Non catégorisé

Vendredi 29 mai 5 29 /05 /Mai 15:04

- Jen..., balbutia -- t -- elle.

- Notre jeune amie est ici depuis quelques jours déjà, se moqua Angel. Elle apprend doucement les règles de la vie en communautés selon David Angel mais c'est une bonne élève. 

Anne-Marie voulut s'élancer vers Jennifer dans l'idée de la libérer mais Angel la rattrapa par le bras et fit revenir vers lui. 

- Où tu crois aller? Finis la belle époque du foyer. On ne joue plus les bons samaritains. Ici, on joue à des jeux amusants. 

De son autre main, il tendit la main et l'une des domestiques placées derrière eux lui tendit un objet sombre. Il l'approcha du visage d'Anne-Marie qui identifia alors un gode ceinture. 

- Voilà pour toi! Mets-le et encule-là!

Elle secoua la tête et reçut une gifle monumentale comme seule récompense. Il resserra son emprise sur son bras.

- Non n'est pas un mot autorisé en ce lieu. Celles qui le prononcent finissent toujours par céder mais après bien des souffrances. 

Il la frappa encore plus fort et elle ne put s'empêcher de pleurer. 

- Je peux aussi te briser tous les os du corps, un par un, affirma-t-il. Et demander à l'une d'entre elle de faire ce que je veux. De toute manière, ce soir, ta petite protégée aura le cul bourré. A toi de choisir si en plus tu veux souffrir le martyr en plus. 

A sa grande honte, Anne-Marie céda et le laissa la ceindre du gode. Comme un zombie, elle fut conduite vers le postérieur cambré de Jennifer. La jeune femme avait depuis longtemps compris le sort qu'on lui réservait et tentait de se libérer de ses chaînes mais les deux soubrettes étaient entrés dans la chambre et s'attelaient à la faire se tenir tranquille.

- Tu vois, montra Angel en plongea un doigt dans l'anus de Jennifer qui poussa un cri, c'est encore bien rigide. Elle est tout à fait vierge. C'est un beau cadeau que l'on te fait là. 

En larmes, Anne-Marie ne fit rien quand il guida le gode à l'orée de l'anus de la jeune femme. 

- Et maintenant, enfonce-le, ordonna-t-il.

Et comme elle hésitait, il sortit un martinet et lui cingla le dos avec. La douleur lui vrilla le corps et comme un réflexe, elle enfonça le membre de plastique dans les intestins de son ancienne protégée qui hurla alors échappant à l'emprise des deux autres femmes. Mais il était trop tard, comme possédée par la douleur, Anne-Marie l'avait totalement pénétrée et elle ne put que s'agripper à la barre de danse pour tenter de tolérer un peu mieux la souffrance infligée par cette pénétration contre nature. Angel se déchaîna alors. 

- Baise-la! Encule-la! Répétait-il en lui fouettant le dos et les fesses avec le martinet si jamais elle ralentissait le rythme de son pilonnage 

Il fit durer ce plaisir pendant une demi-heure, laissant les deux femmes exsangues. Puis il libéra Jennifer

Par lina
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Jeudi 28 mai 4 28 /05 /Mai 15:04


- Assez de discussion. Tu as vu mes preuves et avec elles je peux détruire ce foyer ridicule pour inutiles qui occupe un emplacement si rentable en centre-ville. Maintenant, je n'ai pas de temps à perdre, sois tu acceptes mes conditions soit tu te lèves et tu quittes cet endroit.

Instant décisif. Elle hésita une seconde, consciente qu'elle n'aurait plus les moyens de reculer ensuite mais elle resta assise et le Angel sourit.

- Parfait, tu vas me remettre toutes tes clés. Ta voiture sera donnée et ton appartement reloué dès demain. 

- Mais mes affaires, ...

- Tu n'en auras plus besoin. Cette villa sera désormais ton seul univers pour le restant de ta vie et cet uniforme sera le seul vêtement que tu seras autorisée à porter. 

Il lui aurait porté un coup de massue qu'il ne lui aurait pas fait plus mal. Elle resta assise sans réaction sous l'effet du choc. 

- Déshabille-toi, ordonna-t-il. 

Elle resta sans réaction. 

- Tout de suite!!!

Elle sursauta devant son ton impérieux et presque contre sa volonté, elle commença à enlever ses habits. Elle finit par se retrouver droite et nue devant lui, tentant de dissimuler son sexe et sa poitrine avec ses bras et ses mains. 

- Pas de pudeur mal placée ma chère, ricana-t-il. Les bras le long du corps.

Comme une automate, elle lui obéit et il put la détailler avec gourmandise. Il se leva et s'approcha d'elle. Il joua avec les mamelons de ses seins puis descendit jusqu'à son clitoris. Elle détourna son regarda pour ne pas lui donner le plaisir du spectacle de sa honte. Cependant, il ne poussa pas plus loin son petit jeu. Il lui attrapa le poignet et l'entraîna dans la maison, la faisant grimper un étage. Ils arrivèrent dans un large couloir. Il la fit passer devant une lourde porte blanche fermée à clé puis s'arrêta devant une seconde en tout point identique à la précédente. 

- Voici ta chambre, lui dit-il et elle pensa qu'il aurait mieux fait de parler de cellule. Je vais te présenter ta colocataire. Tu vas voir, tu vas l'aimer. 

Il sortit une télécommande et appuya sur le bouton marqué deux. Le verrou de la porte se déclencha dans un grand bruit de mécanique et elle s'ouvrit. En entrant dans la chambre, Anne-Marie remarqua immédiatement qu'il n'y avait qu'un seul lit mais ne put s'attarder sur ce détail car Angel attira son regard sur la jeune femme qui se trouvait dans le fond. Le cœur de l'assistante sociale s'arrêta de battre : il s'agissait de Jennifer. 

La jeune fille était vêtue de la même tenue que les deux autres femmes qu'elle avait croisées au rez-de-chaussée. Elle avait les deux mains liées à une barre à danser de telle façon qu'elle ne pouvait que se tenir totalement cambrée en avant, les jambes écartées. 

Par lina
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Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 15:00

cette dictature. 

- A vous de choisir, c'est tout ce que je peux vous offrir.

Il la vit réfléchir intensément. Il comprenait qu'il lui demandait de choisir entre sa vie et des convictions héritées de ses parents décédés. Il exigeait tout simplement d'elle de les renier. Il vit que l'instinct de survie finit par l'emporter.

- Je le ferais, lâcha-t-elle. Est-ce tout?

- Non, car quoi qu'il en soit, je vais faire beaucoup d'effort pour vous sortir de ce mauvais pas.

- J'en suis parfaitement consciente et je vous en remercie.

- Justement, il va falloir discuter maintenant de ma récompense. 
Assise dans le salon de la villa de David Angel, Anne-Marie ressentait une incroyable impression d'irréel. En quelques jours, elle venait d'accepter de renoncer à tout ce qui faisait sa vie et cela pour sauver ce qui comptait vraiment pour elle. 

- L'homme qui a découvert ton secret m'a proposé un marché obscène, lui avait dit Christine. Il se fiche du sort du foyer en vérité. Nous sommes la seule chose qui l'intéresse. Il veut faire de nous ce qu'il veut. 

- Mais, c'est horrible.

- J'ai accepté, ajouta-t-elle, honteuse. J'ai accepté parce que la seule chose qui compte pour moi est de sauver le foyer et les gens qui y vivent. S'il venait à disparaître, ils seraient condamnés à retourner à la rue dans l'alcool, la drogue ou la prostitution. Et il n'a pas attendu pour en profiter. 

Anne-Marie avait été envahie par une immense vague de remord. Tout cela était de sa faute et Christine avait dû en payer un prix affreusement élevé. Elle savait qu'elle ne pouvait pas l'abandonner à son triste sort. 

- Je te soutiendrais moi-aussi, affirma-t-elle.

- Ce n'est pas aussi simple, tempéra Christine. Il exige encore plus de toi que de moi. De moi, il ne veut que quelques parties de jambes en l'air de temps en temps. Toi, il réclame que tu abandonne tout pour partir vivre avec lui. 

Le choc avait été rude mais elle avait fini par l'accepter. Après tout, elle devait assumer les conséquences de ses actes. Elle avait donc téléphoné à cet homme, ce David Angel et prit rendez-vous.

Le pire était qu'il était loin d'être moche, bien au contraire. Cependant, il émanait de lui, une sorte d'aura qui entretenait un sentiment de malaise persistant et ce n'était pas ces domestiques en tenues obscènes qui rendaient l'ambiance plus agréable.

- Tu aimes ces tenues? la questionna Angel en surprenant un de ses regards gênés sur les fesses nues de la jeune fille qui venait de lui apporter sa boisson. Il y en a une qui t'attend à l'étage. 

Un frisson d'horreur la parcourut.

- Vous croyez que...

Par lina
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Mardi 26 mai 2 26 /05 /Mai 14:58

- Monsieur le directeur, déclara la jeune femme, je ne comprends pas pourquoi je n'ai toujours pas reçu de proposition de renouvellement de contrat.

- La raison en est simple mademoiselle, répondit -- il en feintant la gêne. C'est parce que nous ne comptons pas vous conserver parmi notre personnel.

Il la vit blêmir à vue d'œil et goûta à ce spectacle. Depuis qu'elle était arrivée, elle n'avait eu de cesse de le déprécier aux yeux de ses collègues étrangères, l'accusant d'être rétrograde et misogyne. Il fallait dire qu'avec son puissant protecteur le député Ramos, elle pouvait se permettre de se la jouer mais maintenant elle était seule et les as étaient dans d'autres mains. 

- Je ne comprends pas, mon travail...

- Etait satisfaisant, je le reconnais mais ce n'est pas le problème. Nous avons reçu des plaintes de nombreux parents d'élèves. Il semblerait que vous soyez une activiste politique de gauche, une extrémiste.

- Pas du tout.

- En tout cas, ce sont les arguments que vous avez avancé pour obtenir le statut de réfugiée politique. Comprenez que nous sommes une institution privée qui survit essentiellement grâce aux dons des associations de parents et d'anciens et ils sont tous politiquement à droite. La seule idée qu'une militante d'extrême gauche puisse enseigner ses idéaux à leurs enfants les a rendus hystériques. 

- Mais je suis..., si vous me renvoyez, je vais devoir rentrer au Honduras et vous me condamnez à mort.

- C'est gênant bien sûr mais si je vous garde, je perdrais mon emploi à coup sûr et c'est mon successeur qui vous renverra. 

- Mais c'est impossible, je ne peux pas...

C'en fut trop pour elle, elle s'effondra, pleurant devant lui. Il comprit qu'il venait de rouvrit de vieilles blessures ; il n'en avait pas espéré tant. Il décida de porter l'estocade. 

- Je pourrais tenter de défendre votre cas devant le conseil et les parents, dit-il.

Il vit une lueur d'espoir dans son regard et il s'empressa de l'éteindre.

- Mais pour cela vous devez m'aider. Vous allez devoir renier publiquement vos convictions politiques afin de calmer les ardeurs des parents. 

- Mais..., commença -- t -- elle, si je fais ça, le statut de réfugié politique.

- Vous sera à jamais inaccessible, je le sais mais de toute manière tant que vous travaillerez chez moi vous ne risquerez pas l'expulsion et en plus cela montrera votre bonne foi au gouvernement de votre pays.

- La dictature ne croit pas en ce genre de déclaration, elle s'en sert pour sa propagande mais elle élimine ceux qui les font pour éviter qu'ils ne se rétractent par la suite. 

Il savait qu'elle parlait d'expérience puisque c'était ce qui était arrivé à son frère. Décidément, il aimait

Par lina
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Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 14:57

- Ca je ne peux pas dire comme ça. Il faudrait demander à ceux qui le connaissent, c'est-à-dire des flics du coin. 

- Oui, passons alors.

- Par contre, c'est un ancien flic et là, c'était visiblement pas un cador. Sa dernière affectation avant sa démission était à la gestion des stocks. C'était un gratte-papier.

- Il a démissionné pourquoi?

- Officiellement pour raison personnelle. Il devait s'ennuyer à compter des stylos et mesurer les litres de carburants consommés par les voitures de patrouille. 

Marius sourit devant cette petite blague et se détendit devant cette nouvelle. Diomandé était juste un détective à la noix qui jouait à se prendre pour un homme. Il appela alors ses hommes qui le filaient depuis qu'il avait tenté de faire parler Théodora Lupa. 

- Hassan? Alors on en est où?

- Il est passé chez Giroud. Et ça a bardé sec. Comme vous le vouliez, nous ne sommes pas intervenus mais nous avons dû annuler une patrouille appelée par des voisins. 

- Giroud a parlé selon toi?

- Ce type a un mélange d'eau et de vodka dans les veines alors il parlerait même à mère Térésa.

Marius n'eut pas longtemps à réfléchir pour comprendre que ce type allait maintenant se ruer sur le juge de Saint Servier. La discrétion était essentielle autant pour lui que pour les membres du club et ce Diomandé était aussi voyant qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Il fallait l'arrêter au plus vite. 

- Hassan, reprit -- il. Eliminez -- le! Mais sans faire de vagues, compris? 

- Compris. Et pour Giroud? Il risque d'être un problème.

Giroud était le petit protégé du juge et il ne pouvait pas le toucher sans son autorisation, trop dangereux pour l'instant. - Laissez -- le tranquille, on s'occupera de lui en temps voulu. La priorité c'est Diomandé.

Hassan ne protesta pas. Savoir rester à sa place, Hassan avait de l'avenir dans son petit groupe. Ce fut Anita qui provoqua la rencontre avec Laroquette, à la grande satisfaction du directeur. Cela prouvait que la panique commençait à gagner la jeune femme. Il la considéra alors qu'elle s'asseyait en face de lui et se dit qu'il perdait vraiment au change par rapport à Bethany Carter. Anita était un fil de fer dont le seul avantage était de posséder de petites fesses sculptées. Son visage était assez agréable sans être fascinant surtout avec ses petites lunettes rondes et ce chignon strict dans lequel elle s'obstinait à emprisonner sa chevelure brune. Il s'étonnait encore que Danielle Ramos ait put croire que son époux et elle aient pu être amants alors que les femmes les plus séduisantes de la communauté hondurienne ou de la haute société de Lilleland se pâmaient devant lui. Il n'y avait pas plus irrationnel que le cœur d'une femme bafouée. Cependant, Laroquette n'allait pas faire la fine bouche surtout que le temps lui était compté et qu'il avait eu du mal à convaincre les membres du club de lui donner une seconde chance. 

Par lina
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