Non catégorisé

Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 11:58

Le visage de Stéphanie Bastier s'illumina. 

- Bien sûr, il y a des obligations, précisa Laroquette.

- Nous payerons tous les frais nécessaires, assura Pierre Bastier, le père de Morgane, ce ne sera pas un problème.

Laroquette en était certain. Pierre Bastier était un des maître d'œuvre les plus puissant de la région. Certes, la concurrence de la nouvelle société AngDiaz lui avait fait beaucoup de mal mais il restait encore très riche. 

- Bien entendu, confirma Laroquette. Cependant ce n'est pas tout. Le programme ne se résume pas en quelques cours de soutien supplémentaires. Il faut une implication totale de l'élève afin de lui permettre d'atteindre rien de moins que l'excellence. Il va se diviser en deux périodes de travail intensif durant laquelle Morgane ne devra pas se laisser distraire par des éléments extérieurs. Cela implique que pour les trois prochains mois, elle devra prendre pension à l'école à temps complet.

- A temps complet? sursauta la jeune fille qui ne s'attendait à cela. 

- Exactement. Il s'agira de te permettre non seulement d'étudier bien mieux mais aussi de faire un travail sur toi-même pour pouvoir te permettre de réussir.

- C'est quand même extrême, s'inquiéta Stéphanie Bastier.

- C'est une méthode innovante qui a fait ses preuves aux Etats-Unis et je sais que je vous demande beaucoup mais si vous me faîtes confiance, je vous promets que Morgane obtiendra son bac avec mention et je parle du bac scientifique, pas du bac littéraire qu'elle a raté l'an dernier. Je gage ma réputation sur sa réussite. 

Les Bastier se regardèrent visiblement séduit par l'assurance du directeur. Pierre Bastier se retourna vers Laroquette.

- Très bien, monsieur, nous acceptons votre offre. 

Il ne se doutait pas une seconde qu'il venait d'offrir sa fille en pâture à une horde de loups. 
La voiture de Thierry Diomandé avançait le long d'une route de montagne. Il avait voyagé pendant des heures pour rejoindre l'Ouest des Etats-Unis et l'état du Colorado. Il avait ensuite dû louer une voiture pour s'engouffrer dans les montagnes rocheuses. Ce fut un véritable jeu de piste au milieu de routes qui ne cessaient de s'entrecroiser entre les vallons et les à-pics de cet immense monument de la nature. Finalement il arriva en vue d'une belle maison perdue au milieu des montagnes et il sut qu'il était enfin arrivé. La maison était grande et visiblement de belle facture mais l'œil aguerri de Thierry remarqua immédiatement des détails vitaux. En dépit de sa situation géographique en plein milieu de montagne, il ne dénombra pas moins de quatre routes en plus de celle qu'il empruntait qui partaient de cet endroit constituant autant d'itinéraires de fuite possibles en cas d'attaque. Il remarqua également les petites caméras installées dans les arbres et qui fixaient autant la route que la forêt alentours. Les habitants de ce lieu vivaient dans une sorte de paranoïa permanente qui ne le rassura pas ; 10 ans n'avaient rien changé. 

Thierry gara sa voiture à côté d'un puissant 4X4 et descendit. Il se dirigea vers la porte et tapa, le cœur serré. On lui ouvrit immédiatement et le visage qui apparut le ramena immédiatement 10 ans en arrière.

Par lina
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Samedi 6 juin 6 06 /06 /Juin 11:49

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d'hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d'écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir. 

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d'affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l'élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l'homme politique le plus influent de toute la région. C'est surtout le produit d'une éducation chrétienne stricte qui l'a frustrée pendant toute sa vie et dont il s'est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c'est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes. 

Guillaume Uron, 29 ans, c'est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l'un des hommes les plus puissants de la ville et s'est notamment emparé d'Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d'un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l'école Oscar Bono, c'est le responsable de l'académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce. 

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c'est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d'homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c'est la femme d'un notable reconnu qui s'est compromis dans de sales affaires d'escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d'Angel qui s'est emparé de tous ses biens et s'est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle. 

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d'hébergement pour sans abri, victime d'un chantage de la part d'Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre. 

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l'aide d'un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel Guri, 20 ans, serveuse. Fille aînée d'un homme d'affaire, elle doit désormais se plier à la volonté de Diaz et de son âme damnée Humberto pour rembourser les dettes de son père. 

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d'argent en jouant avec Diaz qui désormais l'oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d'elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu'elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d'accueil d'hôtel, Uron l'a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre. 

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l'hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune feme a d'abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l'esclave d'Uron. 

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant -- colonel de l'armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d'un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l'esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d'obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d'être expulsée dans son pays d'origine où elle est condamnée à mort par la dictature. 
- Elle est passée quand? demanda Antonin Marius.

- Hier soir, répondit Oleg Ustinov. Elle a essayé de se servir de sa carte pour obtenir des informations.

- Des informations sur qui? 

- Frédéric Baroso.

- Freddy? 

Oleg hocha la tête. Freddy était tout simplement l'un des chefs les plus influents de la mafia locale. Il se demanda ce qu'Amanda-Jean Carpenter pouvait vouloir à un truand de cette envergure et surtout s'il devait craindre l'intervention de la police interrégionale sur son territoire. 

- Renseigne-toi sur elle, ordonna-t-il. Je veux tout savoir sur elle depuis le jour où elle a quitté le ventre de sa mère.  Morgane Bastier avait du mal à tenir en place sur sa chaise alors que ses parents parlaient avec le directeur Laroquette. 

- Vous comprenez monsieur le directeur, expliquait sa mère. Morgane vient de vivre une année très difficile. Le fait de rater son bac fut très traumatisant pour elle. Vous savez à quel point la reprise a été difficile. 

Difficile était un doux euphémisme pour qualifier des résultats qui volaient au niveau des pâquerettes et une détermination en berne. Laroquette savait que Morgane semblait destinée à un nouvel échec. 

- C'est pour ça que quand nous avons entendu parler du nouveau programme de rattrapage que vous comptiez lancer, nous avons été intéressés. Nous sommes déjà au tiers de l'année et il faut réagir au plus vite. 

- Je vois, répondit le directeur. D'ailleurs, j'ai étudié attentivement le dossier de votre fille et je peux vous dire qu'elle correspond tout à fait au profil des élèves que nous recherchons pour le programme. 

Par lina
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Lundi 1 juin 1 01 /06 /Juin 15:06

- Et quelles étaient ces circonstances? Demanda alors Angel.

Marius se tourna alors vers lui. Il détestait cette ambiance d'inquisition. 

Ils se trouvaient dans le bureau de la villa de l'homme d'affaire. Les 4 membres actuels du club l'y avaient invité ou plutôt convoqué suite au rodéo provoqué par ses hommes dans les rues de la ville. Heureusement, le juge avait averti Diaz assez vite et ce dernier avait fait jouer ses relations dans la presse pour que cette affaire ne s'ébruite pas. On avait juste parlé d'un homme saoul qui avait perdu le contrôle de son véhicule. Tout cela avait été possible car personne n'avait été blessé si on exceptait le conducteur de la Peugeot bien sûr. 

- Nous avons éliminé un gêneur qui posait trop de questions au sujet d'Opale Apolline.

- Il s'agissait de l'homme que je vous avais demandé de surveiller?

- Exactement, c'était un petit privé de bas étage qui voulait son moment de gloire. Il aurait pu nous mettre tous dans l'embarras mais nous avons fouillé son bureau et son appartement et emporté toutes les preuves nous reliant à cette triste affaire.

- Comment s'appelait cet homme? demanda le juge.

- Je vous l'ai dit un petit détective. Un ancien bureaucrate de la police nommé Diomandé.

Le visage de Diaz changea alors de couleur, il échangea un regard inquiet avec le juge puis avec Uron.

- Thierry Diomandé? demanda-t-il ensuite. 

- Oui, confirma Marius.

- Etes-vous sûr que cet homme est mort? Je veux dire : avez-vous son corps?

- Pas personnellement mais mes hommes m'ont affirmé qu'il était tombé du haut d'une falaise de 50 mètres. Aucun homme normal...

- Thierry Diomandé est tout sauf un homme normal, le coupa Diaz. Et s'il est une chose qu'il n'est pas c'est bien un bureaucrate à la recherche de gloire. 

- Mais bon sang, s'énerva Angel qui ne comprenait pas la tension qui s'était emparé de ses complices. Qui est donc ce Diomandé?

- Thierry Diomandé, répondit Uron, est tout simplement le dernier survivant de la cellule du « Frère », un des hommes qui a mis Lilleland à feu et à sang voici 10 ans.
Thierry débarqua dans un univers totalement ravagé. Il n'y avait rien dans son bureau qui n'avait pas été retourné et il n'en fut pas surpris. Il avait désormais compris qu'il avait mis le doigt sur une affaire qui dépassait le cadre d'Opale, de Christine Veron, de Giroud et même du juge de Saint Servier. Les flics qui avaient tenté de le tuer étaient trop nombreux et appartenaient à trop de service pour agir seuls, ils dépendaient d'une autorité supérieure et cela lui rappela trop un passé vieux de 10 ans. 

Il ne savait toujours pas comment il avait survécu à la chute de sa voiture dans la mer. Un vrai miracle qu'il ne fut pas tué sur le coup par le choc ni entraîné par le fond avec la Peugeot. L'entrée dans l'eauavait détruit le pare-brise et il avait put s'extraire de l'épave par ce chemin sinon il nourrirait les poissons à cet instant. Maintenant, il pensait être considéré comme mort ce qui était un avantage non négligeable. 


Il considéra les ruines de son bureau et ne s'y attarda pas. Il savait que des experts en fouille comme ceux qui avaient mis ce bazar avaient certainement trouvé l'exemplaire du dossier Opale qu'il avait laissé dans sa fausse cachette. Il fouilla juste sa penderie pour trouver quelques vêtements encore entier pour se changer. Il était trempé et il ne voulait pas attraper la mort, c'eut été le comble. 

Il ne s'attarda pas dans son bureau pour ne pas risquer de s'y faire remarquer. Il prit cependant le temps de descendre à la cave. 

Il ouvrit la porte du local à poubelle et au milieu des déchets, il découvrit le compartiment secret où il cachait ses documents les plus précieux. Il en sortit ses deux dossiers les plus importants : celui d'Opale ainsi que celui qui l'avait conduit jusqu'à Fortlud. En dessous se trouvait toute une série de passeports. Il en choisit plusieurs. Il allait devoir voyager et il avait besoin d'une nouvelle identité puisque Thierry Diomandé était mort pour quelques temps. En dessous de tout cela, il sortit un petit calepin qu'il prit et fixa un instant : il avait prié pour n'avoir à jamais s'en servir. Il le glissa dans sa poche et quitta l'immeuble. En sortant dans la rue, il rabattit la capuche de sa veste afin de ne pas être reconnut et s'éloigna le plus vite qu'il le put.

Il attendit d'être à 5 pâtés de maison pour chercher une cabine téléphonique. Dès qu'il en trouva une, il sortit le calepin de sa poche.

Il ne contenait qu'un seul numéro de téléphone. Thierry prit le combiné du téléphone et composa le numéro. Il fallut un temps fou pour obtenir la sonnerie et il se dit que personne n'allait répondre ; pas après tout ce temps. 

- Allô, fit une voix de femme qu'il reconnut facilement.

- Martina? Dit -- il. Il faut que je parle à Thomas. Il faut que je parle au « Frère ».

Par lina
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Dimanche 31 mai 7 31 /05 /Mai 15:06

vitesse, il fallait un tireur d'élite pour atteindre sa cible et ce n'était pas le cas du gaillard. Sa balle se perdit dans les rues. Thierry savait qu'en restant en ville, ses poursuivants finiraient par rameuter la moitié des flics de la ville. Il décida de tenter sa chance dans les quartiers périphériques que la police ne contrôlait. Il prit Aubey Road puis remonta l'avenue Donovan mais une des voitures qui se trouvaient sur le barrage lui coupa la route alors et il dut bifurquer sur Ulysse Street. Il connaissait cependant trop bien la ville pour se faire avoir et il évita l'impasse où ils voulaient l'enfermer mais se retrouva obligé d'emprunter la voie rapide qui longeait le front de mer. Sur cette zone les voitures plus puissantes de ses poursuivants finirent par le rattraper. La plus grosse se mit à sa hauteur mais le conducteur fit une mauvaise manœuvre et les deux voitures se percutèrent. Thierry perdit le contrôle de son véhicule qui quitta la route pour plonger par-dessus une falaise qui tombait en à -- pic dans la mer. Sa voiture coula dans l'eau noire et froide.  - Je ne suis pas sûr que c'était ça que le patron entendait quand il disait « pas de vagues », estima Hugo dubitatif.

Il portait les stigmates de sa rencontre mouvementée avec Angel et n'avait plus le cœur à faire des écarts avec la discipline.

- En tout cas il est bien mort, assura Hassan en regardant en bas de la falaise.

- Pour sûr, confirma Hugo. Pour survivre à ça, il faudrait être robocop. 

- Je préviens le patron. On n'a pas trop réussi dans le domaine de la discrétion mais au moins il ne posera plus de questions gênantes. 
Allongé sur le lit de Sonia, Laroquette assistait un spectacle qui la comblait de plaisir. Avec art et style et efficacité, la jeune étudiante était en train d'effeuiller Anita Fuentes. Totalement soumise, l'enseignante s'était laissée maquillée et apprêtée selon les désirs du vieux directeur. Ce dernier avait été surpris par la vitesse à laquelle la sud-américaine s'était soumise à son autorité comme si ces quelques mois passés dans les geôles de la dictature hondurienne l'avaient conditionnée. 

Sonia baissa la culotte d'Anita révélant une toison taillée à merveille. Et Laroquette se redressa pour mieux admirer la scène. Le clou du spectacle fut quand le cou de l'enseignante fut ceint du même collier de cuir que celui que la jeune fille portait en permanence quand elle n'était pas en présence d'étrangers. 

Laroquette se leva alors et se dirigea vers les deux femmes, il les conduisit à s'enlacer l'une l'autre et à s'embrasser puis glissa ses doigts dans les anus de chacune ; elles poussèrent un cri à l'unisson. Leurs cris redoublèrent quand il augmenta le nombre de doigts qui envahissaient cette cavité encore inexplorée. Il décida cependant de ne pas la visiter encore : il la gardait pour une grande occasion. Il attrapa Anita par ses cheveux désormais libérés de leur chignons et la mis à genoux, elle fut conduite à une fellation profonde pendant qu'il échangeait des baisers baveux avec Sonia. Il savait à quel point ces échanges intimes dégoûtaient la jeune fille et il les prolongeait à plaisir. Anita quand à elle ne semblait pas dégoutée par le parfum de son pénis car il sentait sa langue danser agilement sur son membre. Il abandonna Sonia pour son concentrer sur sa nouvelle petite amie et prit sa tête entre ses mains. Le plaisir ne tarda pas à venir. Il jouit au fond de sa gorge, la tenant fermement par les oreilles pour s'assurer qu'elle ne recrache pas semence. Quand il la relâcha, Anita détourna ostensiblement le visage pour cracher et respirer. Il l'attrapa alors et la projeta sur le lit et en fit de même avec Sonia.

- Un homme, deux putes, se dit-il, des milliers de possibilités.  - Mais à quoi vous jouez, Marius? s'emporta le juge. Vous transformez les rues de Lilleland en un nouveau far west et tout cela sans nous prévenir. 

- Mes hommes ont un peu perdu le sens de la mesure, reconnut le commissaire, mais les circonstances l'exigeaient.

Par lina
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Samedi 30 mai 6 30 /05 /Mai 15:05

qui s'écroula sur le sol. Anne-Marie, le dos en miettes d'avoir reçu autant de coups de fouet, réussit à s'allonger sur le lit. D'un signe de la tête, il ordonna aux deux soubrettes de sortir de la chambre, elles obéirent sans un mot. Il les imita quelques secondes plus tard en posant le gode ceinture sur le sol. La porte se referma derrière lui laissant les deux femmes seule dans la semi-pénombre. 

Anne-Marie tentait de reprendre son souffle après l'horreur qu'elle venait de vivre. Puis soudainement, elle sentit une ombre peser sur elle. Au prix d'un grand effort, elle réussit à tourner la tête.

Jennifer se trouvait juste au dessus du lit. Elle avait enfilé le gode ceinture et son regard trahissait toute la rage qu'elle éprouvait.

- Salope! Pétasse! Eructait-elle. Tu m'as enculée et tu y as pris plaisir. Tu vas le regretter.

Elle aurait voulu se défendre, lui dire qu'elle n'avait pas le choix et qu'elles devaient faire front ensemble contre ce monstre mais elle n'en avait pas le force. Elle ne put rien faire quand Jennifer lui écarta les fesses de force et introduisit le gode dans son anus, vierge lui aussi ; rien faire d'autre que hurler à son tour. 
Allongé sur le dos, Amandine assise à califourchon sur son pénis, Angel assistait avec délectation au spectacle de la vengeance de Jennifer aux dépends de la pauvre Anne-Marie. La caméra de la chambre 2 fonctionnait à merveille et rediffusait en cinémascope le viol anal de l'assistante sociale par son ancienne protégée. Un viol qui dépassait les espérances du maniaque. Il avait volontairement laissé le gode en capitalisant sur la rage qui habitait en permanence la jeune fille et elle ne l'avait pas déçu. Il se dit cependant que cette violence était peut être un peu trop incontrôlée et qu'elle risquait de détruire une Anne-Marie qu'il venait à peine d'acquérir. C'aurait été dommage. Il fallait associer cet animal farouche avec une compagne plus rompue aux joutes perverses de cette maison. 

- Laura! lança-t-il en direction de la plus jeune résidente de la maison qui en ce moment même s'empalait sur un gode anal. Demain tu vas changer de chambre. 

- Bien maître.

Toujours docile, la jeune fille ne contesta pas sa décision même si cela signifiait qu'il l'envoyait partager la cage d'une bête indomptée. A ce moment, Anne-Marie poussa un nouveau hurlement alors que Jennifer enfonçait à nouveau le gode au plus profond de ses intestins. Cela provoqua une poussée d'excitation en Angel qui jouit dans le ventre d'Amandine, la renversa pour s'assurer que le sperme reste en elle et ne vienne pas maculer son pénis. Il écarta ensuite l'ancienne maîtresse des lieux et constata que Jennifer ne semblait pas décidée à mettre fin au supplice d'Anne-Marie. La nuit promettait d'être longue pour la désormais ancienne assistante sociale. 
La voiture de Thierry Diomandé roulait tranquillement en direction du quartier sud quand il arriva devant un barrage de police qui filtrait les voitures. Il ralentit et commença à préparer ses papiers quand quelque chose l'inquiéta. Il se rendit compte que ce barrage de police n'avait rien de classique. Il ne vit aucun flic en uniforme et en regardant les numéros des voitures, il comprit qu'elles appartenaient à des services totalement différents. Il se crispa alors que le policier le plus proche s'approchait de lui. Il était bien trop souriant à son goût. Un flic ne souriait jamais sauf quand il voulait rassurer un suspect. Pris par la certitude qu'il venait de tomber dans un traquenard, il accéléra, manquant renverser le policier le plus proche. 

Son impression fut renforcée quand une voiture qui n'appartenait pas au barrage se lança à sa poursuite. Il se retrouvait traqué par plusieurs voitures dans les rues de Lilleland, se croyant revenu 10 ans en arrière et ce n'étaient pas bons souvenirs. La voiture la plus proche était plus puissante que la sienne et se rapprocha dangereusement. L'homme côté passager sortit la tête à la fenêtre et tira sur lui. A cette

Par lina
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