise de la voir tomber dans les bras de Natacha qui lesbienne reconnue avait saisie l'occasion. C'était encore mieux, encore plus compromettant et qui ouvrait bien des perspectives pour l'avenir. Il avait ensuite laissé Natacha sur le bas côté avec une dose d'héroïne bien trop pure pour elle, il n'avait plus besoin d'elle. Il sentit alors son plaisir atteindre un point de non retour et se redressa soudainement la faisant se cogner la tête contre le support du bureau. Il ne lui laissa pas le temps de réagir et l'attrapa par les oreilles et la força à reprendre sa queue immédiatement qu'il lui enfonça brutalement jusqu'au fond de la gorge. A peine une seconde plus tard, il jouit et elle fut obligée d'avaler ce liquide chaud et visqueux sous peine de s'étouffer. Il se retira alors et elle cracha violemment les quelques gouttes de spermes qui n'avait pas coulé jusqu'au fond de son estomac. Elle se tenait là accroupie en train de suffoquer et il sentit immédiatement une nouvelle érection le reprendre. Il prit la précaution de fermer la porte du bureau afin de ne pas prendre le risque d'être dérangé et il s'approcha d'elle. Elle était encore sous le choc de cette fellation forcée et il l'attrapa par la queue de cheval pour la forcer à se lever. Elle portait une longue robe blanche. D'un geste, il la retroussa jusqu'au ventre et lui arracha sa culotte. Elle cria en comprenant ce qu'il voulait faire. - Tais -- toi, lui murmura -- t -- il à l'oreille ou la première chose que ton sauveur verra en arrivant ce sont les photos de toi en train de t'envoyer en l'air avec notre défunte amie. Elle étouffa alors un sanglot. Il se figea alors en elle sans ménagement, elle serra les dents pour ne pas crier. Totalement persuadé de la soumission de sa nouvelle victime, Angel se déchaîna. Il tira sur les pans de sa robe arrachant ses boutons et faisant apparaître ses seins. Affalé de tout son poids sur son dos, il la besogna alors tout en lui tripotant la poitrine qui remuait au rythme de la saillie. La tête à quelques centimètres de son cou, il pouvait entendre les sanglots qu'elle retenait à force de volonté et cela accentua encore son plaisir. Il accéléra encore ses saccades à tel point qu'elle ne put retenir ses cris surtout quand elle comprit qu'il n'avait pas l'intention de se retirer avant d'avoir jouis. Mais elle ne réagis pas et ce fut passive et en pleurs qu'elle reçut de nouveaux flots de spermes dans son vagin cette fois. Repu, Angel se sépara de Christine qui s'effondra sur le bureau en sueur et en larmes. Tout sourire, il s'essuya le pénis sur la robe de l'éducatrice en lui effleurant les fesses. Elle sursauta alors comprenant ses intentions mais on tapa alors à la porte. Il recula alors et se rhabilla rapidement. Elle resta immobile et il fallut de nouveaux tapotements pour qu'elle sortît enfin de son état de choc. Il lui jeta alors une carte de visite. - Voilà mon adresse, lui expliqua -- t -- il. J'organise une petite fête très privée à la fin de la semaine pour fêter mon emménagement. Tu es invitée, je ne tolérerais pas que tu ne viennes pas et je veux que tu emmènes les dossiers de toutes les jeunes femmes dont tu t'occupes ainsi que des renseignements sur tes collègues de travail. Elle se redressa et saisis sa veste qu'elle enfila autant pour protéger sa poitrine nue que pour dissimuler sa robe déchirée. Elle s'assit sur son siège et il constata avec satisfaction qu'elle avait récupéré sa carte. Il s'approcha de la porte et posa la main sur la poignée. Il se retourna pour s'assurer que plus aucune trace ne restait de leur petite partie fine et ouvrit. Il se retrouva alors en face d'une petite jeune femme d'une vingtaine d'années aux cheveux bruns courts et aux yeux verts. Elle recula d'un pas, surprise de se retrouver en face de lui. Il lui sourit pour endormir sa méfiance. Elle se radoucit. - Bonjour, fit -- elle. Je m'appelle Opale et j'habite ici. - Enchanté, jeune fille, heureux de te rencontrer. Opale, pensa -- t -- il. Voilà une jolie petite pierre qu'il comptait bien tailler dans un avenir proche.
Par lina
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Mercredi 21 janvier 3 21 /01 /Jan 12:02
- Défais mon pantalon et fais ton travail. Obéissante, Laura défit sa ceinture et sa braguette pour sortir son membre déjà bien dressé. Avec l'expérience d'une jeune fille qui pratiquait ces jeux buccaux depuis déjà quelques années, elle enfourna le pénis sans rechigner pour commencer sa fellation. En sentant, la langue de la jeune fille se balader doucement sur son membre, Angel comprit qu'il n'aurait que peu de consigne à lui donner pour l'instant. Décidemment, la jeunesse actuelle était vraiment au fait de ces aventures phalliques et il ne savait s'il devait s'en réjouir ou le déplorer. En tout cas, le plaisir montait doucement et l'attrapa par les cheveux afin de la forcer à ralentir le rythme. Pas question qu'elle le fasse jouir trop vite, cette petite idiote. Il n'était pas un de ces ado inexpérimenté avec lesquels, elle avait l'habitude de batifoler, il en voulait bien plus. Toujours affreusement docile, elle se plia à la vitesse qu'il lui imposait. A moitié à son plaisir, il continuait à profiter intensément de la vision d'Amandine qui observait horrifiée sa fille se livrer à des actes dignes de la dernière des putes. - Et ce n'est que le début, pensa -- t -- il. Tu en verras bien plus ce soir, ma belle et seulement ensuite, je te sauterais. Quand il estima que Laura s'était assez servi de sa bouche, Il la fit se relever. - Enlève mon pantalon, ordonna -- t -- il. Elle le fit et devançant de nouveau ses ordres, elle lui retira également son slip. Il la récompensa d'une gifle magistrale. Amandine voulut s'avancer mais il se redressa et d'un regard lui fit comprendre que si elle esquissait un geste, elle serait accueillie de la même façon. - Ici, je suis le seul qui prend les décisions et aucune de vous ne dois faire une action sans que je lui en ai donné l'ordre, expliqua -- t -- il. Pas question d'inverser les rôles et de faire que l'esclave devienne le maître du jeu et puis, il aimait infliger des punitions. - Avez -- vous compris cette règle? REPONDEZ!!! - Oui, maître, fit Laura toujours aussi docile. - Oui... maître, lâcha Amandine qui résistait toujours un peu plus avant d'abandonner. - Très bien, Laura. A toi, de te mettre cul nu. La jeune fille, la joue encore rouge de la gifle qu'elle venait de recevoir, ne se fit pas prier pour enlever la robe qu'elle avait mise quand elle pensait encore qu'elle pouvait séduire cet étranger, le string en dentelle la suivit immédiatement. Angel la fit alors s'allonger sur le dos sur la table basse et plongea sa tête dans son intimité. Non pas qu'il ait réellement l'intention de lui procurer du plaisir, ce n'était pas au programme de cette soirée ; non, il voulait juste vérifier une supposition qu'il avait émise en fonction des actes de cette petite pouffiasse. - Ta fille est mouillée comme la dernière des salopes, lança -- t - il alors à destination d'Amandine qui grimaça à cette nouvelle. Et bien sûr elle n'est plus vierge. A quel âge, tu t'es laissé prendre pour la première dis -- moi. - Cette année, répondit -- elle. Angel sourit alors et lui pinça violement le clitoris. Laura poussa un cri et Angel constata avec plaisir que cette fois, Amanda n'avait esquissé aucun geste. - Ne me mens pas, je ne le supporte pas. Et de nouveau, il la pinça lui arrachant un cri encore plus fort. Cette fois, Amandine ne tint pas et voulut s'approcher. Angel la pinça encore plus fort et cette fois, elle hurla. - Si tu bouge encore, fit -- il à destination de la mère, c'est avec mes dents que je la pincerais la prochaine fois et on entendra ses cris de l'autre côté du golfe. Le visage d'Amandine se décomposa, il comprit qu'elle était en train de se demander si elle serait capable de l'empêcher de réaliser sa menace. En voyant ses bras redescendre le long de son corps, il comprit qu'il avait de nouveau remporté la victoire. - Alors je t'ai posé une question petite conne et cette fois ne me mens pas. - A 16 ans, pleurnicha Laura qui semblait soudainement trouver le jeu moins amusant. - J'en étais sûr, à peine libérée du joug familial que tu commence à faire n'importe quoi. C'est parfait, au moins ta chatte sera bien accueillante. Il l'attrapa par les cheveux et la força à se mettre à genoux sur le divan. - Soulève les fesses. Conséquence de sa poitrine imposante, elle possédait un fessier des plus larges, ce que détestait Angel qui pensait déjà au plaisir qu'il aurait à explorer le cul petit et étroit de la mère. Toujours en larme, Laura s'exécutait exposant ainsi à la vue de celui qui était devenu son maître à la fois son cul et sa chatte. Il pensa un instant s'attaquer à la seule virginité qui devait encore lui rester mais il avait promis de la réserver à une autre personne. Il se contenta alors de planter son pénis dont l'érection avait été entretenue par les sévices qu'il venait de lui faire subir dans son sexe. La douleur était loin de l'avoir asséché et il entra avec une aisance qui lui gâcha presque le plaisir. Très rapidement cette petite salope se mit à haleter sous ses coups de boutoir et il comprit qu'elle ne devait pas être habituée à se faire besogner par un vrai homme, cela allait changer. Alors qu'il accélérait le rythme, il pouvait l'entendre crier de plus en plus fort et du coin de l'œil, il profitait également du spectacle de sa mère détruite de la voir prendre autant de plaisir à se faire violer. Il n'en perdait d'ailleurs pas le sens des réalités. - Amandine, dit -- il, ce jeans est horrible, enlève -- le!! Comprenant que son tour n'allait pas tarder, Amandine ôta immédiatement son pantalon. Elle avait retenu la leçon de sa fille car elle ne fit pas de zèle et conserva la petite culotte blanche sans fioriture qu'elle portait. - Pas de dessous, se contenta -- t -- il de dire alors que le plaisir de besogner la gamine commençait à monter dangereusement. Elle se débarrassa de sa culotte et il se retira alors de Laura qui gémit de dépit. - Passons aux choses sérieuses, se contenta -- t -- il de dire se s'approchant d'Amandine. Comme la fille, la mère se retrouva exposée cul en l'air. - Tu vois, Laura. Si ta mère n'a pas une poitrine aussi pute que la tienne, elle se rattrape avec le cul le plus bandant de toute la ville. Il planta deux doigts dans la vulve d'Amandine et constata que contrairement à la fille, la mère était aussi sèche que le désert de Gobi. - Heureusement que ma queue est bien trempée de la mouille de ta fille, déclara -- t -- il en sachant que cela rajouterait encore à l'humiliation de cette femme qu'il désirait tant écraser. Sans plus attendre, il s'enfonça en elle, lui arrachant un cri bien différents des gémissements de plaisirs de Laura. Les mains d'Amandine se crispèrent sur le cuir du divan alors qu'elle se faisait violer pour la première fois par cet homme qui avait décidé de la réduire en esclavage. Angel prenait énormément plus de plaisir à cette seconde pénétration. Il allait et venait en elle, ralentissant le rythme jusqu'à lui faire croire qu'il allait se retirer pour repartir soudainement en lui arrachant de nouveaux cris. Pourtant, il sentait aussi que petit à petit sa chatte s'humidifiait et savait que ce seul fait augmenterait le sentiment de dégoût qu'elle ressentirait demain. Il en était presque à jouir en elle quand il se retira finalement car il voulait la cerise sur le gâteau. Amandine s'était recroquevillée sur le divan, en pleurs et il se tenait derrière elle, sa queue en les mains. Il en avait oublié Laura assise sur le divan trois places nue qui devait attendre son bon vouloir en observant le viol de sa mère. - Je n'ai pas fini, fit -- il impérieux. Reprends -- ta position! Sous le choc, Amandine ne réagis pas. Une gifle lui cingla la fesse droite, suivie immédiatement d'une autre sur la fesse gauche mais elle restait toujours dans sa position fœtale. Puis le regard d'Angel se reporta sur un objet qui se trouvait dans le coin droit de la pièce. En dépit de son état, Amandine s'en rendit compte et en fit de même et comprit qu'il avait remarqué le tisonnier qui se trouvait prés de la cheminée. Son sang ne fit qu'un tour et avant qu'Angel ne fit mouvement vers la cheminée, elle se redressa pour reprendre sa position, prête pour un second round. Sauf qu'Angel n'avait pas dans l'intention de la baiser. De nouveau deux doigts explorèrent une de ses fentes mais il s'agissait de son trou du cul. Elle hurla ; voulut s'échapper mais il lui plaqua la tête contre le dossier du divan. Elle manqua s'étouffer alors qu'elle sentait son gland se presser sur l'auréole de son anus. Mais elle résistait obstinément et il ne réussissait pas à la fois à la faire tenir en place et à placer correctement l'extrémité de son pénis et alors il osa l'impensable. - Laura! vient ici! La tête enfoncée dans le cuir du divan, Amandine ne pouvait pas voir sa fille qui s'approchait d'eux. Angel doutait que la force de la fille fut suffisante pour retenir la mère qui résistait comme une furie. Alors, il opta pour une autre tactique. - Tu va guider ma queue jusqu'au fond du cul de ta mère! Laura resta bouche bée. - Fais --le! De nouveau, elle céda devant cette nouvelle autorité qui s'était imposée à elle. Et ses mains se posèrent sur la queue d'Angel. Amandine sentit alors une force se presser contre son anus de manière pressante et finalement une douleur horrible lui déchira les entrailles. Angel avait réussit son entreprise, il était en train de l'enculer. Cependant il ne pouvait douter de la virginité de ce superbe cul qui l'avait fait tant rêver tant sa queue se retrouvait prise comme dans un étau et en dépit de ses efforts qui se répercutaient par les hurlements de douleurs de sa victime, il ne réussit à la pénétrer que de quelques centimètres. Il s'acharna cependant pendant de longs instants qui parurent une éternité à l'infortunée Amandine. - ASSEZ!!! Hurla -- t -- elle. ASSEZ!!! JE VOUS DONNEREZ TOUT CE VOUS DESIREZ MAIS ARRETEZ PAR PITIE!!!! « Mais tu n'as pas le choix » pensa alors Angel. « Et tu me donneras bien plus que ne penses être capable d'offrir crois -- moi. » Mais à ce moment, il se priva du plaisir de lui révéler cette vérité pour profiter de ce nouvel abandon de sa part. Il allait s'en servir pour au moins tirer une dernière vraie jouissance de cette soirée riche en enseignements. - Très bien, souffla dans son cou. Alors en échange, tu vas m'offrir un plaisir que jusqu'à présent tu n'offrais plus qu'à ton mari : je vais jouis en toi. Elle resta silencieuse et pour vaincre ses dernières réticences, il donna un nouveau coup de rein, son membre s'enfonça d'un nouveau centimètre dans ses intestins lui arrachant un nouveau hurlement. - AAAHHHHHHHHHH!!!! OUI, D'ACCORD, plia -- t -- elle. Jouissez en moi!! Il se retira alors de son anus et la força à sa retourner. Il voulait lire le dégoût et la honte dans ses yeux quand il giclerait en elle. Il se planta en elle. Des mains, la força à le regarder dans les yeux pendant qu'il la besogner. Il vit les larmes qui coulaient aux coins de ses yeux et cette dernière vision acheva de le conduire à l'extase. Deux jets de foutres inondèrent alors la cavité vaginale de cette superbe bourgeoise achevant de l'humilier. Le membre encore dressé, Angel attrapa alors Laura qui se tenait toujours agenouillée à quelques centimètres d'eux et la força à lécher le mélange de foutre et de mouille qui en dégoulinait. Alors que la fille achevait de satisfaire les derniers relents de sa virilité, il se tourna vers la mère. - Qui sait, peut -- être que ce soir nous avons conçu un petit frère à la petite salope qui te sers de fille. Et il éclata d'un rire qui clôtura l'une de ses plus belles soirées depuis bien longtemps.
Par lina
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Mercredi 21 janvier 3 21 /01 /Jan 12:01
Amandine Blenon raccrocha son téléphone en tremblant. Elle venait de passer presque une heure à s'entretenir avec son avocat et ce qu'il lui avait révélé l'avait terrassée. En seulement quelques jours, c'était l'ensemble de la vie de cette belle jeune femme de 37 ans qui semblait s'effondrer. Mariée au propriétaire d'un des restaurants les plus en vogue de la région avec lequel elle avait eu deux filles, elle les pensait à l'abri de tout problème financier mais elle savait maintenant qu'elle se berçait d'illusions. Son époux s'était visiblement associé avec un escroc dans une obscure affaire qui devait lui rapporter une fortune mais qui avait en réalité englouti la totalité de leurs actifs. Pire, il se retrouvait accusé de détournements de fonds et d'abus de confiance auprès de plusieurs de se amis qu'il avait visiblement arnaqué pour tenter de se renflouer. Il ne lui avait rien avouer et le pire était qu'il était maintenant en fuite, la laissant seule à devoir affronter les créanciers qui menaçaient de saisir tous leurs biens incluant le restaurant mais aussi la belle dans laquelle il vivait et qu'ils partageaient avec la famille de sa sœur qui venait tout juste un enfant. Amandine se servit un verre de vodka bien tassée afin de digérer toutes les informations qu'on venait de lui asséner et elle le but en contemplant la crique qui s'étendait en bas de sa résidence. Ils vivaient dans un endroit reculé à quelques kilomètres de la ville au bord de la mer et cet endroit valait plus de deux millions. Elle ne comprenait pas comment Jérôme, son mari, avait pu se laisser embringuer dans une telle affaire alors qu'ils n'avaient pas besoin d'argent. Une sonnerie la tira alors de ses idées noires. Il s'agissait de l'interphone de l'entrée de la propriété. Quelqu'un voulait entrer. Elle appuya sur le bouton et le visage d'un homme blond qu'elle ne connaissait pas apparut alors. - Oui, fit -- elle. Que voulez -- vous? - Je me nomme David Angel, répondit l'homme en souriant. J'étais associé à votre mari et ... - Je ne sais pas où il se trouve, lui rétorqua -- t -- elle, et si vous insistez j'appellerais la sécurité. Elle avait désormais l'habitude d'être harcelée par les gens qui avaient été arnaqués par Jérôme et son ami escroc. Ils l'appelaient au téléphone pour réclamer l'argent qu'ils avaient perdu, pour l'insulter ou même les menacer et certains avaient poussé l'audace jusqu'à venir jusqu'ici mais heureusement la propriété était parfaitement hermétique et elle pouvait contacter la sécurité privée qui rappliquait en moins d'un quart d'heure. Elle voulut couper la communication mais l'homme ne renonça pas. - Vous vous méprenez, je ne suis pas une victime de votre mari même si je suis au courant de vos problèmes. En fait, je vous apporte la solution. Elle resta immobile le doigt à quelques minimètres du bouton de l'interphone, cherchant à percer l'expression de cet inconnu qui se contentait de sourire. Elle ne le connaissait pas mais elle se souvenait que Jérôme lui avait déjà parlé d'un certain Angel avec qui il s'était associé dans un projet de chaîne de restaurant, il ne lui en avait dit que du bien. Selon lui, il était très riche. Peut -- être Jérôme se servait de lui pour lui transmettre un message. Elle voulait croire que son mari ne les avait pas totalement abandonnées, ses filles et elle. Elle voulut prendre le risque et lui ouvrit. Angel arriva à la maison 5 minutes plus tard. Amandine lui ouvrit et il en parut surpris. - J'ai donné son congé à tous le personnel à cause de nos... ennuis, expliqua -- t -- elle en réponse à sa question muette. - Je comprends. Et votre famille? - Ma sœur et mon beau frère ont emmené mes filles en promenade pour la journée pour me laisser plus d'aisance pour discuter avec les avocats. - Nous sommes donc seuls, comprit -- il. C'est parfait pour ce dont nous avons à parler. - Vous avez des informations sur mon époux, s'enquit Amandine anxieuse. - Pas exactement, pourrions -- nous en discuter dans un endroit plus adéquat? Elle conduisit dans le salon. Il s'installa sur le canapé trois places alors qu'elle se posait sur le une place en face de lui. Une petite table basse en verre les séparait. - Je vous écoute. De quoi vouliez -- vous me parler? - Comme je vous l'ai dit, je suis au courant de la situation cruelle dans laquelle votre mari vous a laissée. La liste des gens qui vous réclame de l'argent est impressionnante. - Ils le réclament à mon mari. - Peut -- être mais vous êtes mariés sous le régime de la communauté donc ses dettes sont aussi les vôtres. - Je sais cela. Si vous êtes venu pour me le rappeler c'était inutile. Mon avocat et mon banquier sont là pour ça. - En fait, ils n'ont pas dû vous dire que quelqu'un avait racheté toutes vos dettes. - Et qui serait cette personne? - Moi. - Vous? Mais cela représente une somme énorme. - Si on compte les sommes que j'ai dû payer pour calmer les gens qui voulaient vous poursuivre en justice cela représente pas moins de 10 millions mais vos dettes elles ne représentent que 6. Donc, si je résume, vous me devez 6 millions et j'ai fait estimer l'ensemble de vos biens et on est loin du compte. Amandine restait silencieuse devant cet homme qui venait tout simplement de donner corps à tous ses problèmes. - Rassurez -- vous, reprit -- il devant son silence. Je ne suis pas aussi désespéré que les pauvres gens que vos mari a escroqué pour tenter d'éponger ses dettes. Mais je suis exigeant cependant et je peux vous offrir une porte de sortie qui pourrait sauver votre famille. - Une porte de sortie ... demanda -- t -- elle. - Je sais que votre mari vous a parlé de moi, il a dû vous dire que je suis amateur d'art puisque nous nous sommes rencontré lors d'une exposition. En fait, j'aime toutes les belles choses y compris les belles femmes et vous êtes une très belle femme madame Blenon. Je serais prêt à oublier toutes vos dettes si de votre côté vous acceptiez de m'obéir. Outrée, Amandine se leva alors de son siège et hurla. - Vous vous moquez de moi, espèce d'ordure. Vous me prenez pour une prostituée de bas étage. Et d'ailleurs qu'est qui me prouve que ce qui me dit n'est pas un tissu de mensonge. Un sourire cynique se dessina alors sur le visage d'Angel qui saisit alors la mallette qu'il avait apporté avec lui. - Je pensais bien que vous douteriez de mes dires, fit -- il en ouvrant sa mallette. Voici tous les actes de cessation de dettes qui prouvent que je suis devenu votre seul créancier. Et vu votre réaction, je veux aussi vous montrer ceci, je l'ai découvert alors que je recherchais toutes les victimes de votre mari. La rage d'Amandine s'était éteinte devant impassibilité d'Angel. Elle se rassit et prit les documents qu'il avait posés sur la table. Elle n'était pas une experte et comptait bien les montrer à son avocat afin de s'assurer de leur authenticité mais ils ne laissaient aucun doute. La seconde pile de documents était différente, il s'agissait d'actes notariés et elle remarqua qu'ils étaient signés de la main de tous les membres de sa famille, ses parents, sa sœur, son beau frère et bien entendu, elle -- même. - Je peux vous expliquer si vous voulez. Dans le cadre de son « activité », votre mari a eu besoin d'assistance, en fait des prête-noms mais pour la loi ce sont des complices qui sont tous autant coupables devant la loi. Ces complices sont les gens qui ont signé ces documents. Amandine pris ces documents et notamment ceux qui portaient sa signature personnelle. Elle ne se souvenait même pas où et quand elle les avait signé mais elle faisait tellement confiance à son mari qu'elle avait parfaitement pu le faire. - Cela veut dire que, si ces documents parviennent à la justice, vous et toute votre famille serez poursuivis pour abus de bien sociaux. Vous réussirez peut -- être à prouver votre bonne foi, ce qui est loin d'être certain compte tenu du fait que vous avez tous profiter des revenus des escroqueries de votre mari, mais vous devrez assumer les conséquences du procès coûteux. Pensez à vos enfants. Votre aînée, Laura a 18 ans et ne risque rien mais la plus jeune Maria et ses 11 ans est encore bien fragile surtout si elle se retrouve placée dans un foyer de l'assistance. Elle n'est pas habituée et puis il y a la petite fille de votre sœur, elle n'a que quelques mois et elle pourrait n'avoir aucun souvenir de ses parents, ce serait triste. - Salaud!!! S'emporta cette fois Amandine. SORTEZ D'ICI. JE NE VEUX PLUS JAMAIS VOUS VOIR!!! Toujours aussi calme, Angel se leva. Il posa une petite carte sur la table en verre. - Très bien, je vous laisse réfléchir. Voici ma carte de visite ; contactez -- moi si vous changez d'avis. - SORTEZ!!!!!! Angel sortit sans se départir de son sourire. Les jours qui suivirent furent autant d'enfer. Son avocat et un notaire authentifièrent les documents d'Angel et confirmèrent la réalité de ses menaces quant à la nature du danger de poursuites judiciaires qui pesait désormais sur elle et sa famille. Pire, deux jours après la visite de cette pourriture, elle fut la victime d'une perquisition de police et d'une convocation chez le juge qui instruisait l'affaire de son mari qui lui appris que plusieurs des victimes avaient décidées de porter plainte contre elle afin d'obtenir réparation. Son avocat la rassura en affirmant qu'en l'état actuel de l'instruction, elle ne risquait rien mais il ne lui cacha pas que si jamais les documents qu'elle lui avait montré la veille arrivaient sur le bureau du juge, c'était la garde à vue immédiate. Elle comprit alors qu'Angel lui tendait un piège et qu'elle se retrouvait prise dedans. Il allait la dépouiller sans pitié et ensuite provoquer la ruine de toute sa famille. Cette petite journée n'était qu'un avertissement. Elle passa une nuit horrible, sans oser avouer à personne le drame qu'elle vivait. Au matin, elle comprit qu'elle n'avait pas le choix et elle prit la carte d'Angel. - Madame Blenon, fit Angel dans le téléphone. Heureux de vous entendre. J'ai appris vos nouvelles mésaventures, j'en suis désolé. Cette réplique confirma les doutes d'Amandine mais il était trop tard, elle était piégée. - J'ai réfléchi à votre proposition. Je l'accepte à condition que... - Ce n'est pas aussi simple, la coupa Angel. Si vous aviez accepté tout de suite, nous aurions pu négocier des conditions mais là vous m'avez fait attendre et je déteste attendre alors je veux plus pour sauver votre famille. Je veux Laura en plus. Amandine fut foudroyée par l'outrecuidance de cet homme et elle lui raccrocha au nez mais immédiatement son téléphone sonna et elle sut que c'était lui. Comme un robot, elle décrocha. - Ne refaîtes plus jamais ça, fit -- il sur un ton impérieux, ou dans la journée toute votre famille se retrouvera en garde à vue. Je n'ai plus le temps de jouer à ce petit jeu du chat et la souris. Voilà le marché : Vous allez me vendre votre maison et vous et votre fille y resterez à mon service le plus total. En échange, je m'engage à offrir un point de chute à votre sœur et sa famille et à ce que votre fille la plus jeune puisse aller vivre chez ses grands-parents. Tous retrouveront la vie qu'ils avaient avant cette triste affaire. Si vous le refusez, toutes les victimes de l'escroquerie de votre mari se réveilleront de leur sommeil et le juge recevra les documents que j'ai en ma possession. Il n'y a pas réfléchir, je veux une réponse maintenant. - Je ne peux pas prendre de décision pour ma fille, elle est... - A vous de la convaincre, pensez bien qu'il s'agit de toute votre famille et sachez qu'en affaire je suis sans pitié. Amandine comprit alors qu'elle était vaincue. Elle comprit qu'elle devait accepter le diktat de ce monstre. - J'accepte. - Parfait. J'ai conscience qu'il va vous falloir un peu de temps pour convaincre Laura mais si elle est aussi censée que vous vous n'aurait pas trop de mal non plus. Je vous donne trois jours au maximum. Si vous y arrivez avant, convenons d'un signal. Je veux que vous étendiez deux petites culottes, une vous appartenant et une autre appartenant à Laura, devant votre porte. Vous vous arrangerez ensuite pour être seules la soirée et je passerais vous voir afin que nous scellions définitivement notre arrangement. Il raccrocha laissant Amandine seule avec son désespoir. Convaincre Laura fut le moment le plus terrible de la vie d'Amandine. Laura était une jeune femme de 18 ans qui devait passer son bac dans quelques mois et physiquement tout le contraire de sa mère. Brune alors que sa mère était blonde, elle possédait des formes très arrondies, pour ne pas dire provocantes, au contraire d'Amandine dont la taille mannequin rendait folle les autres mères de familles qu'elle fréquentait. Laura avait conscience, bien plus que Maria heureusement, de la situation désastreuse dans laquelle leur famille se trouvait mais elle n'avait jamais rencontré Angel et ne comprenait pas le danger qu'il faisait planer sur elles trois. Au terrible désarroi de sa mère, l'argument qui fit pencher la balance fut quand elle comprit que bientôt elle risquait de se retrouvait dans le plus total dénuement. - Il ne peut pas être aussi terrible que tu le dis, lâcha Laura. Nous pouvons peut -- être discuter avec lui après tout. Amandine comprit alors que sa fille était en train de s'imaginer qu'elle pourrait séduire cet homme afin de conserver tout ce qu'elles possédaient à ses dépends. A sa grande honte, elle se garda bien de doucher ses illusions ; elle avait trop besoin de son soutien. Elle devait la sacrifier pour sauver tous les autres. Bien qu'elle avait réussit à convaincre Laura dès le second jour, Amandine s'accorda tous le répit qu'Angel lui avait offert. Et le matin du troisième jour, elle demanda à Laura une de ses culottes et l'étendit avec l'une des siennes devant la porte de la villa. Paul, son beau-frère, passa alors et la regarda surpris mais ne dit rien. Elle venait tout juste de terminer qu'un message arriva sur son portable. - Ce soir! 21h! Soyez seules! Laisse les culottes où elles sont! Et elle comprit qu'Angel ne cessait jamais de les épier. Faire partir le reste de la famille ne fut pas chose facile mais elle y arriva finalement. Amandine avait prétexté que Laura se sentait mal à cause des problèmes de son père qu'elle en parler seule à seule avec elle. A 21H, on tapa à la porte. Angel avait même réussi à se procurer le code de la grille de la propriété, réalisa Amandine, terrorisée. Comme une automate, elle se dirigea vers l'entrée pour lui ouvrir. En réalité, il était beau ce salaud et elle ne comprenait pas pourquoi un tel homme utilisait de tels moyens pour arriver à ses fins. - Laura est là? demanda -- t -- il sans même dire bonsoir. - Elle attend dans le salon, répondit -- il comme dans un cauchemar. - Parfait, je te suis. Il avait abandonné le vouvoiement. Après tout, comprit -- elle, elle avait accepté de devenir sa chose alors elle pouvait accepter cela. Elle sentait son regard qui se promenait sur elle alors qu'ils se dirigeaient vers le salon et elle eut envie de vomir. Laura était assise sur l'un des divans une place. Amandine toujours sous le choc de cette situation horrible s'assit sur l'autre divan à côté de sa fille pendant qu'Angel se posait tranquillement au milieu du divan trois places en face d'elles. - Je suis heureux de te revoir Laura. Nous nous sommes déjà rencontré voici quelques temps, c'est d'ailleurs à cette occasion que j'ai rencontré ton père. Tu ne dois pas t'en souvenir tellement tu t'étais amusée à papillonner durant toute la soirée. - Mais si Monsieur Angel, commença alors Laura dans son jeu de séduction qui marchait si bien sur les jeunes de son âge. - Maitre, la coupa alors Angel sur un ton brusque et froid. - Pardon? Chevrota alors la jeune femme. - Désormais tu m'appelleras Maître, reprit -- il toujours aussi froid. Est -- ce clair? Les yeux exorbités, Laura dévisagea alors Angel. Celui -- ci plongea son regard froid et dur dans le sien. Il ne fallut que quelques secondes pour la volonté de la jeune fille se brisât comme du verre. - Oui, maître, répondit Laura et le sang d'Amandine se glaça dans ses veines devant la reddition de sa fille. Angel goûtait à cette victoire si facile. Laura Blenon avait visiblement cru qu'il était un de ses gamins puceaux que ses petites minauderies allaient attendrirent. Il lui avait suffi de lui montrer la totale futilité de sa tactique pour l'écraser. Briser la mère avait bien sûr demandé plus de travail et il comptait maintenant en profiter pleinement en commençant par les amuse -- gueules. - Heureux que tu aies compris où était ta place, reprit -- il en profitant de la mine déconfite de cette jeune adulte. Lève -- toi! Son ton avait était si directif qu'elle se leva comme par réflexe. Du coin de l'œil, il savourait également les expressions de désarroi de la mère qui découvrait à quel point sa fille était faible. - Tu es belle Laura pas de doute mais je veux en voir plus. Enlève donc ce chemisier. Cette fois elle hésita mais de nouveau, il plongea son regard dans le sien. Le duel ne dura qu'un instant et les mains de la jeune fille commencèrent à dégrafer les boutons du vêtement qu'elle fit glisser le long de son dos. En dessous elle portait un simple soutien gorge blanc qui cachait à peine son imposante poitrine. - Ils doivent se sentir prisonnier là dedans, non? reprit -- il en souriant. Une poitrine doit respirer. A sa grande surprise, Laura n'attendit même pas son ordre et retira immédiatement son soutien gorge. Décidément la volonté de cette jeune fille laissait vraiment à désirer. Il siffla quand même devant ces deux mamelles. - Ils sont vraiment très beaux. Combien dis -- moi? - 85D, répondit -- elle. - Parfait, approche donc. Docile, la jeune fille enjamba la table basse pour se retrouver en face de lui. D'un geste du doigt, il lui intima de se mettre à genoux. Ce qu'elle fit et il commença à lui tâter les seins. - Et parfaitement naturels en plus, apprécia -- t --il très fort pour s'assurer que sa mère ne manque rien de ce petit jeu. Car le but de tout cela était bien entendu d'humilier au maximum Amandine. Du coin de l'œil, il la voyait qui s'enfonçait dans son divan au fur et à mesure qu'il avilissait sa fille sous ses yeux. - Je ne t'oublie pas Amandine, rassure -- toi, lui lança -- t --il. Ne crois pas que je sois un fanatique des poitrines imposantes. Je sais que les petites ont aussi leur charme, justement, si tu nous faisais admirer la tienne. Presque soulagée de ne plus être spectatrice, Amandine se leva et souleva le tee-shirt qu'elle portait. Elle avait visiblement décidé de le défier en s'habillant de la manière la moins provocante possible. Un tee-shirt blanc et un jeans délavé. En dessous, elle ne portait aucun soutien gorge et son 85B apparut alors presque comme un défi. Angel préférait cette position, il aimait quand on lui résistait, même vaincue, il pouvait encore trouver de la motivation à écraser les reliquats de volontés chez la victime. - Tu as raison Amandine, les dessous sont inutiles pour les femmes comme vous et désormais vous n'en porterez plus. Elle resta silencieuse devant cette nouvelle humiliation mais il n'en avait pas fini. - As -- tu compris? - Oui. - Oui, qui? - Oui, maître. Ce dernier mot lui avait presque arraché la langue et il en tira un plaisir immense. Elle fit mine de s'approcher d'eux mais il la fusilla du regard. - Est -- ce que je t'ai autorisée à bouger? Reste où tu es! Penaude, elle s'immobilisa debout, les bras ballants, torse nu alors qu'il reportait son attention sur Laura dont il tenait toujours les seins à pleine main. Il se rendit compte que le regard de la jeune fille s'était porté sur son entrejambe. La petite passe d'arme avec Amandine l'avait affreusement excité et une érection le tenait désormais. Il était temps de pimenter le petit jeu.
Par lina
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